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Proposée le 2/03/2010 par fabien92
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Guillaume avait passé une nuit à sauter ma femme, il y a un peu plus d'un an, chez moi, à la suite d'un streap-poker qui avait mal tourné, et j'avais laissé faire les choses, un peu dépassé par les évènements et fasciné par la supériorité de mon meilleur copain et sa capacité à séduire ma femme sous mes yeux et à m'imposer sa volonté, sous mon propre toit.
Ce mec a toujours été un queutard sans scrupule, il est prêt à tout pour satisfaire sa bite ; Moi je suis plutôt effacé, à coté de lui et au lit je n'ai jamais été bien brillant... Pourtant, je l'adore, c'est mon meilleur ami, et je sais qu'Hélène a passé une nuit géniale dans ses bras, et que lui ça lui a rendu service parce qu'il ne supporte pas de ne pas avoir une femme dans son lit chaque nuit. Avec les seins magnifiques d'Hélène (100 D, bien fermes), il avait été servi. Et je crois que ça l'avait excité de se taper une femme mariée, dans le lit conjugal. Moi j'en avais été quitte pour passer la nuit sur le canapé... C'était quand même super humiliant, il faut bien le dire, et je n'en suis longtemps pas revenu moi-même de les avoir laissé faire !
Mais depuis plus d'un an, il avait été super soft avec Hélène ; on s'est revus plusieurs fois, mais en présence de la femme de Guillaume. Il avait bien jeté quelques regards gourmands sur les seins d'Hélène à travers son chemisier, mais rien de plus.
Un peu plus d'un an après avoir baisé Hélène dans notre lit, Guillaume m'a appelé, un soir, pour me dire qu'il revenait près de chez nous pour une formation de plusieurs jours, et pour savoir si on pouvait l'héberger de nouveau. A sa voix un peu ironique, je me suis dit que la situation l'amusait ; Je lui ai répondu "Bien-sûr Guillaume ; Bon, cette fois... " et il a dit "T'inquiètes pas, Fabien !!". Je le connais, c'est un mec super honnête, même s'il ne résiste pas à une jolie fille ; Sa réponse m'a rassuré, et un peu déçu à la fois, c'est difficile à expliquer. Il a ajouté "De toute façon, je viens avec Marc, un collègue, donc tu vois je serai sage avec Hélène ; On ira en boîte, tu veux bien, comme ça on pourra pécho des meufs ?" et moi j'ai ajouté "T'exagère, ta femme t'adore et elle est super jolie...".
Je suis allé les chercher à la gare, une semaine plus tard, c'était un mardi. Guillaume était toujours aussi beau gosse, souriant, sympa, sûr de lui, les épaules carrées. Son pote Marc était plus discret, grand mec châtain clair, sportif, un peu prétentieux, à voir. Dans la voiture, Marc a souri quand j'ai dit bêtement qu'Hélène serait ravie de revoir Guillaume ; J'en ai conclus que Guillaume s'était vanté d'avoir sauté ma femme, devant ce gars. Il est vraiment incorrigible.
On est arrivés à la maison, Hélène a fait la bise à ces deux mecs, elle semblait un peu émue de revoir Guillaume chez nous, mais c'était correct. Elle portait une petite jupe bleue, courte, et un chemisier blanc qui mettait en valeur ses énormes seins. Guillaume portait un jean et un tee-shirt blanc, et Marc un pantalon beige et une chemise blanche. Le repas a été sympa, même si leurs regards accrochaient souvent le chemisier de ma femme, mais c'est normal et j'ai l'habitude.
Pendant le dîner, je suis allé cherche du vin ; Guillaume m'a rejoint à la cuisine pour m'aider à choisir, et j'en ai profité pour lui parler un peu : "Guillaume, t'es sûr que tu vas arriver à te tenir, je te connais, Hélène te fais bander..." en disant ça j'essayais à la fois de me rassurer, et peut-être de le tenter un peu. Il m'a répondu "C'est clair, elle me fait trop bander, et je suis sûr que si je lui propose d'aller la tirer en levrette dans les chiottes, elle sera d'accord ! Franchement, je lui enlèves sa culotte quand je veux..." et devant mon air abattu, il a ajouté "T'inquète, on va aller chercher des filles en boîtes, je vais sauter une jolie nana, je toucherai pas à ta femme pour ce soir" et comme j'ajoutais d'un air misérable "Bon, t'es sûr alors ?" il a ajouté, en empoignant sa queue énorme et déjà raide à travers son jean "Putain, tu peux dire que je suis un vrai pote, parce que vu comme je bande, là je suis bien sympa de me faire chier à aller draguer en boîte alors que cette bombasse mouille juste à côté de moi, avec ses gros nibards...". Juste à ce moment-là, Hélène est entrée dans la cuisine et a vu la main de Guillaume qui empoignait sa grosse queue à travers le jean, elle s'est approchée et nous a dit "Alors les garçons, on ne fait pas de bêtises ?" et Guillaume a répondu "Non non, on va vite aller en boîte, ok ?" et comme Hélène ressortait en souriant, Guillaume s'est approché de moi et m'a fait la bise sur la joue et m'a soufflé à l'oreille "T'as de la chance que je t'aime, toi !". Je suis resté sans réaction.
Après le dîner, comme convenu, on est partis tous les quatre en boîte.
En boite, Guillaume est parti tout de suite en chasse. Il avait besoin de tirer son coup, ça se voyait ! Son pantalon faisait une grosse bosse dès qu'il dansait avec une fille ; Je me rappelais ma surprise devant la taille incroyable de son érection, lors du streap-tease qu'on avait fait un an plus tôt. Hélène et moi on dansait un peu, mais Hélène surveillait discrètement Guillaume du coin de l'oeil, comme si elle était jalouse des filles qu'il draguait. C'était super vexant pour moi. Marc aussi draguait des filles, plus discrètement. Au bout d'un moment, il devait être une heure du mat', Hélène et moi on est allés s'assoir pour boire un verre, et Guillaume nous a rejoint avec une jolie blonde qu'il tenait par la main ; elle avait 20 ans au maximum, et une magnifique paire de seins sous son tee-shirt ; elle s'appelait Sophie et semblait super émoustillée par mon pote. Ils ont commencé à se rouler des pelles sur le canapé, pendant qu'Hélène et moi on regardait ailleurs ; Il passait ses mains sous sa jupe, ça risquait de dégénérer. Marc nous a rejoint un moment après, il avait eu plus de mal à trouver une fille, mais il est arrivé avec une jolie brune, Marie, 25 ans environ. On a alors décidé de rentrer, les deux conquêtes de mes invités étaient apparemment au courant qu'on rentrait chez nous.
Arrivés à la maison, Guillaume, avec son pantalon complètement déformé par sa queue en érection, s'est dirigé avec Sophie vers le bureau qu'on lui avait réservé (j'avais acheté un clic-clac récemment), en nous disant à peine bonsoir. Marc nous a fait un petit sourire, il a dit "Bon, ben.... Bonne nuit..." et il a conduit Marie dans le salon, on lui avait laissé le canapé-lit. Hélène et moi nous nous sommes regardés, Hélène a regardé ailleurs, et on est allés dans notre chambre. A peine couchés, on a commencé à entendre, de l'autre côté de la cloison, les gémissements de la jolie Sophie ; Guillaume apparemment lui avait déjà enfilé sa queue !!! Ce mec est une brute... Le clic-clac grinçait super fort à cause de leurs mouvements. Hélène s'est mise à soupirer, et j'ai pris ses soupirs comme des reproches qu'elle m'adressait ; Mais je ne me sentais pas du tout en état d'essayer de lui faire l'amour, sachant que je n'atteindrais pas la dixième de la performance de Guillaume. On entendait pas Marc faire l'amour à sa conquête, le salon étant plus éloigné ; Mais bon, c'était clair qu'il était en train de se la taper aussi.
Même si Hélène ne me trompait pas cette nuit, je me sentais nul, une fois de plus, complètement inférieur à ces gars qui pensent avec leur bite et qui ne perdent pas une occasion de sauter le maximum de filles. Guillaume est marié, il a des enfants, et pourtant dès qu'il part en formation quelques jours, il se débrouille pour enfiler une superbe blonde comme cette Sophie ! Quand a Marc, il m'avait dit aussi qu'il a une copine, et ça ne l'empêchait pas de sauter cette petite brune sur mon canapé. Et moi, marié avec une superbe salope dont la paire de seins affole tous les mâles qui la voient, je me préparais à passer une fois de plus une nuit complètement chaste, pendant que ma femme était jalouse des filles qui se faisaient ramoner par ces deux beaux gosses dans les pièces d'à côté. Enfin, pour me consoler je pouvais me dire que cette nuit je ne serais pas cocu, pour une fois.
Au bout d'un moment, crevé, je me suis endormi, à côté d'Hélène. Je ne sais pas pourquoi je me suis réveillé très peu de temps après, en pleine nuit, mais j'ai senti tout de suite qu'Hélène n'étais plus là. Je ne me suis pas inquiété, puisque les deux queutards que nous hébergions avaient chacun une fille dans leur lit. Au bout d'un moment, je me suis quand même levé, ne voyant pas Hélène revenir. Je me suis approché de la porte du bureau où j'entendais Guillaume qui continuait de ramoner cette salope de Sophie, pour me rincer un peu l'oeil. Franchement, j'ai halluciné en voyant ce que j'ai vu par la porte entre-ouverte. Guillaume était assis sur le clic-clac, nu, son énorme queue en érection bien sûr ; Sa bite est aussi large que longue, mon pote est vraiment monté comme un âne, il a de la chance. De chaque côté, il avait une meuf à poil, toutes les deux à genoux sur le clic-clac. Sophie à sa gauche et ma femme à sa droite. Toutes les deux souriaient, et lui tendaient leurs gros seins, et Guillaume léchait alternativement les seins de Sophie et ceux d'Hélène. Sophie lui caressait les cheveux, et Hélène masturbait lentement son gros membre. Lui avait une main sur le cul de ma femme, et une sur le cul de Sophie, et il les caressait doucement.
Ce salaud se retrouvait avec deux énormes paires de seins de chaque côté de son visage, et je me suis surpris à me dire que je n'arrivais pas à savoir laquelle des deux avait les plus gros seins. Et en plus il leur passait la main sur le cul, comme s'il était le maître de deux pouliches ! Son visage irradiait la satisfaction du mâle au top de sa puissance. De temps en temps, je voyais ses doigts glisser entre les fesses et descendre jusqu'à la fente des deux femmes qu'il tenait entre ses bras.
Puis Guillaume, de sa belle voix grave, a dit soudain "Allez les filles, vous me sucer la bite, toutes les deux en même temps ?". Sophie, qui apparemment était une belle salope, est tout de suite descendue du clic-clac pour s'agenouiller devant la queue de Guillaume ; Hélène a juste un peu protesté en disant "t'exagères, Guillaume...", et lui a approché ses lèvres de celles de ma femme, lui a roulé une pelle très tendre et langoureuse, pendant que Sophie commençait à promener sa langue sur la bite de mon pote. Quand la langue et celle de ma femme se sont séparées, Guillaume lui a murmuré "allez, Hélène, t'en as autant envie que moi... Je t'adore, fais moi du bien..." et Hélène a alors rejoint docilement Sophie entre les cuisses de Guillaume ; Lui s'est appuyé sur ses coudes, écartant les cuisses, pour laisser les deux filles le sucer confortablement. J'ai donc vu sa grosse queue passer d'une bouche à une autre, et je voyais son visage à lui, ses yeux fermés, sa langue qu'il passait sur ses lèvres, visiblement il prenait un pied incroyable. A certains moments, sa queue était dans la bouche de ma femme, et Sophie passait sa langue sur ses couilles, ou sur la base de sa bite. De temps en temps il les encourageait en murmurant "mhhh... Vous sucez bien, salopes... Encore...", "Allez-y, pompez moi bien la bite, toutes les deux..." et il rejetait sa tête en arrière, ou alors au contraire il baissait les yeux pour regarder ces deux filles avaler sa bite ; Le spectacle avait l'air de lui plaire !!! quel salaud ce mec, je n'en reviens toujours pas.
J'ai trouvé que cette fellation durait super longtemps ; Guillaume devait sans doute se retenir pour ne pas éjaculer dans la bouche d'une de ces deux femmes. Au bout d'un moment, j'ai vu Sophie, tout en léchant la queue de Guillaume, le regarder d'une façon qui laissait entendre de quoi elle avait envie. Elle s'est relevée, et s'est installée, couchée sur le dos avec les cuisses relevées et écartées, à côté de mon pote, pendant que ma femme se déchainait sur sa bite en poussant des gémissements. Sophie était couchée à gauche de Guillaume, et elle se caressait ses énormes seins. Pendant qu'Hélène continuait de le pomper en lui caressant les burnes, il s'est mis à doigter Sophie, qui apparemment avait la chatte trempée. Sophie a alors dit "Viens, j'ai envie de te sentir en moi..." et il a poussé légèrement la tête d'Hélène pour sortir sa grosse bite de sa bouche. Il s'est allongé sur Sophie, en lui disant "J'vais te ramoner, ma belle". A côté, Hélène avait l'air furieuse et humiliée, elle aussi avait envie de se faire enfiler par la queue de mon pote. En quelques instants, Guillaume avait pénétré Sophie, qui s'est mise à gémir comme une vraie chienne, en lui caressant ses épaules musclées et son dos, jusqu'à ses fesses. Guillaume gémissait aussi comme un bon salaud qui ramone.
Visiblement, les deux filles étaient devenues rivales, et Sophie tenait la corde. Il faut dire qu'elle avait l'attrait de la nouveauté, alors que Guillaume avait déjà baisé Hélène. Il était conscient de cette rivalité, j'en suis sûr, et il en jouait, en faisant comme s'il avait oublié l'existence de ma femme, nue et en chaleur, à côté. Hélène s'est rapprochée et a commencé à essayer d'embrasser les lèvres de Guillaume pendant qu'il faisait l'amour à Sophie. Ce salaud lui a alors dit "Non, une seule à la fois..." et devant la mine déconfite de ma femme, il a ajouté "Ou alors, ok, je vous baise toutes les deux, mais d'abord tu lèches les nibards de Sophie". Après un instant d'hésitation, Hélène s'est penchée et a commencé à lécher consciencieusement les gros seins de Sophie, avec sa langue complètement sortie de sa bouche. Guillaume, tout en continuant à ramoner la chatte de Sophie, s'est relevé sur les coudes pour mieux profiter du spectacle qui s'offrait à lui. Il se mordait les lèvres, très excité par tout ça. Le clic-clac grinçait à chaque coup de rein de mon pote entre les cuisses de Sophie. L'excitation montait encore, et soudain il a dit, très fort, à ma femme "Allez salope, fais lui lécher ta chatte !!". Hélène s'est exécutée, est montée sur le clic-clac, les cuisses de chaque côté du visage de Sophie, et Sophie, entraînée aussi par l'excitation, s'est mise à lécher la fente de me femme, sous le regard de Guillaume, qui a approché sa bouche aussi et s'est mis à lécher le cul d'Hélène, en continuant a démonter le vagin de Sophie.
Tout ca a continué un moment, sans aucun mot désormais. Je restais derrière la porté, tétanisé, à la fois éperdu d'admiration pour ce mec, et fou de rage et de honte. Au bout d'un moment, après plusieurs moments où les cris des deux filles devenaient tantôt plus aigus, tantôt plus rauques, Guillaume s'est mis à éjaculer dans le vagin de Sophie. Il s'est retiré, et les deux meufs se sont arrêtées de se lécher, docilement : Leur homme avait joui, elles avaient fait leur boulot ! Sophie s'est allongée seule, un peu plus loin sur le clic-clac, un beau sourire au lèvre, et elle a dit "Qu'est-ce que tu fais bien l'amour...". Guillaume n'a pas répondu, il s'est allongé sur le dos, et Hélène, qui a de la suite dans les idées, est venue se blottir dans ses bras, en collant ses gros seins contre lui. Après lui avoir laissé quelques minutes de repos, elle a commencé à lui murmuré des trucs à l'oreille, en lui caressant la queue. Ce mec est vraiment un pilonneur : sa bite s'est remise à durcir immédiatement, et en quelques minutes de caresses, elle était redevenue énorme et hyper rigide !! Sans se poser plus de question, Guillaume est alors repassé sur Hélène, il s'est installé entre ses cuisses, et il l'a pénétrée, comme si c'était parfaitement normal. Hélène s'est mise à gémir, évidemment, pendant que Guillaume se remettait à pilonner dans sa chatte, en lui caressant les cuisses et les seins. De temps en temps, il échangeait des sourires avec Sophie, qui les regardait faire l'amour.
Craignant que Sophie me remarque dans l'entrebâillement de la porte, je me suis reculé et j'ai alors heurté Marc, en caleçon, qui était arrivé par derrière, sans faire de bruit. Je me suis dirigé vers la cuisine, et Marc m'a suivi. Arrivés dans la cuisine, je me suis servi un verre d'eau, pour émerger de ce cauchemar. Marc M'a dit "Putain, ce mec c'est vraiment un serial-baiseur ! Il ramène une fille pour la baiser et ça lui suffit pas, il se tape ta femme en même temps !!! J'aurais bien aimé faire la même chose...". Et il a ajouté "T'as vu les deux paires de nibards !! Enooormes !!!!!". Moi je ne répondais rien, ne voyant pas quoi dire. Il continuait à se marrer tout seul : "Moi j'ai bien baisé Marie, c'est bon, j'suis soulagé là, mais Guillaume c'est vraiment le meilleur... Quel porc de type... Tu trouves pas ? T'es pas mort de honte, là ? T'as la rage d'être cocu ?".
Je ne répondais toujours pas, buvant mon verre d'eau à petites gorgées.
Marc a ajouté "Bon ben moi je sais ce que je vais faire demain..." et devant mon regard interrogatif : "Je vais aller mettre ma bite entre les cuisses de ta femme, c'est clair, elle me fait bander, tu verras ! T'as rien contre, non ?".
J'ai choisi de ne pas répondre, et de retourner me coucher. Pendant toute la nuit, j'ai entendu des gémissements, des murmures, le clic-clac grincer dans le bureau occupé par Guillaume avec Sophie et ma femme. Hélène n'est pas revenue de la nuit. J'ai dormi par intermittence, en me réveillant toutes les demi-heures environ, et j'ai fini par plonger dans le sommeil vers 7 heures du matin.
Quand je me suis réveillé, j'ai entendu Marc dire au revoir à Marie et la porte de fermer, puis Marc venir dans le bureau en passant devant ma chambre. Je me suis levé et je l'ai rejoins : Marc était debout en caleçon et Guillaume, nu, était assis dans le clic-clac, entre ses deux conquêtes qui dormaient nues, le drap tombé par terre. Marc venait de commencer à lui faire des compliments sur ses talents de séducteur, en rigolant grassement. Il s'est à peine retourné quand je suis arrivé. Tout en parlant, Marc caressait du regard les croupes des filles qui dormaient, et sur leurs gros seins. Guillaume avait l'air très à l'aise, et de trouver tout cela normal, il était presque un peu blasé... Ils se parlaient tous les deux, comme si je n'existais pas.
Marc disait à Guillaume "Allez, donne des détails, les deux à la fois, ou l'une après l'autre ? T'es passé d'une chatte à une autre ?". Guillaume donnait des détails : "Ouais, ben des fois l'une après l'autre, et des fois les deux en même temps, ouais...". Marc : "T'as de la chance, elle ont des seins nibards !", et Guillaume "Ouais, Hélène c'est 100 D, et Sophie autant à mon avis, regardes..." et les deux mecs posaient leurs regards en même temps sur les seins de Sophie, toujours endormie, très belle.
Marc demandait "C'est laquelle qui suce le mieux ?", et là Guillaume s'est tourné vers Hélène, endormie, et lui a caressé les fesses, en souriant. Tout était dit.
Ils sont restés tous les deux 5 jours au total, chez nous ; ça a été un cauchemar pour moi, mais un paradis pour eux deux.