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Proposée le 26/02/2010 par membractif
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Ce récit suite aux culottes de tata Francine.
Pris de panique je cachais maladroitement mon sexe hyper tendu derrière mes deux mains.
- c'est pas ce que tu crois tata je....
- Tais-toi !!!
Elle avait presque hurlé cet ordre.
- Tu devrais avoir honte, moi qui te faisais confiance, espèce de dégueulasse...
Rouge de peur et de honte j'essayais de me justifier.
Mais que dire et que faire, j'étais bel et bien pris la main dans le sac ( ou plutôt dans la culotte )
- Sors de ma chambre et va dans ta chambre, j'appelle ton père tout de suite.
La gorge serrée et les yeux rouges, je regagnais ma chambre en tremblotant.
Ma bite avait complètement débandée. Elle était devenue inexistante et terriblement ridicule.
Je restait tout l'après-midi allongé sur mon lit à analyser la situation fixant le plafond comme anéantie.
Mon père allait me tuer c'était clair comme de l'eau de roche !
J'essayais de trouver une explication plausible qui me disculperait mais comment justifier La présence de son fils à poil dans la chambre de sa soeur Francine et de surcroit se caressant dans sa culotte ?
C'était cuit, j'allais dérouiller !
C'est à 20h que tata vint frapper à la porte de ma chambre.
- A table !
Je rejoignais la cuisine le coeur battant.
Tata avait préparé des salades de tomates et du melon en dessert.
Le repas se passa sans un mot. J'avais le nez plongé dans mon assiette.
De temps en temps je regardais tata du coin de l'oeil quand elle se levait pour aller chercher la suite du souper.
J'avais remis un jeans et un T-shirt .
Tata portait une robe à fleurs qui se boutonne sur le devant.
Sa magnifique poitrine tendait le tissu à faire exploser tous les boutons.
Mais j'avoue que ce soir là je n'avais plus l'esprit à fantasmer sur tata Francine.
J'avais la trouille.
- tu as eu papa ?
Je n'en pouvais plus d'attendre, de toute façon perdu pour perdu je tentais le tout pour le tout
- Tu lui a raconté ?
Tata me regarda droit dans les yeux.
Je lisais encore de la colère dans son regard mélangée à une drôle de lueur .
- Qu'est-ce qu'il t'a pris mon poussin ?
Elle venait de m'appeler "mon poussin" et bizarrement je me sentis moins stressé.
- je sais pas.
J'avais baissé la tête et j'attendais la sentence.
- Non j'ai pas encore appelé ton père, je le ferais demain.... peut-être !
Le "peut-être" était venu après un long silence.
Je relevais la tête et je prenais ma tête de chien battu.
- s'il te plait ne l'appelle pas !
La suite est encore aujourd'hui un peu confuse dans mon esprit.
Ma serviette tomba par inadvertance entre mes jambes, je me baissais pour la ramasser quand je m'arrêtais net dans mon élan capturé par une image furtive mais pourtant bien réelle.
Tata Francine assise à l'autre bout de la table en face de moi avait les jambes largement écartées et je pus l'instant d'une fraction de seconde contempler son entre-jambe offerte à mon regard.
- Qu'est qu'il y a ? t'es tout rouge, elle est pas bonne ma salade ?
Cette fois ce n'est plus de la colère que je lus dans ses yeux mais comme une forme de malice qui me rendit sur le coup mal à l'aise.
Elle esquiva même un sourire. Comme une sorte d'encouragement...
Alors comme un automate je m'essuyais les lèvres et laissais retomber ma serviette au sol pour replonger sous la table et la ramasser.
Cette fois je pris beaucoup plus de temps avant de me redresser et pour cause....
Tata Francine avait toujours ses deux jambes écartées à l'extrême ( d'une façon qui ne pouvait pas être naturelle ) et sa main droite vint se poser sur sa cuisse qu'elle caressa négligemment.
Tata avait une culotte blanche presque transparente et je pouvais voir l'opulente toison noire sous le fin et dérisoire tissu en dentelle.
Je ne sais pas combien de temps je suis resté sous la table, fasciné, hypnotisé par ce spectacle...
Je pouvais même deviner les deux grosses lèvres de la chatte de tata baillant sous l'étoffe du minuscule slip dont curieusement le fond était légèrement mouillé.
-Tu reveux du melon ?
Je me redressais rapidement mal à l'aise comme perdu dans mes pensées.
- je... Non... mais... euh !...
- Qu'est ce que tu fais sous la table ?
- je...
- Tu regarde sous ma robe c'est ça ? elle te plait ma culotte ?
- Non... Enfin oui... Je...
Tata me foudroya du regard, un regard de braise presque insupportable à soutenir.
Elle porta sa serviette à sa bouche et la laissa tomber à ses pieds.
- Ramasse ma serviette s'il te plait !
J'hésitais à replonger sous la table mais son hochement de tête approbateur m'ôta toute retenue.
Je redescendais non pas en enfer mais au paradis.
Tata Francine commença à se frotter la chatte du bout des doigts en s'attardant plus longtemps sur le haut de sa fente qui se distendait sous la pression de sa paume.
Son bassin ne tarda pas à faire des allers et venus sur sa chaise quand sa deuxième main plongea sous la culotte.
J'entendais sa respiration se faire plus insistante et plus saccadée.
Alors je ne pus m'empêcher de sortir mon sexe tendu à l'extrême de mon pantalon.
C'était surréaliste, tata Francine se caressait devant moi et même si je ne pouvais pas voir son visage, je devinais ses traits au souffle rauque qui s'échappait de sa poitrine.
Ma main coulissa sur ma queue d'un geste décidé et impatient.
Je fis quelques aller-retours et j'éjaculais dans la serviette que tata avait laissé tomber.
Je ne sais pas si tata Francine a joui mais sa main presque entièrement enfoncée dans sa chatte fut prise de tremblements et un "oh putain ! " claqua dans le silence de la cuisine.
Voilà, je mentirais si je vous racontais que j'ai fait l'amour à tata Francine ou qu'elle m'a initié aux plaisirs de la chair.
Je ne l'ai même pas touché !
Ce soir là nous nous sommes couchés comme d'habitude en évitant de croiser nos regards.
Je crois qu'elle était terriblement gênée.
Le lendemain mon père venait me récupérer et je rejoignais la capitale.
Tata Francine ne lui avait rien dit bien entendu et arrivé à Paris je trouvais dans ma valise le plus formidable des cadeaux qu'on puisse faire à un jeune puceau de 15 ans...
Les culottes de tata Francine !