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Proposée le 21/02/2010 par Talis Cat
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Cela durait depuis plusieurs mois maintenant. J'allais souvent chez elle. J'avais envie d'elle. Terriblement. Mais je n'osais pas. Pourtant cela me semblait réciproque. Elle avait parfois des poses provocantes. Et puis sa façon de m'embrasser quand j'arrivais et repartais... Juste au coin de la lèvre, presque un baiser d'amoureux. Parfois je tentais de la toucher. Une main sur la cuisse, sur les fesses même parfois. Elle ne disait rien, faisait semblant de rien. Peut-être était-ce un signe qu'elle voulait plus ? Ou alors juste qu'elle s'en fichait, que je n'étais qu'un ami à ses yeux. Aujourd'hui encore ça recommençait. Nous parlions tranquillement. Mais je sentais une tension. Ou bien je l'imaginais. Cette façon de passer sa main dans les cheveux... Elle ne faisait jamais ça en public ou même quand nos autres amis étaient là. Ca aussi je l'imaginais ? Au milieu de la conversation elle a eu une phrase bénigne :
"- Ces nouvelles chaussures me font mal au pied... Je me demande si je ne devrais pas les changer !"
Puis elle en à ôté une et à commencer à se masser le pied. Si on m'avait dit que je banderais un jour à la vue d'une cheville j'aurais ri. Et pourtant... Alors j'ai pris mon courage à deux mains. Je me suis agenouillé près d'elle et j'ai délicatement saisi son pied en disant :
"- Laisse-moi faire."
Je n'osais pourtant la regarder, de peur de lire de la réprobation dans ses yeux. Mais je l'ai senti se détendre sous mes doigts. Puis elle a posé son pied sur mon épaule et m'a présenté l'autre. J'ai enlevé lentement sa chaussure, comme un cadeau qu'on déballe. Je savourais la vue de son pied délicat. Je m'attendais à une réprimande, à ce qu'elle me demande ce que je faisais. Mais elle restait silencieuse. J'ai enfin levé les yeux. Elle avait la tête appuyée sur sa main et un petit sourire en coin. Un instant j'ai cru qu'elle se moquait de moi mais son sourire est devenu plus franc, plus coquin aussi. Alors je lui ai retourné puis j'ai commencé à masser son pied. Bien vite mes mains se sont glissés sous son pantalon, massant son mollet. Je l'ai entendu soupiré. Je l'ai regardé de nouveau. Elle fermait les yeux. Ses joues étaient rosies et ses lèvres entrouvertes laissaient deviner son souffle court. Je me senti frustré. Tout ce temps perdu... Mais cela ne rendait ce moment encore plus délicieux. J'embrassais son pied et je sentis l'autre pied m'appuyer sur l'épaule, se crispant légèrement. J'ai doucement déposé ses pieds au sol. Elle a écarté légèrement les cuisses et je me suis glissé le long de son corps. J'étais au dessus d'elle. Je regardais son joli visage qui irradiait de désir. Elle a ouvert les yeux puis m'a souri en passant ses bras autour de mon cou. J'ai murmuré en passant ma mains dans ses cheveux bouclés :
"- Tu es belle..."
Pas de réponse. Juste ses yeux. Des yeux qui m'appelaient. J'ai continué :
"- Je t'aime."
Elle n'a pas répondu. Allait-elle me rejeter ? Elle m'a embrassé. Un petit baiser. Sans la langue ni rien. Juste nos lèvres qui s'effleurent. Mais un baiser passionné malgré tout. Je l'ai embrassé plus fort. Elle m'a serré contre elle. Quand nous nous sommes enfin séparés nous étions à bout de souffle. Elle a parlé à son tour. Une simple phrase qui m'a bouleversé :
"- Prend-moi."
J'ai balbutié :
"- Je... Maintenant ? Déjà ?"
Un sourire :
"- Tu ne crois pas que ça fait suffisamment longtemps qu'on se tourne autour ?"
"- Oui... Mais... Enfin..."
Elle m'a juste regardé. Alors je me suis redressé. Puis je me suis agenouillé entre ses jambes. Elle a ôté son haut, révélant un soutien-gorge qui mettait fort bien en valeur sa belle poitrine. J'ai délicatement frôlé l'étoffe. Elle a dégagé un de ses seins en souriant. Elle a tourné autour de son mamelon sans me quitter du regard. Je me suis penché et je l'ai tété. J'avais l'impression de goûter un mets savoureux. J'ai commencé à lutter avec sa ceinture. Je bataillais, commençais à perdre patience. Elle m'a gentiment poussé et l'a détaché d'un mouvement fluide et gracieux. J'ai rougi en détournant la tête. J'ai bafouillé :
"- Je... Désolé..."
Elle a ri. Puis elle dit avec douceur :
"- Pas grave, j'aime bien ton petit côté maladroit..."
J'avais envie d'elle. Sans comprendre je me suis jeté sur elle et je l'ai fougueusement embrassé. Ma main pétrissait sa poitrine. Puis j'ai repris mes esprits. Je me suis reculé. J'étais affolé, ma main toujours sur sa poitrine. A nouveau j'ai balbutié :
"- Je... Ca ne va pas... Je..."
Elle m'a caressé le visage. C'était si doux... J'ai fermé les yeux. Sa voix aussi était douce quand elle a dit :
"- Ne t'inquiètes donc pas. J'ai confiance en toi. Ce n'est pas grave si tu t'emballes ou si tu fais mal les choses. C'est toi que je veux. Pas un quelconque acteur porno pro du sexe."
J'en aurais pleuré. J'ai juste dit :
"- Merci..."
Puis je me suis penché sur elle pour l'embrasser à nouveau. Tendrement cette fois. Nos langues s'emmêlaient doucement. Enfin j'ai ajouté :
"- Mais je veux te faire jouir..."
Elle a eu un sourire moqueur et elle a répondu avec un air malicieux :
"- Ca tombe bien : je comptais jouir aussi..."
Ses mains sont passées sous mon pull pour me caresser le torse alors que nous nous embrassions à nouveau. Mes doigts se sont posés sur sa culotte. Je sentais déjà une légère humidité. Je me suis redressé quelques instants pour ôter mon pull puis je l'ai embrassé à nouveau en glissant mes doigts sous la fine étoffe moite. J'ai caressé ses lèvres intimes. Elle s'est tendue vers moi. J'ai alors commencé ma descente. Le creux de son cou. Le vallon de ses seins. Le téton resté emprisonné que je libérais enfin. Puis son ventre, son nombril... Je tirais son pantalon sur ses genoux. Quelques secondes de flottements. Puis sa culotte. Elle souffla un long 'Oui...' en se mordillant le doigt. Je glissais le mien dans sa fente désormais offerte. Elle rabattit ses jambes sur elle, les maintenant contre sa poitrine. L'accès à son sexe en était rendu difficile mais cela ne m'excita que plus. Je posais mes lèvres alors que mon pouce cherchait son clitoris. Je suçais doucement les pétales de sa fleur. Puis je pris délicatement son clitoris entre mes lèvres avant de l'aspirer. Elle serra ses jambes plus fort en poussant un gémissement. Elle était trempée désormais. Je pouvais la faire mienne quand je le voulais. Mais je souhaitais attendre encore, retarder ce moment que j'avais tant attendu. Je dégageais malgré tout mon sexe qui commençais à se sentir à l'étroit. Puis je me reculais. Ses jambes retombèrent de part et d'autre de mon corps. Je m'attelais à descendre son pantalon alors qu'elle ôtait son soutien-gorge. Je la laissais les chevilles prisonnières de ses vêtements et enjambais le jean pour me placer face à elle. Elle fixa ma verge avec un air gourmand. Je jouais avec son pubis puis me colla à nouveau à elle. Ma hampe frottait son ventre, mes mains caressaient ses seins, les siennes mon torse, mes épaules, ma nuque. Nous nous embrassions fiévreusement. Je me relevais légèrement. Nous sommes restés les yeux dans les yeux un long moment. Puis j'ai senti sa main sur mon sexe. Elle m'a caressé. Puis je l'ai vu disparaitre lentement de mon champ de vision. Mon sexe caressait son corps. Elle marqua une pause quand il fut entre ses seins, les serrant et masturbant mon membre entre eux. Puis elle fini son voyage et m'avala. Je poussais un long soupir :
"- Oh oui... Suce-moi, ma belle..."
J'avais envie de la pilonner, de lui baiser la bouche. Mais je me suis retenu. Je ne voulais pas l'étouffer, je ne voulais pas gâcher cet instant d'éternité où ses lèvres s'occupaient tendrement de ma verge tendue. Puis elle est remontée tout aussi lentement, me laissant savourer le contact de mon sexe sur sa peau. Elle me sourit et je répétais :
"- Je t'aime..."
Elle prit un air taquin en répondant :
"- Tu aimes surtout ce que je te fais..."
"- Tu sais que c'est faux."
"- Oui. Moi aussi je t'aime."
Un échange de regard brûlant, un fougueux baiser et nous étions à nouveau loin de toutes ces considérations : seul le plaisir comptait. Le plaisir d'être ensemble. Le plaisir de jouir ensemble. A nouveau elle saisi ma hampe. Mais cette fois elle la dirigea en elle. Je me laissais aspirer puis m'enfonçait plus profondément encore en disant dans un soupir :
"- Oh mon Dieu... C'est délicieux... Je pourrais mourir après ça..."
Je commençais alors à bouger en elle. Elle ahanait en répondant :
"- Ne meurt pas tout de suite... Fais moi jouir d'abord..."
Puis elle m'a serré fort. Sa tête était sur mon épaule. Elle soupirait, gémissait, murmurait mon nom. Je restais silencieux, tentant de retarder l'échéance que je sentais venir. Enfin je fini par dire, à bout de souffle :
"- Je... Je vais jouir..."
"- Fais moi goûter alors."
"- D'acc... D'accord."
Je voulu sortir mon sexe mais je sentis qu'il était trop tard. Je donnais alors trois violents coups de rein et me libérais en elle dans un râle. Elle gémit. Je restais tendu au dessus d'elle. Je sentais son poids sur mon cou. Je fini par dire, piteux :
"- Désolé... Je n'ai pas réussi à me retenir. Tu n'as même pas joui..."
Elle me caressa les cheveux et me glissa à l'oreille :
"- Ce n'est pas fini... J'ai beaucoup aimé tes doigts... Et ta langue... Tu penses que tu pourrais finir ce que tu as commencé ?"
Elle relâcha mon cou et je la regardais avec un sourire. Je me sentais vidé mais je voulais lui offrir ça. Je suis alors descendu le long de son corps sans que nos regards se quittent. Puis j'ai commencé à doucement la lécher, la doigter. Elle s'est mise à gémir, à se caresser la poitrine en m'appelant à nouveau. Puis elle a fermé les yeux, s'est cambrée... Et elle a joui...