Marquise des songes...

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Proposée le 19/02/2010 par cosmoboy

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Ce soir là j'étais rentré tard du boulot après une bonne grosse journée bien stressante. j'étais lessivé et n'avais qu'une envie, m'allonger dans un bon bain chaud pour me prélasser. Après avoir fait un petit bisous à ma chérie, je me suis précipité dans la salle de bain pour me détendre dans ce bain tant désiré. Quel régal de somnoler dans l'eau chaude pendant des heures... Comme je m'était précipité dans la salle de bain sans prendre le temps t?emporter des changes, une fois le bain terminé, je suis sorti de la salle de bain dans le plus simple appareil pour aller chercher de quoi me mettre quelque chose sur le dos. c'était l'hiver il faisait froid dans la maison et d'être resté si longuement sous cette chaleur pendant des heures contrastait fortement avec la fraicheur des autres pièces que je traversais donc à vive allure.

Quel stupeur en ouvrant la porte de la chambre ! La pièce était très légèrement éclairée à l'aide de quelques bougies disséminées ça et là, et au fond une femme dont je distinguais à peine la silhouette était assise sur une chaise. En m'approchant un peu, je vis cette femme, jambes croisées qui me faisait signe d'avancer. Elle était vêtue tout en noir. Une longe paire de bottes en cuire, recouvrant à son tour des bas résilles laissant largement entrevoir la blancheur de la peau. En remontant les yeux le long de ses cuisses, elle portait une mini jupe toujours aussi sombre surmontée d'un corset très serré contenant avec difficulté une poitrine opulente et gorgée du désir de s'en évader. En continuant de remonter plus haut, je vis qu'elle portait un tour de coup en dentelle noire jonchée d'une pierre d'ambre montée en pendentif et enfin un loup en velours dont le contour était aussi en dentelle. j'étais comme pétrifié devant la situation que je n'avais pas envisagée un instant plus tôt en ouvrant la porte et restai une minute bouche bée, comme figé sur le pas de la porte. La femme insista en faisant un geste avec son index et me dit alors d'une voix ferme et décidée : « Avance ! »

d'un pas fébrile, je me suis avancé vers cette femme qui semblait savoir ce qu'elle me réservait. Arrivé à sa hauteur, elle me demanda fermement de m'agenouiller devant elle qui était toujours assise, les jambes croisées. Elle posa alors ses jambes sur mes épaules, et remonta délicatement et lentement sa mini jupe en cuir mettant ainsi à nue sa vulve nette et blanche bien ouverte qu'entrebâillait deux belle lèvres rosées. Elle me dit alors:
« Ce soir c'est la marquise qui décide. »
« Lèche moi ! »

Je m'exécutai alors en commençant d'abord par lui lécher les lèvres, à les aspirer une à une, la tête penchée sur le coté pour en avaler le plus possible, glissant par moment ma langue toute entière dans son vagin aidé par l'aspiration que j'exerçais sur sa lèvre gauche. Elle mit ensuite ses mains autour de ma tête pour utiliser ma langue et ma bouche sur les partie de sa vulve qu'elle souhait voir embrassées, léchées mordillées tout en m'invectivant:
« T?aime ça petite salope, me lécher comme une chienne. »

Pendant que je continuais à la lécher abondamment, elle me banda les yeux.

« Maintenant debout, et met toi à 4 pâtes ici! » Elle me guida sur le lit et me fit me mettre en position. Je ne voyais rien mais j'entendais alors le bruit de ses talons sur le sol tourner autour du lit comme pour réfléchir tranquillement aux supplices qu'elle allait me faire subir. j'étais à sa merci, un vulgaire objet dont elle avait bien l'intention de se servir à sa convenance.
« Alors comme ça t?es une petite cochonne qui n'a pas été sage ? Tu mérites une punition ! On dit oui Marquise ! » Et à peine terminée cette phrase, une claque cinglante sur les fesses me fit sursauter.
« Oui Marquise !»

La marquise : « Aussi tu mérite une jolie correction. »
Pas le temps de répondre que le deuxième coup se fit sentir. Elle enchaina tantôt les claques sur mes fesses, tantôt les caresses douces et délicates. c'était imprévisible et bientôt mon postérieur devint rouge et très sensible.
La marquise s'arrêta alors et quitta la pièce un instant. J'étais toujours en position, attendant avec une angoisse jouissive la suite qui m'était réservé... Au bout d'une minute interminable j'entendis ses talons s'arrêter près de moi sur mon coté. tout à coup, je sentis un fort pincement sur mon téton droit. Cette délicieuse douleur n'avait pas atteint son paroxysme que je ressentis soudainement le même pincement de l'autre coté. La Marquise venait de mettre en place deux pinces à linge sur chaque de ces deux extrémités sensibles mettant le feu à tous mes sens déjà bien éprouvés.

« Tu aime ça petite trainée » Chuchota alors la marquise dans le creux de mon oreille qu'elle me mordilla au passage.
« Oh oui Marquise ! ».

Continuant à tourner autour de moi, elle vient se mettre derrière moi et recommença à me gifler les fesses de plus belle. Puis brusquement, elle s'empara de ma queue en passant sa main entre mes jambes et d'un coup de langue appliqué remonta lentement de ma queue jusqu'à mon anus. Tout en continuant à tirer sur mon sexe comme sur un pis de vache, elle se lança alors dans une danse avec sa langue sur mon anus pendant cinq bonnes minutes, tantôt en tourna au dessus, tantôt en la glissant à l'intérieur, me faisant pousser de petit cris de jouissance qu'elle réprimait aussitôt en tirant de plus belle sur ma queue endolorie.

Après s'être copieusement occupée de mon postérieur, la marquise fit lentement le tour et me dit : « Ouvre la bouche petite salope ». A peine ouverte, elle me glissa au fond de celle-ci une grosse queue en plastique avec un mouvement de va et vient incessant. « Tu suce bien ma salope; t?aime ça avoir ma grosse queue dans ta bouche ?! Hein t?aime ça ?... T?aimerais ça que je te l'enfonce dans le cul ?! ». Elle se retira lentement, et repassa très lentement derrière moi en laissant effleurer un doit en continue de mes lèvres à ma nuque puis sur mon dos pour finir sur mon anus encore bien humide des précédents coup de langue de la marquise. « Mais tu mouilles ma cochonne. » Ajouta-t?elle avant d'engloutir son doigt tout entier dans mon anus. après quelques brefs vas-et-vient, elle retira son doit le faisant immédiatement précéder par son gode ceinture, ne laissant pas le temps à mon anus de se refermer. Elle le rentra alors lentement jusqu'à ce qu'il soit entièrement avalé par ce dernier. Après quelques secondes d'immobilisme elle entreprit un doux va et vient qu'elle accéléra par palier. Tout en me claquant les fesses, elle allait maintenant très vite et très fort dans mon ventre, me bousculant à chaque coup de rein de telle sorte que les pinces à linge toujours présentent sur mes mamelons dansaient littéralement à sa mesure. Chaque coup de rein était donc ainsi accompagné d'une douce décharge électrique que provoquait leurs balancements frénétiques.

Enfin, la marquise se retira de mon anus lentement. « c'est bien ma belle. » me dit elle alors, « Tu as été bien docile, je vais te donner une récompense. ». Au bout de quelque secondes je fus surpris par la fraicheur d'une sorte de lanière humide et fraiche sur mon dos, puis une autre, et encore. Je n'avais pas idée de se qui se tramait alors. La Marquise était en train d'éplucher un concombre tout juste sorti du frigo au dessus de mon dos. Quand elle eu fini, elle présenta le légume entièrement épluché et gorgé d'eau sur mon anus en le faisant tourner sur lui même. Bien trop vite il céda et s'engloutit profondément dans mon ventre. C'était surprenant de douceur et de fraicheur. La marquise se coucha alors entre mes jambes, avala ma queue et continua avec le légume langoureusement jusqu'à ce que j'explose dans sa bouche en une quantité intarissable de sperme difficilement contenue jusque là dans mes bourses qu'elle malaxais soigneusement comme pour ne pas en perdre une seul goute.

Voila comment je fis ma première rencontre avec cette délicieuse Marquise que j'espérais revoir bien vite.