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Proposée le 18/02/2010 par cosmoboy
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Cette nuit là, il faisait très chaud, c'était l'été de la canicule et aussi nous dormions les fenêtres ouvertes pour chercher la fraicheur. Nous habitons dans notre une petite maison de plein pied reculée du reste des autres habitations d'un petit village de province. Ma femme et moi étions tout deux nus, allongés dans le noir sur le matelas. Je n'arrivais pas à dormir avec cette chaleur, impossible de fermer l'oeil, ma femme elle devait dormir depuis déjà deux bonnes heures quand une vive lumière blanche illumina la chambre une fraction de seconde.
Une dizaine de seconde plus tard, un grondement sourd et lointain retentit. Un orage ! Enfin un peu de fraicheur !
Je comptais les secondes m'indiquant la distance et la rapidité avec laquelle il se rapprochait. Chaque éclair illuminant la pièce de plus belle, me laissant admirer les courbes de ma femme allongée à coté de moi. Cette lumière blanche et crue renforçait l'envoutante pâleur de sa peau moite qui perlait légèrement sous l'effet de cette chaleur étouffante. Chaque flash illuminait sa poitrine par un jeu d'ombres faisant ressortir le grain de sa peau autour de ses mamelons. J'avais très envi de lui faire l'amour. Mais je n'osais pas la réveiller; elle qui avait fini par trouver le sommeil dans cette fournaise. Tout à coup, de grosse goutes commencèrent à tomber; l'orage était maintenant bien plus proche et un coup de tonnerre puissant fit sursauter ma femme qui maintenant était bien réveillée. Je l'embrassai sensuellement puis il me vint une idée que je n'eus pas l'intention de laisser inexploitée... "Je reviens !" lui murmurais-je au creux de l'oreille. Je suis alors allé chercher un foulard dans l'armoire puis retournai me coucher à coté d'elle. Je la fit s'assoir et lui dit:
« Ferme les yeux. »
« Qu'est ce que tu mijotes ? » me demanda-t?elle avec un ton coquin qui en disait long sur son désir.
« A partir de maintenant tu ne dis plus un mot. »
Je lui nouai alors le foulard autour du visage de sorte qu'elle ne se doute de rien.
Une fois fait je l'aidai à se lever du lit et l'emmenai lentement jusqu'à la baie vitrée donnant sur le jardin.
L'orque j'ouvris la porte, une grande bourrasque rafraîchissante nous effleura tout le corps. La pluie tombait maintenant très abondamment. A peine le seuil de la porte franchi, une lourde pluie tiède nous caressa le corps. C'était très agréable de sentir ces lourdes goutes venir claquer puis ruisseler sur nos peaux nues.
J'emmenai ma femme au milieu du jardin en me plaçant derrière elle, lui tenant les mains de chaque coté. Une fois arrivé en plein milieu, je lui levai les bras, paumes tournée vers le ciel et lui lâchai les mains de sorte qu'elle n'ait plus aucun contact physique avec moi. Je lui dit alors: « Tu es folle de te promener ainsi nue en pleine nature au beau milieu de la nuit, on pourrait te voir à chaque éclair, il pourrait bien t'arriver des bricoles.» Je repris alors ces mains pour les joindre dans le dos avant de les lui attacher avec un autre foulard que j'avais pris soin d'emporter avec moi, puis partis installer deux chaises longues de jardin que je disposai cote à cote.
Au bout d'une minute qui dut lui en paraître dix, je revins vers elle qui était alors à la merci de n'importe qui, nue au beau milieu du jardin. Je me suis mis derrière elle sans un mot et lui posai une main sur son nombril et remonta lentement jusqu'à ses seins fermes sur lesquels trônaient ses tétons durs d'excitation et d'angoisse. Ma deuxième main vint alors étreindre le deuxième sein que je malaxais maintenant à plaine main. Je pouvais sentir son coeur qui commençait déjà à s'emballer. Je fis alors le tour prenant soin de ne faire aucun bruit et cette fois c'est ma langue qui fit le même trajet. Lui léchant abondamment la poitrine, suçant et mordillant ces mamelons rosés que chaque flash lumineux faisait ressortir avec la pâleur de sa peau. Tout en prenant soin que ma langue ne quitte pas sa peau je descendis jusque à son clitoris sur lequel je m'attardai un peu avant de passer tout aussi assidument à ses lèvres bombée de plaisir et d'excitation. En levant les yeux je la vis se mordre la lèvre de plaisir. Qu'elle vision excitante de la voir ainsi vulnérable et excité.
Je me suis ensuite repositionné derrière elle, l'ai empoignée et conduite jusqu'aux chaises longues tout juste installées. Je l'ai installée dessus, un genou posé sur chacune des chaises, les épales contre chacun des accoudoirs se trouvant au centre. Elle était donc maintenant à quatre pattes, toujours les yeux bandés, et les mains liées dans le dos.
Le pluie qui tombait toujours aussi fort venait frapper son dos et descendait dans le creux de ses reins avant de s'écouler dans la fente que formait ses fesses rebondis offerte au premier venu.
La laissant tout d'abord ainsi seul apprécier l'incongruité de la situation, j'entrepris alors de lui lécher l'anus en faisant tourner ma langue avec délectation sur l'orifice ainsi offert. Sa peau était maintenant fraîche et la chaleur de ma langue s'en faisait d'autant mieux ressentir. Puis j'ai empoigné ma longue queue raide que j'ai approchée de l'entrée de sa vulve. Tout en la saisissant fermement je me suis mis à la faire décrire de petits cercles comme pour l'entrouvrir délicatement. C'est quand ca chatte fut bien ouverte que d'un coup de rein sec, ma queue est venue lui remplir le ventre, lui faisant pousser un cris d'extase incontrôlé. J'étais maintenant en train d'aller et venir dans sa vulve sans compromis. Allant jusqu'à la sortir complètement ou presque pour mieux l'enfoncer jusqu'au bout, laissant ainsi claquer mes bourses contre son clitoris. Quand je senti qu'elle n'allait plus tenir longtemps, je me suis retiré et ai entrepris de nouveau de lui lécher l'anus tantôt à sa surface et tantôt la laissant rentrer telle une lame dans son fourreau. Qu'en j'en eu terminé j'ai présenté mon gland sur son anus et suis rentré lentement en elle. Elle dégoulinait littéralement de plaisir si bien que de grands fils baveux dégoulinaient de ses lèvres et le long de ses cuisses. Une main posée sur sa nuque, l'autre empoignant tant bien que mal un seins tout juste accessible sous l'accoudoir, peu de coup de rein nous suffirent pour jouir ensemble de cette étreinte bestiale.
Comme pour signifier que c'était terminé, la pluie c'est alors presque arrêtée. J'ai délivré ma prisonnière de ses liens puis nous nous sommes embrassés tendrement avant de retourner ensemble finir la nuit sur ce voluptueux ébat charnel...