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Proposée le 17/02/2010 par Marc Paul
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18H30, j'en ai marre, je décide de rentrer et de travailler chez moi pendant la soirée. Célibataire, il m'arrive souvent de faire cela. Après un bain et un repas, je suis toujours plus efficace. En arrivant chez moi, je constate que j'ai oublié un document important au bureau. Impossible de faire quoi que ce soit sans ce fichu document, et il faut que j'ai terminé pour demain matin. Avec l'aller et le retour, une heure de fichue. Heureusement à cette heure la, les embouteillages seront moins important. A 19H30, me revoici sur le parking au pied de la tour qui héberge nos bureaux. Dans le hall le gardien est seul. Son collègue doit être en train de faire une ronde. Il me connait et me salue d'un signe de la main sans rien me demander. L'ascenseur, 7eme étage, je tape le code sur le digicode. La porte se déverrouille avec juste un petit claquement. Je rentre. Le couloir est seulement éclairé par les lumières de sécurité et par la lumière du bureau de Lise qui passe par la porte entrebâillée. Je souris intérieurement. Lise a du partir en vitesse en oubliant d'éteindre et de fermer sa porte.
Je m'approche et j'entends des bruits étouffés. Un peu surpris, même inquiet car je crains un cambriolage, j'avance silencieusement et je jette un coup d'oeil. Le spectacle que je découvre me laisse pantois. Je m'attendais à tout sauf à cela.
Lise est en train de se faire baiser par le gardien. Elle est appuyée sur son bureau, la jupe relevée sur le dos et son amant est debout derrière elle, le pantalon sur les chevilles. Il la défonce tranquillement, ses mains bien agrippées aux hanches de ma collègue. Je matte un peu ce spectacle improbable et fait quelques photos avec mon téléphone. Si cela m'étonne à ce point, c'est que j'étais loin de penser que Lise soit comme cela. Bien au contraire.
Lise est une collègue sympathique mais elle est connue pour être une catho pratiquante, pas vraiment coincée mais pas réellement la fille qu'on a envie de draguer. Non pas à cause de son aspect, mais simplement parce que l'on sait d'avance que ce sera sans espoir. Effectivement Lise est plutôt bien faite, 35 ans environ, un corps mince qui a gardé ses formes malgré ses 4 enfants, des jambes fines, une poitrine ferme bien qu'un peu menue. Seul son visage est rendu un peu disgracieux par une bouche trop grande et des traits un peu durs que l'absence de maquillage ne permet pas d'adoucir. Elle est toujours habillée avec élégance mais très stricte et sans jamais aucune fantaisie. Bref je n'ai jamais eu envie de la draguer présumant que je n'avais aucune chance.
Je mate encore un peu les deux amants, puis je continue silencieusement le couloir en direction de mon bureau. J'ouvre et je referme la porte toujours sans bruit. Je récupère le document que je venais chercher et je m'assois sur ma chaise pour réfléchir à ce que je vais faire.
- Partir très discrètement et garder cela pour moi serait une bonne solution mais j'aimerais bien profiter de la situation. Avoir vu Lise se faire sauter comme une salope m'a excité et surtout m'a fait voir que je pourrais avoir espoir de la mettre dans mon lit.
- Rentrer dans le bureau pour interrompre les ébats de ma collègue risquerait de la mettre dans une situation très désagréable qui ne me servirait pas plus.
J'opte pour une solution plus intermédiaire. Je vais ouvrir légèrement ma porte pour mieux entendre quand ils auront terminé. Au bout de quelques minutes, des gémissements et des râles m'indiquent que leurs ébats sont arrivés à une conclusion. j'attends encore quelques minutes et je sors naturellement de mon bureau, et je vois au milieu du couloir, Lise et le gardien qui s'embrassent tendrement avant de se séparer. Dès qu'ils se sont rendus compte de ma présence, ils se sont décollés l'un de l'autre brutalement, mais ils se sont bien rendu comte que je les avais vus. Très naturellement, je passe à coté d'eux pour me diriger vers la sortie en lançant un "Bonsoir" à la cantonade. L'ascenseur n'avait pas bougé, la porte s'ouvre dès que j'appuie sur le bouton d'appel, quelques secondes plus tard je suis dans le hall.
Deux mots avec le gardien, et je sors sur le parking. Au moment de monter dans ma voiture, j'entends des bruits de pas précipités et Lise qui m'appelle :
"Marc, Marc, attends-moi !"
Je me retourne
"Ah, c'est toi, Lise...
Tu as deux minutes, je peux te parler ?
Oui, montes..."
Elle s'installe dans la voiture. Comme elle était en métro, je lui propose de la raccompagner chez elle, elle accepte.
"Je ne pensais pas que tu étais encore au bureau, je t'avais vu sortir il y a un bon moment.
Ouais, je voulais bosser chez moi ce soir et comme j'avais oublié un truc, je suis revenu...
... Et tu m'as vue dans mon bureau ?
Ben oui, désolé...
... Et tu en penses quoi ?
... Rien tu es libre, simplement c'est pas très prudent de faire ça au bureau... Avec le garde en plus, c'est un coup à vous faire virer tout les deux. Mais bon tu es libre... Entre nous, je te considérais comme une fille bien sage... Même un peu coincée... C'est marrant comme on peut se tromper. Je n'en parlerais pas...
... T'es sympa, j'ai confiance en toi... Tu sais, je peux bien te faire la confidence, je suis un peu accro au sexe. Mon mari ne me baise pas beaucoup et je suis en manque... Un soir que tout le monde était parti, je me caressais dans le bureau quand le garde est entré, il faisait sa ronde. T'imagines, il m'a trouvé les deux pieds sur le bureau... Il m'a carrément sauté dessus. Il ne m'a pas violée parce que j'en avais envie mais il a été brutal, ... Enfin non ce n'est pas le bon terme... Je dirais... Dominateur, j'ai vachement aimé et en plus il y avait le coté dangereux... Le risque qu'on nous voit. C'était il y a deux mois. Depuis on se voit à peu près une fois par semaine..."
Je décidais de tenter ma chance.
"Hummm, je vois... En fait tu es une coquine... Mais si tu veux, toi et moi on pourrait passer des moments agréables ensemble, qu'en penses-tu ?
.... Je ne sais pas, tu me plais physiquement... Mais avec toi...
C'est quoi qui te gène, le fait qu'on soit collègues ?
... Ben oui, surtout que les autres remarquent quelque chose... Et cancanent. Avec le garde au moins j'ai pas ce risque là."
Elle n'avait pas dit "Oui" mais au moins elle ne refuse pas. J'avais mis dans mes paroles suffisamment de menaces masquées pour qu'elle se sente un peu coincée. J'avais encore les photos sur mon portable... J'espérais ne pas avoir à m'en servir. D'autant plus que Lise se montrait sous un jour nouveau, elle appréciait en plus d'être dominée et cela m'excitait.
"... Boff, on peut très bien ne rien changer au bureau... Quand est-ce que tu pourrais te libérer ?
... Le samedi après-midi, mon mari garde les enfants pendant que je vais faire des courses... Et en fin d'après-midi je vais à la messe.
Super, je te laisse plus d'une semaine, je te donne mon adresse et je t'attends samedi prochain vers 14H. Soit tu viens, soit tu ne viens pas... Tu es libre. Jusque là, tu pourras voir si mon attitude change avec toi au boulot. D'accord"
Nous sommes maintenant devant chez elle. J'arrête la voiture, elle descend sans répondre à ma question.
Les jours qui suivent se passent comme d'habitude. Je m'applique à ne rien changer avec Lise. Elle a paru un peu gênée le lendemain mais dans la semaine qui a suivi elle s'est détendue.
Vendredi soir, c'est demain que je saurais si Lise accepte ou non ma proposition. Il est 18h quand j'entends Lise quitter son bureau. Quelques minutes plus tard, je reçois un mail de Lise, elle l'a envoyé juste avant de partir. Je l'ouvre, le texte dit seulement "A demain".
Le vendredi soir, je réfléchis à ce qui va se passer le lendemain et le samedi matin, je fais quelques achats pour l'après-midi.
Il est presque 14h, le samedi, je suis sur mon balcon depuis quelques minutes quand j'aperçois Lise qui sort de la station de métro au coin de la rue. Elle n'a pas changé sa tenue vestimentaire de bourgeoise un peu coincée. Elle marche lentement, va-t'elle renoncer au dernier moment. Je m'amuse à penser que sous ce sage tailleur gris à la jupe mi-longue se cache une belle petite salope.
Elle entre dans l'immeuble, je vais avoir bientôt la réponse à ma question. Je regarde par le judas, la porte de l'ascenseur s'ouvre sur Lise qui approche de ma porte. Elle est debout devant la porte son doigt suspendu en l'air, elle hésite à sonner. Elle reste ainsi quelques secondes... Si elle ne sonne pas j'ouvre la porte et je la rattrape. Non, elle se décide, la sonnette retentit, je continue de l'observer, elle ne bouge pas, elle attend que je lui ouvre en jetant des regards à droite et à gauche, elle a peur d'être vue devant ma porte. Je savoure l'instant... Je lui ouvre.
Lise entre, je referme la porte derrière elle. Elle attend immobile au milieu de l'entrée. Je la débarrasse de son sac et de sa veste de tailleur, et en profite pour lui prendre les poignets et les maintenir dans son dos.
Je l'entraine vers le salon, j'ai enlevé la double porte et fait quelques aménagements ce matin. Elle remarque la barre d'acier fixée aux paumelles hautes de la porte et les sangles qui y sont attachées.
- Tu es en travaux ??
- Oui, en quelque sorte... Et j'attache ses poignets à la barre à l'aide des sangles.
- Qu'est ce que tu fais, pourquoi tu m'attaches ? dit-elle d'une voix inquiète.
"Tu m'as dit que tu avais aimé être dominée par le garde, et bien je vais te faire plaisir, petite salope.
Je ne suis pas une.. Ce que tu penses !
Ah oui, tu te branles au bureau, tu te fais tirer par le garde et pour que je ne dise rien tu viens, chez moi te faire baiser, moi j'appelle ça une salope."
Vaincue elle ne répond rien et baisse la tète.
J'ai déplacé mon écran de télé pour qu'il soit face à la porte et mis mon caméscope numérique sur un pied juste à coté. Je mets tout cela en route. Le caméscope est pointé sur Lise et branché en direct sur la télé. Lise se voit sur l'écran en totalité. Elle ouvre la bouche pour protester mais aucun son ne sort de sa bouche.
Je repasse derrière elle, je fais glisser le zip de sa jupe qui tombe sur ses pieds. Je défais ensuite un à une les boutons de son chemisier, dégrafe son soutif. Je libère ses mains une après l'autre pour lui quitter chemisier et soutif. Elle se laisse faire sans protester. Je lui pelote ses petits seins, pince les tétons qui durcissent. Il ne lui reste que sa petite culotte rose en coton. Je mets ma main entre ses cuisses, sa culotte est déjà trempée de mouille. Un coup d'oeil sur la télé, la tache humide de son entrejambe ressort parfaitement à l'écran.
"Regardes toi, tu es en train de mouiller ta culotte, comment tu appelles une fille comme toi ?" Elle ne répond pas. J'insiste.
"Alors, réponds ?... Je veux que tu le dises... Tu es quoi ?
... Une... Salope
... J'ai pas bien entendu, répètes !
... Je suis une salope.
Bien, et tu veux quoi ?
... Je veux... Que tu me...
Que je te baise comme une chienne, c'est ça ? Alors dis-le !
... Je... Je suis une salope et je veux que tu me baises comme une chienne."
Satisfait de sa soumission, je passe les pouces sous l'élastique et fait glisser sa culotte. j'en profite pour enlever sa jupe et lui attacher les chevilles, jambes écartées aux paumelles basses de la porte.
Je prends mon temps, j'allume une cigarette, je sirote une vodka, je contemple Lise soumise, offerte et je la laisse se voir sur le grand écran. Elle ne dit rien. Dans son regard il y a un peu d'inquiétude mais aussi de l'envie.
Deux doigts dans sa chatte lui arrachent un gémissement, elle se cambre, lance son bassin en avant, va au devant de ma caresse. Je la force à sucer mes doigts. Elle découvre le gout de son sexe, en redemande. Je la branle un peu, elle aime, se tortille. j'arrête pour lui enfoncer un ?uf vibrant à télécommande dans le vagin. J'appuie sur le bouton, elle pousse un petit cri, de surprise mais aussi de plaisir dès les premières vibrations. Son souffle s'accélère, elle gémit, se tortille. Ses jambes tremblent, ne la portent plus. Elle est pendue à la barre par ses poignets. Elle jouit debout, le corps agité des spasmes de l'orgasme en poussant de petits cris.
"Alors, salope, c'est bon de jouir, tu as aimé ?
Oui... Oui...
Tu veux continuer ?
Oui... Encore... Baises-moi, s'il te plait.
Hummmm... Pas tout de suite."
Je pose un tabouret de bar devant Lise, je lui libère les mains pour les attacher aux pieds du tabouret. Son ventre est appuyé sur le coussin, elle a toujours les jambes écartées. Et elle a toujours l'?uf vibrant bien enfoncé dans son sexe. Je garde la télécommande.
Je me mets devant elle et sort ma queue. Je l'approche de ses lèvres qui s'ouvrent, j'approche encore mon gland, elle avance sa langue pour me sucer "C'est bien, petite pute, suce ma belle queue." et je mets en route le vibro pendant quelques secondes. Cela lui fait ouvrir plus grand la bouche et j'en profite pour enfoncer ma queue plus profond. Lise me suce de plus belle.
Dans sa position, elle ne peut pas se dérober, une main cramponnée à sa queue de cheval, l'autre tenant la télécommande du vibro, j'enfonce ma queue profondément dans sa gorge à grand coup de reins. Lise touche, crache, hoquette quand je la laisse reprendre son souffle. Le vibro fonctionne maintenant en continu. Elle gémit et râle de plaisir dès que je me retire de sa gorge, elle me suce avec avidité. Ses jambes tremblent, son corps se tortille, elle jouit avec ma queue dans la bouche.
Je la laisse reprendre son souffle écroulée sur le tabouret, la tête pendante. En lui soulevant la tête par ses cheveux, je lui demande "Tu t'es déjà fait enculer ?" elle me dit non de la tête, "Alors je vais dépuceler ton petit trou.
Non, je ne veux..." une gifle la fait taire.
"fermes ta gueule, je te demande pas ton avis... Compris"
Elle se tait, vaincue. Des larmes coulent de ses yeux. Je n'en reviens pas de la soumission de cette fille. Je me demande comment va se passer la semaine prochaine.
Je vais chercher un flacon de lubrifiant (décidément j'ai dévalisé le sex-shop ce matin). J'en dépose une bonne dose entre les globes de ses fesses, j'en pose une noisette sur mon doigt et je commence à bien lubrifier sa rosette. J'essaie de rentrer mon doigt dans son petit trou, elle résiste. Je mets en route le vibro, cela la détend un peu, mon doigt s'enfonce à moitié. Le vibro fait son office, elle gémit en disant "Non, non,..." mais mon doigt s'enfonce toujours plus, dilatant son orifice qui résiste de moins en moins. Je lubrifie ma queue d'un peu de gel. Mon gland est sur sa rosette, je pousse, elle résiste mais je maintiens ma pression, Une bonne claque sur les fesses lui arrache un cri de souris... Ou peut-être est-ce ma queue qui est maintenant enfoncée dans son cul, j'ajoute un peu de gel et je m'enfonce un peu plus en elle. Lise ne résiste plus à la sodomie, mon ventre est contre ses fesses. j'entreprends un lent mouvement de va-et-vient, en alternance avec des mises en route de l'?uf vibrant. Je n'utilise que peu le vibro, je ne veux pas que Lise parte trop vite et je veux profiter de son cul le plus longtemps possible. Je lui caresse la chatte et le clito, elle apprécie, elle est littéralement dégoulinante de mouille. Lise apprécie de plus en plus de se faire enculer, elle accompagne en se cambrant autant que lui permet sa position, elle gémit des "Oh, oui, encore, encore, encules-moi, je suis une salope." je n'ai plus besoin de la forcer, elle se donne complètement en prononçant des mots crus que je n'aurais jamais imaginé entendre de sa bouche.
"Encules-moi, salaud, je suis ta putain, je suis une chienne, j'aime que tu me baises avec ta grosse queue dans mon cul,...."
Elle jouit pour la troisième fois de l'après-midi, je sens son cul serrer ma queue, elle tremble de tout son corps. Son orgasme est ravageur et lui arrache un long râle de plaisir.
Moi non plus je n'en peux plus, il faut que je me soulage. je me retire de son cul et présente ma queue devant sa bouche. Elle m'avale sans rien dire. Je la tiens par les cheveux et je me branle avec sa bouche. Très vite, je suis à bout et je me vide dans sa gorge en lui criant "Avales, salope, avales mon jus jusqu'à la dernière goutte".
Rassasié de sexe l'un et l'autre, je détache Lise qui peine un peu à se redresser, toute ankylosée qu'elle est d'avoir gardée la position inconfortable que je lui ai imposée.
Nous récupérons assis sur le canapé avec un verre de vodka. Lise m'avoue qu'elle est enchantée de son après-midi, qu'elle n'avait jamais baisé comme cela et surtout qu'elle n'avait jamais joui autant et si fortement en si peu de temps.
Après s'être douchée, recoiffée et habillée, elle est partie en me disant qu'elle aimerait revenir Samedi prochain. Ce que j'acceptais avec empressement.
Une fois partie, j'ai visionné le film que j'avais enregistré. C'était un bon porno en fait. Je souriais tout seul en pensant qu'à cette heure-ci Lise devait être à la messe. avait-elle confessé son péché de luxure ?