Vengeance 2

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Proposée le 14/02/2010 par Marc Paul

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Un peu avant neuf heures du matin, Cécile vit un homme se baisser devant le rideau métallique qui fermait l'agence immobilière qu'elle surveillait depuis une bonne demi-heure. Jean-Luc Lorinczi arrivait à son travail. Elle alla faire un petit tour pour ne pas se faire remarquer et repassa une heure après. Elle se planta devant la vitrine comme si elle consultait les annonces de logements à vendre ou à louer. Elle regardait en fait l'homme qui était assis derrière le bureau au fond de l'agence.

Elle se dit qu'elle aurait pu tomber plus mal. Il semblait avoir autour de la quarantaine, très brun, avec quelques cheveux blancs sur le tempes. Son visage carré était très bronzé. Quand elle l'avait aperçu tout à l'heure, elle avait vu qu'il était d'une bonne taille mais maintenant qu'elle le voyait de plus près et sans sa veste, elle remarqua ses épaules larges et musclées.

Toute à l'examen de son futur amant, Cécile ressentit une légère excitation, comme une sensation nouvelle, elle trouva cela agréable. Elle se dit que cela devait être l'excitation de la chasse au mâle que ressent toute femelle en chaleur. Cela était nouveau pour elle. Elle avait devant les yeux un beau mâle qu'elle voulait séduire, qui allait la baiser et cela provoquait son émoi. Elle sera ses cuisses et sentit ses lèvres intimes se gonfler. Elle sourit de cette douce sensation..

Cécile avait rencontré Alain, qui allait devenir son mari quelques années plus tard, sur les bancs de l'université. Du même milieu leur union leur avait paru évidente. Vierges tous les deux, ils avaient découvert le sexe ensemble, maladroitement, un peu laborieusement mais en fin de compte, il y avait pris beaucoup de plaisir l'un et l'autre. Alain s'était montré exigeant avec elle et elle avait dû combattre sa pudeur pour le satisfaire. Mais elle s'était rendue compte qu'en le faisant attendre, elle augmentait ainsi son excitation. Quand il lui avait demandé de porter des dessous sexy ou de se raser le pubis, elle était prête à répondre favorablement à son attente mais elle l'avait fait patienter quelques mois. Elle avait parfaitement conscience que de se promener dans leur chambre vêtue seulement de ses bas avec son minou lisse de toute pilosité la faisait ressembler à une putain. Mais elle savait aussi qu'il serait tellement excité quand elle le ferait, qu'il la baiserait avec encore plus d'ardeur. Ce qui arriva lui donnant raison.
Elle avait choisi l'anniversaire d'Alain pour répondre à sa demande. Elle avait acheté la semaine précédente un soutien-gorge balconnet qui couvrait à peine les larges aréoles de ses seins, une serre taille avec des jarretelles et un string coordonné. Les bas noirs tranchaient avec le blanc de sa parure, la large bande de dentelle remontait haut sur ses cuisses fines. Une paire d'escarpins à hauts talons affinait encore ses jambes. Pour l'occasion, elle avait craquée pour un tailleur gris très élégant, elle n'avait pas ajouté de chemisier, laissant la naissance de ses seins ronds apparaître dans l'ouverture de la veste. l'après-midi, elle avait rasé son pubis, découvrant avec délice le contact direct du fin tissu de son string avec ses lèvres intimes débarrassées du matelas de sa pilosité. Elle avait rejoint son mari à la sortie de son bureau, et ils avaient ensuite dîné dans un restaurant.
En rentrant, comme souvent, Alain mettait à profit la lenteur de l'ascenseur pour la peloter. Ce soir là, en passant sa main sur ses fesses, il ne sentit pas la démarcation crée par la couture de son slip mais, au contraire, découvrit le léger bourrelet vertical des jarretelles. Il fut pris d'une forte érection que Cécile sentit sur son ventre plaqué sur le sien. Sa main s'engouffra sous la veste et la surprise de se retrouver au contact de la peau nue de sa femme, le rendit fou de désir. A peine entrés dans l'appartement, il fit voler la veste et la jupe et découvrit le spectacle que lui donnait son épouse dans cette lingerie inhabituelle. Il la porta dans ses bras jusqu'à leur chambre, la posa sur le lit et sortant sa queue douloureusement raide, il lui fit sucer. Cécile s'acquitta de cette tache avec application. La fellation n'était pas parmi ses exercices favoris mais elle appréciait de faire monter ainsi la tension de son homme. Au bout de quelques minutes, Alain la coucha sur le lit et lui ôta son string, découvrant son pubis exempt de poil. Il se jeta sur ce fruit offert et le dévora à pleine bouche, provoquant les gémissements suivit des cris de jouissance de sa femme. Alain la prit ensuite au bord du lit, les jambes de Cécile sur ses épaules, il la défonça comme une brute, sa queue s'enfonçait profondément en elle, jusqu'à ce qu'il se vide en long traits de sperme.

Cécile revint à la réalité, après s'être remémorée ce cadeau d'anniversaire fait à son mari. Elle se rendit compte que dans son rêve, l'homme, assit en face d'elle derrière la vitrine, avait pris la place de son mari. Elle ressentit une humidité naissante entre ses cuisses. Elle partit flâner un peu en attendant l'heure du déjeuner, première phase du plan qu'elle avait élaboré. Un peu avant midi, elle se posta à proximité de l'agence immobilière de Jean-Luc et attendit. Quelques minutes plus tard, celui-ci en sortit verrouilla la porte et se dirigea dans sa direction, Cécile fit semblant de s'intéresser à la vitrine de la boutique devant elle. Elle lui emboîta le pas, lui laissant quelques mètres d'avance. Au bout de quelques centaines de mètres, Cécile composa un numéro sur son téléphone. Jean-Luc sentit son téléphone vibrer dans sa poche, il le sortit. « Numéro Inconnu » disait son écran quand il fut violemment bousculé et lâcha son téléphone qui vola sur le trottoir. Il se retourna furieux, et vit une jeune femme très jolie dans son tailleur gris. Cécile se confondit en excuses :
- Je suis vraiment désolée, Monsieur, c'est de ma faute, je ne regardais pas.
Jean-Luc qui avait récupéré son téléphone intact, sentit sa colère disparaître devant la confusion de la belle inconnue.
- Ce n'est rien, je vous en prie. j'ai juste perdu la communication.
- j'en suis vraiment navrée. Comment puis-je me faire pardonner ma maladresse. Répondit Cécile.
- En acceptant de partager ma table pour le déjeuner, peut-être ? Répondit Jean-Luc avec un sourire charmeur.
- Humm, pourquoi pas, je cherchais justement un endroit pour manger.
- Eh bien, allons-y, je connais un petit bistrot sympa à deux pas.
Cécile et Jean-Luc se dirigèrent donc vers une petite brasserie au coin de la rue. Cécile jubilait intérieurement, son plan fonctionnait, elle avait réussi à entrer en contact avec son futur amant et celui-ci ne semblait pas indifférent à son charme. c'est un dragueur pensa t-elle.

Le déjeuner se passa bien, la table étroite forçait le contact de leurs genoux et imposait que leurs jambes s'entrecroisent, pas une fois Cécile ne se déroba à ces contacts furtifs. Après le café, Cécile insistât pour régler l'addition. Pour me faire pardonner répliqua-t?elle aux protestations de Jean-Luc.

Jean-Luc était ravi de ce repas. La jeune femme qui l'avait bousculé était particulièrement à son goût. Une petite quarantaine, très belle, elle avait accepté son invitation à déjeuner sans minauder. Il décida de tout faire pour revoir cette fille et si le sort était favorable de la mettre dans son lit. Il lui proposa de déjeuner avec lui le lendemain. Cécile accepta, en se faisant un peu prier. Mais au fond d'elle-même elle n'attendait que cela. Elle avait insisté pour payer leurs déjeuner à tous les deux, uniquement pour l'obliger à lui faire cette proposition.

Le lendemain, Cécile rejoint Jean-Luc à l'agence un peu avant midi. Il l'emmena ensuite dans un autre restaurant, plus chic, plus calme que le bistrot de la veille.

Durant le repas, ils échangèrent sur leurs vies respectives. Celle de Céline, femme au foyer, ne lui permit pas de tenir longtemps la conversation et elle laissât Jean-Luc lui parler de sa profession. Il lui dit qu'il allait, cet après-midi, visiter un appartement dont on lui avait confié la vente. Un couple d'américain, plutôt riches, avaient décidé de rentrer aux Etats-Unis et souhaitaient vendre leur appartement totalement meublé. Jean-Luc expliqua qu'il leur avait proposé un prix basé sur le marché mais il devait affiner sa proposition en visitant le bien et surtout voir si il devait prendre les conseils d'un expert en mobilier pour les meubles. Il lui proposa de l'accompagner si elle n'avait rien de prévu et si cela l'amusait.

Cécile accepta avec entrain. Elle pourrait ainsi se retrouver seule avec Jean-Luc. Elle était ravie de la tournure que prenaient les évènements, jamais elle n'avait imaginé que ce serait aussi rapide et surtout aussi facile. Elle ressentit comme la veille, son sexe se gonfler de désir. Elle fut surprise de son envie de se faire posséder par ce bel homme. Jamais elle n'avait eu, à ce point, envie de se faire baiser, même par Alain. Avec son mari, le sexe était une chose naturelle, acquise qui arrivait deux à trois fois par semaine, un peu moins depuis quelques temps. Il trouve ailleurs le moyen de se soulager, pensa-t?elle, un brin de cynisme.

Ils allèrent à l'appartement juste après le déjeuner. Il était situé dans un quartier très cossu de la ville. Cécile suivait Jean-Luc qui faisait le tour des pièces, l'aidait en notant les dimensions qu'il mesurait. Après cela, Jean-Luc se mit à inspecter les meubles, prenant des notes sur ce qu'il voyait sur un bloc-notes. Cécile avait remarqué le piano à queue qui trônait au milieu du salon. Elle demanda à Jean-Luc si elle pouvait en jouer. Il accepta volontiers, ce n'est pas tous les jours que l'on peut travailler en musique.

Cécile s'assit sur le tabouret et fit courir ses doigts sur le clavier. Jean-Luc regarda la jeune femme avec intérêt et envie. Elle jouait les yeux mi-clos. Sa jupe étroite, légèrement remontée laissait apparaître la dentelle de ses bas. Il continua malgré tout son inventaire, l'esprit ailleurs. Il termina cela en une petite demi-heure, Cécile enchaînait les morceaux de musique classique. Jean-Luc s'approcha d'elle et s'assit à son coté sur le tabouret. Par l'ouverture de la veste, il pouvait admirer la naissance des seins de sa voisine, et constater qu'elle ne portait rien d'autre que son soutien-gorge blanc dont il entrevoyait la dentelle. Jean-Luc avait envie de cette femme, il bandait depuis tout à l'heure et même si il avait tenté de se concentrer sur l'inventaire du mobilier, la musique que jouait Cécile ne lui permettait pas d'oublier la vision de ses superbes jambes gainées de noir. Ni tenant plus, Jean-Luc prit une profonde inspiration et passa son bras autour des épaules de Cécile, qui frémit doucement à ce contact mais qui n'arrêta pas de jouer. Encouragé par cet accord implicite, il se pencha pour l'embrasser sur la nuque. Cécile s'arrêta de jouer instantanément :
- Mais qu'est-ce que vous faites, il ne faut pas, vous êtes marié et moi aussi?
- Oui, je suis marié mais ça ne m'empêche pas d'avoir envie de toi. Et puis en ce qui me concerne, nous sommes très libre mon épouse et moi, ce n'est pas un problème. Elle a des amants, et, de mon coté, je ne me prive pas de jolies femmes quand l'occasion se présente. Ne me dis pas que tu tiens à être fidèle à ton mari ? Tu devais bien te douter qu'en venant ici avec moi il risquait de ce passer quelque chose ?
Cécile rougit de se voir ainsi dévoilée. Évidemment qu'elle espérait qu'il se passe quelque chose, elle avait fait tout pour cela. Pour toute réponse, elle lui tendit ses lèvres qu'il s'empressa de prendre. Ils échangèrent un long baiser, cherchant la langue de l'autre, jouant avec dans un lent combat de caresses. Tout en embrassant Cécile, Jean-Luc avait fait sauter le dernier bouton de sa veste de tailleur, il lui caressait sa belle poitrine, tirant sur la dentelle jusqu'à faire jaillir les tétons dardés. Abandonnant sa bouche il en saisit un entre ses lèvres et le titilla de la pointe de sa langue. Cécile se laissait faire, la tête en arrière, maintenant la tête de son amant sur son sein. Jean-Luc posa une main sur le genou de Cécile qui écarta ses cuisses lui ouvrant le passage vers l'objet de la convoitise de tout mâle normalement constitué. Elle appréciait le contact de cette main inconnue sur la chair tendre de ses cuisses. Elle gémit quand ses doigts entrèrent en contact avec sa culotte maintenant trempée. Il lui remonta sa jupe jusqu'à la taille pour la caresser à son aise. Cécile sentait le plaisir naissant, réchauffer son ventre, la caresse habile de Jean-Luc sur son clitoris lui faisait écarter les cuisses malgré elle. l'alternance des coups de langue et des sucions sur ses seins la rendait folle de désir. Elle posa sa main sur le pantalon distendu de Jean-Luc et put ainsi constater la rigidité de sa queue. La sensation de ce membre viril tendu comme un arc déclencha son orgasme. Elle jouit assise sur le tabouret de piano, le corps agité de spasmes, les mains crispées sur le clavier, la tête rejetée en arrière, sa bouche ouverte qui ne laissait échapper que des petits cris de gorge.

Jean-Luc laissa Cécile revenir à la réalité puis, la prenant par la main, l'entraîna dans une des chambres. Il la débarrassa de sa jupe et de sa culotte et la coucha sur le lit directement sur le matelas. Puis il se déshabilla lentement. Cécile admirait son corps d'athlète, musclé sans une once de graisse et surtout elle était comme hypnotisée par sa verge qui pointait dans sa direction. Sa queue était longue, épaisse, légèrement courbée, rigide. Le gland rose violacé était totalement découvert, attirant comme un fruit défendu. Jean-Luc s'allongea sur elle. Elle prit dans sa main cette belle queue pour la guider vers son con détrempé qui réclamait son du. Il la pénétra doucement, profondément, leur arrachant des soupirs d'aise et de plaisir. Cécile sentait cette queue conquérante aller et venir dans son ventre, se frayer un passage au plus profond de son intimité. Elle noua ses jambes sur les reins de Jean-Luc, le forçant à coup de talons à s'enfoncer encore plus loin. La jouissance les prit ensemble, Jean-Luc se déchaîna sur elle, en elle. Elle reçut les jets puissants de son sperme dans son con qui se contractait au rythme des bouffées de plaisir qui l'enveloppaient toute entière.

Jean-Luc se coucha sur le dos pour récupérer. Cette fille est vraiment bonne, pensa-toeil. Il avait voulu la conquérir mais il n'aurait jamais imaginé que cela fut aussi simple, aussi facile. De toutes ses maîtresses, c'était bien celle qui lui avait demandé le moins d'efforts, de ruses et de charme avant de parvenir à ses fins. Il appréciait l'instant.

Cécile, tout en déposant de petits baisers sur les pectoraux de son amant, ne ressentait aucune honte, aucune culpabilité de s'être donnée à cet homme dont elle ignorait l'existence quelques jours avant. Elle était convaincue que ce qu'elle faisait était juste et comme en plus elle en avait retiré beaucoup de plaisir, cela lui suffisait. En câlinant, l'homme qui venait de la faire jouir, elle constata que sa verge, même si elle avait perdu de sa rigidité, restait tout de même très gonflée. Elle s'en empara et approcha ses lèvres du fruit rose qui la couronnait.

Cécile donna quelques coups de langue sur la pointe du gland avant de le prendre entièrement dans sa bouche. Elle goutta la saveur de cette queue, y trouva le goût de sa mouille, une dernière petite goutte de sperme pointait, elle l'avala avec délice. Dans un soupir, Jean-Luc lui dit :
- Tu es une sacré salope, toi !
Cécile sourit avant de reprendre le gland dans sa bouche. Elle, une salope, voila bien le plus improbable des qualificatifs à donner à la prude Cécile qu'elle était quelques jours avant.
Jean-Luc ne fut pas long à retrouver toute sa vigueur. Sa queue reprenait toute sa rigidité dans le bouche de Cécile qui le pompait activement. Il la laissa faire un peu puis l'attira vers lui pour la retourner à plat ventre. Là, il parcourut sa colonne vertébrale avec sa langue, s'aventurant de plus en plus loin dans la vallée de ses fesses. Elle ouvrit naturellement ses jambes et ne résista pas quand il la fit mettre en levrette. Il put alors lui faire une feuille de rose sur la rosette de son petit trou. Elle se laissa faire, se cambra au contraire quand il écarta les lobes de ses fesses. Jean-Luc se plaça derrière elle et promena sa queue dans sa fente pour lubrifier son dard. Il le dirigea ensuite vers le petit trou de Cécile et s'y enfonça doucement mais fermement.

Cécile sentait le chibre impérieux de Jean-Luc forcer sa petite porte. Elle ne résista pas, se força à se détendre et constata avec délice que dans ces conditions, il était agréable de se faire sodomiser. Elle se cambra, posa sa tête sur le matelas pour mieux offrir son cul à son amant. Elle sentait cette grosse queue, la dilater, s'enfoncer dans son ventre, se retirer pour mieux revenir, encore mieux lubrifiée, encore plus conquérante, encore plus profond. Elle gémissait à chaque coup de reins de Jean-Luc. Il la tenait par les hanches mais Cécile imprimait elle-même le mouvement de balancier. Il profita de la liberté de ses mains pour lui pétrir les seins et lui caresser le clitoris. Elle partit brutalement d'un orgasme violent, ravageur, qui la secoua entièrement. Elle s'écroula en avant en criant, entraînant avec elle son amant qui ne quitta pas son fourreau et profita de sa position pour la défoncer avant d'expulser son jus au plus profond de ses entrailles.

Pendant de longues minutes, ils restèrent soudés l'un à l'autre. Elle appréciant la sensation de cette bite dans son cul, lui les petites contractions de Cécile qui expulsait sa queue qui se ramollissait.

Jean-Luc et Cécile se retrouvèrent plusieurs fois dans cet appartement durant deux ou trois semaines. Un jour Jean-Luc demanda à Cécile quels étaient ses fantasmes. Elle ne répondit pas tout de suite, réfléchit quelques secondes, puis lui dit :
- j'en ai deux, en fait.
- Ah, oui, je peux savoir lesquels, je pourrais tenter de les satisfaire.
- Le premier, c'est de faire l'amour à trois' Avec une autre fille.
- Et le second ?
- A quatre, deux femmes, deux hommes.
Cécile avait imaginé cette réponse pendant les quelques secondes de réflexion qu'elle s'était accordée avant de répondre. Même si elle prenait beaucoup de plaisir à se faire baiser par son amant, elle était très frustrée depuis qu'il lui avait décrit comment fonctionnait son couple. Ils étaient très libres et avaient des aventures chacun de leur coté, et parfois ensemble. Cécile pensait initialement, dévoiler à la femme de Jean-Luc leur aventure et ainsi la faire souffrir comme elle avait elle-même souffert quand elle avait découvert la liaison d'Alain avec cette Maryse. Elle se rendait compte à présent qu'elle s'était trompée. Elle avait donc décidé que sa vengeance toucherait d'abord son mari, soit en baisant avec sa maîtresse, soit en lui faisant découvrir qu'elle aussi avait un amant, ou les deux.

Jean-Luc lui répondit avec un grand sourire :
- Ma belle, pour le premier je crois que ça doit être possible. Tu es bi ?
- Non, enfin oui, en fait je ne sais pas' j'ai jamais baisé avec une fille mais j'ai très envie d'essayer. Tu connaîtrais quelqu'un ?
- Maryse, mon épouse est bisexuelle. Il nous arrive de baiser avec une autre fille. Sauf si cela te dérange ?
- Heu, non, ça ne me dérange pas. Tu crois qu'elle serait d'accord ?
- Je crois que oui. Je lui ais parlé de toi, je pense qu'elle serait intéressée. Je vais lui en parler. Pour ton deuxième fantasme, il y a peut être une solution aussi.
- Ah, oui ?
- Maryse a un amant en ce moment. Un homme de ton age, à peu près, je pourrais lui suggérer de lui proposer. d'après ce qu'elle m'a dit de lui, je crois que ça lui plairait.
- Hummm, ce serait drôle de faire ça à quatre avec l'amant de ta femme. Mais je veux d'abord essayer avec une fille, tu veux bien ?
- Pas de problème, c'est toi qui décide, ma belle salope.