Vengeance

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Proposée le 12/02/2010 par Marc Paul

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Cécile était étendue sur le dos, les jambes ouvertes et son mari s'agitait sur elle. Elle n'éprouvait pas ce sentiment de plénitude qui la remplissait habituellement quand il lui faisait l'amour. Les mouvements de piston de sa queue dans son con mouillé ne créaient pas aujourd'hui les ondes de plaisir qui finissaient toujours par la submerger. Parlons-en de ce con mouillé. Elle en voulait à son corps de cette réaction quasi-mécanique qui déclenchait sa lubrification intime dès que son mari la caressait. Cécile était pleine d'une colère maintenant refroidie et elle aurait voulue rester sèche et se refuser à lui.

Elle avait découvert deux jours plus tôt qu'Alain la trahissait. Elle avait découvert cela par hasard, alors que, en courses dans le quartier de son bureau, elle avait voulu lui faire la surprise de l'attendre à midi et de partager son déjeuner. Elle n'était qu'à quelques dizaines de mètres de la porte qu'elle l'avait vu sortir, embrasser une femme qui attendait et partir en la tenant par la taille. Une femme, une pute plutôt, tout au moins une belle salope. Blonde, les cheveux longs, vêtue de façon provocante presque vulgaire. Il ne l'avait pas vue et elle les avait suivis jusqu'à un immeuble dans lequel ils sont entrés toujours enlacés. Quand elle a franchis la porte du hall, elle a vu l'ascenseur arrêté au sixième étage. Elle a pris l'ascenseur à son tour, le sixième étage était le dernier, une seule porte sur le palier. Sur la sonnette Jean-Luc & Maryse Lorinczi, elle était redescendue en vitesse, ses larmes coulaient sur son visage.

Alain continuait de baiser sa femme, mais il ne pouvait s'empêcher de penser à Maryse. Quelle différence entre elles, Maryse était vraiment chaude, toujours partante pour une partie de jambes en l'air, sans complexe, sans aucun tabou. Cécile était depuis toujours victime de son éducation bourgeoise. Il avait mit des mois avant qu'elle n'accepte de se montrer nue à ses yeux, des mois avant qu'elle veuille bien faire l'amour avec la lumière, des années avant qu'elle n'accepte de se raser la chatte et de porter des dessous sexy. d'ailleurs, Il la sentait particulièrement réticente ce soir, même si depuis quelques années, elle se laissait aller volontiers et participait activement à leurs ébats, allant jusqu'à le provoquer, l'inciter à faire l'amour.

Cécile gardait les yeux fermés. Elle ne voulait pas qu'Alain y voie la fureur qui ne la quittait pas depuis deux jours. Ce jour là, elle avait erré dans les rues, et ses pas l'avaient ramenée chez eux presque instinctivement. Pendant son long trajet, elle avait eu le temps de réfléchir à ce qu'elle allait faire. Le divorce ne faisait pas partie de ses projets, les principes inculqués par son éducation lui interdisaient cette éventualité. Elle avait mis au point une vengeance qui se voulait terrible. Elle, aussi, prendrait un amant. Mais pas n'importe quel homme ! Elle voulait que ce soit le mari de cette femme. Elle savait maintenant comment l'approcher?

Alain avait accéléré la cadence. Il trouvait étrange le peu de réaction de sa femme. Pas comme Maryse qui pouvait avoir des orgasmes à répétition. Comme deux jours avant où, il avait réussi à la faire jouir trois fois avant de se vider dans son cul. Maryse appréciait de se faire enculer, pas comme Cécile. Il se rappelait le jour où il avait sodomisée son épouse debout dans la salle de bain. Elle avait joui mais pas vraiment apprécié. Il s'était pourtant délecté de voir son visage dans le miroir, d'y voir la surprise d'abord quand elle avait senti son gland sur son anus, un peu de douleur ensuite quand sa queue dure et grosse l'avait dilaté, son expression quand l'orgasme la submergea quelques minutes plus tard, et enfin la honte de s'être faite prendre ainsi et d'y avoir pris du plaisir. Jamais plus, il n'avait tenté de forcer sa petite porte.
Alain était aussi étonné de la liberté qui régnait dans le couple que formait Maryse avec son mari. Il s'était montré réticent quand, après avoir fait la conquête de sa maîtresse, elle lui avait proposé de se rendre chez elle au moment du déjeuner. Elle lui avait répliqué que son mari ne voyait aucun inconvénient à ce qu'elle ait des amants, elle l'avait d'ailleurs mis au courant de leur relation. A ce propos, trois semaines auparavant, il avait fait la connaissance de Jean-Luc dans des circonstances particulièrement délicates. Maryse et lui venaient de baiser ensemble dans la chambre d'amis et ils prenaient quelques instants de repos avant de retourner à leurs occupations respectives quand ils ont entendu la porte d'entrée s'ouvrir. Alain, affolé, demanda à Maryse quoi faire et elle lui répondit « Rien » en riant. Elle appela, sans chercher à couvrir sa nudité en disant « c'est toi, chéri ? Je suis là ! ». Alain entendit le mari approcher ne sachant quoi faire, tétanisé, fallait il s'habiller en catastrophe mais il n'avait pas le temps, fallait il se cacher sous les draps comme une oie blanche mais il n'y avait que le drap housse, fallait il'
Avant qu'il n'ait trouvé de réponse satisfaisante, Jean-Luc était dans l'encadrement de la porte, tout sourire et il lui tendit une main amicale en s'approchant du lit. En lui serrant la main, il lui dit « Jean-Luc, enchanté de vous connaître, vous c'est Alain, n'est-ce pas ? Maryse m'a parlé de vous. Bon j'avais juste oublié quelques papiers ce matin, je ne vous dérange pas plus longtemps. A bientôt peut-être ». Il avait dit tout cela sans attendre de réponse et Alain n'avait pas trouvé de mieux que de bredouiller un « bonjour » inaudible que déjà le mari de sa maîtresse était repartit.

Ayant décidé ce jour là de se donner au mari de la maîtresse d'Alain, Cécile avait recherché le nom de Jean-Luc et Maryse sur un annuaire sur internet. Elle n'avait eu que deux réponses, le nom à consonance étrangère était heureusement peu répandu. En plus de l'adresse qu'elle ne connaissait que trop, l'annuaire proposait le même nom avec le prénom du mari mais pour une activité professionnelle. Jean-Luc Lorinczi était agent immobilier ! Dès demain elle irait voir et tenterait de faire sa connaissance.
La bite de son mari glissait maintenant de plus en plus frénétiquement dans son ventre sans lui apporter plus de plaisir. Elle pensa qu'il ne tiendrait pas longtemps à ce rythme mais elle ne voulait pas qu'il se rende compte de son absence de plaisir.
Elle noua ses jambes sur ses fesses, s'appliqua à reproduire les cris et les gémissements qu'habituellement le fait de se faire sauter lui arrachait, elle se cambra, se raidit et cria en secouant tout son corps. Espérant avoir été convaincante, elle enfonça ses ongles dans les flancs de son salaud de mari un peu plus fort que d'habitude.

Alain sentit l'orgasme de sa femme arriver et la défonça encore plus vite, encore plus fort jusqu'à ce qu'elle jouisse sous lui. Il explosa à son tour dans son ventre en poussant un râle de bête. La douleur des ongles que Cécile avait planté dans ses flancs n'était rien à coté du plaisir intense de sentir ses giclées de sperme naître dans son ventre, remonter toute sa queue pour jaillir au fond du con de son épouse chérie. Au moins ces ongles qui le labouraient lui prouvaient le plaisir intense qu'il venait de donner à Cécile. Fier comme un coq, satisfait d'avoir donné tant de plaisir à sa femme, il la câlina un peu avant de se retourner et de s'endormir du sommeil du juste.