Chap VI : Marie-Claude

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Proposée le 13/02/2010 par Marc Paul

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En juillet dernier, j'avais passé mon samedi après-midi à faire un peu de rangement dans ma cave. La fraîcheur de celle-ci était réconfortante en cette saison. Alors que j'en sortais et que je retirais la clé de la serrure, j'entendis un gros bruit suivi d'un cri de douleur provenant de la cave en face.

Je me précipitais pour apporter mon aide. Je poussais la porte et je trouvais une femme étendue sur le sol. Elle était consciente et se plaignait de son pied. Pour attraper quelque chose en haut de l'étagère, elle était montée sur un tabouret et un gros vase en terre cuite lui était tombé dessus. Je l'aidais à se relever et lui proposais de l'aider jusqu'à son appartement. Je la soutenais de mon bras passé sous son aisselle jusqu'à l'ascenseur. Elle me donna l'étage, c'était le même que le mien. Je lui dis que nous étions voisins, elle se déclara enchantée de faire ma connaissance mais se désola des circonstances. En attendant l'ascenseur et ensuite pendant qu'il nous montait vers notre palier, elle se présenta ? Marie-Claude ? et m'expliqua qu'elle était veuve depuis cinq ans, qu'elle était commerçante et à la retraite depuis deux mois. Elle avait vendu sa boutique et l'appartement attenant en même temps. Elle habitait maintenant ici depuis le début du mois. Pendant que nous bavardions, j'observais ma voisine. Elle ne faisait pas ses soixante années, je lui en aurais accordé cinquante-cinq au plus. Elle était blonde, très bien coiffée, d'une belle taille, son corps était assez fin avec de jolies rondeurs et une belle poitrine. Bref, elle me plaisait. j'avais depuis longtemps un goût particulier pour les femmes mures pourvues qu'elles soient attirantes et le frémissement que je ressentais au niveau de mon bas ventre ne me trompait pas. j'avais envie de tenter ma chance.

En sortant de l'ascenseur, toujours en soutenant Marie-Claude et en profitant pour mettre ma main juste sous sa poitrine, nous nous dirigeâmes vers sa porte et une fois dans l'appartement elle me demanda de l'aider à s'allonger sur son lit. Elle ne semblait pas pourtant souffrir excessivement.

Une fois allongée, j'examinais son pied assis sur le bord du lit. Je ne suis pas médecin mais après quelques palpations, il ne me semblait par y avoir de fracture. Marie-Claude s'en tirerait avec un bleu. Cela sembla la rassurer et je lui proposais de lui faire un massage pour éviter que l'hématome ne soit trop important. Elle accepta en me remerciant.

Je pris le haut de son mollet dans une main et de l'autre je massais doucement son pied douloureux. Au fil des minutes, je relevais petit à petit sa jambe en l'attirant vers moi. Sa robe légère glissa, découvrant ses cuisses galbées sans trace de cellulite. Sa robe était maintenant remontée jusqu'à l'aine et j'avais une vue imprenable sur son entrejambe enserré dans un boxer noir en dentelle. Marie-Claude n'avait pas l'air de s'en offusquer. Les yeux clos, la bouche entrouverte, elle avait l'air de dormir. Tout en continuant le massage de son pied, ma main quitta son mollet pour soutenir directement sa cuisse dont je pus apprécier la fermeté.

Après quelques instants, Marie-Claude m'attira vers elle et glissa ses mains sous mon T-Shirt en tentant de m'embrasser. j'étais tellement surpris que je ne lui rendis pas son baiser immédiatement. Elle ouvrit les yeux, rouge de confusion et s'excusa :
- Ohh, excusez-moi, je ne sais pas ce qui m'a pris mais vos mains sur moi, votre douceur m'ont fait tout oublier.
- c'est moi qui m'excuse de ne pas avoir répondu à ton baiser. j'ai très envie de toi.
Et cette fois je posais mes lèvres sur les siennes, ma langue s'enfonça dans sa bouche et joua avec la sienne. Elle s'abandonna au baiser et remit ses mains sous mon T-shirt. En lâchant ma bouche elle me dit en me regardant droit dans les yeux :
- Tu dois me prendre pour une vieille salope, de t?avoir sauté dessus comme ça ?
- d'abord tu n'es pas vieille, je te trouve même très appétissante. Et puis si tu en as envie je ne vois pas ce qu'il peut y avoir de choquant. Moi aussi j'ai envie de baiser avec toi, donc tout va bien.
- Tu es gentil. c'est vrai que j'ai très envie? Mais il faudra être très patient parce que je n'ai pas fait l'amour depuis cinq ans.
- Cinq ans ! Depuis que ton mari est décédé ?
- Oui, alors qu'avant nous avions une vie intime bien remplie. Deux à trois fois par semaine.
- Et tu n'as jamais pensé à avoir un amant.
- Au début non, trop de chagrin et puis par la suite? c'est pas facile. Mes amies sont toutes en couple ou bien seules. Je ne connais pas d'homme célibataire de mon age? Et j'ai passé l'âge d'aller draguer en boite. Les mois et les années sont vite passés. j'avais mon boulot et je m'y suis jetée à 100%. j'ai pris l'habitude de me donner du plaisir toute seule mais c'est pas pareil.
- Tu te masturbes ?
- Ohhh, oui souvent.
- Hummm, j'aimerais bien voir ça. Il faudra que tu te branles devant moi, ça m'excite.
- Mais tu es un petit cochon, toi !
- Plus que tu ne l'imagines, mais tu vas le découvrir très tôt.
Pendant toute cette conversation entrecoupée de baisers, nous nous étions caressés mutuellement. Marie-Claude m'avait quitté mon T-shirt mais n'avait pas osé pour le pantalon. j'avais fait glisser sa robe par-dessus sa tête. Il ne lui restait que son soutien-gorge et son boxer noir. Je débouclais ma ceinture et quittait mon jean et mon boxer, libérant ma queue tendue. Marie-Claude s'en empara et me branla doucement. Elle se glissa vers le pied du lit et commença à me sucer tout en continuant de me branler. Elle suçait bien, alternant les bisous et les léchouilles sur ma queue et mettant mon gland dans sa bouche pendant que sa langue s'enroulait autour. Elle m'excitait et je savais ne pas pouvoir résister longtemps. Je ne voulais pas pour un premier contact jouir dans sa bouche. Je l'a ramenais à ma hauteur, l'embrassait. Je lui quittais son soutien-gorge, libérant ses seins qui s'épanouirent de chaque coté de son buste. Tout en en mordillant les tétons dressés, je la caressais à travers sa culotte. Elle avait ouvert grand ses jambes et son bassin ondulait au rythme de mes caresses. Je ressentis un début d'humidité à travers la dentelle et j'introduisis ma main dans sa culotte. Elle quitta elle-même son boxer me dévoilant sa toison de blonde, très peu fournie, et seule trahison de son age, certain poils étaient gris. Je la suçais à mon tour, léchant d'abord ses lèvres intimes, avant de parcourir sa fente soyeuse de la pointe de ma langue pour enfin titiller son clitoris en érection. Je jouais longtemps avec son désir, faisant des pauses quand je la sentais prête à partir. Son plaisir montait par étape, à chaque fois plus pressant, à chaque fois plus impérieux mais je m'arrêtais pour qu'il retombe un peu, se stabilise, quelle profite pleinement des ondes de plaisir qui montait de son ventre. Elle gémissait en continu, plus fort quand je m'arrêtais, me montrant ainsi sa frustration. Sa chatte était toute trempée, j'étais moi-même surpris qu'une femme de cet age produise une telle quantité de mouille. Elle se caressait les seins. Elle avait voulu se soulager elle-même mais j'avais repoussé ses mains. Elle me dit d'une voix rauque :
- Fait moi jouir, j'en peux plus, c'est trop, c'est trop fort. Fais moi jouir, salaud.
Son ventre était agité de petits spasmes que je ressentais aussi sur mes doigts enfoncés dans sa chatte. Je la libérais en posant mes lèvres sur son clitoris en l'aspirant tout en le frottant de la pointe de ma langue. Son orgasme fut à la fois violent et long. Elle serra ses cuisses, emprisonnant ma tête. Elle malaxait ses seins et se pinçait les tétons. Sa tête tournait de gauche à droite pendant qu'elle criait son plaisir.

Quand elle rouvrit ses jambes, libérant ma tête, je m'allongeais sur elle et ma grosse queue bien dure la pénétra sans effort. Dans l'état d'excitation ou j'étais, j'eus juste le temps de lui faire avoir un nouvel orgasme avant que je n'explose dans sa chatte.

Après quelques minutes de repos bien mérité, elle se tourna vers moi :
- Ahhh, qu'est-ce que ça fait du bien. Tu baises vraiment bien, les femmes doivent être folles de toi.
- Tu as aimé ?
- Quelle question. Ça fait longtemps que je n'avais pas jouis comme ça. c'est mieux qu'une branlette. Tu as quelque chose de prévu pour ce soir ?
- Non, rien. Pas mal de mes copains sont en vacances. j'avais envie de me reposer.
- Je crois que c'est raté car je te garde encore un moment. Qu'est-ce que tu veux manger ? Une omelette et une salade, ça ira ? j'ai aussi une barquette de fraises au frigo.
- Très bien.
Elle se leva et grimaça quand elle posa le pied par terre car il était encore douloureux. Marie-Claude prépara le dîner. Elle s'affairait dans la cuisine en ayant juste ajouté un tablier sur sa nudité. Celui-ci ne cachait pas grand-chose et c'était un bonheur d'admirer ses fesses rondes soulignées par le lien et ses seins qui bougeaient à chacun de ses mouvements. Quand elle posa le saladier de fraises devant moi, je ne pus résister au plaisir de tirer sur le lien et le tablier tomba par terre. Marie-Claude me sourit et s'assit sur mes genoux en me qualifiant de « petit coquin ». Nous avons dégusté les fraises ainsi, avec nos doigts en piochant dans le saladier. Marie-Claude me donnait parfois la becquée en prenant une fraise entre ses lèvres et la déposant dans ma bouche.

Je pris un fruit et le passait dans la fente toute mouillée de Marie-Claude. Elle eut un petit sursaut et poussa un cri, surprise par la fraîcheur de la fraise. Puis je lui fis déguster. Elle fit ensuite elle-même la même chose et me tendit le fruit. Le mélange du goût de fraise et de sa mouille était délicieux et nous avons terminé le saladier de cette façon.

Après cela, je demandais à ma nouvelle amie de venir chez moi, car j'avais du champagne au frais et je lui proposais de continuer la soirée en dégustant cette bouteille. j'avais aussi une autre idée en tête?
Je quittais son appartement en lui recommandant de me rejoindre au bout d'une dizaine de minutes. c'était le temps qu'il me fallait pour installer mon caméscope sur un pied et le brancher sur ma télé. Dix minutes plus tard, Marie-Claude sonnait à ma porte alors que je posais le champagne sur la table basse.

j'entraînais ma voisine dans le salon et en lui quittant la robe qu'elle avait passée pour se couvrir le temps de traverser le palier. Je lui dis :
- Tu m'as dis que tu te branlais souvent, tout à l'heure.
- Oui, quand j'en ai très envie, ou pour me détendre après une dure journée.
- Tu vas me montrer, ça m'excite beaucoup de regarder une fille se toucher.
- Hummm, tu es un sacré coquin, toi. Mais puisque ça t?excite, d'accord.
- Mets toi sur le canapé.
Elle s'installa sur le canapé, et écartant ses cuisses, elle commença à se caresser. j'avais déjà mis le caméscope en route et j'allumais la télé avec la télécommande. Marie-Claude se découvrit alors sur l'écran, offerte en totale impudeur. Imperturbable, elle continua à se branler. Elle me fit juste la remarque

- Mais tu me filmes, petit salaud. Hummm, ça m'excite de me branler en me regardant. Je le faisais en me regardant dans un miroir mais là c'est encore mieux.
- Tu veux que j'enregistre ?
- Pourquoi pas. Mais rien que pour tes yeux, je ne veux pas me voir sur un site porno sur le net. Tu me promets ?
- Promis. Vas-y, maintenant j'enregistre.
Décidément Marie-Claude ne cessait de m'étonner par son absence de tabous et sa totale impudeur. Je remerciais le hasard de m'avoir donné une voisine comme elle, avec qui, j'en étais sur, je pourrais passer des moments très agréables.

Sur le canapé, Marie-Claude se caressait doucement. Du plat de sa main, elle stimulait son clitoris par des caresses circulaires, pendant que de l'autre elle se malaxait les seins. Je pris le caméscope afin de faire un gros plan sur sa chatte et cela l'excita encore plus et l'incita à se mettre deux doigts dans le con. Marie-Claude se masturbait le regard fixé sur l'écran de la télé. Elle s'excitait elle-même de se voir en gros plan sur l'écran et en rajoutait en caresses les plus osées. Elle suçait ses doigts avec délectation avant de les enfoncer dans son intimité, d'une main elle écartait ses lèvres intimes pour jouir du spectacle de sa chatte trempée dans laquelle ses doigts s'engouffraient et s'agitaient, elle remontait ses jambes, ouvrant largement sa raie culière, caressait la rosette de son cul et enfonça son majeur dans son petit trou. Elle ne fut pas longue à se donner du plaisir. Elle jouit les yeux grands ouverts en fixant la télé, étonnée, excitée de se regarder en plein orgasme.

Je me mis à genou devant elle, pénétrais sa chatte détrempée en deux ou trois allers retours rapides et je l'enculais brutalement. Je gardais le caméscope à la main afin qu'elle voie bien ma queue s'enfoncer dans son cul jusqu'à la garde, le dilater pour son plus grand plaisir.

Les jambes sur mes épaules, Marie-Claude accompagnait mes mouvements de pistons en gémissant de bonheur. Elle atteint l'extase en quelques minutes de ce traitement et cria de plaisir en m'attirant au plus profond d'elle. Je la rejoignis immédiatement en me vidant dans ses entrailles, tout en la défonçant brutalement.

Nous avons ensuite siroté du champagne en visionnant l'enregistrement que je venais de faire, ainsi que ceux que j'avais fait avec d'autres filles, avec Lise mais aussi Michelle et une de ses conquêtes. De voir mon amie baiser avec une fille sembla l'exciter beaucoup et elle me dit n'avoir jamais goûté aux amours saphiques.

Excités par ce que nous venions de voir, Marie-Claude offrit encore sa chatte, son cul et sa bouche à ma bite. Epuisés par les orgasmes successifs, enivrés par le champagne nous nous sommes endormis sur mon lit.

Dans les mois qui suivirent, je revis Marie-Claude au moins une fois par semaine. j'avais exigé d'elle qu'elle soit nue pour traverser le palier. Et je m'amusais à tarder quelques secondes avant de lui ouvrir ma porte, la matant par le judas, me délectant des regards inquiets qu'elle lançait vers l'escalier ou l'ascenseur.