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Proposée le 11/02/2010 par Marc Paul
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j'étais en train de réviser mon partiel quand mon portable se mit à vibrer sur ma table. Un coup d'oeil à l'écran pour savoir qui m'appelait me permit de lire uniquement un numéro de portable. La personne n'était pas dans mon répertoire. Je faillis ne pas répondre pensant à une erreur mais comme j'avais envie de faire une petite pause, je pris la communication.
Un voix féminine demanda :
« Bonsoir. Je parle bien à Marc ?
- Oui, c'est moi. Bonjour.
- c'est Soizic, tu te souviens de moi ?
- Soizic !!! Comment j'aurais pu t?oublier »
Effectivement comment aurais-je oublier la femme qui m'avait dépucelé et m'avait presque tout appris des choses du sexe. Je ne pensais pas à elle tous les jours mais le souvenir de Soizic et de ce week-end que nous avions passé ensemble cinq ans auparavant restait gravé dans ma mémoire pour toujours. Elle continua :
« Je te dérange ? Si tu veux je peux te rappeler une autre fois.
- Non, tu ne me déranges pas. j'étais le nez dans mes cours d'économie. j'ai un partiel bientôt. Mais tu tombes bien, j'avais justement envie de faire une pause. Comment vas-tu ?
- Bien, je vais très bien.
- Toujours célibataire ?
- Oh, oui plus que jamais. Ce qui ne veut pas dire que je vis comme une bonne s'ur. Et toi ?
- Moi pareil. Je ne veux pas m'engager si tôt mais un jour peut-être? tu te souviens peut-être m'avoir dit que, ayant eu une expérience, les filles accepteraient plus facilement de coucher avec moi, et bien tu as eu totalement raison. Je collectionne les aventures depuis ce jour.
- Hummm, je sais, je sais même que tu as baisé ma s'ur. Petit cochon.
- Ah ! elle t?a raconté.
- Ben oui, et ça m'a même fait sourire quand elle m'a avoué que tu lui avais fait découvrir les plaisirs de la sodomie. Depuis le temps que je lui disais que c'était très bon aussi par là, c'est bien que tu l'ais un peu forcée. Elle était enchantée de l'expérience. Bon, je ne vais pas te déranger plus, si je t?ai appelé c'est parce que j'aimerais bien te voir. Est-ce que tu aimerais passer un week-end avec moi, chez moi à Angers ? »
j'acceptais volontiers et nous primes rendez-vous.
Deux semaines plus tard, le vendredi en fin d'après-midi, je pris l'autoroute qui m'emmènerait d'Orléans à Angers. Et trois heures plus tard, je sonnais à la porte de l'appartement de Soizic.
Je redécouvrais une Soizic comme je l'avais laissée cinq ans auparavant. Toujours aussi belle et désirable, les années n'avaient pas eu de prise sur elle.
Le dîner était prêt et nous avons mangé en bavardant. La nuit fut intense et nous avons baisé jusqu'à une heure avancée. j'avais gagné en pratique et en assurance et Soizic n'avait rien perdu de son expertise en matière de plaisir. Ce n'est que vers 2 heures du matin que nous nous sommes endormis, rassasiés et heureux des plaisirs que nous avions partagés.
Nous nous sommes réveillés tard le lendemain et Soizic me proposa de déjeuner au restaurant. Elle me fit ensuite visiter la ville que je ne connaissais pas.
En fin d'après-midi, alors que nous étions dans son appartement, Soizic me dit :
- Il y a une autre raison à ces retrouvailles. j'ai un quelque chose à te demander.
- Ok, si je peux te rendre service ce sera avec plaisir. c'est quoi ?
- c'est à propos de Gaëlle, ma nièce?
- Gaëlle ?
- Oui, la s'ur de Loïc, ton copain. Ses parents l'ont si bien protégée, tu te souviens il y a six ans comme il s'inquiétait de ta réputation de Don Juan', si bien qu'à vingt ans elle est encore vierge. Elle a eu quelques flirts mais qui n'ont jamais été plus loin. c'est elle qui s'est confiée à moi, elle en souffre et en fait même un gros complexe. Nous sommes très libre ensemble et je suis sa confidente. Elle m'a même avouée qu'elle ne s'était jamais caressée. Alors j'ai pensé à toi?
j'étais totalement surpris par la demande de Soizic. Je ne voyais plus beaucoup Loïc depuis que nous avions passé le bac. Nous avions choisi des études différentes, lui était à Paris alors que j'étais en fac à Orléans. Je l'avais croisé quelques fois quand je rentrais à Paris. Je n'avais donc pas vu Gaëlle depuis quatre ans au moins et j'avais gardé d'elle le souvenir d'une adolescente pas très belle, trop maigre sans poitrine et très timide. Bref une fille qui passait inaperçue. Je répondis à Soizic :
- Tu penses que je suis capable de faire découvrir? La chose? à Gaëlle ?
- d'après ce que j'ai vu cette nuit, tu es un amant parfait. Il faudra juste que tu sois très tendre et très doux avec elle. Mais, attend je ne t?ai pas tout dit?
- Ah parce qu'il y a autre chose ?
- Oui, et pas des moindres. Elle se pose la question de savoir si elle ne préfère pas les filles, elle pense qu'avec une fille ce serait peut-être mieux qu'avec un mec. Bref elle se croit lesbienne. Aurais-tu dans tes amies une fille qui soit lesbienne et qui accepterait de lui faire découvrir l'amour entre filles ?
- Si je comprend bien tu veux que Gaëlle se fasse baiser par un mec et une nana afin qu'elle puisse choisir ?
- Exactement, j'avoue que je ne vois que cette solution. Nous en avons parlé longuement toutes les deux et elle est d'accord. Bien sur je ne lui ai pas parlé de toi avant de connaître ta réponse. Elle m'appelle tous les samedi, elle ne devrait pas tarder d'ailleurs.
- j'ai une copine qui n'est pas 100% lesbienne mais qui est bi. Pour te résumer, nous partageons ou échangeons parfois nos conquêtes respectives.
Je lui décrivis ensuite Michelle et lui demandais une photo de Gaëlle.
Elle me montra des photos de Gaëlle en maillot de bain qu'elle avait prise pendant les vacances précédentes. j'eus un choc en voyant Gaëlle sur l'écran du PC. Ce n'était plus le sac d'os de mon souvenir. Gaëlle était devenue très jolie. Fini l'appareil d'orthodontie, finiz sa maigreur, elle avait maintenant des formes très féminines et même sa poitrine présentait un volume très appétissant. Elle avait les mêmes yeux verts que sa tante, des jambes parfaites et ses cheveux blonds était coupés en un carré plongeant qui embellissait son visage. j'acceptais de rendre le service demandé par Soizic au moins pour ce qui me concernait et promis d'en parler à Michelle, bien que je sois presque certain de sa réponse. d'ailleurs, je demandais à Soizic les photos pour les lui montrer. Soizic finissait de m'envoyer les photos sur mon mail quand le téléphone sonna.
« - Allo, bonjour ma belle, comment vas-tu ?
- ?
- Tu sais, je crois que j'ai trouvé ce qu'il te faut pour ton petit souci. (Elle mit le haut-parleur et me signe de rester silencieux).
- T?es super, Tatie,.. Et c'est qui ? Je le connais ?
- Oui, tu te souviens de Marc ?
- Marc ! l'ancien copain de Loïc ?
- Exactement, t?en penses quoi ?
- Ben, ça fait longtemps que je ne l'ai pas vu mais à l'époque je le trouvais super beau. Tu crois que?
- Oh oui, il fera totalement l'affaire, tu ne devrais pas être déçue.
- Dis donc, Tatie, tu as l'air de bien le connaître? Tu ne m'aurais pas caché quelque chose ?
- On parlera de ça une autre fois, petite curieuse. Je peux lui donner ton numéro et lui dire de t?appeler ?
- Oui, oui, bien sûr, et pour la fille ?
- Je lui en ai parlé aussi, il pense pouvoir arranger quelque chose.
- Super, je te laisse car maman m'appelle pour le dîner. Gros bisous, Tatie.
- Gros Bisous, ma belle »
Je passais le reste du week-end avec Soizic à faire l'amour. En la quittant dans l'après-midi du Dimanche elle me promit de nous revoir. Je téléphonais à Michelle dès que je fus rentré à Orléans. Elle était chez elle et elle put ainsi voir les photos de Gaëlle et accepter de faire l'éducation de la belle en ma compagnie. j'appelais ensuite Gaëlle pour lui dire que tout était arrangé et que si c'était possible, cela se passerait chez Michelle le week-end suivant.
Le vendredi suivant, j'arrivais chez Michelle un peu avant Gaëlle. Quand Gaëlle arriva, j'allais lui ouvrir la porte. Elle me sauta au cou, visiblement ravie de me revoir, et posa ses lèvres sur les miennes. Nous nous sommes embrassés et elle répondit avec fougue à mon baiser. Je l'entraînais ensuite dans le salon pour lui présenter Michelle. Gaëlle ne savait quoi faire mais Michelle l'enlaça et l'embrassa sur la bouche. Gaëlle ne se déroba pas et, au contraire, rendit le baiser avec le même entrain qu'elle m'avait embrassé.
Nous avons dîné tout de suite. Tout en mangeant, nous avons amené Gaëlle à nous parler d'elle, de ses désirs, de ses fantasmes, et aussi de ses tabous' En fait elle avait peu de tabous, excepté peut-être une pudeur excessive. Simplement, elle craignait que sa première expérience se passe mal et voulait que cela se produise avec quelqu'un de confiance. Elle nous révéla que Soizic lui avait proposé son amant du moment mais elle avait refusé car elle voulait quelqu'un de jeune mais expérimenté.
Après le café, nous nous sommes retrouvés dans la chambre de Michelle. Je m'allongeais sur le lit sans me dévêtir et Michelle prit les choses en main. Elle déshabilla Gaëlle tout en l'embrassant et en la complimentant sur sa silhouette. Elle ne lui laissa que sa culotte pour ménager sa pudeur. Elle se dévêtit ensuite pendant que Gaëlle attendait debout, ses mains en coquille cachant ses seins magnifiques. Je me délectais du spectacle, me remémorant la Gaëlle que j'avais connue six ans auparavant, mesurant le changement. Les deux filles vinrent me rejoindre sur le lit, Gaëlle entre Michelle et moi. Tout en l'embrassant, en la câlinant doucement, nous l'avons forcée à nous dévoiler sa poitrine. Je quittais sa bouche pour m'occuper de ses seins, les pelotant, suçant les tétons qui durcissaient, les aspirant, les serrant doucement entre mes dents. Michelle prit ma suite, Gaëlle restait un peu figée, très contractée. Petit à petit, Michelle tout en continuant de lui sucer les seins, fit glisser sa main sur son ventre. Gaëlle se raidit un peu plus quand les doigts de mon amie s'introduisirent sous l'élastique de la culotte. Mais petit à petit, elle se détendit, écarta même un peu ses cuisses serrées, juste assez pour que Michelle puisse poursuivre l'exploration de son bas-ventre. Je voyais les doigts de Michelle s'agiter, distendant la fine dentelle de la culotte. Elle effectuait des mouvements circulaires et de haut en bas. Gaëlle se détendait de plus en plus grâce aux caresses expertes de mon amie. Elle avait ouvert largement ses cuisses, ses joues avaient prises une belle couleur rose et elle laissait échapper de temps en temps de petits cris au milieu de ses soupirs. Je mis moi aussi ma main dans la culotte de Gaëlle. Elle était déjà toute mouillée, sa chatte était gonflée et s'ouvrait sous nos caresses. Michelle lui retira sa culotte et Gaëlle l'aida s'appuyant sur ses talons. Elle s'allongea ensuite entre les jambes de la jeune pucelle pour la sucer en y mettant toute sa science de demi lesbienne. j'en profitais pour me déshabiller. Entre mes doigts qui titillaient son clitoris gonflé et la langue de Michelle qui parcourait sa fente, Gaëlle eut son premier orgasme très rapidement. Elle se cambra brutalement, enfonça ses ongles dans ma cuisse (elle avait heureusement lâché ma queue juste avant) et jouit en criant. Elle déclara ensuite, ayant récupéré :
« c'est comme ça un orgasme ? j'en veux plein d'autres ».
Ce à quoi Michelle répondit :
« Oui, c'est exactement ça, et ça peut être encore beaucoup plus fort. Mais il faut maintenant que Marc te baise.
- ça va faire mal ? Maman m'a dit que elle avait eu vachement mal la première fois.
- Non ça ne fait pas mal si tu es détendue et bien préparée.
- c'est quoi « bien préparée » ?
- Simplement avoir joui juste avant, être bien mouillée. n'ai pas peur, on va le faire tranquillement et c'est toi qui contrôlera tout. Marc mets toi sur le dos. »
Je m'exécutais pendant que Michelle demanda à Gaëlle de me chevaucher. Elle regardait ma bite en pleine érection avec un peu de frayeur. Michelle s'en aperçut et lui demanda :
« Tu as peur ?
- Ben oui, un peu.
- Pourquoi ?
- Je ne pensais pas que ça devenait si gros et si long. Je n'avais jamais vu de mec en train de bander avant.
- c'est vrai qu'il a un bel engin. Mais dis toi simplement que là ou va rentrer la grosse bite de Marc, c'est fait aussi pour faire passer un bébé. Ça ne doit pas te faire mal. Tu sentiras, peut être juste une petite douleur au début, mais si tu es bien détendue ça passera très vite. »
Elle positionna Gaëlle à la verticale de ma queue, prit celle-ci pour la guider vers la chatte de Gaëlle et la présenta en lui demandant de descendre un peu son bassin. Gaëlle suivait ses instructions à la lettre et mon gland se retrouva entre les petites lèvres de la chatte de Gaëlle. Michelle se positionna derrière elle, chevauchant mes cuisses et passa ses bras sous ses aisselles pour la soutenir. Elle lui prodiguait des conseils qu'elle lui chuchotait à l'oreille.
Gaëlle s'enfonçait doucement sur mon dard, je sentais mon gland dilater son con, s'enfoncer en elle, jusqu'à se qu'il rencontre une résistance. Elle s'arrêta et Michelle l'encouragea à continuer. Je voyais le visage un peu crispé de Gaëlle qui fit une petite grimace quand la résistance de son hymen céda. Ce point passé, elle finit de s'empaler totalement sur moi et son visage se détendit et s'éclaira d'un large sourire. Elle remonta et redescendit aussitôt sans l'aide de mon amie qui s'occupait maintenant de lui caresser les seins et le clitoris. Les mouvements de piston s'accéléraient à mesurer que le plaisir de Gaëlle revenait. Elle s'empalait maintenant brutalement sur moi en gémissant quand ma bite touchait le fond de son con serré. Michelle la branlait de plus en plus vigoureusement jusqu'à ce qu'elle jouisse avec mon dard enfoncé en elle jusqu'à la garde, penchée en arrière, la tête posée sur l'épaule de Michelle qui la soutenait, les yeux révulsés.
Sans attendre qu'elle ne récupère, je la fis basculer sur le coté sans quitter la chaleur de son con agité de spasmes et je la défonçais à grand coup de reins jusqu'à ce que j'explose dans sa grotte. Elle eut en même temps un troisième orgasme et enfonça ses ongles dans mes omoplates.
Je restais en elle, pendant qu'elle récupérait, en faisant de petits allers-retours dans son ventre avant que ma queue perde sa rigidité.
Michelle se glissa entre nous en disant :
- Dites donc, mes amours, j'aimerais bien prendre mon pied à mon tour, j'y ai droit aussi.
Je commençais à câliner Michelle et Gaëlle participa également sans que nous ayons besoin de la solliciter. Elle caressait les petits seins de Michelle tout en l'embrassant pendant que je m'occupais de sa chatte. Je lui mis deux doigts dans la chatte, fouillait son con au plus profond puis les tendit à Gaëlle pour qu'elle les suce, qu'elle découvre le goût d'une fille. Elle s'enhardit jusqu'à caresser Michelle et suça ses doigts, elle semblait trouver cela agréable.
Michelle aimait se faire cajoler par une fille et un garçon en même temps. Elle me l'avait prouvé en de maintes occasions et elle exprimait toute l'excitation que lui procurait le fait de se faire baiser par une jeune fille encore innocente. Gaëlle lui branlait maintenant le con violemment, encouragée par les cris et les râles de mon amie. Je m'occupais de ses seins et de son clito en embrassant et mordillant les premiers et en titillant le second. Michelle partit d'un orgasme violant secouée des pieds à la tête sans que ni moi, ni Gaëlle n'arrêtions nos caresses. Je m'allongeais sur elle et Gaëlle guida ma queue qui avait repris toute sa rigidité vers le con de Michelle où je l'enfonçais d'un seul coup de reins. Je défonçais Michelle pendant que Gaëlle lui caressait le clito. Sentir sa main s'agiter entre nos ventres m'excitait un maximum, et je crois que si je n'avais pas déjà jouis dans le ventre de Gaëlle, j'aurais déjà remplis celui de Michelle. Mais mon endurance me permit, avec l'aide de Gaëlle, de faire jouir encore une fois notre complice et ensuite je ne me retins plus et j'explosais au plus profond de son con.
j'étais rassasié et mes deux femelles aussi. Le sommeil nous submergea rapidement, épuisés que nous étions par les orgasmes successifs.
Le lendemain après le petit déjeuner, Michelle me demanda d'aller chercher du pain. Elle avait en effet prévu suffisamment de victuailles pour les deux jours mais il fallait du pain frais. Elle me demanda ce service car elle avait envie de se retrouver seule avec Gaëlle. Elle m'expliqua cela arrêtant net mes protestations. Michelle voulait être seule avec elle, pour lui faire découvrir l'amour entre filles et lui enseigner comment faire plaisir à une autre fille. Même si la boulangerie n'était pas très loin, elle me pria de ne pas rentrer avant midi.
Quand je revins vers midi, mes deux baguettes sous le bras, après avoir flâné dans les rues et le petit parc voisin, et je trouvais mes deux complices dans la cuisine.
Elles s'affairaient à préparer le déjeuner, mais en voyant leur tête à l'une et à l'autre, je me doutais qu'elles n'avaient pas occupé le temps de mon absence uniquement à cela. Elles étaient l'une et l'autre simplement vêtues d'un T-shirt qui ne masquait pas du tout leurs jolis postérieurs. l'une comme l'autre avaient de légers cernes sous les yeux, les joues roses et les caresses furtives, les regards langoureux qu'elles échangeaient, montrait à l'évidence qu'elles s'étaient données du plaisir.
Je tentais bien d'en savoir un peu plus mais malgré toute mon insistance, ni l'une, ni l'autre ne voulut me raconter. Elles se contentaient de répondre par un sourire et un regard coquin à mes questions.
l'après midi, les deux filles décidèrent d'aller faire un tour en ville. Moi qui pensais faire une sieste « crapuleuse », j'étais un peu déçu. Pour me consoler, elles prirent la décision de ne pas porter de sous-vêtements. Michelle passa une robe légère très courte et transparente, et Gaëlle sortit de sa valise une jupe encore plus courte que la robe de Michelle et un chemisier blanc tout aussi transparent. Elles se perchèrent sur des escarpins à hauts talons toutes les deux. En les voyant ainsi, je me dis que j'allais faire des envieux dans la population mâle que nous allions croiser. Je pensais aussi qu'heureusement pour elle que nous étions en plein après-midi et que je les accompagnais, car à elle deux, elles constituaient une véritable incitation au viol.
Nous avons déambulé dans les rues une bonne partie de l'après-midi. Parfois je marchais entre elles deux en les tenant chacune par la taille. Les gens se retournaient au passage de ces deux donzelles, et la plupart des hommes me lançaient des regards envieux, ce qui me fit gonfler d'orgueil.
Dans certaines petites rues désertes, elles se détachaient de moi, prenaient de l'avance et relevant leur jupes, me montraient leur jolies fesses en riant au éclats.
De retour à l'appartement, Gaëlle me dit :
- c'est vraiment sympa d'avoir accepté de faire ce petit tour en ville avec nous. Pour te remercier, nous sommes à ta disposition et nous ferons tout ce que tu veux.
- c'est dangereux de dire ça, je pourrais en abuser.
- j'espère bien que tu vas le faire?
Cette réponse pleine de promesse, m'excita beaucoup. Je pris quelques secondes pour réfléchir et je leur donnais le programme :
- d'abord vous allez me faire un joli strip-tease toutes les deux.
- Ok, ensuite ?
- Ensuite, vous me sucerez toutes les deux ensembles.
- Hummm, et? ?
- Après, vous baiserez ensemble et je vous regarderai.
- d'accord et c'est tout ?
- Non, bien sur, mais ce sera la surprise.
Michelle me servit à boire et me demanda de patienter quelques minutes. Les deux filles disparurent dans sa chambre et revinrent quelques instants plus tard. Elles avaient gardé leurs tenues précédentes mais avaient juste ajouté des bas tenus par des porte-jarretelles. Des deux, Gaëlle était de loin la plus sexy avec sa minijupe qui ne couvrait pas le haut des bas laissant apparaître la peau nue de ses cuisses. Michelle mit un CD dans sa minichaîne et commença à onduler en rythme au milieu du salon, suivie immédiatement par Gaëlle.
Les deux filles dansaient en se caressant, leurs mains passaient sous les jupes de l'autre et pelotaient les fesses nues. Elles ondulaient en soulevant leur jupe à la manière des danseuses de french cancan, me donnait à admirer leurs fesses rebondies et leur chatte lisse. Je quittais mes vêtements pendant ce temps, leur montrant ma queue dressée, preuve que leur exhibition me faisait de l'effet. La vue de mon membre dur et gonflé que j'astiquais en les regardant, déchaîna les donzelles. Michelle sans cesser de danser, se mit derrière Gaëlle et lui pelota les seins. Sa partenaire pour ne pas être en reste avait relevé sa jupe ainsi que celle de Michelle et frottait langoureusement son cul sur son ventre. La jupe de Gaëlle tomba à ses pieds, elle s'en débarrassa en la jetant dans ma direction. Son chemisier était grand ouvert, permettant à Michelle de lui malaxer les seins à pleines mains. Gaëlle se retourna et les deux filles s'embrassèrent à pleine bouche. Puis elle fit pivoter Michelle, fit glisser le zip de la robe qui se retrouva au sol. d'une main, elle caressait la poitrine menue de mon amie et l'autre s'occupait de son bas-ventre. Il ne leur restait que leur bas et porte-jarretelles quand la musique s'arrêta. Ce fut comme un signal, elle s'arrêtèrent de danser et se ruèrent sur ma queue gonflée. Gaëlle suçait bien pour sa première pipe. Je la soupçonnais d'avoir mis à profit mon absence pour s'entraîner et apprendre avec l'aide Michelle. Je reconnaissais la manière de Michelle de sucer quand elle absorbait mon gland violacé et entourait sa langue autour.
Celle-ci me suçait aussi un peu mais laissait le plus souvent, la place libre à Gaëlle, lui appuyant sur la tête pour qu'elle engloutisse profondément ma grosse queue. Ces deux femelles en chaleur étaient déchaînées et leur léchouilles firent leur effet. Je jouis dans la bouche de Gaëlle, qui surprise par mon jet puissant au fond de sa gorge, se retira bien que Michelle la maintenait. Elle reçu le deuxième jet en pleine figure avant d'engloutir à nouveau ma queue pour me pomper jusqu'au bout. Michelle lécha le visage de Gaëlle et partagea mon sperme avec elle dans un long baiser, intermède avant de s'allonger toutes les deux sur le tapis pour se faire un joli 69.
Puis de caresses en baiser, elles en vinrent à utiliser les sex-toys dont Michelle avait une véritable collection. Elles se firent jouir plusieurs fois chacune à l'aide de gode, de vibromasseur, sans oublier bien sur leur doigts ni leur bouche. Pour finir, elles placèrent leur jambes en ciseaux et frottèrent leur chatte l'une contre l'autre en se tenant par la main. Un nouvel orgasme ponctué de râle et de cris les prit en même temps.
Après avoir récupéré, Gaëlle se tourna vers moi et me demanda d'un air coquin, ce que j'avais prévu pour la suite. Je lui répondis sous la forme d'une question :
- j'ai baisé ta chatte et ta bouche, que reste toeil d'après toi ?
- Mon cul ?
- Exactement, je vais t?enculer ma belle, il serait dommage que tu restes pucelle de cet endroit là?
j'avais failli ajouter « ?comme ta mère ». Mais elle n'avait pas besoin de savoir que j'avais baisé sa mère.
Michelle l'a fit mettre en levrette et lubrifia sa rondelle avec un gel lubrifiant. Elle lubrifia abondamment ma queue également. Michelle prit ma queue et la guida vers le petit trou de Gaëlle. Comme me l'avait appris sa tante, je l'agrippais par les hanches et la tirait doucement vers moi, forçant doucement sa rosette. Gaëlle résista peu car Michelle avait lâché ma queue pour se glisser sous Gaëlle et ainsi lui sucer la fente et lui caresser les seins. Je me retrouvais vite avec ma queue enfoncée au maximum. Michelle la suçait pendant que ma queue allait et venait dans son cul comme un piston. Gaëlle était totalement détendue, et se laissait aller au plaisir de la sodomie. Elle se cambrait pour être enculée plus profond et m'encourageait à la baiser encore plus fort. Elle jouit ainsi le corps agité de spasmes, laissant échapper un râle du plus profond de sa gorge. Elle se laissa glisser enfin sur le coté, délivrant ma queue de son fourreau.
Michelle prit sa place, je l'enculais à son tour mais en prenant beaucoup moins de précaution qu'avec l'ex pucelle. Elle jouit avant que je ne me vide dans ses entrailles.
Il était déjà tard et Gaëlle devait rentrer. Elle partit après une douche. Elle nous embrassa en nous remerciant. Elle promit de nous revoir.
Je passais le reste du week-end avec Michelle et je rentrais à Orléans dans l'après-midi du dimanche.
Le dimanche soir je reçu un coup de téléphone de Soizic. Elle m'annonça :
- Gaëlle m'a appelé hier, elle est enchantée de son week-end.
- Elle t?a raconté.
- Oui, enfin, en gros mais j'ai cru comprendre qu'elle n'est plus pucelle de nulle part.
- Effectivement.
- Humm, elle a l'air d'avoir aimé ça et elle me dit qu'elle est prête à rattraper le temps perdu. Mais elle a quand même un petit souci.
- Ah, oui, raconte.
- Ben voila, elle n'arrive toujours pas à ce décider si c'est mieux avec une fille ou un mec. Elle m'a dit aimer les deux. Dis donc, ton amie doit être douée? Je me demande si je n'aimerais pas passer quelques heures en sa compagnie.
- Hé, pourquoi pas, cela arrivera peut-être.