Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.
Proposée le 4/02/2010 par Jeune-innocente
ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE
Cette histoire s'est passée il y a maintenant quelques mois de cela.
J'ai été invitée à dormir chez Julie une de mes meilleures amies, elle est presque comme une s'ur pour moi ; on a fait les quatre cent coups ensemble, premier petit copain, première fête, première cigarette, première masturbation... Oui on a vraiment tout fais ensemble.
Et comme moi, ses parents sont toujours en déplacement, et comme on n'aime pas particulièrement dormir seules on vient à tour de rôle l'une chez l'autre. Ce soir là, on avait décidé d'aller chez moi pour profiter de la piscine, on adore prendre des bains de minuit, toutes nues, je trouve tellement agréable de sentir le contact de l'eau sur mon corps, mais je l'avoue, si on se baigne toutes nues, c'est aussi et surtout pour mon voisin qui adore nous mater derrière sa petite fenêtre. Loin ne nous en déplaise, on aime faire monter la température...
Mais finalement il s'est mis à pleuvoir on a donc décidé d'aller chez Julie.
Les parents de Julie se sont séparés, elle vit maintenant juste avec son père, la quarantaine un homme vraiment sexy pour son age, très viril, un peu macho. Mais je n'ai pas l'occasion de le séduire, mis à part quelques fois où j'ai exprès laissé la porte de la douche ouverte en espérant qu'il m'y verrait, mais je ne crois pas qu'il l'ait remarqué.
Julie et moi avons regardé jusque tard dans la nuit des films d'amours et avons même terminé par un petit film érotique. Vers 2 heures du matin nous sommes allées nous coucher, nous dormons toujours dans le même lit. Je me souviens l'avoir entendu se masturber avant de m'endormir.
Mais vers 4h du matin je me suis réveillée la gorge sèche, Julie dormait profondément, je décidais donc de descendre me désaltérer, j'étais seulement vêtue d'un long tee-shirt blanc avec rien en dessous, j'aime dormir sans sous-vêtement.
Je descendis les longs escaliers en marbre qui conduisaient dans sa cuisine, je ne pris pas la peine d'allumer la lumière, j'aime me prétendre capable de voir dans la pénombre..
Je repérais le frigo et me servis un verre de lait, je remarquais également un paquet de cigarette et m'en allumai une, je me pris à admirer mon reflet dans la porte de son frigo, celui ci étant métallique, on peut aisément se voir dedans.
Je me trouvais assez sexy, avec mon petit tee-shirt qui moulait mes formes, si je me relevais assez, on pouvait apercevoir le bout de mes fesses, je commençais à taper des poses suggestives devant ce faux miroir, quand j'entendis quelqu'un toussoter.
Je remarquais quelqu'un dans la pénombre du salon ouvert sur la cuisine, assis sur un fauteuil, je commençais à paniquer; mais je reconnu le père de Julie quand il se leva de son fauteuil. Il avait un verre à la main, qui m'avait semblé être du scotch, il s'avança vers moi sans dire un mot, mais sans cessé de me fixer, enfin lorsqu'il entra dans la cuisine il s'adossa au plan de travaille légèrement face à moi:
- Tu dois être Ellana la copine à Julie ?
- Oui c'est moi...
- On a pas eu l'occasion de vraiment se parler mais je me souviens de toi, Julie me parle souvent de toi.
- Ah
Tout en me parlant il ne cessait de me fixer, je sentais son regard glisser le long de mon corps et parfois s'arrêter sur ma poitrine, que je sentais durcir à force de ses regards.
Je me sentais tellement gênée mais à la fois tellement excitée. Une douce chaleur commençait à envahir mon bas ventre.
- Alors dis moi Ellana tu as si chaud que tu descends à 4h du matin pour aller boire ?
- heu oui, il fais assez chaud...
- Tu devrais enlever ce tee-shirt tu serais plus à l'aise...
- ...
Là je n'arrivais carrément plus à soutenir son regard, je tournais les yeux en espérant qu'il ne me voit pas rougir, et surtout qu'il ne remarque pas que je commençais à être toute mouillée, et à quel point j'avais envi qu'il s'approche de moi.
Pourtant il sembla comprendre, il s'approcha doucement il me plaqua au frigo et colla son corps contre me mien. Le contact glacé du frigo et le contact brulant de nos deux corps m'excita d'autant plus. je pouvais sentir la bosse de son pantalon se durcir.
- Tu es terriblement excitante, aimerais-tu que je te touche ?
Il n'attendit pas ma réponse et commença à caresser ma poitrine, je sentais mes tétons durcir de plaisir, il laissa glisser son autre main le long de mes cuisses, il releva mon tee shirt jusqu'à mon ventre, ce qui dévoila mon minou, je me sentais tellement gênée, pourtant je voulais qu'il continue, qu'il ne s'arrête pas de me toucher, il remonta sa main jusqu'à mon sexe, il commença à jouer avec mon bourgeon, mais j'étais tellement mouillée que ses doigts glissèrent jusqu'à mes lèvres, il y enfonça deux doigts, je ne pus retenir un cri de plaisir...
- Je vois qu'on est déjà toute excitée, tu fais ta petite prude, mais je l'ai remarqué que tu n'attends que ça qu'on vienne te prendre...
Il continua des va et vient avec ses doigts, je sentais déjà l'orgasme arriver, le plaisir été si intense que je n'arrivais plus à rester debout, mes jambes commençaient à fléchir, il retira ses doigts et me souleva pour m'assoir sur la table de la cuisine, il retira mon tee-shirt et ses vêtements, nous étions maintenant tous les deux nus.
Il me fit m'allonger sur la table et écarta mes cuisses, il saisit son sexe et commença à caresser ma chatte avec, je mouillais tellement qu'il glissait tout seul, il s'amusait à me pénétrer un tout petit peu pour ressortir immédiatement et continuer à caresser mon clitoris, mes lèvres avec. Je ne pouvais plus tenir j'avais tellement envie de sentir son sexe à l'intérieur de moi, et enfin il me pénétra d'un coup, et commença des vas et viens presque violents.
- Tu aimes ça avoue !
- Oui...
Il se retira et me descendit de la table il me mit dos à lui et me plaqua face à la table, et me prit en levrette, je sentais ses doigts caresser mon anus, tout en pénétrant.
- Je suis sur que tu es vierge par derrière, l'as tu déjà fais par ici ?
- Non mais je ne veux pas...
Je sentais l'orgasme arriver, et quand il enfonça un doigt dans mon anus le plaisir fut tellement intense que je jouis et lui ne tarda pas à me suivre presque aussitôt.
Julie n'en su jamais rien, le lendemain matin elle fut heureuse de voir son père, celui ci m'adressa un clin d'oeil comme pour signifier qu'il n'en avait pas fini avec moi...