Chap IV : Michelle

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Proposée le 1/02/2010 par Marc Paul

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C'est le mariage de ma s'ur Corinne. J'ai comme cavalière la s'ur de mon beau-frère. J'essaie bien de la brancher un peu mais elle n'est pas vraiment partante, j'insiste mais au bout d'un moment elle me déclare que je perd mon temps car elle a un petit copain qui n'a pas été invité, et qu'elle ne veut pas le faire cocu. Bon, une défaite qui m'importe peu car si je la draguais c'est juste pour passer le temps et puis au cas ou ça aurait marché, c'est toujours ça de pris.

En fait, c'est plutôt Michelle qui m'intéresse. Même si elle aussi est en couple depuis bientôt un an, j'ai toujours en mémoire la promesse que je me suis faite cinq ans auparavant sur la plage quand j'ai découvert qu'elle et ma s'ur baisaient ensemble.
Malgré les conquêtes féminines que j'ai eu pendant ces années, j'ai toujours gardé l'envie de baiser Michelle. L'amour d'adolescent que j'avais pour elle à l'époque s'est changé en un désir charnel. Je n'oublie pas que c'est elle qui a provoqué mon premier orgasme pendant que je les matais elle et ma s'ur en train de baiser sur la dune. Michelle a un peu changé, le grand haricot qu'elle était à pris un peu de chair sur ses os et elle étale maintenant des formes très féminines. Ses seins restent petits même si ils ont pris un peu de volume, ses hanches se sont élargies. Seul son visage a gardé des traits un peu durs qu'elle sait maintenant adoucir avec un maquillage adapté.

La soirée s'étire, après le diner de réception, l'orchestre composé de copains de mon beau-frère commence à jouer. Les couples dansent sur la piste, rocks endiablés, suivis de slows et de musette pour les plus anciens. Je surveille Michelle du coin de l'oeil, attentif à saisir la bonne occasion. Je danse un tango avec Corinne, qui rit beaucoup de mes piètres qualités de danseur puis arrive une série de slows. J'invite Michelle qui accepte avec entrain. je l'enlace sur la piste de danse et je commence à la frotter. Nous bavardons un peu, Michelle rouspète un peu vis à vis de son compagnon qui dort, ivre, sur une chaise dans un coin de la salle. Elle me déclare tout de go qu'elle et lui ça ne va pas durer, qu'un jour il va trouver en rentrant ses affaires sur le palier, qu'elle va le virer de chez elle et de sa vie, un "c'est un gros con" ponctue comme une sentence la description qu'elle me fait de lui.

Je tente ma chance en lui disant dans le creux de l'oreille "Et puis si les hommes ne te plaisent plus, tu peux te rabattre sur les filles". Je la sens frémir dans mes bras. Elle me demande ce que je veux dire. En l'entrainant vers le bar, je lui raconte que je les ai vues, elle et Corinne pendant les vacances en Vendée et tentant le tout pour le tout, je lui raconte même que je me suis branlé en les regardant. Elle me regarde un peu inquiète "Et tu en as parlé avec quelqu'un ?" Je la rassure en lui disant que non et elle m'explique que si Corinne cette année-là avait cédé à ses avances, cela n'avait pas duré car, un an plus tard, ma s'ur avait définitivement conclu qu'elle préférait les garçons et de façon exclusive. Elle m'assure que depuis quatre ans, en fait depuis que Corinne a rencontré son mari, elles n'ont plus jamais baisé ensemble mais elles sont restées très bonnes amies malgré tout.

Il fait chaud dans la salle en ce mois de juillet et Michelle me propose de prendre un peu l'air à l'extérieur. Autour de la salle des fêtes, il y a un joli parc ou nous trouvons un peu de fraicheur.
La conversation se poursuit sur le même sujet, Michelle m'assure qu'elle n'est pas lesbienne mais simplement bi. Elle aime bien les garçons même si son compagnon actuel commence à lui prendre la tête. Elle revient sur ce que je lui ai dit à propos des vacances en Vendée et me demande pourquoi je les ai suivi ce soir là.

Nous sommes maintenant assis sur un banc et mon bras et posé sur le dossier. Michelle est assise à coté de moi. Ma réponse est simple et sans équivoque "Tu vois à cette époque j'étais amoureux de toi comme on peut l'être à quinze de la copine de sa s'ur et j'étais jaloux en plus, je voulais savoir ce que tu faisais". Elle rit un peu et poursuit "Et maintenant, tu es toujours amoureux de moi ?" Je risque la franchise, ça passe ou ça casse "Amoureux, non plus vraiment, en fait tu es très belle et très désirable et j'ai simplement envie de toi." Elle me regarda fixement en souriant, et elle me dit "On ne s'est pas beaucoup vu pendant toutes ces années et en te revoyant aujourd'hui, j'ai constaté que celui que je considérais alors comme un petit garçon un peu chiant avait beaucoup changé, tu es devenu un beau jeune homme et en dansant tout à l'heure,... Et bien moi aussi j'ai eu envie de toi" Sans me laisser le temps de répondre, elle m'embrassa dans un long baiser tendre. Ça passe pensais-je en moi même.

Nous nous sommes embrassés longtemps, je lui caressais les seins à travers sa robe de soirée, constatant qu'elle ne portait pas de soutien-gorge. Puis enlacés, nous avons fait encore quelques pas jusqu'à un autre banc encore plus à l'écart. Michelle s'y assoit et me tire vers elle. Elle ouvre ma braguette et en sort ma queue gonflée. Elle me suce lentement, avec application. Elle profite de la situation pour baisser complètement mon pantalon et mon slip. Les deux mains agrippés à mes fesses, elle enfonce ma queue profondément dans sa gorge. C'est la première fois que l'on me fait une "gorge profonde", j'adore. Elle est obligée de s'interrompre pour reprendre sa respiration.

Au loin dans une allée parallèle, j'aperçois Corinne et son mari qui s'éclipsent comme le veux la tradition. Je ne sais pas si ils m'ont vu, je m'en fiche. Je fais relever Michelle, l'embrasse, puis je relève sa robe longue pour la caresser. Sa culotte est trempée. Elle gémit sous mes caresses, projetant son bassin en avant pour aller au devant de ma main. Elle pose un pied sur le banc s'ouvrant plus largement. Je glisse un doigt par une jambe de sa culotte, écarte le petit morceau de tissu trempé de mouille. Je rencontre son pubis exempt de toute pilosité, lisse et doux. Mon doigt glisse dans sa fente, remonte tant bien que mal vers son petit bouton que je titille doucement. Michelle gémit de plus belle, ondule agrippée à mes épaules cherchant ma bouche. Je lui mets un doigt puis deux dans sa grotte intime. Elle ne peux plus tenir debout et je sens son corps devenir lourd, Ses jambes tremblent, elle est au bord de l'orgasme. Je lui titille encore le clito, elle s'accroche à moi, se colle à mon torse, tremblante sur ses jambes qui ne la portent plus, elle jouit en poussant un long râle de plaisir, la tête renversée en arrière, les yeux révulsés, la bouche entrouverte.

Je lui laisse quelques minutes de récupération puis je l'installe à genou sur le banc les bras appuyés sur le dossier. Je lui ai quitté sa culotte que j'ai fourrée dans la poche de ma veste. La robe remontée sur les reins, Michelle me tend ses fesses, je glisse ma queue vers sa fente, puis la tenant par les hanches, je m'enfonce dans son con détrempé de désir. Elle accueille mon pieu avec un long soupir d'aise et je ne lui ai pas envoyé plus de deux coup de reins qu'elle reparte dans un second orgasme.

Je me retire dès le calme revenu et j'appuie mon gland sur la rosette de son cul. Elle me dit d'une voix rauque "Ohhh, oui, encules-moi baises mon petit trou, je veux que tu me prennes de partout." Il ne serait pas gentleman de refuser une telle invitation. J'augmente doucement la pression sur son anus qui cède sans résistance, je m'enfonce doucement mais profondément dans ses entrailles, elle aime, me le dit, m'encourage avec des mots crus et vulgaires. Michelle est déchainée, elle ne se contrôle plus vraiment. "Vas-y, mon cochon, baises moi au cul, comme une grosse pute, fourres moi ta grosse queue plus profond, viens, je te sent bien". Mes coups de reins dans son petit trou serré, l'obscénité des paroles de Michelle ont raison de ma résistance, j'explose en elle en l'enculant au plus profond d'elle même. Elle jouit une troisième fois en même temps que moi.

Au bout de quelques minutes, ma bite se dégonflant, je me retirais doucement de son cul. Michelle, la tête appuyée sur ses avant-bras revenait doucement à la réalité. Elle me dit dans un grand soupir "Ahhh, la vache que c'était bon, j'ai pris un pied extra, passes moi mon sac, s'il te plait". je lui tendis le sac, elle fouilla dedans, pris un kleenex et s'essuya avec. Elle regarda ensuite autour du banc, je lui demandais ce qu'elle faisait. elle me répondit qu'elle cherchait sa culotte car sinon elle allait s'en mettre partout. Je ne lui dis pas que sa culotte était dans ma poche car cela m'excitait de savoir qu'elle passerait le reste de la soirée nue sous sa robe. Ne trouvant pas ce qu'elle cherchait, elle alla s'accroupir derrière un buisson et s'essuya encore avec un autre mouchoir qu'elle jeta dans une poubelle. Nous sommes revenus vers la salle ou la fête battait son plein, en flânant enlacés l'un à l'autre. Michelle me fit remarquer que pour un jeune, je baisais bien et je lui racontais le jour ou j'avais baisé pour la première fois avec Soizic. Juste avant d'entrer, je jetais un coup d'oeil à mon portable car il m'avait semblé entendre la sonnerie qui annonçait un SMS. Comme j'étais en train de baiser Michelle à ce moment là, je n'avais évidemment pas vérifié.
C'était bien un texto de Corinne qui disait "Bonne bourre, frangin, bises". Elle m'avait vu me faire sucer... Mais elle n'avait pas pu voir par qui. Je montrais le texto à Michelle en lui expliquant et c'est en riant que nous sommes rentrés dans la salle.

Quelques semaines plus tard, je reçu un SMS de Michelle qui me disait "G vire le gro con, vien kan tu veu che moi, tel moi, bizoo".

A partir de ce jour, nous nous voyons fréquemment. Le plus amusant c'est que nous nous présentons mutuellement nos conquêtes féminines et nous essayons de les séduire. Ca ne fonctionne pas toujours mais quand ça marche nous pouvons nous offrir des parties à trois tout à fait torrides.