Chap III : Anne, la mère de mon meilleur ami

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Proposée le 2/02/2010 par Marc Paul

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En terminale, Loic et moi étions toujours dans la même classe. La prédiction que Soizic m'avait faite en juillet précédent au cours des vacances s'était révélée exacte. Non seulement, je continuais de collectionner les copines mais maintenant la plupart d'entre elles acceptaient de coucher. Je m'efforçais de leur donner le plus de plaisir possible mais aussi exigeait d'elle les pratiques que Soizic m'avait appris. Ma réputation de "tombeur du lycée" ne faisait que s'amplifier.

Courant Octobre, Loic s'était cassé la figure en scooter. Rien de très grave mais simplement un fémur cassé. Il devait passer une semaine à l'hôpital puis ensuite rester chez lui pendant au moins un mois. Pas très grave mais embêtant pour cette année de term'. Nous avions convenu que je passerai tous les soirs après les cours pour lui donner des photocopies de mes notes et lui expliquer rapidement les cours. Loic devait quitter la clinique le samedi, et le vendredi après-midi, il subirait pas mal d'examen avant sa sortie. De mon coté, je devais être rentré tôt car je partais en week-end avec mes parents. Comme mes cours se terminais à quinze heures, je passai chez lui pour poser les photocopies, il les trouverait ainsi le lendemain.

Sa mère, Anne m'accueillit et me fit entrer dans la cuisine où elle lavait la vaisselle du déjeuner. Elle était seule, son mari, étant reparti travailler et Gaelle, la s'ur de Loic, était au lycée. Je lui proposais mon aide pour essuyer la vaisselle et sans attendre sa réponse je saisis le torchon et me mis à l'ouvrage.

Pendant qu'Anne s'affairait devant l'évier, je ne pouvais m'empêcher de contempler ses belles jambes, sa croupe rebondie, ses hanches pleines et ses gros seins qui bougeait au gré de ses mouvements. Anne ressemblait beaucoup à sa s'ur Soizc qui m'avait dépucelé le mois de Juillet précédent. Le souvenir de ce week-end, la ressemblance de Anne avec sa s'ur m'excitait et je sentais ma queue durcir dans mon jean.

Quand la dernière casserole fut essuyée et alors que Anne rinçait l'évier, je ne pus m'empêcher de la saisir à la taille et de l'embrasser dans le cou. Elle gloussa de surprise et se retourna :
- Mais, mais... Marc, qu'est-ce qui te prends ? tu es fou ?
- Désolé mais j'ai très envie de toi.
- Ca ne va pas bien, je pourrais être ta mère... Et si quelqu'un venait.
Je la maintenais toujours fermement et l'attirait vers moi. Elle résistait de ses deux bras appuyés sur ma poitrine.
- Ben oui, j'ai envie de te baiser... Et toi aussi tu en as envie.
- C'est le comble ça, qu'est ce qui te fait croire cela ?
je lui pris les poignets et ramena ses mains dans son dos. Bloquée entre l'évier et moi, ses seins s'écrasaient sur ma poitrine.
- Tu as dit que tu pourrais être ma mère, tu as dit que quelqu'un pourrait venir,... Mais tu n'as pas dit que tu ne voulais pas, n'est-ce pas ?
Elle fut surprise par ma réponse, elle resta bouche bée, presque déjà vaincue par la logique de mes arguments. J'en profitais pour poser mes lèvres sur les siennes et introduit ma langue dans sa bouche. Elle ne résista pas vraiment mais ne répondit pas à ma langue qui cherchait la sienne.

Je lâchais une de ses mains qu'elle garda dans son dos. Ma main libérée se posa sur sa cuisse, la caressa de haut en bas, puis de bas en haut entrainant la jupe avec elle. Anne ne portait pas de bas, ni de collants et je sentais la douceur de sa peau en contact avec ma paume. Elle ne protesta pas quand ma main atteignit la lisère de sa culotte et quand je commençais à lui peloter les fesses, sa seule réaction fut de répondre à mon baiser. Je glissais un doigt sous l'élastique de sa culotte et en suivant l'échancrure j'atteignis sa chatte. Elle écarta un peu les jambes, sa chatte était toute gonflée et déjà un peu humide.
Lâchant sa bouche, je lui demandais :
- Tu en as envie n'est ce pas ?
- Oui j'ai envie de toi, mais il faut que ça reste entre nous, tu me promets ?
- Je te le promets.
- Alors viens...
Et elle m'entraina dans la chambre d'amis.

Tout en la caressant et en l'embrassant, je lui quittais sa jupe et fit glisser son pull fin par dessus sa tête. Je la fis assoir sur le lit, ouvrit mon jean, en sortit ma bite bien raide et lui tendit. Elle s'en empara, me branla deux ou trois coups avant de prendre mon gland dans sa bouche. Elle suçait bien. Pendant que Anne s'affairait sur ma queue, j'en profitais pour quitter mon T-shirt, mon pantalon et mes chaussettes et aussi pour dégrafer son soutif. Anne continuait de me sucer et je n'allais pas résister longtemps.

Je la renversais sur le lit, lui arrachais sa culotte qu'elle avait trempée de sa mouille et je commençais à la sucer. j'appliquais les conseils donnés par sa s'ur, je pris mon temps, faisant monter son désir lentement et j'essayais de la maintenir le plus longtemps possible dans cet état, m'interrompant à chaque fois que je la sentais prête à exploser. Anne gémissait en continu, me demandait de la faire jouir, disait qu'elle ne pouvait plus. Son bassin ondulait sous mes coups de langue, elle avait les jambes à la verticale, ouvertes dans un V très large qu'elle maintenait de ses deux mains. Son clitoris était très proéminent et apparemment très sensible. j'évitais de trop le sucer, le gardant pour l'explosion finale. Au bout d'un long moment, après lui avoir mis deux doigt dans sa chatte détrempée, je donnais deux ou trois coup de langue sur son clito, ce qui lui arracha des petits cris de bonheur, je posais ma bouche sur celui-ci et aspirait à petit coups tout en le léchant. J'obtins l'effet attendu, l'orgasme submergea Anne. Elle jouit en criant son plaisir, cambrée, la tête en arrière, les yeux révulsés. Je continuais mon cunni jusqu'à ce que ses coups de bassin ralentissent, que ses jambes retombent et qu'elle se laisse aller sur le lit, comblée, épuisée.
Je m'allongeais sur elle et l'enfilais d'un seul coup. Elle reçut ma queue en gémissant et noua ses jambes sur mes reins. je la défonçais lentement de coups de reins puissants et mais pas trop rapides. Un nouvel orgasme commençait à la reprendre. Ses jambes me seraient de plus en plus et son bassin ondulait au rythme des coups de boutoir que je lui donnais. Elle jouit une deuxième fois pendant que je me vidais en elle.

Je m'allongeais à son coté en la caressant doucement pendant qu'elle refaisait surface.
Elle se tourna vers moi, m'embrassa tendrement et me dit :
"- Soizic avait raison, tu baises vraiment bien, petit salaud.
- Soizic t'as raconté ?
- Oui, elle me l'a dit la veille du retour. Depuis toutes petites on se raconte presque tout. Elle m'a dit que vous aviez baisé comme des bêtes tous les deux tout le week-end.
- Et ça ne t'as pas embêtée.
- Quand elle me l'a dit si, un peu. Je lui ai fait des reproches mais après tout ma s'ur est suffisamment grande pour savoir ce qu'elle fait.
- Et tu as eu envie aussi ?
- Pas vraiment, mais quand tu m'as dit que tu voulais me baiser, j'avoue que j'ai littéralement fondu.
- J'ai vu ça.
- Tu n'en parlera pas, hein ?
- Non, je te l'ai promis et toi tu vas en parler à Soizic ?
- Je ne sais pas, peut-être."

Pendant que nous discutions, Anne était à plat ventre, je lui caressais le dos, les fesses et l'intérieur des cuisses. Ses jambes s'écartaient doucement, comme si inconsciemment elle m'ouvrait le passage vers son sexe. Je lubrifiais mes doigts à sa fente, d'un mélange de sa mouille et de mon sperme. Après avoir caressé sa chatte gonflée, je m'aventurais vers la rosette de son cul. Elle ne dit rien tout de suite mais protesta quand je tentais d'introduire mon majeur dans son intimité.
"Hé là, tu te trompes, ce n'est pas le bon endroit !
- Ho que non je ne me trompes pas, c'est le meilleur endroit. J'ai envie de gouter à ton petit trou.
- A mon petit trou. tu n'y penses pas. Je ne veux pas, ça doit faire mal.
- je ne pense qu'à ça, ma belle, je veux t'enculer et puis... Tu n'as pas vraiment le choix.
- Comment ça je n'ai pas le choix.
- Ben non t'as pas le choix. Imagines que les gens sachent que tu es une salope qui baise avec le meilleur ami de son fils ?"

Anne fondit en larmes en me traitant de salaud. je la consolais en l'embrassant et en lui garantissant que je serais très doux, que sa soeur appréciait beaucoup de se faire enculer. je lui demandais enfin :
"-Tu ne t'es jamais faire prendre comme cela ?
- Non jamais, en fait personne ne me l'a proposé.
- Donc tu es vierge de là. Je vais te dépuceler ton joli cul, ma belle. Fait moi confiance, tu verras, tu aimeras ça après.
- D'accord mais sous très doux... Et puis je n'ai pas le choix" me dit elle résignée.

Je l'a pris d'abord en levrette par la chatte. Je lui caressais les seins, les hanches et son clito hyper-sensible. Je la sentais un peu crispée, tendue mais elle se détendit peu à peu et jouit une nouvelle fois. Pendant que je la baisais j'avais longuement lubrifié sa rosette. Et dès son orgasme retombé, j'appuyais ma queue sur son petit trou et comme me l'avait appris sa soeur, j'appliquais une pression constante en la tenant fermement pas les hanches. Sa résistance était forte mais je ne relâchais, ni n'augmentais ma poussée. Je sentis son cul se dilater doucement et petit à petit, presque insensiblement ma queue s'enfonçait dans son cul. Je me retirais pour lubrifier ma bite et je revins aussitôt, encore un peu plus profond. je fis cela plusieurs fois jusqu'à je sente son petit trou suffisamment lubrifié. La queue enfoncée à moitié, toujours sans la forcer plus que cela, je repris mes caresses sur ses seins et sa chatte. Autant, Anne au début de la sodomie était restée immobile, figée, tendue, autant dès que je commençais à m'occuper de son petit bouton, elle se déchaina.

Elle bougeait elle même d'avant en arrière, s'empalant elle même sur mon dard, en gémissant :
"- Merde, c'est vrai que c'est bon une bite dans le cul.
...
Bourres-moi avec ta queue, mon chéri. je te sens bien."

Elle s'excitait elle de ses propres paroles. Elle était maintenant totalement détendue et ma queue s'enfonçait sans effort dans son cul dilaté. Je pouvais la défoncer à grands coups de reins sans qu'elle se plaigne bien au contraire. Elle jouit en hurlant de plaisir, ma queue au fond de son ventre. Je la rejoins très vite dans l'orgasme en me vidant dans son cul.

Anne m'embrassa tendrement.
"Tu es complètement fou, mais Soizic avait raison tu es un phénomène. Mais sauves toi vite, il ne faudrait pas que Gaelle ou Jacques te trouvent ici".

Par la suite, Anne me donnait des rendez-vous et nous avons baisé ensemble plusieurs fois au cours de l'année scolaire, dans sa voiture ou bien dans un studio meublé qu'ils donnaient en location et qui est resté inoccupé pendant quelques mois.