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Proposée le 26/01/2010 par bayand
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Suite de l'histoire Et le feu passa au vert
Ma relation très sensuelle avec Jeanne a duré plusieurs mois. Bizarrement je n'arrivais pas à être amoureux d'elle, notre lien était surtout d'ordre sexuel, mais avec une telle intensité qu'il m'est arrivé plusieurs fois au cours de nos orgasmes, qui quelques fois étaient simultanés, de perdre le souffle au point que j'avais peur de ne plus pouvoir reprendre ma respiration et de mourir asphyxié.
Couramment, la "petite mort" est attribuée aux Femmes, mais j'ai bien failli en connaître les effets.
Cette relation suivie a évidemment laissé des traces de toutes sortes, des odeurs de son parfum, traces de griffes, des petits mots qui traînent, des coups de téléphone à la maison, que j'attendais plein d'angoisse, car Jeanne sous prétexte d'appeler Lyse, finissait toujours par vouloir me parler, et c'est le coeur à 200 à l'heure que j'attrapais le combiné tendu par Lyse dont le regard était plus que suspicieux. Si elle n'avait pas pensé à Jeanne tout de suite comme pouvant être la maîtresse potentielle, mon épouse a quand même fini par se pencher sérieusement sur le problème et est allée un jour questionner Jeanne chez elle.
J'arrivais ce soir là à la maison et elle était étrangement calme. "Je sais tout, pour Jeanne et toi." me dit-elle, "Et j'ai sommé Jeanne d'appeler Marc pour le mettre au courant."
"Putain, je suis mort?" Je m'en souviens comme si c'était hier, ce sont mes premières pensées, je sentais mes jambes se dérober sous moi, façon guimauve. J'ai avoué que oui Jeanne était bien ma maîtresse, mais que les scènes continuelles de Lyse m'avaient placé dans cette situation.
Je vous raconte brièvement les quelques semaines qui ont suivi, pendant lesquelles tour à tour Marc m'a mis une série de pains dans le nez, suivi par la demande de divorce déposée par Lyse, et au cours desquelles Jeanne m'a étrangement ignoré. Après avoir flirté avec le paradis en sa compagnie, je me suis rapidement retrouvé en enfer, surtout après avoir appris que Lyse couchait avec Marie, notre secrétaire à Frédéric et moi. Marie, forteresse que Frédéric considérait comme imprenable était en réalité lesbienne.
C'est au cours des pots divers donnés qui pour la signature d'un contrat, qui pour fêter les vacances, que Marie et Lyse avaient fait connaissance, mais elles, plus malignes, avaient bien caché leur jeu et leur relation. J'avais une femme lesbienne, je crois que c'est ça qui m'a le plus désarçonné
J'ai compris plus tard, après le passage obligé chez un psy, que les crises de jalousie que me faisait subir Lyse venaient en fait de son angoisse à elle, qui avait peur que j'apprenne ses infidélités.
Il n'est jamais de meilleure défense que dans l'attaque !! Je m'en souviendrai...
Bon, bref, j'ai maintenant 43 ans, Marc et Jeanne sont toujours ensembles, moi j'ai vendu mes parts à Frédéric et suis parti loin de tout ça, dans une région de montagnes. J'ai remonté une petite société, ai embauché un secrétaire (une fois ça suffit), et ai mes gamins pendant les vacances, qui arrivent dans qques jours. Je suis toujours seul, mais ai des aventures passagères. Je me suis mis à voler en parapente et au bout de quelques années, j'ai passé la qualification biplace associatif, afin de pouvoir faire voler les copains et copines.
Ce jour du mois d'aout les conditions étaient bonnes, et je décidais d'aller voler. Je chargeais dans le break ma voile solo et aussi le biplace. Arrivé à l'atterro, après avoir jugé des conditions, je me mis à faire du stop au bord de la route, puisqu'il n'y avait pas d'autre pilote sur place pour faire la navette. Ayant l'habitude de ce site, je savais que je ne resterais pas longtemps le pouce en l'air car en période estivale, pas mal de touristes empruntaient cette route qui monte au décollage.
Quand la voiture qui passait ne me satisfaisait pas, je baissais la main, en attendant mieux, souvent pleines, ou conduites par des gens qui ne ne plaisaient pas trop. Et soudain la voilà, ma voiture, je devine une jolie frimousse au volant, et pas de passager, impeccable.
Je lève le pouce, la voiture ralentit, s'arrête, et la jolie frimousse en descend. Et il n'y a pas que la frimousse qui est jolie.
Elle est carrément canon, comme j'aime, pas très grande, certainement de jolis seins sous un tee shirt ample, une taille que je devine fine à contre jour et des jambes joliment musclées. Son short la moule et épouse très correctement ses formes. Le plus, c'est que cette jolie frimousse a des yeux verts, est rousse et constellée de taches de rousseur. "Elle ne doit pas être très âgée." pensais je en l'admirant.
"Vous pouvez baisser la main, maintenant." me dit-elle en riant. Occupé à la regarder, j'avais toujours le pouce en l'air. "Je ne suis pas du coin, ou va cette route ?" demanda-t'elle en s'approchant.
"25 ans, elle ne doit pas avoir plus de 25 ans, et elle est belle comme un coeur." Des pensées disons... estivales me trottent dans la tête. "Elle monte pendant 15km jusqu'au plateau puis il y a un carrefour qui vous mènera ou vous voulez." dis-je.
"Laure, je m'appelle Laure, et vous ?" "Moi c'est Yann, vous êtes dans le coin pour quelques temps ?" et elle me serre la main. Elle a la peau douce, de jolies mains soignées et des taches de rousseur partout. Je me demande si elle en a vraiment partout. Elle a une petite voiture ce qui favorise l'intimité. Je suis moi aussi en short. Je charge le sac, Laure qui veut m'aider me frôle, son contact me fait sursauter. Ca fait un petit bout de temps que je n'ai pas serré de Femme contre moi.
Elle démarre et vu la petitesse de l'habitacle, à chaque changement de vitesse elle frôle mon genou, que je n'enlève pas, évidemment, j'adooore les journées qui commencent comme ça !!
En plus d'être très jolie, Laure a le contact facile, c'est le moins qu'on puisse dire. Elle conduit tout doucement. "Pas une montagnarde, elle n'a pas l'habitude de nos routes." me dis je. Mais quand je l'entends dire : "Ca doit être sympa de se rouler dans l'herbe, elle a l'air accueillante.", je me dis que peut-être... Elle continue à profiter de mon genou, et je trouve ça de plus en plus sensuel.
Mon coeur commence à monter dans les tours, j'aperçois dans le décolleté de son tee shirt un délicieux soutien gorge brodé englobant ce que je devine être deux adorables seins.
"On peut se tutoyer Yann, si ça ne te dérange pas ? Tu pars en rando avec ton gros sac ??" Demande t'elle. Je lui réponds : "Non, je vais voler en parapente" et de lui expliquer mon sport avec force détails. "J'aimerais bien voler en parapente moi aussi, ça fait un moment que ça me démange.", me répond-elle. "Et toi tu es randonneuse ?" dis-je "Je trouve que tu as de superbes jambes de randonneuse."
"Elle me servent aussi à marcher." dit elle en rigolant, pleine de sous entendu.
Il faut absolument que je fasse durer le temps passé avec elle et lui parle de mon biplace, avec lequel je pourrais lui faire faire un vol. Ou plutôt je lui dis: "Laure, si tu veux, on peut s'envoyer en l'air avec mon biplace, les conditions sont bonnes, ça devrait être un superbe vol". Son regard rieur en dit long sur ce qu'elle a dû penser.
Ouf, là je viens de marquer un gros point. D'accord, elle fait demi-tour et on redescend à ma voiture prendre le biplace. Je viens de gagner un peu de temps supplémentaire avec elle. La conversation commence à tourner franchement au jeu de mot style sexuel du genre "On s'envoie en l'air et on finit ou ?? au septième ciel" ou encore "Comment est on installés ?" demande t'elle "Je suis face à toi et je te chevauche ??" On rit franchement de nos âneries, mais elle comme moi n'en pensons pas moins, du moins c'est ce que je suppose.
Dans la conversation, sans vraiment le vouloir, je pose ma main sur sa cuisse, et elle frémit tandis que ma gorge se noue. Son délicieux sourire me rassure, mon geste ne l'a pas offusquée.
Quelques caresses et virages plus tard, on arrive au parking du déco. Je descends déballer le matériel, Laure en profite pour me frôler tant qu'elle peut. Si ça continue, je la viole sur la capot de la voiture, parce que maintenant, je bande comme un taureau, elle m'a mis une trique d'enfer la délicieuse Laure. Elle me tourne autour comme un papillon. Ce qui me contient, c'est que quand je vais voler en biplace, j'arrive à garder un minimum de concentration. Soyons sérieux tout de même.
Pfffou, en plus elle a des fesses toutes rondes, il faut que je plaque un des sacs contre moi pour qu'elle ne voit pas ma bosse.
Elle prend un des sacs sur le dos, je prends l' autre. Au bout de quelques mètres, elle me dit: « Attends, j' ai oublié quelque chose dans la voiture « . Citation souvent employée , je n' aime pas quand elle s' en va, mais j' adore la regarder partir ! Elle a une jolie démarche chaloupée, elle doit mettre le feu à tous les randonneurs qu'elle dépasse, la fille. Je les vois bien accélérer le pas pour continuer à admirer ses jolies fesses un moment, d'ailleurs je ferais certainement pareil !!. Elle attrape une poignée de je ne sais quoi dans sa boîte à gants, qu'elle range dans sa banane, et revient vers moi en souriant.
Tout le temps que l'on marche sur le chemin du déco, Laure se colle contre moi, alors qu'il fait 10m de large. Je ne sais plus comment me tenir. S'il ne se passe rien entre nous, j'attrape la 1ère chèvre que je trouve, car il va vraiment falloir que je fasse la vidange, pensée extrêmement salace, mais réellement d'actualité à ce moment là. Cette fille m'a foutu le feu avec trois caresses et deux sourires. Décidément je suis indécrottable, je ne sais pas résister à des yeux pétillants.
Arrivés au déco les conditions sont bonnes, thermiquement encore un peu faibles mais ça ira en pilotant fin, et je déballe le biplace pendant que Laure admire le paysage.
"Laure, tu viens, je t'installe". Laure approche, le souffle un peu court, je mets ça sur le compte de la remontée qu'elle vient de faire dans le champ.
Quand j'installe une passagère dans la sellette, je me mets à genoux, lui fais écarter les jambes, de façon à récupérer les sangles qui pendent entre ses cuisses, sans toucher à l'intimité de la dame, ce qui serait mal vu dans une situation normale, mais là il n'y a plus rien de normal. Laure a le souffle court et la poitrine qui se soulève mais elle a eu le temps de se reposer, et j'ai moi aussi le souffle court, mais je sais pourquoi.
Je lui mets la sellette sur le dos et lui frôle discrètement les seins en réglant les sangles. Pour attraper les cuissardes, je reste debout et mon avant bras appuie sur le sexe de Laure, qui accompagne le mouvement, de façon à faire durer le contact. Mes yeux rivés aux siens me confirment que le souffle court de Laure est en réalité provoqué par l'envie "d'aller au 7èmè ciel". Son regard est un peu perdu dans le vague et elle me chuchote plus qu'elle ne me dit.
"Yann, quand on fait un vol en biplace, on rémunère le pilote, non ??"
Et moi de répondre d'une voix aussi mal assurée que la sienne: "Non, mais si tu veux me faire plaisir... Il y a bien une solution..."
L'adorable Laure me répond : "J'ai envie de te payer en nature". Je crois que j'ai battu ce jour là mon record de pliage de parapente, mais il faut dire qu'elle m'a bien aidé, le feu chez elle était de la même intensité que le mien. Nous sommes partis en courant dans le champ derrière, j'ai arraché plus que je n'ai ôté le peu d'habits qu' elle portait, son joli soutien gorge n'a pas résisté à l'assaut mais quelle idée aussi de cacher d'aussi jolis seins, et son dernier rempart en dentelle a été ravagé de la même façon .
Je me suis jeté sur elle comme un affamé. Pendant que ma bouche explorait la sienne, une de mes mains pétrissait ses seins tandis que l'autre fouillait déjà son sexe très étroit. J'avais presque du mal à y introduire un doigt. J'ai éjaculé dans sa main assez vite, car elle me masturbait aussi violemment que je la maltraitais. Laure a tout léché, et chose que je n'avais jamais fait, m'a fait gouter mon sperme en me disant : "J'avale tout à condition que tu gouttes ce que tu veux me faire boire !". Pas vraiment envie de "lacher le morceau", je me suis exécuté. Drôle de goût le liquide, indéfinissable, mais chaud, ni bon ni mauvais. Mais tant que Laure y trouvait un attrait, tant mieux.
Sa main n'a jamais laché mon sexe et ses simples pressions l'ont fait revenir assez vite à une taille honnête. Pendant ce temps là je continuais l'exploration de son corps tout doux, pas très bronzé, avec des taches de rousseur partout, mais vraiment partout, ça lui donnait un air de danseuse du Crasy Horse, dont les formes sont camouflées par un jeu de lumière patiemment mis au point. Je l'aurais d'ailleurs bien vue danser dans cet établissement, mais je pense qu'elle avait des seins un peu trop gros pour cette scène. Des seins adorablement fermes et il fallait mes deux mains pour en couvrir un complètement.
Il faisait chaud, nous étions nus dans un champ, tête bêche, moi en train de lécher toute la surface de Laure à proximité de ma bouche c'est à dire son entrejambe dont je me délectais, cette fille était une vraie fontaine, et elle en train de me faire une pipe d'enfer, plus un massage des boules à tel point qu'il a fallu que je me retire de sa bouche pour ne pas envoyer une nouvelle giclée trop vite.
Laure, en profita pour me gainer d'un préservatif, car c'est ça qu'elle était retournée chercher dans sa voiture, et me dit : "Prends moi mais doucement, ton sexe est un peu gros pour mon minou".
Je l'ai installée couchée le dos sur les deux sacs de parapente et me mis entre ses cuisses toutes douces. Elle était vraiment serrée et mon sexe pourtant tendu à l'extrême pliait tellement son vagin offrait de résistance. Je m'y repris à plusieurs fois pour la pénétrer mais après ce moment délicat, Laure se détendit un peu et il me sembla que l'ouverture devenait plus accueillante. Complètement livrée à mes coups de queue, Laure commença à crier discrètement d'abord, puis plus fort à mesure que le plaisir montait. Je ne pouvais rien faire d'autre que la labourer en la tenant par les hanches, sans quoi elle roulait sur les sacs, ça me mettait en position dominante car elle était obligé de subir mes assauts sans avoir rien sous la main pour se tenir. Mais ses cris s'intensifiaient et son orgasme allait arriver, le mien aussi d'ailleurs. Son sexe serré m'a d'ailleurs servi pour ralentir mon explosion. Quand ça venait, je me retirais jusqu'au gland, et lui demandait de serrer son étau pour retarder mon éjaculation.
Laure mis deux doigts dans ma bouche pour les humidifier et se caressa. Elle avait un clitoris très gros et évitait soigneusement son sommet. Sa caresse périphérique déclencha chez elle un orgasme de toute beauté, son bassin avait des mouvements de haut en bas et je n'eus plus aucun courage pour me retenir. J'ai jouis un peu avant elle.
J'avais toujours une bouteille d'eau avec moi. Je l'ai prise et en ai versé doucement sur elle.
Je l'ai lavée consciencieusement en n'oubliant aucune partie de son corps. Laure les jambes écartées face au soleil déjà brulant se faisait dorer. Je repris mon exploration et me suis longuement attardé sur ses fesses, des fesses toutes rondes et fermes, qui donnaient envie de les manger, ce que je fis, Laure riait et se laissait faire puis elle jugea qu'il était temps de remettre le couvert.
Après m'avoir donné un baiser langoureux, elle me poussa sur le dos se mit sur moi et après m'avoir savamment masturbé et sucé elle me remis un préservatif. J'avais décidé cette fois de laisser faire et de me concentrer sur mon propre plaisir. Je fermais les yeux, en plein soleil, j'étais divinement bien avec cette fille sans tabous.
Face à moi elle attrapa mon sexe et le guida contre le sien. Elle s'empala doucement par à coups. La sensation de pression était toujours aussi présente et je la laissais faire lui indiquant juste de ralentir par un gémissement ou d'accélérer, par un mouvement de hanches.De temps en temps j'ouvrais les yeux pour admirer Laure dans sa chevauchée. Elle était un peu à contre jour mais je devinais qu'elle n'en avait plus pour longtemps.
Ses ongles étaient quasiment incrustés dans ma poitrine et avaient le même mouvement que ceux d'un chat que vous êtes en train de caresser et qui ronronne de contentement en vous plantant ses griffes dans la jambe. Ses seins bougeaient à son rythme et pour les arrêter, je les pris entre mes mains pour profiter d'eux. Laure dit quelques gros mots : "J'adore me faire sodomiser, putain que c'est bon, encule moi plus fort". C'est là que je m'aperçus que Laure avait choisi de laisser son vagin se reposer un peu. Son sexe était tellement étroit que je ne m'étais pas aperçu de la différence. Il faut dire que faire l'amour avec une capote revient à caresser un corps avec des gants de vaisselle, enfin c'est valable pour moi.
J'ai attrapé Laure par les hanches et l'ai complètement empalée sur moi à plusieurs reprises. La surprise de découvrir que je la sodomisais fis monter en moi une éruption soudaine que je ne puis plus contrôler, et une nouvelle vague de plaisir nous envoya très vite au 7ème ciel. Une jouissance forte, puissante, encore décuplée par le soleil qui nous chauffait les parties intimes.
Rassasiés pour le moment, nous nous sommes souvenus ce que nous étions venus faire initialement. Après avoir repris nos esprits nos vêtements et nos sacs, nous sommes allés au déco, les conditions étaient fumantes, la manche à air horizontale comme mon sexe un peu plus tôt.
J'étalais la voile, ré-équipais Laure, ma main pris cette fois son sexe à pleine main, en attrapant les sangles, et elle me dit en riant: "Ca suffit comme rémunération, ou il y aura un solde ??". "Tais toi, ou je te viole ici, attachée à un arbre". "Yann, maintenant que mon soutien gorge est déchiré, peut-être que si je ne mets pas mon tee shirt, ça ne changera pas grand chose !" demande-t' elle avec un sourire mutin. Rapide décision de ma part car il n'y a personne à l'attérro, personne au déco, et si on voit du monde, j'irai me poser à qques Km. je lui dit OK, sauf que si on se gaufre, les pompiers vont avoir un drôle de spectacle, m'enfin bon cette journée a trop bien commencé, pour qu'il arrive quelques chose.
"Laure tu es prête, on y va, avance, attends, allez cours". La voile nous arrache du sol en douceur, Laure pousse un cri de surprise, virage à gauche pour aller prendre de l'altitude, quelques allez retour et nous voilà 100m plus haut. On file plus loin sous le cumulus naissant, avec ma passagère les seins à l'air, encore que bien cachés sous les sangles de la sellette. Je la pelote tant que je peux, elle caresse tout qu'elle trouve, et finit par me remettre la trique. Si j'avais su je l'aurais installée face à moi, bien que ce soit difficilement faisable, au lieu de dos à dos, qui sait, j'aurais peut être eu droit à une fellation aérienne !!!
Ce jour là je vais ignorer absolument toutes les règles du vol à vue en, fermant les yeux, pilotant à moitié la voile, laissant les commandes à une fille complètement excitée et ignorante du pilotage, montant dans le nuage, avec Laure qui n'en peut plus de crier sa joie, nous sommes dans le brouillard, au risque de nous faire rentrer dedans par un avion de ligne, car nous sommes dans un couloir aérien.
Nous nous sommes vraiment envoyés en l'air ce jour là. Une Nana superbe et gentille comme tout et un vol de rêve.
Aprés s'être posés une heure ½ plus tard, nous sommes allés manger un bout afin de reprendre des forces, pour pouvoir plus tard recommencer notre quête du 7ème ciel, car il y en aura une...