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Proposée le 19/01/2010 par eropil
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J'étais très tendu, voire même stressé, sur ce quai lugubre, attendant impatiemment mon train... Ce train... Son train ! L'heure était venue, mais pas ce damné train ! Déjà une minute de retard, soixante secondes qui me semblaient une éternité. Soudain, j'aperçus les lueurs de ses projecteurs, tout au bout du quai. Oui, c'était bien lui, le voilà qui virait et ralentissait sa course. Plus que quelques secondes et je saurai...
Un vent frais me sortit de ma torpeur alors que les voitures, presque vides, défilaient rapidement à quelques centimètres de mon corps. Il faut dire que, pour être le premier à grimper dans la voiture, je m'étais approché presque dangereusement du bord du quai. L'avant-dernière voiture s'arrêta pile devant moi, un gars actionna l'ouverture des portes et j'entrai. Mes yeux scrutèrent les banquettes et rapidement j'aperçus sa chevelure rousse à l'autre bout du compartiment. J'accélérai le pas pour y arriver avant que quelqu'un d'autre n'y prit place. Arrivé à sa hauteur, je vérifiai qu'il s'agissait bien d'elle et m'assis à ses côtés sans hésiter.
J'étais encore sous le coup de l'émotion, le souffle rapide, le c'ur battant, les jambes en coton, mais je posai directement ma mallette sur le siège opposé et croisai largement mes jambes pour dissuader les autres usagers de venir troubler notre "intimité". Le stratagème fonctionna à merveille car personne ne vint nous déranger...
Je me tournai vers elle, la regardai dans les yeux, et lui dis bonjour en lui donnant une bise sur la joue, une bise que je voulais la plus douce possible pour lui indiquer clairement que j'avais bien l'intention de la séduire sur ce court trajet...
Un peu curieuse de me voir dans cet état inhabituel, elle me demanda de lui expliquer pourquoi j'étais si stressé. Je ne parvenais pas à lui expliquer tout ce qui s'était passé durant cette journée, tous ces petits détails irritants au boulot, toute cette angoisse passée à me demander si elle serait au rendez-vous ou pas... J'essayai, pourtant, me lançai et essayai de lui expliquer ce qui m'avait mis dans cet état.
Elle, très douce, m'interrompait sans cesse en me posant des questions, en me demandant des précisions, ce qui rendait mes explications encore moins cohérentes et m'embrouillait complètement. Cependant, je commençais à me détendre, et prenais tout cela à la plaisanterie. Nous rîmes et je me sentais de mieux en mieux.
Ma jambe était collée à la sienne, et j'étais légèrement tourné vers elle, mon regard descendant régulièrement se délecter de son décolleté ravissant, essayant de deviner ses "petits" seins que je rêvais de contempler dans leur totale nudité.
Elle était vêtue d'une robe noire, boutonnée sur l'avant, très simple, très chic. Les derniers boutons n'étaient pas faits ce qui, grâce à ses jambes croisées, dévoilait une bonne partie de sa cuisse. Spectacle à la fois sensuel et très classe. J'adore !
Au fur et à mesure des arrêts du train, les autres passagers du compartiment descendaient, nous laissant de plus en plus seuls... Bientôt, personne ne pouvait plus voir nos mains, et je commençai à lui caresser la cuisse. Elle se colla d'avantage à moi, et me caressa à son tour. Ma main glissa sous l'étoffe de sa robe, savourant la douceur de sa cuisse, remontant sensiblement vers son petit jardin secret, sans toutefois oser l'atteindre.
Je lui dis soudain que j'avais une surprise pour elle. Bien sûr, elle voulut savoir mais je lui demandai de deviner. En deux ou trois questions, elle savait qu'il s'agissait d'une pièce de vêtement que je n'avais pas... et sa main se colla à mes fesses, à la recherche d'un slip... Elle me demanda si c'était ça car elle ne parvenait pas à sentir ma nudité sous mes pantalons. Je lui confirmai la chose...
Aussi vite, elle plaqua sa main sur mon sexe, qu'elle pouvait bien sentir, et commença à le masser d'une main experte. Très vite, je commençai à bander, ce qui lui rappela combien j'étais réactif. Quel doux plaisir de se faire ainsi caresser dans un train, presque au vu d'autres passagers.
Je me tournai d'avantage vers elle et posai mes lèvres sur les siennes. Quelle douceur ! Des lèvres exquises, dégageant un doux parfum. J'avais envie d'elle, envie de ses baisers, envie de sa langue. Un long baiser, long et profond, profond et tendre, et toujours sa main me malaxant la queue, me soupesant les couilles, et me faisant bander de plus en plus fort... J'étais maintenant retourné sur elle, et je l'embrassais dans le cou, tout en lui caressant les seins. Mon envie grandissait à la vitesse d'un TGV...
Tout en l'embrassant, ma main glissa à nouveau sous sa robe et commença à remonter vers son entrejambe, tout en lui caressant les cuisses douces. Elle commença à souffler tout en me malaxant, et je parvins enfin à son petit jardin secret, à peine protégé par un string que je devinais noir comme sa robe. Sa chatte était si chaude et si mouillée, déjà, que l'étoffe du string était humide et épousait parfaitement les contours proéminents de ses grosses lèvres. Un peu plus haut, son clitoris était en train de gonfler et commençait à former une petite bosse, que mes doigts s'amusaient à titiller...
Son excitation devenait très forte, et son souffle de plus en plus court. Ma queue était dégoulinante et mon jus mouillait mon pantalon, ce qui devait sûrement faire une belle auréole bien visible ! Mais qu'importe, ce qui comptait, à ce moment, était l'envie de cette femme, l'envie de sa chatte, l'envie de nos sexes...
Ecartant du bout des doigts son string, je sentis maintenant la chair de sa chatte, fraîchement épilée, chaude et déjà détrempée. Je n'avais qu'une envie : la fouiller de mes doigts, pénétrer son intimité, m'enfouir en elle au plus profond de son être...
Elle ne put réprimer un petit cri lorsque mon doigt, d'un geste rapide, la pénétra avec détermination. Je sentis sa main étreindre fortement mon sexe, une étreinte si forte que s'en était presque douloureux. Comme pour répondre à cette douleur, je pénétrai d'un seul coup au plus profond de sa chatte, en déployant deux autres doigts qui n'eurent aucune difficulté à la pénétrer tant elle était ouverte et lubrifiée. Je la tenais, ainsi, par la chatte, et j'entrepris un léger mouvement de va et vient, qui lui faisait pousser de petits gémissements, et je sentais son souffle s'accélérer...
C'est à ce moment qu'une voix forte nous demanda nos titres de transport... Je me redressai, sortis vivement ma main de sous sas robe qu'elle remit en place sans précipitation, nous sortîmes nos cartes train et les présentâmes au contrôleur. Il nous regarda et nous échangeâmes un petit sourire coquin...