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Proposée le 14/01/2010 par ChienneLaura
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En rentrant ce soir la, je trouve la maison vide, Philippe n'est pas là. Sur le guéridon de l'entrée, un post-it jaune est collé sur une enveloppe en papier kraft. Je lis :
Ma belle salope,
Tu porteras la lettre à l'adresse indiquée sur l'enveloppe. Sois la bas à vingt heures précises.
Tu demanderas Monsieur Bruno, tu te présenteras comme venant de ma part.
Mets les vêtements qui sont sur le lit.
Je t'embrasse. Philippe.
Je vais dans notre chambre, sur le lit je trouve des sous-vêtements blancs, soutien-gorge et boxer en dentelle, un tailleur gris, un chemisier fuchsia et des bas DIM-UP blancs. Au pied du lit une paire d'escarpins blancs eux aussi à très haut talons.
Je prends une douche rapide, me coiffe et me maquille.
A vingt heure, je sonne à l'adresse indiquée. C'est un pavillon dans une banlieue calme. Le portail se déverrouille. Je traverse le jardinet, la porte s'ouvre, un homme m'attend.
- Bonjour Monsieur, je viens de la part de Philippe. je dois remettre cela à Monsieur Bruno.
- C'est moi, entrez, je vous attendais.
Je lui tends l'enveloppe. Monsieur Bruno la prend et s'efface pour me laisser entrer. Il doit avoir entre quarante-cinq et cinquante ans, il est plutôt grand, corpulent avec juste un peu de ventre.
Dans le salon, un autre homme d'une quarantaine lui aussi, blond alors que Monsieur Bruno est brun, de la même taille mais plus mince. Deux femmes sont assises sur un canapé, dans les mêmes ages, belles et habillées de façon élégante.
Monsieur Bruno me pousse au milieu du salon, personne ne me salue comme si j'étais transparente. La conversation continue comme si je n'existais pas. Monsieur Bruno décachette l'enveloppe, en sort une feuille de papier, la lit puis la tends avec un petit sourire à la femme la plus proche de lui. Celle-ci la lit, me jette un coup d'oeil et la tend à sa voisine, qui fait la même chose. Quand l'homme blond a lu la lettre, il la donne à Monsieur Bruno qui se tournant vers moi m'en fait la lecture :
Chers amis,
La porteuse de cette lettre est ma compagne Laura. Comme je vous l'ai promis, vous pouvez disposer d'elle pour la soirée. Elle devra se conformer à vos ordres et se soumettre à tous vos désirs comme elle le fait avec moi. Si ce n'était pas le cas, je vous demande de me le faire savoir afin que je la punisse en conséquence. Faites lui lire ceci pour qu'elle sache que c'est bien moi qui lui ordonne cela. Ma signature lui confirmera.
Dans l'attente de vous revoir, recevez mes amicales salutations.
Je suis pétrifiée de surprise. Philippe, en plus d'exiger de moi une soumission totale à ses désirs et fantasmes sexuels, m'avait fait promettre une fidélité absolue, allant même parfois jusqu'à se montrer suspicieux voire jaloux. Et voilà qu'il m'offrait à ses quatre personnes, sa lettre est sans équivoque. Je me demande s'il ne veut pas tester ma fidélité justement...mais non il s'y serait pris autrement. Monsieur Bruno me tend la lettre et me demande de la conserver, mettant fin à mes doutes. J'ai maintenant la certitude de ce qui va se passer, je vais être leur objet sexuel pendant cette soirée et cela à la demande de mon seigneur et maitre. Cette certitude et cette perspective m'excite, j'ai envie de faire plaisir à Philippe et pour cela je dois me soumettre à ces deux couples. Je vais me faire baiser comme une chienne et j'ai envie de cela, j'aime cela. Ce qui m'inquiète le plus ce sont les deux femmes. Autant je connais les hommes et je sais comment leur faire plaisir, mais je n'ai jamais eu de relation avec une fille. Ce n'est pas que cela me dégoute, de toute façon je n'ai pas le choix mais j'ignore comment leur faire plaisir et surtout je n'ai aucune idée de ce qu'elles me réservent. A la fois je redoute leur perversité mais je suis impatiente de la découvrir.
Monsieur Bruno fait les présentations, Madame Mireille, jeune femme de quarante ans, élégante, mince, très belle. Elle est l'épouse de Monsieur Georges, que j'ai décris plus haut. Madame Florence, l'épouse de Bruno, elle parait un peu plus âgée que madame Mireille mais elle est aussi belle et élégante mais avec des formes un peu plus rondes. Ses trois personnes me regardent un peu dédaigneusement.
Madame Florence se lève et me dit de me déshabiller. Je glisse la lettre que j'avais gardée à la main dans la poche de ma veste avant de la quitter, je fais glisser le zip de ma jupe qui tombe sur mes chaussures. je la ramasse sans hâte. Ensuite je quitte mon chemisier en dégrafant les boutons uns à uns, sans me presser, en essayant de ne montrer aucune émotion. Les mains dans le dos, je dégrafe mon soutien-gorge et je libère ma forte poitrine qui, perdant son soutien s'affaisse légèrement. Les deux pouces passés dans la ceinture du boxer, je le fais descendre sur mes cuisses pour ensuite, le quitter complètement une jambe après l'autre. Je m'apprête à poser mes bas quand Madame Florence m'ordonne d'arrêter.
- Gardes tes bas ! Puis s'adressant aux autres
- Qu'en pensez vous, chers amis ?
- Elle est vraiment très belle, très excitante avec sa peau foncée. Déclare Monsieur Georges.
- Elle a un cul magnifique. Ajoute Monsieur Bruno.
- Et des seins fantastiques. Conclut Madame Mireille.
- Parfais je crois qu'il est temps de passer à table. Installez vous, je vais donner les indications à cette belle salope pour le repas. Disant cela, Madame Florence me prend par le bras et m'entraine vers la cuisine.
Elle me montre le frigo ou s'entassent des cartons de traiteur. Elle me désigne l'entrée, le plat principal et le dessert, me montre les bouteilles de champagne qui accompagneront le diner, me dit où sont les assiettes et les plats.
- Tu devras faire le service à table dans cette tenue. Quand tu seras en train de servir, fait attention à garder les cuisses suffisamment écartées pour que si un des convives à envie de te toucher il puisse le faire. Comme tu verras, il n'est pas prévu de diner pour toi, tu pourras manger s'il y a des restes dans les assiettes, ou bien si quelqu'un te donne à manger. Même chose pour le champagne.
Elle ajoute enfin.
- J'ai une sonnette sur la table. je sonnerai pour que tu serves l'entrée, puis pour chaque plat suivant. Maintenant viens nous servir le champagne.
Madame Florence part rejoindre ses amis pendant que je mets de la glace dans un seau avant d'y mettre une bouteille.
J'arrive dans la salle à manger où tous le monde est installé autour d'une table ronde. Je débouche la bouteille et commence à servir. Je m'applique du mieux que je peux. L'exercice n'est pas facile car chacun des convives en profite pour me peloter les fesses, me pincer les tétons ou bien me caresser la chatte. Je peux quand même remarquer que les flutes à champagne sont un peu particulières. Ce sont des verres sans pied qui reposent sur un support en argent.
Je suis contente de moi car j'ai fais le service sans m'attirer la moindre remontrance. Je retourne dans la cuisine pour préparer le service de l'entrée. C'est du foie gras dont je dispose chaque tranche sur une petite assiette, accompagné par un peu de confiture d'oignon et d'une tranche de pain de campagne que je fais toaster. J'ai juste terminé quand la sonnette retentit.
J'arrive dans la salle à manger avec tout cela sur un plateau pour faire le service. Alors que je sers Monsieur Bruno en dernier celui me demande :
- Tu veux un peu de champagne ?
- Si Monsieur veut bien !
- Tu es une bonne petite mais il faudra me donner quelque chose en échange. Et disant cela, il repousse la nappe me montrant sa queue qui sort de sa braguette ouverte.
- Passes sous la table et suces moi.
Je vais sous la table, je saisis la bite de Monsieur Bruno, décalotte le gland rose violacé et je commence à le sucer tout en le branlant en même temps. Je m'active sur sa bite, parfois sa main va sous la table pour m'appuyer sur la tête et me forcer à l'avaler totalement. Cela ne me fait pas peur, j'ai l'habitude de faire des gorges profondes à Philippe. Assez rapidement, Je sens la queue de Monsieur Bruno qui se gonfle et se redresse, son souffle s'accélère et il étend ses jambes. Il se libère dans ma bouche en grognant.
- Avales, salope, avales tout.
Quand il se calme, je le suce encore un peu pour bien nettoyer sa bite.
Je ressorts de sous la table. Monsieur Bruno me complimente et me tend sa flute de champagne que j'avale d'un trait. Madame Mireille m'interpelle :
- Tu auras le reste de mon foie gras si tu me fais jouir. Viens ici. Et elle se lève, écarte sa chaise et s'appuie sur la table en remontant sa jupe jusqu'à la taille. Elle ne porte pas de culotte et sa chatte est toute gonflée. Je m'accroupis devant elle, la saisis par le haut des cuisses et je commence à lécher sa chatte. je ne sais pas trop comment m'y prendre mais je fais de mon mieux en me disant à moi-même que je dois lui faire ce que j'aimerais que l'on me fasse. Cela marche, elle réagit bien à mes caresses, son bassin ondule, elle m'appuie elle aussi sur la tête. Elle me tend des petits morceaux de foie gras que je picore sans cesser de la sucer. Elle gémit de plus en plus fort et commente son plaisir :
- Ouiii, suces moi le clito, c'est bon, tu es une bonne petite gouine. Ohh la oui c'est bon, putain, je vais jouir. Ouiiiiii, je jouis, je jouiiis.
Elle se laisse submerger par le plaisir et jouit de tout son corps. Ses jambes tremblent et ses mains sont crispées sur le bord de la table. Elle finit par s'écrouler sur sa chaise et avale le reste de son champagne d'un trait.
Madame Florence me dit de retourner dans la cuisine. J'en profite pour faire chauffer les assiettes du plat principal. Ce sont des tranches de gigot avec du gratin dauphinois. Elle me sonne. Je débarrasse la table des assiettes de l'entrée, et je reviens ensuite avec le plat principal. quand je sers Madame Florence, elle me met la main entre les cuisses et je sens ses doigts fouiller mon intimité. Je ne retiens un gémissements qu'en me mordant les lèvres. Sucer Monsieur Bruno et ensuite Madame Mireille a mis le feu dans mon ventre, j'ai envie que l'on me prenne, j'ai envie de sentir que l'on me pénètre et les doigts de Madame Florence qui s'agitent dans mon con me rendent folle de désir. Si j'osais, je me masturberais dans la cuisine mais j'ai trop peur d'être surprise. Madame Florence retire sa main et déclare à tous que je suis toute mouillée. Elle hume ensuite ses doigts et les suce un à un avec délectation. Je termine de servir et je retourne dans la cuisine où je profite des reliefs laissés dans les assiettes. La soirée s'annonce longue et épuisante, j'aurai besoin de forces.
Un coup de sonnette me tire de mes pensées. Ils ont fini le plat et je dois apporter le dessert. je retourne dans la cuisine en emportant les assiettes et les couverts. Je reviens avec le dessert, des coupelles de crème anglaise. Monsieur Bruno me demande une nouvelle bouteille de champagne. je reviens avec la bouteille et je la mets à la place de l'autre dans le seau de glace. Alors que je vais retourner dans la cuisine, Madame Florence m'arrête et m'ordonne de monter sur la table. "Les choses sérieuse commencent" me dis-je en moi-même. Je monte tant bien que mal sur la table et je me mets debout au centre de la table. Madame Florence saisit la bouteille vide, enlève totalement la cape, la pose entre mes jambes et m'ordonne de m'empaler dessus. Je m'accroupis doucement guidant le goulot vers ma chatte. Le verre est terriblement froid, il me glace le ventre mais je suis tellement mouillée que la bouteille rentre facilement. Monsieur Georges prends alors la bouteille et l'agite de haut en bas. Le verre se réchauffe doucement. Le goulot va et viens dans mon con. J'avais envie d'être pénétrée tout à l'heure et cette bouteille me satisfait. Je fais quelques mouvements bien que ma position ne soit pas très facile. Monsieur Georges bouge la bouteille de plus en plus vite, de plus en plus fort. je ne sens plus la fraicheur du verre, je sens simplement ce cylindre lisse qui me défonce la chatte. Le col de la bouteille en bougeant me procure des sensations incroyables, je jouis en tombant à genou, branlée par cette maudite bouteille que Monsieur Georges enfonce autant qu'il peut dans mon intimité. J'ai à peine repris mes esprits que quelque chose de froid et lisse tente de pénétrer mon petit trou. C'est Madame Florence qui me sodomise avec sa flute à champagne. Intérieurement je suis surprise qu'elle rentre aussi facilement, n'ayant pas eu le cul préparé. Monsieur Georges et Madame Florence agitent l'un la bouteille dans ma chatte, l'autre le verre dans mon cul. Elle enfonce la flute du plus profond qu'elle peut, m'arrachant des gémissement d'aise. Ils me branlent si bien l'un et l'autre que je jouis une seconde fois. Madame Florence arrache le verre de mes entrailles et me le fait sucer. je comprend alors pourquoi la pénétration a été si facile. Le fond de la flute à le gout de mon cul et de la crème anglaise.
Je n'ai pas le temps de respirer que je suis retournée sur le dos par quatre paires de main. On me tire vers le bord de la table. Ma tête pend en arrière. Monsieur Georges est debout sa queue dardée vers ma bouche entrouverte. Il me prend la tête de ses deux mains et me fourre sa queue dans la bouche. Dans cette position, il peut me l'enfoncer au fond de la gorge et il ne s'en prive pas. Il défonce ma bouche comme il le ferait avec une chatte ou un cul, à grand coups de reins, J'ai du mal à respirer et je me concentre sur ma respiration pour prendre de l'air quand il m'en donne l'occasion. Je me détends complètement pour lui permettre de s'enfoncer en moi facilement. Son gros chibre emplit ma gorge. Il donne des coups de reins de plus en plus violents, jusqu'à ce qu'il explose dans ma bouche envoyant des jets de sperme au fond ma gorge.
Madame Florence prend sa place, à genou sur deux chaises un peu écartées. J'ai sa chatte sur ma bouche, je la lèche quand elle me l'ordonne. Elle aime cela, puis elle change un peu de position. J'ai maintenant sa rosette à portée de ma langue. De ses deux mains, elle écarte les lobes de ses fesses ouvrant largement sa raie culière, me donnant accès à son cul. Je l'agrippe par les hanches, permettant à ma langue de faire son office. Je lui fais la feuille de rose qu'elle réclame de ses cris. ma langue s'insinue dans son petit trou, elle aime, elle le dit, elle jouit en me traitant de putain, de sale gouine et de grande salope.
Je pousse un cri car Madame Mireille vient de m'enfoncer une flute dans la chatte. Puis elle me l'enfonce dans le cul tout en me suçant. Je ne me suis jamais fait sucer par une fille, c'est vrai que c'est bon. Une fille sait ce qu'aime une autre fille. Sa caresse est à la fois douce et brutale. Sa langue qui fouille ma fente et titille mon clito est douce et chaude, le verre froid est enfoncé brutalement dans mon cul. Ce mélange des genres et des sensations provoque un orgasme violent qui me fait crier.
Les quatre convives ne me laissent pas le temps de reprendre mes esprits. Ils me jettent par terre et m'ordonnent de retourner à la cuisine. J'y reste quelques dizaines de minutes, je récupère de mes deux jouissances successives, j'ai toujours la sensation du verre froid dans mon cul dilaté qui se referme doucement. Un petit reste de gigot et de gratin me permet de reprendre des forces.
Des bruits de chaises dans la salle à manger me tirent de ma rêverie. Monsieur Bruno vient me chercher dans la cuisine et m'entraine à l'étage dans une pièce. Il me pousse à l'intérieur, la chambre est aménagée de façon assez inhabituelle.
La moitié de la pièce est occupée par quatre matelas recouvert de draps. A l'opposé des coussins forment une sorte de divan qui occupe tout un mur. Les murs sont tendus de tissu brun-rouge, une commode supporte des brules-parfum qui dégagent une odeur d'encens, de jasmin et d'ilang-Ilang. Le parfum qui flotte dans la pièce est lourd et entêtant. La lumière qui provient de deux halogènes réglés au plus bas est très faible.
Monsieur Bruno ouvre un tiroir de la commode et en sort des bracelets de cuir qu'il fixe à mes poignets et mes chevilles. Il me force à m'agenouiller et lie ensemble les quatre bracelets à l'aide d'un mousqueton. Puis il fixe à mes tétons des pinces reliées par une chainette. "Les choses sérieuses commencent" me dis-je en moi-même.
Les quatre personnes sont allongées nues sur les matelas. A genou devant, je peux voir des bouches qui s'embrassent, qui sucent des bites ou des chattes. Des mains entremêlées caressent des corps. Des bites qui s'enfoncent dans des cons ou des culs ou encore dans des bouches. Des gémissements, des cris, des râles jaillissent de cet enchevêtrement de corps qui s'ébattent. L'odeur de l'amour et de la sueur arrive à couvrir celle de l'encens. Je suis excitée à l'extrême, ma mouille ruisselle sur mes cuisses, mes tétons durcis sont martyrisés par les pinces. J'aimerais me caresser mais je ne peux le faire, J'essaie de serrer mes cuisses mais cela contribue seulement à augmenter mon excitation sans me soulager. J'ai envie de me faire pénétrer, j'ai envie d'une queue. Cette frustration est plus douloureuse que n'importe quel sévice...
Un bout d'un long moment, les ébats de mes hôtes ralentissent. Ils sont maintenant allongés tous les quatre et ne se font plus que des caresses furtives. Madame Mireille se lève la première et s'approche de moi, elle me présente son sexe couvert de sperme, de mouille et de salive mélangés.
- Nettoies moi avec ta langue, putain.
Je m'applique à la lécher, à fouiller sa fente et son con de ma langue pour en extirper tous le contenu. Chaque fois que ma langue touche son petit bouton dardé, elle pousse un petit cri et les contractions de son ventre libèrent le contenu de sa chatte que je prends soin d'avaler. Viens ensuite le tour de Madame Florence qui exige de moi le même service mais pour son anus et sa raie culière.
Monsieur Bruno et Monsieur Georges me présentent ensuite leurs queues maintenant racornies pour que je les nettoie eux aussi. La pipe que je leur fais a pour conséquence de les faire bander à nouveau.
Cela fait, Madame Florence man'uvre une sorte de treuil électrique pour faire descendre du plafond une corde à laquelle elle attache mes poignets. Pendant ce temps, Madame Mireille fixe mes chevilles à une barre de force très longue qui écarte mes jambes au maximum. Elle fixe ensuite la barre au même crochet que mes poignets et man'uvre la commande du treuil. je me retrouve pendue comme un gibier, les jambes écartées, la tête pendante. La chainette reliant mes tétons est fixée elle aussi au crochet. Elle tire mes seins vers le haut, mes tétons me font mal.
Monsieur Bruno se place entre mes jambes et me pénètre d'un seul coup, Je pousse un râle de plaisir, cette pénétration tant désirée arrive et me comble. Il me baise à grand coup de reins, jouant sur le mouvement de balancier qu'il m'imprime pour me pénétrer un peu plus profond à chaque fois. Chaude comme je suis, je jouis rapidement en poussant un cri rauque de bête. Comme il a eu des orgasmes avant, son endurance est grande et il continue de me fourrer sans s'arrêter ce qui me provoque un second orgasme avant qu'il ne se vide dans ma chatte.
Monsieur Georges prend sa place mais lui me sodomise brutalement, sans me lubrifier. Je hurle ma douleur de sentir son gros chibre dilater mon petit trou. Mais la douleur s'estompe vite, couverte par la plaisir de la sodomie. Madame Mireille masse mes seins tendus, elle joue avec la chainette pour les étirer encore plus, La bite de Monsieur Georges s'enfonce dans mes entrailles, car prenant l'exemple de son ami, il joue du mouvement de balancier pour m'enculer très profond. Monsieur Georges est aussi endurant que Monsieur Bruno et j'ai un troisième orgasme puis un quatrième quand il explose dans mon cul en envoyant de grands coups de reins.
Je n'ai pas le temps de reprendre mes esprits que je vois Madame Florence prendre un plug monstrueux. Elle l'enfonce dans mon cul dilaté et lubrifié par le sperme de Monsieur Georges. Malgré cela, la pénétration de l'objet me tire un cri de douleur. Madame Mireille place un vibro-masseur dans mon con et le mets en marche. Nouvel orgasme quasiment instantané, je crie, je gémis. Le vibro ronronne toujours, ses vibrations permanentes créent une boule de feu dans mon ventre, elles se répercutent sur le plug qui dilate mon cul. Je jouis en permanence, tout le corps agité de spasmes incontrôlables. Je suis à demi inconsciente, je ne suis plus qu'un con et qu'un cul, tout le reste de mon corps est comme anesthésié. Les femmes posent leur chatte sur ma bouche. Je trouve la force et un peu de lucidité pour les sucer, fourrant ma langue au plus profond possible pendant qu'elles se branlent le clitoris. Elles jouissent l'une et l'autre couvrant mon visage de leur mouille. Puis vient le tour des hommes, je n'ai plus que quelques rares instants de lucidité, de temps en temps. quand les hommes me fourrent leur queue au fond de ma gorge, quand leur membre m'asphyxie, quand leur jus se repend dans ma bouche.
Je ne sais pas combien de temps cela a duré car j'ai repris conscience sur les matelas, libérée de mes liens, recouverte d'une couverture.
Monsieur Bruno est là et me regarde refaire surface avec un petit sourire. Il me tend la main et m'aide à me relever.
- Va prendre un douche et rentres chez toi, me dit il gentiment.
Il me conduit à la salle de bain où mes vêtements sont posés sur une chaise. J'ai du mal à marcher, mes membres sont ankylosés et mon cul me fait mal.
L'eau chaude me fait du bien et je m'y attarde un peu. Puis je me sèche, m'habille et descend au rez de chaussée. Monsieur Georges et Madame Mireille ne sont plus là. En me voyant arriver, Monsieur Georges et Madame Florence se lèvent de leur fauteuil et viennent gentiment me saluer.
Monsieur Georges me tend une enveloppe sur laquelle est écrit "Pour Philippe". Il m'annonce qu'un taxi m'attend et qu'il est payé. Ils m'embrassent tous les deux et me disent qu'ils sont très satisfaits de moi et qu'ils demanderont probablement à Philippe s'il veut bien me prêter encore une fois.
Il est trois heures du matin quand je pousse la porte de notre maison. Philippe m'attend dans le salon en lisant. Je me jette dans ses bras et lui tends l'enveloppe que m'a confié Monsieur Bruno. Il ouvre l'enveloppe qui contient un DVD en plus d'un petit mot de remerciement. Philippe se lève pour mettre le DVD dans le lecteur. Sur l'écran de télé, je peux alors revivre mon doux supplice. J'ignorais qu'il y avait une caméra dans la chambre ou tout cela s'est passé. Philippe visionne le DVD jusqu'au bout puis me porte dans notre chambre et me déshabille avant de me glisser sous les draps.
Le lendemain matin, je suis réveillé par Philippe qui me suçote les seins. Il me dit qu'il est très content de moi et qu'il y aura d'autres épreuves comme celle-ci. Que me réserve t'il ??