Les Années Lycée - Les jeunes contractuelles

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Proposée le 9/01/2010 par Cidoux

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LES JEUNES CONTRACTUELLES


Comment faire maintenant ? Comment la remplacer ? La chance de se retrouver face à une ancienne élève ne se reproduira pas de sitôt, devine-t-il. Il dévisage ses collègues féminines, en particulier les dernières arrivées dans le lycée. Parmi elles n'y aurait-il pas une âme compatissante ? Il n'envisage pas de cesser le manège de ses élèves, Jeannette a tout à fait raison, cela fait parti du bon équilibre qu'il a su trouver pour ses classes, se justifie-t-il. Aucune jeune femme ne semble comprendre ses invites, très discrètes il est vrai, à s'entretenir en particulier hors de l'ambiance protectrice de la salle des professeurs. c'est seul qu'il se dirige vers la balustrade qui domine le terrain de sport. Dire qu'il va lui falloir attendre le soir pour retrouver Jeannette !

Appuyé à la rambarde qui lui rappelle tant de souvenir, il se désole de ne pas avoir eu d'écho à ses oeillades appuyées.
- j'en apprends de belles sur vous !
Etonné Stéphane se tourne vers la voix qui l'interpelle. Il reconnaît une jeune fille employée sous contrat "solidarité-service" pour assurer la surveillance dans la cour et les salles de permanence.
- Que voulez-vous dire ?
- Osez-vous nier que vous encouragez vos élèves à vous draguer ?
- Moi ? Je les encourage ?
- Oui? Euh? Enfin vous ne faites rien pour les décourager.
- Qui vous a raconté ces bêtises ?
- Vos élèves elle-même.
La jeune fille s'approche.
- Me permettez-vous de m'installer à coté de vous ?
- Vous ne devez pas surveiller la cour, mademoiselle ?
- Pas aujourd'hui.
- Eh bien, mademoiselle? Euh ?
- Jacqueline, mais mes amis m'appellent Jackie.
- Venez ici Jackie.
- Merci monsieur.
- Mon nom est Stéphane.
La sonnerie de reprise des cours met un terme à cet assaut de politesse.
- j'espère que nous poursuivrons cette conversation une autre fois, made? Pardon Jacky.
- Avec plaisir? Euh? Stéphane.
Il la regarde s'éloigner. Elle est à peine plus âgée que ses élèves. Pas étonnant qu'elle en recueille les confidences. Il a l'intuition qu'il vient de trouver la remplaçante à Isabelle. Comment s'en assurer ?

Aux récréations suivantes, Jackie lui fait comprendre qu'étant de service, elle ne peut continuer leur entretien.
- Vous êtes libre ce soir à cinq heures ? Demande-t-elle.
- Euh? Oui.
- Attendez-moi au café en face du Lycée.
Stéphane fronce les sourcils. Cela ne lui plaît pas de « fréquenter » en dehors de l'établissement.
- Pourquoi pas dans la salle des professeurs ? Je préfèrerais.
- Ah bon ? Comme vous voudrez? Excusez-moi !
Elle le quitte pour rejoindre un groupe d'élèves excités qu'elle s'empresse de calmer.

Cinq heures de l'après-midi. Stéphane aperçoit Jackie par l'ouverture de la porte quand un collègue sort de la salle. Il se lève et fait entrer la jeune fille intimidée.
- Je vous présente Mlle Jacqueline qui nous aide à faire respecter la discipline dans notre établissement.
Les collègues la saluent, certains souriant d'autres indifférents. Rapidement ils sortent de la classe en se souhaitant bonne soirée. Stéphane et Jackie se retrouvent seuls.
- Asseyez-vous, propose-t-il en offrant un siège. c'est la première fois que vous entrez ici ? insiste-t-il en lui voyant faire le tour de la salle du regard.
- Oui.
- Cela vous impressionne ?
- Oh ! Pas du tout, sourit-elle.
Il pose la main sur celle de la jeune fille en un geste protecteur.
- Que vouliez-vous me dire ?
- Moi ? Ah oui ! j'ai interrogé vos élèves. Elles m'ont avoué le petit jeu auquel elles se livrent avec vous. Vous n'avez pas honte ?
- Honte ? De quoi ? Je me contente de les admirer. n'en ai-je pas le droit ?
- Si j'ai bien compris, vous les encouragez.
- c'est faux !
- Mais vous faites rien pour les décourager.
- Peut-être. Est-ce un crime ?
Jackie regarde ses mains. Il s'approche, entoure du bras les épaules de la jeune fille.
- Je? Je vous en prie? On pourrait nous voir.
- Pas à cette heure-ci.
Il malaxe la chair tendre.
- Vous savez, je dois avouer que les manigances de mes élèves ne me laissent pas indifférents. Je dois me retenir pour ne pas les toucher, les caresser.
Il embrasse la base du cou. Jackie se défend mollement quand Stéphane délaissant le cou entreprend de déboutonner le chemisier.
- Oh ! Ce n'est pas une raison pour vous défouler avec moi.
- Si ! Vous êtes dans votre rôle de prévention des risques.
- Quel culot !
Il promène les lèvres sur les rondeurs à la limite de la dentelle.
- En vous sacrifiant, vos protégez les adolescentes.
- Oh !
Jackie, outrée, veut se dégager. Elle parvient à se lever mais Stéphane l'attire entre ses jambes. Il soulève le soutien-gorge et libère les bouts de seins roses qu'il tête goulûment.
- Aah !
Le cri, un gémissement plutôt, sonne la fin des velléités de défense de la jeune fille. Elle s'abandonne aux lèvres qui titillent ses seins et aux mains qui farfouillent sous la jupe et empoignent les fesses sous la dérisoire protection de la culotte. Il fait glisser le tissu sur les cuisses. De son coté, elle ouvre la ceinture de Stéphane et fébrilement elle extrait la verge qu'elle manipule doucement.
- Attendez !
Jackie se retourne à moitié, fouille son sac et en extrait un petit emballage. Il ne cesse de lui patouiller les fesses le temps qu'elle déchire le papier et sorte la rondelle de caoutchouc.
- Permettez.
Elle s'agenouille et habille le dard qui pointe entre les cuisses du jeune homme avec une dextérité qui trahit une longue expérience.
- Voilà !
Elle termine d'ôter son slip, enjambe son partenaire et se laisse glisser sur la hampe qu'elle présente à la bonne place.
- Aah !
Avec force gémissements, ils entament la danse d'amour. Prenant appui sur le sol de la pointe des pieds et sur les épaules de son cavalier, elle monte et descend sur la queue qui la transperce pendant qu'il lèche tour à tour les deux seins justes à bonne hauteur.
Ils restent immobiles de longues secondes, anesthésiés par le plaisir. Tout doucement il la repousse. Elle se soulève permettant au gland de sortir du vagin. Elle sourit de voir la grosse limace encore sous son emballage glisser contre la cuisse. Elle cherche du regard sa culotte pendant qu'il tapote sur les fesses pour remettre la jupe en place.
- Permettez que j'aille aux toilettes, s'excuse-t-elle.
- Je vous en prie, moi-même en ai besoin.
Il se lève et se réajuste succinctement.

Au retour dans la pièce ils sont surpris par la femme de ménage qui entre précédée d'un chariot avec divers produits de nettoyage.
- Oh ! Excusez-moi, je croyais la salle vide. Je peux repasser si vous le désirez.
- Inutile, nous vous laissons le champ libre, affirme-t-il.
- Ben, je vous retiens vous ! Y-a plus personne à cette heure de la journée que vous prétendiez ! l'apostrophe-t-elle dès qu'ils referment la porte.
- Je vous en demande humblement pardon, je n'avais plus pensé au personnel d'entretien.
- Vous vous rendez compte qu'elle a failli nous surprendre ?
- Par bonheur il ne s'est rien passé. Tout est bien qui finit bien.
- c'est vous qui le dites !
Il la raccompagne au parking des enseignants.
- Je vous remercie, Jackie, vous êtes adorable.
- Vous n'êtes pas mal non plus, avoue-t-elle.
Il l'enlace. Leurs lèvres se rapprochent, se soudent en un long baiser. Elle glisse entre ses bras.
- Laissez-moi partir maintenant.
Il ne bouge pas tant que la petite auto rouge de Jackie n'a pas disparu. Il soupire. Aura-t-il assez de ressources pour donner le change à Jeannette ? Le picotement à la base de son sexe le rassure. Oui, sa forme sera rétablie à son arrivée à la maison.

Le lendemain, il tente de faire comprendre à la jeune fille que ce n'est pas en fin de journée mais pendant les inter cours qu'il a le plus besoin de ses services. Elle est difficile à convaincre ayant mal digérée que le sacrifice de sa personne fasse partie de son travail de prévention des risques ! Le bon souvenir de leur première étreinte emporte ses ultimes réticences et elle accepte de le suivre dans le cagibi où il entraînait Isabelle. Ils s'y isolent régulièrement. Jackie prend à c'ur son rôle de protectrice des jeunes filles mais refuse l'étreinte non protégée.

c'est elle qui en fin d'année lui présente Caroline la nouvelle assistante.
- Je lui ai expliqué son rôle, précise-t-elle.
- Vraiment ? interroge-t-il sur l'expectative.
- Oui, je sais ce que vous attendez de moi pour la protection des lycéennes, précise la nouvelle venue.
- Vous' Vous êtes d'accord ?
Il est éberlué par leur franchise.
- Oui, oui. Passez de bonnes vacances, je vous revois à la rentrée.
Elles l'abandonnent figé par la surprise.
- Vous ne m'embrassez pas ?
- Oh ! Si ! Excusez-nous.
Elles déposent un baiser chacune sur une joue pendant qu'il flatte les deux postérieurs.

En septembre, Caroline est exacte au rendez-vous. Elle n'est pas seule.
- Voici Françoise. Nous sommes inséparables.
- Ah bon !
Il fronce les sourcils. Ce n'était pas prévu ça !
- Quand commençons-nous ?
- Euh? Que voulez-vous dire mesdemoiselles ?
- Ben, la protection des lycéennes !
Il ne s'attendait pas à une telle détermination !
- Euh? Demain, oui demain à la récréation de dix heures.
Il sortira du deuxième cours avec une terminale où il a remarqué de jolis minois et des poitrines prometteuses.
- Où est-ce qu'on vous rejoint ?
- Euh? A la balustrade qui domine le champ de sport.
- Vous connaîtriez pas un coin plus discret ?
- Si. Vous connaissez le couloir?
Il leur indique le chemin du cagibi?

Elles se partagent le travail. Pendant qu'il patouille les seins de l'une ou embrasse son sexe, l'autre s'escrime avec sa queue.
- On change !
Les deux filles permutent. Elles ne sont pas jalouses et tour à tour reçoivent l'offrande du sperme dans la bouche, mais refusent l'étreinte.
- Tu ne saurais pas nous satisfaire ensemble, se justifient-elles.
Il leur arrivait quand le temps le permettait, de se réchauffer aux rayons du soleil sur la terrasse dominant le stade. Il se permettait de les attirer contre lui, jugeant qu'une complicité à trois est moins révélatrice qu'un couple. Les deux filles s'amusaient à introduire la main dans les poches se disputant la possession de la verge qui durcissait sous leurs manipulations. Un jour, avant qu'il ait pu les en empêcher, avec une paire de ciseaux, elles découpent le fond de la poche pour atteindre la queue de leurs doigts.
- Je vous en prie ! Je? vous allez me? je vais tout tacher.
- T?as qu'à ouvrir ta braguette et laisser sortir le bout !
- Oh !
Caroline qui avait la main gauche dans le pantalon de Stéphane, ouvre la glissière et dégage le gland.
- Vous n'êtes pas raisonnables.
- T?aimes pas ?
- Là n'est pas la question, nous allons nous faire surprendre.
- Mais non ! Regarde.
Personne ne remarque le manège. Elles poursuivent la masturbation jusqu'à son terme et il rougit de voir les filaments blanchâtres s'échapper du méat pour s'écraser en contre bas. Caroline, toujours elle, l'essuie avec un mouchoir en papier, remballe l'attirail et tapote la braguette refermée.
- Voilà, voilà, voilà !
- Et t?avise pas de recoudre tes poches, le menace Françoise.
- Aucune crainte !
Ils alternent les passages au cagibi avec les séances sur la terrasse lorsque le temps le permet.

A suivre