dans 2 jours, c'est le week-end!

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Proposée le 5/01/2010 par 18octobre

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Dans une jolie boîte qui n'avait lieu d'être où je l'ai trouvée, se cachait une coupe à champagne dans laquelle un string en dentelle noire prenait la place du délicieux nectar à bulles, ainsi qu'une petites cassette video et une carte sur laquelle était écrit :
" dans deux jours c'est le WE, et je veux que tu me baises comme une Salope! Mais pour me mériter ce qualificatif et être honorée de la sorte, quoi de mieux en images que ces quelques preuves qui je suis sûre ne te feront plus douter des vices qui m'habitent au plus profond de mon intimité. Je souhaite qu'à la suite de ce petit film tu te masturbes avec mon string souillé, celui-là même qui servit durant la vidéo".
Très surpris du ton cru qu' engageaient ces propos, j'imaginais cependant les promesses que la bande pouvaient contenir. Mes fantasmes les plus subtils défilaient dans ma tête. Étais-ce la consécration de temps d'années de passion, d'amour et de complicité ou simplement l'envie forte de couper court à la monotonie du couple, à moins de vouloir tout simplement me plaire, ou encore était-ce le paradoxe d'une femme trop sage? Il m'arriva une fois ou deux, alors que nous faisions l'amour, de lui susurrer ce mot -Salope- (avec une majuscule dans le ton de ma voix) qui déclencha en moi un certain plaisir, voire un plaisir certain. J'avais alors le sentiment de baiser une autre femme. Mais elle, qu'en était-il'
Sans plus tarder, je commençais à visionner le contenu.

La caméra pointait vers la salle de bain, l'objectif cadrant le rebord de la baignoire sabot. Elle était là, lascive, glissée dans l'eau chaude, les seins flottants, de grandes auréoles rosées au milieu desquelles les pointes se dressaient au dessus de la mousse du bain dans une ambiance feutrée mise en lumière par quelques bougies. Dans sa main gauche un petit verre à moitié plein. Non loin d'elle se tenait une bouteille dont l'étiquette indiquait qu'elle s'était versée un porto blanc. Ces première images ne laissaient en rien présager du caractère de Salope annoncé, mais la sensualité du moment ne m'était pas désagréable. De sa main droite elle trempait son index dans le verre puis le porta à sa bouche plusieurs fois, se caressant les lèvres langoureusement. Son geste se voulait coquin quand soudain elle renversa délicatement ce nectar sur ses mamelons tendus. Elle se mis à caresser ses petits nichons luisants d'alcool, à agacer ses tétons, les malaxant entre deux doigts, parfois en tirant dessus, la tête en arrière, les lèvres pincées.
Peut-être prendrait-elle véritablement du plaisir comme Salope, que ce n'était pas un jeu sexuel comme un autre mais bien sa vraie nature, et que ces préliminaires lui étaient nécessaires pour s'ouvrir de la sorte?
Elle ouvrit le robinet et fit couler de l'eau bien chaude, embuant l'objectif de la caméra quelques temps, floutant alors l'image. Le rendu était magnifique, tel un film de David Hamilton. Elle brassa l'eau d'avant en arrière. Elle se servit à nouveau un petit verre de porto qu'elle but d'un trait, suivi d'un deuxième puis d'un dernier mais qu'elle ne toucha pas cette fois, le posant sur le rebord de la tablette.
C'est alors qu'elle se leva. Ô surprise! Cette Salope portait des bas-culottes échancrés sur les côtés façon porte-jarretelles, mouillés, laissant deviner un sexe glabre plaqué sous le triangle noir de sa culotte rendu transparente au contact de l'eau. J'aime lorsqu'elle prend soin de sa chatte. Il fut un temps où elle se faisait même épiler ce qui avait pour avantage d'être soyeux au contact de mon visage lorsque je m'appliquais à lui titiller le bouton avec mon nez. Son con gonflé de désir à l'idée qu'elle se faisait de m'exciter ainsi semblait vouloir s'ouvrir malgré la tension du fin tissus. Tirant d'une main sur l'élastique de sa petite culotte, elle plongea son autre dans les replis de ses grandes lèvres, se perdit quelques instants avant d'extirper de son antre un filet translucide qu'elle enroulait autour de ses doigts. Jouant ainsi de la sorte devant la caméra, elle sortit du bain pour s'en approcher et m'offrir un gros-plan. Son majeur plein de jute s'avançait proche de ses lèvres soudées puis dessina le contour de sa bouche. Parfois la langue sortait pour mieux y gouter. Elle répétait ses allers-retours d'une gestuelle de Salope. Mon sexe était dur. Je sentais ma hampe se gorger de sang et manquer de place dans mes pantalons. Afin de lui donner plus de liberté, je décidais de me déshabiller du bas. Je regardais mon sexe qui n'avait jamais était aussi gros, aussi long, au point que mon gland se décalotta seul sous cette majestueuse érection. Le bout perlait par le méat ouvert d'excitation. Mes couilles se recroquevillaient ne faisant qu'une. Alors que sur le film elle s'occupait à sucer ses doigts liquoreux, j'appliquais un mouvement circulaire étalant le liquide séminal sur la tête de ma bite tout en la contemplant. Parfois mon corps entier tressaillait sous mes caresses, imaginant ma douce, jalouse de ne pouvoir laper ce petit jus de la pointe de sa langue. Ma queue frémissait, mais je ne voulais jouir maintenant, préférant retenir ce plaisir. Je repris mes esprits et continuais à regarder la cassette. Elle se masturbait à deux doigts, ayant pris soin d'écarter le morceau d'étoffe qui collait son abricot. C'est alors qu'elle se retourna, se baissa pour s'appuyer les mains contre la baignoire afin de m'offrir sa croupe rebondie, les jambes écartées. J'apercevais comme un corps étranger coincé dans le sillon de ses fesses charnues, maintenue par la ficelle de son string, cachant cet rosace dont elle me donna par deux ou trois fois un petit droit d'entrée. Qu'était-ce? J'avais bien là ma petite idée certes saugrenue, mais je n'imaginais que cela puisse être juste. Mes pensées sont parfois s'y perverses'Étais-ce un gode anal, celui là même très évasé permettant l'élargissement du sphincter petit à petit pour mieux y enfoncer mon dard' Elle se trémoussait de gauche à droite, puis tourna ce bidule sur lui-même. Il est vrai que pucelle du cul voilà peu, les trop rares fois ou j'ai eu la permission de l'enculer ne furent qu'une mise en bouche. Son trou bien rond et serré me donnait du fil à retorde. Jamais je ne l'ai pilonnée au plus profond de son ventre. Non pas qu'elle ne veuille pas, non pas que mon sexe soit trop gros, mais son tunnel n'était pas assez élastique pour le moment. Seul mon gland turgescent par la joie d'une demie enculade eut droit à cet indécent privilège. La tête était passée, pas le reste. Mais quel plaisir tout de même que d'avoir défloré son anneau anal! Oui, double qui plus est. Certes, sentir mon gland et le début de ma verge ainsi comprimée quintuple l'effet de la baise, mais aussi mentalement, car gagner l'interdit et s'approprier "l'Autre", n'est-ce pas le moteur même d'une sexualité épanouie. Les images dévoilaient à présent ce que j'avais osé imaginer! C'était bel et bien un plug anal qu'elle avait dans le derrière! La Sa-lo-pe! Dire qu'elle avait ça dans le cul depuis le début de la séance! Sa rosette devait s'être élargie comme jamais. En effet, je la voyais qui tirait dessus délicatement d'une main afin de dépasser le cran du gode, et de l'autre, écarter une de ses miches pour mieux s'offrir à moi. Ce machin noir emprisonné dans son trou culier sortit sans résistance! Le diamètre le plus large était énorme, et c'est sans parler du trou béant qu'il laissa derrière lui. Sa rondelle avait sauté. Elle s'avança lentement vers l'objectif pour mieux me saisir des dégâts. Son trou était si large que j'aurais pu passer ma queue avec les couilles! Elle lécha avec une sensualité sans commune mesure le cône, se caressa le visage avec, et cracha dessus plusieurs fois. Ma grosse pine se pouvait plus d'attendre. Mes bourses me faisaient mal et mon c'ur battait la chamade. Elle approcha sa bouche de la caméra et me susurra à l'oreille :
-je suis ta Salope, ta chienne à quatre pattes, j'veux sentir ta bite chaude défoncer mon antre, entendre tes couilles cogner mon clito gonflé, me démolir la chatte mouillée avec mes doigts, pousser quelques râles sous tes coups de reins, je veux sucer ta queue entre deux va-et-vient, que tu me baises la bouche, que tu me cognes ton bout noueux contre ma gorge, je veux me faire limer le vagin alors que je m'encule avec une main, ouiiii, je veux tout ça et plus encore, je suis ta salope, baise-moi!
Elle se retourna, se saisis du dernier verre de porto qu'elle bu, pris la bouteille et revint à la caméra qu'elle pencha plus bas.
Tout en me disant de me masturber avec son string souillé, elle enduis le goulot de la bouteille de porto d'un gel lubrifiant, puis l'approcha de sa rondelle et se caressa l'entrée du cul avec! Je pris alors son string que je porta à mon nez, humant la mouille de sa chatte, puis entoura ma queue avec et commença un va-et vient.
-Tu veux que je m'encule? me dit-elle! Elle se pencha en avant, dos à la l'objectif en offrant son cul de salope. Elle écarta ses fesses de ses doigts et se bourra le fion aisément. Tout comme moi, elle entrepris sans tarder un va-et-vient dont quelques râles rythmaient le tempo. Parfois, elle sortait la bouteille au complet, révélant un oeillet grand ouvert. Elle s'empala dessus de nouveau, étouffant un petit cri de douleur, puis m'ordonna de prendre la coupe qui se trouvait dans la boîte et de jouir dedans.
Branlant ma verge frémissante de la main droite, je prenais le verre de l'autre main puis j'approchais mon gland congestionné. Prêt à exploser, je maintenais fortement ma bitte attendant l'éjaculation. Je poussais un grognement, la salive débordait de mes lèvres alors que la jouissance me pliait en deux. J'éjaculais mon sperme liquoreux qui sortait par rafales du méat rougeoyant de ma queue pour aller s'échouer contre les parois de la coupe, éclaboussant au passage sa petite culotte pendante autour de mon sexe?Une fois tout déchargé, mon gland tressautait encore sous les derniers jets timides d'un foutre épais. Toujours à quatre pattes, ma Salope continua de jouer avec son anus puis me dit ceci :
-une fois ta semence recueillie, prends soin de la conserver au froid afin que demain, dernier jour avant le WE, je puisse poursuivre mes ambitions et te montrer la tendre garce qui sommeille en moi.
À suivre...