Mon aventure avec B tome I

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Proposée le 3/01/2010 par Lagardiennedesclefs

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B. était un jeune homme qui me plaisait bien, depuis quelques temps. Je n'avais jamais eu de copain (j'avais pourtant 17 ans). Il était dans mon club de sport - c'était d'ailleurs le fils de l'entraineur - et j'avais l'occasion de le voir deux fois deux heures par semaines. Au début, c'était juste une vague attirance, puis, au fur et à mesure que je murissais, mon désir s'est accru. A tel point qu'il m'était difficile de passer ces deux heures sans laisser transparaître mon envie de lui.
J'avais, par ailleurs, le plaisir de saisir assez régulièrement son regard, et de m'apercevoir qu'il me matait sans aucune gène. C'était plutôt flatteur si on prend en considération le jogging informe que nous devions porter, sous prétexte que c'était la tenue officielle du club. Il m'était arrivé plusieurs fois de fantasmer sur lui, voire même de me masturber en pensant à lui. Ca me faisait rire, lorsque mes amies découvraient sa photo dans ma chambre, de les voir pouffer sans comprendre à quel point le désir peut changer une femme. J'étais au lycée, et la plupart d'entre elles étaient encore vierges, voire même carrément coincées. Si elles avaient su...
Et puis, un jour, l'entraîneur m'a annoncé que je partais faire le championnat de ligue en compagnie de ses trois fils et de quelques autres membres du club. La ville qui devait nous accueillir étant assez éloignée, le club offrait la nuit à l'hôtel.
Avant de partir, fantasmant un peu sans trop y croire, je m'épilai soigneusement et intégralement. Il avait deux ans de plus que moi et ses parents étaient assez à cheval sur les filles qu'il avait le droit de fréquenter. En petite jeune que j'étais, m'imaginer avec lui les aurait profondément choqués. Je mis un soutien-gorge en dentelle et l'unique string que je possédais.
Après un trajet de plusieurs heures en voiture, nous arrivâmes enfin dans la ville où devait se dérouler le concours. Nous avions prévu de manger ensemble dans un flunch, et, à peine m'étais-je installée, il vint s'asseoir à côté de moi. J'étais certes assez flattée, d'autant que ses parents, à la table voisine, nous observaient d'un oeil mauvais.
Je commençais doucement à manger lorsque je sentis son pied rencontrer le mien sous la table. Je pris ce geste pour un hasard. Ce n'en était pas un. Assez discrètement pour que ses parents de voient rien, sa main se glissa sur mon genou. Voyant que je ne cherchais pas à l'éviter, il s'enhardit et remonta peu à peu le long de ma cuisse. Je sentais mon sexe dégouliner. Je m'efforçais de calmer ma respiration. Lui avait continué de manger, comme si de rien n'était. Je l'imitai. Lorsqu'il arriva presque à mon ventre, il laissa descendre ses doigts jusqu'à l'intérieur de ma jambe. Il fit glisser sa main jusqu'au genou sur la face interne de ma cuisse, puis revint quasiment jusqu'à mon entrejambe. Sa mère coupa net nos élans en décrétant qu'il était temps de rentrer à l'hôtel.
Ils nous distribuèrent nos chambres. Bien sûr, à peine étaient-ils entrés dans la leur que les portables chauffèrent pour décider qui accueillerait les autres pour la soirée.
Nous nous étions finalement donnés rendez-vous dans la chambre de l'un des frères de B., dont l'ordinateur portable allait nous permettre de regarder tranquillement des films jusqu'à pas d'heure.
Lorsque tout le monde fut arrivé, nous nous installâmes un peu partout pour démarrer le premier film. Comme je commençais à m'y attendre, B. vint s'installer à côté de moi, sur le sol, alors que la plupart des autres s'entassaient sur le lit. On éteignit les lumières et D., le frère en question, appuya sur le bouton play.
L'obscurité jouant en notre faveur, B. recommença son manège. Au bout d'un moment, lassé de son petit jeu, il se leva et me fit avancer pour venir s'asseoir derrière moi, et me laisser m'appuyer sur son torse. Il était musclé, bien ciselé sans pour autant que ce soit excessif. J'aime les hommes comme ça, peut-être justement à cause de lui.
Au bout de quelques minutes, je me laissai aller contre lui. Il sembla satisfait et posa une main sur ma taille et son menton sur mon épaule. Il m'embrassa doucement dans le cou. Je sentais ses doigts qui remontaient doucement mais sûrement dans mon dos, sous mon T-shirt. Il fit sauter mon soutien-gorge d'une main. Il se glissa sous le sous-vêtement jusqu'à la naissance de mon sein. Ma respiration devint haletante.
Le film s'arrêta. Il raccrocha rapidement mon soutien-gorge, avant que son frère rallume la lumière. Je me levai et sortit, prétextant vouloir me doucher. Ils me demandèrent si je revenais voir le second film, je ne répondis pas. Je filai droit dans ma chambre.
J'étais très troublée. Il me semblait sentir encore sa main sur ma poitrine. Je me déshabillai, laissant mes vêtements en vrac, et entrai dans la douche. Sentir l'eau chaude couler sur mon corps me fit un bien fou. Je ressortis apaisée et presque calme.
des coups frappés à la porte me firent sursauter. Je répondis que j'arrivais, fouillai dans ma valise à la recherche de mon pyjama, qui resta bien sûr introuvable. Les coups se répétèrent. J'hésitai un instant avant d'aller ouvrir, enveloppée dans ma serviette de bain.
C'était lui. Il posa un doigt sur ses lèvres pour m'intimer le silence, avant d'entrer et de fermer la porte. Il me fit reculer jusqu'au mur le plus proche, et approcha ses lèvres tout prêt des miennes.
"Arrête-moi si tu trouves que je vais trop loin.", murmura-t-il en caressant ma bouche du pouce.
Il m'embrassa doucement. Ses baisers se firent plus pressants et il essaya d'écarter mes mains, qui retenaient ma serviette sur mon corps. Je ne cherchai même pas à résister. Le tissu retrouva le sol, bientôt suivi par le T-shirt du jeune homme. Un bras autour de ma taille, l'autre main malaxant fermement le sein qu'il avait déjà caressé quelques minutes avant, il m'embrassait avidement.
Je n'étais pas de reste. Mes mains, ardentes, couraient sur les muscles de son torse. Voyant le tissu de son pantalon se déformer, je fis sauter son bouton et descendit sa braguette. Le jean tomba sur ses chevilles, et il s'en débarrassa sans me lâcher. Je caressai doucement la bosse de plus en plus évidente de son boxer. Satisfaite, je sentis que sa respiration s'accélérait sous mes caresses pourtant maladroites.
Je le repoussai jusqu'à atteindre le lit. Il s'y allongea, me laissant m'installer à califourchon sur lui. Ses mains se dirigèrent vers mon sexe inondé. Je fis glisser son boxer le long de ses jambes. Il était en pleine érection, comme peut en avoir un jeune homme de presque vingt ans. Il introduisit deux doigts dans mon vagin tout en titillant mon clitoris. Je commençai à gémir. Je le masturbai doucement.
Il se retourna pour passer sur moi, et son visage descendit à hauteur de mon sexe. Il donna un premier coup de langue sur mon clitoris, me faisant l'effet d'un choc électrique. Apparemment satisfait de son résultat, il se lança dans un cunnilingus plus approfondi, m'arrachant des soupirs et de gémissements de plus en plus intenses. Je jouis une première fois.

Il remonta m'embrasser. Prise du désir de sentir son sexe dans ma bouche, je descendis à mon tour vers son pénis pour commencer une fellation. Je commençai par donner sur son gland de petits coups de langue, avant de le prendre dans ma bouche pour un va-et-vient. Mes gestes me semblaient approximatifs, les râles qu'il laissait échapper et ses mains crispées sur mes cheveux et ma nuque me prouvèrent le contraire.
Ses gémissements se firent plus profonds, et il me supplia d'arrêter ma caresse. Je compris que, en débutante que j'étais, je n'avais pas senti venir son orgasme. Il voulait se réserver pour la pénétration qui, au point où en étaient les choses, ne manquerait pas de suivre.
Je remontai l'embrasser. Une main sur ma nuque, il retint longtemps mon visage contre le sien, et je goûtai l'extase au bord de ses lèvres.
Je m'allongeai à ses côtés tandis qu'il se redressait sur un coude pour pouvoir continuer à m'embrasser. Je me masturbais doucement, les cuisses grandes ouvertes, prête à l'accueillir lorsqu'il déciderait qu'il était temps de passer à l'acte. J'avais envie de lui. Terriblement envie de lui. Mais s'il voulait faire durer les choses, ce n'était certainement pas moi qui allais protester.
Il s'allongea finalement entre mes jambes, et amena son gland à l'entrée de mon vagin. Il semblait chercher une approbation de ma part, quelque chose qui lui prouverait que j'avais réellement envie de lui. Je le pris par la nuque et l'embrassai. Il me pénétra doucement. Malgré mon désir, et le plaisir que j'avais déjà éprouvé, la douleur était au rendez-vous. Je retins mon cri de justesse, pas la grimace sur mon visage. Il s'arrêta, un peu hésitant. Je l'embrassai à nouveau. Il n'entama pas un va-et-vient tout de suite. Il resta immobile en moi, couvrant mon visage de baisers. Au bout de quelques minutes, je refermai mes jambes autour de sa taille. Il recula doucement, presque jusqu'à sortir de mon sexe, puis s'y enfonça à nouveau profondément. Une vague de plaisir me submergea, puis une deuxième. Je sentis le plaisir monter, petit à petit, jusqu'à l'explosion et à l'orgasme. Il jouit en même temps que moi.
Il se retira doucement, et je le vis enlever un préservatif que je ne l'avais même pas vu mettre. Il m'embrassa sur le front et se coucha à côté de moi, dessinant de petits cercles sur mes hanche.
"- Tu as aimé ?
- Beaucoup.
- Tu es heureuse ?
- J'avoue que ça faisait un moment que j'en avais envie.
- Moi aussi. Depuis que tu es arrivée au club, en fait.
- Tant que ça ?
- Oui. Ca te dérange si je dors ici ?
- Tu pense qu'il y a la moindre chance pour que je dise oui ?
- Non.
- Alors pourquoi poses-tu la question ?"

Il sourit et m'embrassa dans le cou avant d'aller éteindre la lumière. Nous avons échangé encore quelques caresses, plus chastes, avant que je m'endorme dans ses bras.