Un ravissant électricien

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Proposée le 2/01/2010 par LovCum

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Dialoques plutôt crus


C'était un jour comme les autres qui commençait, je me réveillais en pensant à ce que j'allais bien pouvoir faire. Puis je me rappelais que l'électricien venait à 15h. En plein milieu d'après midi quoi. En plus l'électricien n'était pas très séduisant. Bedonnant, la soixantaine, jamais rasé comme il le faut.
La journée passait lentement, très lentement. Alors, à 14h00, je décidais de me faire une petit séance de masturbation. Je me mis donc dans le salon et commençais. Je mouillais étrangement plus facilement que d'habitude. J'arrivais à l'extase quand la porte d'entrée s'ouvrit et, un bel homme de 20 ans à peu près entra. Je crois que j'étais aussi gênée que lui ! Puis, il se retourna le temps que je me rhabille puis dit :
« Bonjour. Hum, je suis désolé, je suis en avance. Je suis l'électricien, j'ai sonné mais personne n'est venu ouvrir, alors j'ai pensé que je pouvais entrer. Désolé »
C'était si mignon, il était tout rouge. Bizarrement, cela m'excitait plus qu'autre chose. Évidemment j'étais gênée mais l'excitation prenait le dessus. Je sentais mon string de plus en plus mouillé. Je lui demandai :
« - Ce n'est pas grave. Vous êtes nouveau ?
- Oui, l'ancien est parti à la retraite la semaine dernière, donc vu que je n'ai pas autant d'expérience que lui, cela risque de prendre plus de temps que prévu. Ça ne vous dérange pas ?
- Non, pas du tout. Faites comme chez vous, je m'ennuyais. »
J'avais bien une intention derrière la tête. J'arriverais à mes fins. J'en étais sûre.
J'allais lui montrer le compteur. Il se baissait, et je pouvais bien mater son petit cul. A croquer ! Je me caressais discrètement en passant ma main sous ma jupe. J'attendrais qu'il ait fini pour lui proposer un café et le remercier comme il se doit.
Je lui dis que j'allais prendre un bain. J'allais donc le faire, j'en profitais pour me raser. Puis je sortis en sous-vêtements et passait devant lui en prétextant préparer le café, c'était vrai, mais j'en profitais également pour me baisser pour regarder son travail et coller mon 90C à ses joues. Il était rouge pivoine, c'était si mignon. J'avais envie de déployer tous mes charmes, alors je trébuchais sans le faire exprès, bien sûr ! Et j'arrivais mes fesses sur ses genoux, je sentais sa verge toute dure, je m'excusais puis me relevais. Mon plan fonctionnait. A merveille ! Je retournais donc "m'habiller". J'enfilais une très mini jupe avec mon string noir et rouge. J'enfilais également un petit bustier assorti à mon string.
« J'ai fini mademoiselle ! » cria-t-il. Alors, je descendis, pressée de lui montrer ma belle petite tenue. Lorsque que je fus descendue, je le vis, il m'attendait au pied de l'escalier, il me regardait l'air affamé. Pour une fois, il ne rougit pas. Je lui dis de s'assoir dans l'unique canapé du salon. Ce qu'il fit. J'allais chercher le café. J'entrais de le salon, cafetière à la main. Et, tout à coup, je trébuchais sur le tapis, pour une fois, ce n'était pas prévu. Sauf que ma cafetière se renversa sur son pantalon. Il hurla de douleur. Je m'excusais, j'étais terriblement gênée ! Mais, à vrai dire cela m'arrangeait :
"Excusez-moi jeune homme, excusez moi ! Je suis vraiment navrée ! Je vais dans la chambre d'amis, je crois que j'ai le pantalon d'un ami, il fait a peu près votre gabarit , je vais le chercher."
Je montais, pris le pantalon, et glissais discrètement une boîte de préservatifs à l'intérieur. Je descendis, il n'avait pas bougé mais la douleur sur son visage avait fait place à un sourire gêné. Je lui pria d'enlever son pantalon afin d'en changer.
"Oui, mais à vrai dire, hum, d'accord." Dit-il tout rouge.
Il enleva donc son pantalon, et là, oh, merveille, je vis sa verge tellement gonflée qu'elle sortait de son caleçon blanc. Je dépliais le pantalon de rechange et, quelle surprise une boîte de préservatifs en tomba. Nous nous regardâmes avec un sourire des plus coquins. Mais aucun de nous n'osait faire le premier pas. Malgré ceci, il n'enfilait pas son pantalon, il avait soit-disant chaud. Je m'assis donc à côté de lui sur le canapé. Puis il aperçut mon jeu de dés coquins sous une armoire. Il se leva, laissa tomber sa timidité et les saisit.
"- Alors, vous voulez y jouer mademoiselle ?
- Oh que oui, mais peut-on se tutoyer ?
- Si tu le souhaites !
- Bien entendu, cela restera secret ?
- Évidemment que oui !
- Bon, je commence."
Il lança les dés et tomba sur un truc soft : Lécher et bouche. Alors, il me prit par le cou, et m'embrassa avec rage. Sa langue et la mienne formaient un ballet, si sensuel, si sexuel. Quand il se retira, se fut presque un déchirement. Pressée de recommencer, je lançai à mon tour les dés.
Ça commence à devenir intéressent !
Oui, j'étais tombée sur : Lécher ? Sexe. J'avais un peu peur, je n'avais jamais fait de pipe. Mais je m'exécutais. Je baissais son caleçon, et commençais à lui lécher le gland, visiblement, il appréciait, je continuais donc en commençant a lui sucer tout le sexe. Le goût était plus agréable que je ne l'imaginais. Il émettait des râles de plaisir, ce qui m'encourageait à continuer. Normalement, je n'avais pas le droit mais je me mise à lui masser les boules. Quelques secondes après, il envoya sa semence toute chaude dans ma bouche que j'avalais par obligation au début, mais par plaisir ensuite.
Après avoir repris ses esprits, il lança les dés. Mais, j'en avais marre de jouer à ce jeu, je poussais les dés sur le côté.
" - Prends moi comme une grosse chienne !
- Tu le veux vraiment ma salope !?
- Ouiiiii, j'attends que tu me défonces depuis que tu es là !
- Tu vas voir, ma bite est bien mieux que ton pauvre gode.
- Prends-moi alors !"
Il n'attendis pas que je lui demande 2 fois. A ces mots, il m'allongea sur le canapé et me pris d'abord en missionnaire. Je sentais ses 23cm s'enfoncer en moi, c'était si bon ! Ensuite, il me prit dans la position du lotus, une de mes préférées ! Il me léchait les seins, j'atteignis l'orgasme !
Alors tu jouis déjà ma salope !? Mais tu sais qu'on a pas terminé !
Oh, oui encore mon cochon, prends moi par tous les trous !
Je ne sais pas ce qui m'a pris, je n'avais jamais fait d'anal. Mais, il me prit directement en levrette. Je criais de douleur, il n'y allait pas du tout en douceur, mon trou se dilatait pour que je puisse enfin crier de plaisir. Puis, il me prit par les cheveux et me força à me mettre debout, il me plaqua avec toute sa force contre le mur et faisait frôler mon sexe tout mouillé avec sa verge, je voulais la sentir en moi, pourquoi attendre.
"- Enfonce-la ! Pénètre moi, je t'en supplie.
- Un peu de patience ma salope, j'aime que tu me supplies.
- Vas-y !! Je ne peux plus attendre !"
C'était plus fort que moi, je me stimulais le clitoris, je ne pouvais plus attendre. Il me prit la main, l'enleva, et s'agenouilla, il commença à me lécher le sexe, il avalait mon jus et me pénétrait avec sa langue. Jamais, oh non jamais, je n'avais eu autant de plaisir. Il se remit debout et me pénétra enfin. Il allait vite, comme un bourrin, mais putain, qu'est ce que j'aimais ça ! Puis, il m'agenouilla et mit sa bite entre mes seins. Je commençais une branlette espagnole, la première fois. On ne restait pas longtemps dans cette position :
"Aaaah, suce moi, je vais décharger ! Aarf, c'est trop bon."
J'exécutais ses ordres, et le suçais, je me sentais être une vraie catin, mais j'aimais ça. Il éjacula dans ma bouche et, encore une fois, j'avalais sa semence chaude.
Merci ma salope. Au revoir, si tu as besoin de mes services, n'hésite surtout pas ! Me dit il avec un clin d'oeil.
Il se rhabilla, j'étais allongée sur le tapis du salon. Je souriais. Je me doigtais sans même m'en rendre compte.