Nouvelles Galeries

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Proposée le 30/12/2009 par lover-dose

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Tu m'as donné rendez-vous à midi devant les Nouvelles Galeries. Je suis à la fois surpris et très heureux que tu te manifestes comme ça alors que jusqu'à présent tu te contentais d'échanges épistolaires. Je me demande pourquoi soudain cette demande et dans quel endroit nous pourrions déjeuner.

Je quitte le travail plus tôt que prévu le c'ur léger en pensant à nos retrouvailles. Arrivé devant le lieu du rendez-vous, je te cherche des yeux dans la foule. Je n'arrive pas à te distinguer et patiemment je laisse s'égrener les minutes confiant sur ta venue? Soudain tu apparais derrière moi sortant du grand magasin.
Bousculé par la foule environnante je n'arrive pas vraiment à mettre autant de chaleur souhaitée dans nos embrassades. Je te demande où tu souhaites déjeuner et là tu me cloues sur place en me disant que ce n'est pas le programme ! Tu m'as demandé de venir pour t'accompagner dans ton shopping et tu t'engouffres dans le magasin.
Je me précipite dans ton sillage les yeux fixés sur ton dos et tes reins. Tu te glisses entre les gens, j'essaie de me faufiler à ta suite. Chaque fois que mes yeux te perdent ton parfum me sauve pour te retrouver. A ma grande surprise, nous passons devant le rayon vêtements sans même un temps d'arrêt.

Tu t'arrêtes enfin au rayon sous-vêtements, devant des ensembles string et soutien gorges, tu en choisis un ou deux modèles et tu te retournes vers moi l'oeil pétillant pour me demander ce que j'en pense. C'est le blanc total dans mon esprit !
Je suis gêné. Ma présence au milieu du rayon sous vêtements féminin, mon excitation palpable, ta question remplie de naturel, à voix haute et la bouche en c'ur.
Je regarde autour de moi, je ne sais plus où me mettre.
Je bafouille discrètement que ça me plaît.
Tu saisis alors un autre ensemble blanc et, provocatrice, tu me demande - à tue tête pour que toutes les clientes du rayon entendent - lequel de ces deux ensembles m'exciterait le plus.
Je baisse la tête, je regarde mes pieds. D'un mouvement délicat de la main sous mon menton, tu relèves mon visage en me fixant droit dans les yeux et répètes ta question d'une voix suave comme pour faire monter le désir en moi.

Dès que tu m'as montré les ensembles je me suis imaginé la façon dont tu les porterais. Ton regard espiègle a parachevé l'excitation provoquée par mon imagination. Tu as l'air particulièrement contente de ton effet. J'arrive tout de même à te dire que si je te voyais les porter je pourrais mieux me prononcer.
Tu me réponds que c'est bien pour ça que tu m'as demandé de t'accompagner. Pour que je donne mon avis pendant que vas les essayer. Quitte à essayer je te montre d'autres modèles dont certains sortis en dentelles noires.
Nous en sommes à quatre ensembles à essayer. Nous nous dirigeons vers la cabine en rigolant, ce qui fait se retourner les autres clientes.
Juste avant d'entrer alors que je suis quasiment collé à toi, tu te retournes et me dis que la règle du jeu c'est « pas touche » ! La seule aide que je suis autorisé à t'apporter c'est de régler les bretelles de tes soutiens-gorge si jamais le besoin s'en fait sentir.

J'accepte avec joie, trop heureux de te voir t'exposer sous mes yeux. Tu retires ton manteau m'invitant à faire de même avec le mien. Là je suis un peu plus embarrassé, mon érection était jusqu'à présent dissimulée. Elle risque de se montrer. A peine ai-je retiré mon manteau que je vois ton regard chercher une certaine bosse. Puis nos yeux se croisent et nous éclatons de rire.


Tu retire ton t-shirt puis tu te retournes en me demandant si je veux bien dégrafer ton soutien gorge. Je ne répond rien mais tu sens mes mains un peu fébriles s'exécuter. Je te regarde dans la glace et je fixe mes yeux sur le reflet de ta poitrine.
Toujours le dos tourné, tu dézippes ta jupe et fais quelques mouvements de bassin pour la faire glisser le long de tes jambes.
Tu te cambre alors, et tes fesses viennent effleurer mon jean à hauteur de la braguette et de la bosse caractéristique. Tu as visiblement très envie de jouer avec moi. Tu te redresse et me regarde à travers le reflet de la glace, les yeux interrogateurs.

Tes yeux brillent de plaisir devant mon hochement de tête approbateur. Tes seins sont libres et franchement à craquer. J'essaie de contrôler ma respiration. Tu te retournes. Je m'apprête à te dire combien je te trouve désirable. Mais tu poses un doigt sur mes lèvres et me dis chut.
Tu me tends ton soutien gorge je dois me retenir de le porter à mes narines. Je l'accroche alors que tu t'empares d'un modèle à essayer. Mes yeux sont rivés à tes seins. Chacun de tes mouvements est enchanteur. J'ose penser que leurs pointes se dressent à cause de la situation et non à cause de la température. Tu te remets face à la glace, fixes le soutien gorge autour de ta poitrine et remontes doucement les bretelles.
Je peste contre les vendeuses ! Elles ont trouvé le moyen de régler la hauteur des bretelles exactement à ta taille. Je ne peux avoir l'excuse du réglage pour poser les doigts sur toi. Tu te saisis du string et me tournes encore le dos pour l'enfiler. Là j'ai le droit à la vision de tes fesses rondes. Question torture tu as réussi ton coup.

Tu remontes le string sur les cotés afin qu'il soit retenu par tes hanches et qu'il vienne se tendre contre ta chatte, la ficelle bien tendue à l'intérieur de tes fesses.
Tu te retournes. Tu me regardes. Je lis ton envie dans les yeux.
Toujours espiègle, tu fais un tour rapide sur toi même, puis un deuxième. Tu te rapproches de moi, sans me toucher, et le regard fixé dans mes yeux, tu me demandes : "Tu aimes ?".
Ton regard se pose alors sur mes lèvres, pour essayer de deviner la réponse pourtant triviale.

L'ensemble te convient parfaitement. Il n'y pas grand chose d'autre à ajouter. Je te le dis. Après ce commentaire philosophique, tu dégrafes le soutien gorge et mets tes seins à portée de mes mains. J'esquisse un mouvement mais tu me rappelles gentiment la règle.
Tu retires le string et en te penchant, ta tête vient dangereusement proche de ma ceinture. J'ai certes perdu la vision de ses seins par contre j'imagine la situation alors que je n'ai plus mes vêtements. Ceci renforçant la tension de ma queue, le mouvement n'échappe pas à ton regard car quand tu te relèves tu passes la langue sur tes lèvres d'une manière plutôt explicite en rappelant encore la règle.
Tu t'empares du second soutien gorge et l'agrafes face à moi cette fois-ci. Les bretelles sont mal réglées et je me régale à l'idée d'intervenir. Tu me demande d'attendre pour te laisser enfiler le string. Tu es toujours dos à la glace et vu la grimace que je fais quand tu as enfilé le string, tu te tords un peu pour voir ce qui provoque ma réaction.
Avant que j'ai pu dire quoi que ce soit tu me dis que j'ai raison le string est nul et tu retires tout. Encore une fois raté pour les bretelles ! Troisième ensemble. J'ai l'impression que tu t'es rapprochée de moi mais bon rien de sûr. Je me méfies un peu de mes désirs à ton égard. Tu passes le soutien gorge et à ma joie celui-ci a encore les bretelles à régler. Je me promets de ne pas réagir si le string n'est pas bon !


Tu enfiles le string.
L'ensemble est noir avec des borderies argentées. Plutôt élégant mais un peu chargé. Le string est ouvert en haut des fesses faisant une sorte de c'ur sur ta peau.
Tu tournes tes fesses vers la glace et tu te cambres en tournant la tête pour observer le motif. La pointe du c'ur vient se perdre dans la raie de tes fesses. Tu poses alors une main sur chaque fesse que tu écartes légèrement pour observer la totalité du motif brodé. Une véritable provocation. Gardant la posture, tu me regardes. Une goutte de sueur perle sur mon front. Tu me demandes si cela me plaît. Je te rétorque, comme obsession, que ton soutien-gorge est mal ajusté.
Sans dire un mot, tu saisis ma main, tu l'amènes près de tes fesses, et, repliant mes doigts, à l'exception de l'index tu me dis dans un sourire: "Non, ça idiot !". Pauvre de moi je n'arrive plus à discerner avec lucidité le sens de tes questions.
Confus, je ne sais quoi répondre, et, pour m'inciter à prendre parti, tu guides mon doigt vers le motif jusqu'à ce que la pulpe de mon index effleure le coton brodé.
Ma maladresse t'émeut et je sens des frissons te parcourir le corps. Les poils fins et blonds, presque transparents de ton arrière train se dressent. Tu as la chair de poule.

Ton visage levé vers moi est angélique. Soudain tu sembles te rappeler les règles du jeu et tu me dis qu'on va passer au quatrième ensemble. Tu dégrafes toujours aussi vite le haut. Tu sembles prendre un malin plaisir à commencer par le haut et me laisser admirer tes seins. Quand tu te penches pour retirer le string, tes fesses viennent en appui sur ma queue. Ce n'est absolument pas involontaire. Pour preuve, tu as le culot de tortiller du bassin avant de te redresser.

Tu te glisses rapidement dans le nouvel ensemble. Les effleurements sont plus nombreux mais moins appuyés. J'ai le bonheur de régler les bretelles. Mes doigts viennent finir leur course sur le rond de son épaule que mes paumes finissent par caresser en pensant que ce sont ses seins qu'elles pressent. Tu me dis que j'exagère mais ne me demandes pas de d'arrêter.
Malgré le réglage des bretelles, le soutien gorge ne rend pas honneur à ta poitrine. Je te le dis mais tu ne me crois pas. Tu aimes le tissu et la couleur. Je te dis que le soutien gorge baille sur tes seins. Et sur un "Ah bon ?" de ta part, mes doigts plongent vers ton buste pour montrer la zone litigieuse. Tu acquiesces finalement. Mes doigts ne partent pas de la zone conquise bien au contraire.
Tu me demande de serrer un peu plus les brettelles pour que le soutien gorge rehausse ta poitrine.
Je m'exécute volontiers.
Face à moi, tu saisis alors ton buste entre tes mains et, toujours provocatrice, tu me demandes en pressant sur ta poitrine : "Et là ?".
Mais tu sais bien que j'avais raison.
Tu me demandes, autoritaire : "Ben s'il va pas, alors enlève-le !". Mes gestes prenant de l'assurance tandis que j'enlève ton cache poitrine.
Une fois tes seins à nouveau à nus, tu te retournes vers moi. Tu te rapproches en me regardant fixement et je recule jusqu'à te retrouver contre le mur de la cabine. Tes seins effleurent mon T-shirt. Tu lèves la main droite pour attraper le prochain ensemble accroché au porte-manteau au dessus de mon épaule gauche. Mais il est encore un peu loin. Tu te serres donc contre moi pour pouvoir l'atteindre. Je sens tes seins venir se presser contre mon torse.
D'un air un peu maladroit, je te dis que j'aime ton parfum.
Tu souris et voles un baiser dans mon cou.


Prestement, tu te retournes alors pour enfiler le slip brésilien noir. Tu te baisses bien bas et le remontes tout doucement pour que j'ai bien le temps de noyer mes yeux dans ta croupe.
Tu enfiles le soutien gorge et me demandes de t'aider à l'agrafer. Je jubile.
Mais le slip est visiblement trop grand et tu me demandes donc d'aller chercher la taille en dessous.
L'air déçu et la démarche un peu gênée, je sors alors de la cabine.

Je reviens triomphant le trophée entre les mains. Tu le saisis avec un sourire qui me cloue. Tes yeux pétillent. Tu passes tes doigts juste sous mon nez et les effluves me font frissonner. Tu as profité de mon absence pour aller cueillir ton humidité entre tes cuisses. Je suis scotché. Tu enfiles le vêtement l'air de rien. Il est une véritable seconde peau.
Je ne dis rien, j'imagine tes doigts sur ton minou.
Tes fesses se plaquent contre ma queue. Les secondes s'égrènent et tu reprends tes esprits en te retournant pour expliquer qu'il y a encore d'autres modèles que tu as envie d'essayer et que donc il ne faut s'arrêter en si bon chemin.
Pendant que tu m'exposes ta vision des choses ta main est venue se poser sur ma queue démentant tes paroles. Mais tu la retires presque aussi rapidement dans un sourire satisfait de la bosse que tu as sentie en me demandant d'aller chercher de nouveaux sous-vêtements. J'y vais à reculons mais en sachant bien que résister ne serait que peine perdue.

Je reviens enfin avec trois nouveaux ensembles coordonnés. Tes yeux sont brillants et tu déposes un baiser sur mes lèvres en me remerciant le regard moqueur. Le goût de tes lèvres me laisse imaginer ce que tu as fait pendant mon absence mais je ne peux en être certain.
Tu me laisses néanmoins pour essayer le cinquième ensemble. Cette fois c'est un shorty qui te va à merveille. Nous nous sommes encore effleurés sur cet essayage mais comme il te convient parfaitement il ne peut être prétexte à digression.
Le sixième ensemble n'est même pas essayé. A peine as tu pris le soutien gorge en main que tu le trouves nul et donc ne méritant pas un essai. Ce refus me permet de me remplir les yeux de tes seins plus longtemps !
On passe donc au septième. Et la on est légèrement perturbé par la vendeuse qui passe sa tête dans la cabine pour demander si tout se passe bien. Nos visages répondent avant nous pour lui faire comprendre à quel point cela se passe bien. Dès qu'elle quitte la cabine, on éclate de rire comme des gamins.

Je te souffle à l'oreille :"Tu crois qu'elle a compris ?".
Bien sur on connaissait tous les deux la réponse, mais c'est une excuse pour venir me serrer contre toi et pouvoir déposer un baiser sur ta joue, le bord de mes lèvres juste contre le bord des tiennes. Tu en profites pour, d'un doigt, faire quelques aller-retour sur la bosse de mon jean. Tu voulais être sure que l'intervention de le vendeuse ne couperait pas mes envies. Apparemment pas...
Tu te recules du coté opposé à la cabine en me faisant signe de ne pas bouger.
Incrédule, je regarde.
Tu pose ton dos contre le miroir. Cette sensation froide, glaciale même, n'est pas très agréable, mais l'excitation qui résulte de ton intention te fait continuer. Le dos en appui contre le miroir, tu écartes légèrement les cuisses puis ta main gauche saisit le string et l'écarte coté gauche. Les effluves de ton minou arrivent immédiatement à mes narines.


Ta main droite vient se poser sur ta toison entretenue à moitié découverte, et d'un mouvement de l'index de bas en haut, tu me montres ton clito gonflé. Tu le titilles alors. Tu me regardes mais je ne m'en aperçois même pas... Mes yeux sont totalement fixés sur ton doigt qui s'active avec ton clitoris.
Tout en me regardant pour observer mes réactions, ton index descend le long de ton entrecuisse et écarte progressivement tes lèvres. Le bout de ton doigt est déjà trempé. Tu fais quelques allers et retours avec ton index sur l'entrée humide de ton vagin.
Je n'ai rien perdu des mouvements de ton doigt, comme hypnotisé par lui.
Doucement, tu l'enfonces alors à l'intérieur pour qu'il soit totalement humidifié. Tu commences à faire quelques va et vient, mais tu t'arrêtes rapidement pour te redresser d'un geste prompt.
Féline, tu te jettes sur moi, le doigt en avant que tu m'invites visiblement à gouter.

J'ouvre la bouche tu glisses ton doigt trempé. Je ferme yeux pour mieux m'imprégner de ton gout. J'aime la sensation salée épicée un peu acre qui va rester sur mon palais. Je joue avec ma langue sur la pulpe de ton doigt. J'essaie de simuler les mouvements de langues comme si je jouais sur ton clito.
J'ouvre les yeux et mon regard croise le tien. Je lis à la fois un désir fou et une tendresse absolue.
Tu retires doucement ton doigt et nous nous embrassons. Il y a une complicité totale dans cet échange. Je vois la vendeuse passer du coin de l'oeil. Elle a un sourire aux lèvres. Je sais qu'elle va nous laisser tranquille.
Mes mains se posent sur tes fesses. Je les caresse, les malaxe. Je remonte un peu au creux de tes reins toucher le duvet blond et soyeux qui se dresse.

Tu cesses le baiser et viens me susurrer ton envie. Je détache lentement le soutien gorge qui tombe entre nous. Mes doigts font glisser le string.
Je te croque la lèvre inférieure et avant que tu ne réagisses, je me laisse glisser le long de ton corps pour m'agenouiller à tes pieds.
Ton minou tout lisse est dévoilé à hauteur de mes yeux. Je reste quelques secondes à admirer le spectacle. Mes yeux partent de la petite bande pubienne pour se glisser du sommet du mont de vénus le long de la fente à la recherche du clitoris. Les grandes lèvres gonflées entourent les petites lèvres roses légèrement écartées.
Je pose une main sur ton cul dans un langoureuse caresse. Mes doigts glissent sur la peau nue, je joue sur le grain de sa peau puis je plaque ma paume sur un lobe amenant ainsi ton minou contre mes lèvres. J'embrasse doucement ton sexe et sors ma langue sur ton mont de Vénus. Je descends le long de ta fente jusqu'au sommet de ton clitoris.


Tu me laisses faire. Mais quelques lampées plus tard (et un ou deux gémissements de ta part), Tu saisis ma tête entre tes mains, me forçant à te regarder, tu m'invectives : "Aurais-tu oublié la règle ?".
Je grimace de déception. De frustration aussi probablement. Ma bouche laisse même échapper un grognement en signe de protestation.
Tu serres un peu plus fort ma tête et m'obliges à me relever.
Tu me susurres "La règle, c'est la règle".
Mes yeux de chien battu viennent se noyer dans les tiens, pétillants de me mener ainsi par le bout du nez. Tu m'embrasses délicatement comme pour que je te pardonne.
Tu rajoutes en murmurant à mon oreille :
"Toi pas touche, mais pour moi la règle elle dit rien".
Et tu souris, contente de ce pied de nez.
Tu m'embrasses alors en collant ta main sur mon pantalon.
Tu passes un doigt par la braguette, entre deux boutons, pour pouvoir atteindre mon membre gonflé par dessus mon boxer.
Décidée, tu t'accroupis d'un geste vif et dégrafe ma ceinture avant de descendre d'un seul coup et des deux mains mon jean et mon boxer en même temps laissant apparaître ma queue dressée mais pas totalement raide.

Le simple poids de ton regard me fait me dresser. Mon gland suinte et tu passes la langue sur tes lèvres.
Tes yeux suivent le mouvement de ma queue qui balance au gré des pulsions de désirs qui traversent ma tête. Tu poses tes doigts sur ma hampe. C'est doux et délicieux à souhait et tu accentues la pression pour en éprouver la dureté. Tu remontes lentement la main vers mon gland en pressant mon sexe.
Tu t'arrêtes à la base faisant sortir une goutte de pré-sperme. Ta langue vient la recueillir. Tu lèves les yeux vers moi au moment où tu déglutis avec un sourire.
Puis tu ouvres grand la bouche et refermes tes lèvres sur mon sexe tendu. Tu glisses le long de ma queue

Tu gardes tes lèvres immobiles quasiment à la base de ma queue. Tu la sens grossir à l'intérieur et quasiment t'emplir la bouche. Toujours sans bouger tes lèvres, tu passes délicatement ta langue à le base de mon gland, puis, comme tu peux le long de mon sexe.
Tu ressors un peu ma queue de ma bouche de sorte à pouvoir accentuer ton petit jeu. Ma queue est maintenant à moitié entrée et avec ta langue, tu lèches mon gland. Tu fais des ronds tout autour de mon gland.
Tu la sens grossir encore alors que tu pensais que mon érection était déjà maximale.
Le dos contre la paroi de la cabine, je me cambre un peu plus, signe manifeste du plaisir que je prends.
Je ne sais pas si je vais pouvoir me retenir longtemps.
Tu arrêtes ton jeu de langue et aspire mon membre autant que tu peux pour faire monter son jus.
Tu me regarde en même temps et, nos yeux se croisant, tu esquisses un sourire la bouche pleine.
Tu commences alors à me pomper frénétiquement à coup de petits allers-retours énergiques le long de ma queue.
j'aime ça et je te le dis.


Tu toeinterromps momentanément, et, en me regardant, tu sors la langue de ta bouche pour lécher plusieurs fois ma queue sur toute sa longueur de sa base à l'extrémité du gland.
Je suis raide et dur. Tu as envie du goût salé et âpre de mon sperme dans ta bouche.
Tu recommences à me sucer énergiquement pour que j'explose dans ta bouche.

J'ai de plus en plus de mal à me contrôler. La vendeuse vient glisser un oeil et s'éclipse aussi vite qu'elle est arrivée. Elle a sourit et fait chut avec le doigt sur la bouche. Ta langue est démoniaque. J'adore aussi le jeu de tes doigts sur ma hampe. Finalement je transgresse la règle et je pose les mains sur tes cheveux. J'éloigne un peu ton visage de mon ventre pour n'avoir plus que mon gland dans ta bouche.
Ma respiration s'accélère. Mon gland se gonfle totalement dans ta bouche. Tes yeux sont rivés dans les miens. Seule ta langue touche la base du gland, aucun mouvement de va et vient de tes lèvres. Tu me tiens à ta merci. Mon regard t'implore de m'achever. Tu sembles vraiment apprécier la situation. C'est toi qui domine mon plaisir. Soudain tu écrases ta langue sous mon gland, tu le plaques sur ton palais. Et d'un tout petit mouvement circulaire tu me fais exploser.
Mon sperme jaillit dans ta bouche. Il se répand se mélangeant à ta salive. A chaque giclée tu as un son de gorge merveilleux. Tu presses ma hampe afin de me vider jusqu'à ma dernière goutte. Je me pince les lèvres pour étouffer les râles de plaisir. Tu ouvres la bouche libérant délicatement mon membre qui redevient doucement flasque. Tu restes la bouche ouverte pour me montrer le sperme que tu y gardes. Tes yeux brillent. Je sens que tu vas tout avaler. Je te fais signe que je veux autre chose.
Je prends ton visage entre mes mains et te fais te mettre debout. Tu m'interroges du regard. Mes lèvres viennent se souder aux tiennes et je t'embrasse. Nos langue virevoltent dans le sperme et la salive. Nous mangeons nos bouches. J'aime le goût acre et salé de mon sperme dans ta bouche. Je sais que ce goût va persister sur nos papilles après ce baiser. Mon sexe reprend de la vigueur avec ce baiser complice.

Tu me regardes dans les yeux. Mon regard vague et mon sourire béat en disent long sur le plaisir que j'ai pris.
Tu passes une main sur mon sexe ni dur ni mou. Une dernière goutte de sperme vient perler le bout de mon gland.
Tu la vois et te penche alors pour la prendre dans ma bouche. Tu me dis, sur un ton coquin, "Faudrait pas gâcher tout de même." et tu souris, contente de toi, contente de ce moment insolite passé ensemble.
Comme je ne réponds rien, tu te penches à nouveau et reprend ma queue dans ta bouche.
Tu t'actives de quelques allers-retours. Une sorte de remerciement. Mon sexe ne réagit pas mais tu sais que c'est dû à ma plénitude.
Tu t'arrêtes et te relèves.
Tu me demandes dans un murmure lequel de ces ensembles j'ai préféré.
Ma réponse n'est pas immédiate. Tu regarde l'heure. Mince, il est 13h30 passé, tu dois partir, tu es déjà en retard.

Ni une ni deux, tu te rhabilles et sors immédiatement de la cabine sans me laisser le temps réagir.
Je me retrouve là, le pantalon sur les chevilles avec tous les ensembles que tu as essayé autour de moi. Un peu embarrassant, penses-tu en sortant du magasin. Tu m'imagines maladroit et confus en train d'essayer de me dépêtrer de cette situation.
Je souris et j'imagine nos retrouvailles la prochaine fois.

J'enfile rapidement mon pantalon glisse la tête par l'entrée de la cabine. Tu as totalement disparu, ce qui me fait sourire. Je sors de la cabine, les sous-vêtements que tu as abandonnés à la main. Arrivé à la caisse je tends les ensembles qui t'avaient le plus plu. La vendeuse a un sourire explicite aux lèvres. Je la regarde droit dans les yeux avec une candeur de communiant.
Aucune culpabilité ressentie, juste un apaisement et une sensation de plénitude. Je sors du magasin et retourne tranquillement au boulot en pensant à ce que je viens de vivre. Je suis certes déçu de la fin mais tellement heureux d'avoir pu rendre notre relation encore plus intense. Je continue de bander, j'imagine ta bouche sur mon sexe.