Et le feu passa au vert

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Proposée le 26/12/2009 par bayand

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Depuis quelques mois ma femme devenait pénible à vivre, sans que je sache pourquoi elle piquait des crises de jalousie à mon encontre. J'ai pendant cette période compris ce que pouvait ressentir un condamné à tort qui crie son innocence en prison.
Rien dans mes faits et gestes, mon attitude ou mes regards envers la gente féminine ne pouvait justifier ses crises, je l' aimais et étais désespéré de voir son manque de confiance à mon égard. Mais franchement ça devenait très très pénible à vivre.
Quand je rentrais un peu plus tard, ou sortais seul pour diverses raisons, je savais qu'en rentrant à la maison j'allais avoir droit à une scène de ménage et que toutes mes justifications seraient vaines, à tel point qu'il me devenait de plus en plus difficile de rentrer chez moi...

Ce soir de juin, il était 19h00 j'avais bossé un peu plus tard et je rentrais en voiture à la maison. " Qu'est ce qu'elle va bien pouvoir encore inventer pour me pourrir la vie ce soir ?? ", pensai-je, en songeant à l'immanquable scène que Lyse allait me faire en arrivant.
Au bureau nous avions Frédéric et moi, une assez jolie secrétaire, avec qui beaucoup d' hommes auraient certainement voulu passer un agréable moment, mais Frédéric m'avait dit qu'il serait plus facile d'essayer de détruire la tour montparnasse avec un cure dent que d'essayer de coucher avec Marie, notre secrétaire.
Il avait maintes fois essayé et s'était fait à chaque fois fait rembarrer gentiment mais fermement. Personnellement Marie m'énervait un peu, je n'avais rien contre elle directement mais elle déconcentrait et déconcertait tous les hommes qui passaient au bureau. Il y en a même un, venant d'un pays que je ne nommerai pas, qui voulait nous l'acheter. Acheter Marie !! Il aurait eu du fil à retordre avec elle. Moi même, j'avais des difficultés avec elle car elle était consciente de son pouvoir de séduction sur les hommes et en jouait allègrement pour prendre l'ascendant sur eux.


J'étais arrêté à ce feu rouge, les gens commençaient à s'impatienter, moi aussi d'ailleurs. Déjà qu'on venait d'être tous déviés très loin de notre route par des travaux. Je me rendis compte que je n'étais pas loin de chez Marc et Jeanne, des amis de longue date mais que je n'ai pas vu depuis quelques temps, la vie trépidante de citadins bouscule souvent les planning et il est assez dur de dégager du temps libre, et enfin le feu passa au vert...

J'aurais dû tourner à droite pour rentrer chez moi, mais c'est à gauche que j'ai tourné. "Pour une fois que je ne suis pas loin de chez eux, je vais leur faire une surprise.", pensai-je. De toutes façon je suis déjà en retard alors un peu plus un peu moins !! Et si c'est pour en prendre une à la maison, autant passer un bon moment avant avec mes amis.

Marc et Jeanne habitent une jolie maison avec une piscine, dans un quartier tranquille. En arrivant, je repère la voiture de Jeanne et me gare à proximité. Elle a encore embouti sa voiture, me dis-je en pensant à Jeanne, magnifique petite blonde, très sensuelle mais dotée d'un sens de la conduite très particulier. Il paraît que les blondes sont plus sensuelles que les brunes, mais aussi, assez mauvaises conductrices.

La porte s'ouvre sur une Jeanne toujours aussi jolie et court vêtue, ses cheveux blonds virevoltent autour de ses épaules rondes, il est vrai qu'il fait chaud pendant ce mois de juin et elle a mis en marche un énorme ventilateur.

"Yann, quelle surprise !! Ca fait longtemps, entre, c'est dommage tu aurais dû appeler, Marc est à Istambul pour trois jours, un contrat à signer et des choses à voir dans une des usines. Comment vas tu ??   et Lyse, toujours avec ses crises de confiance ??". Et ce disant elle m'attrape par la main pour me faire entrer.

Aujourd'hui, le contact de sa peau fine dans ma main m'a fait tressaillir. Je connais Jeanne depuis très longtemps, depuis toujours devrais-je dire, nous avons fréquenté les mêmes bacs à sable et c'est moi qui l'ai présentée à Marc. Jamais rien ne s'est passé entre nous, j'avoue quand même qu'il y a eu une période, avant que je connaisse Lyse, où j'aurais bien conté fleurette à cette petite blonde très bien faite avec des seins pas très gros mais portés très hauts, de belles hanches bien dessinées, et des jambes de toute beauté.

Pendant les vacances que nous passions ensembles, Jeanne, Marc, Lyse et moi, Jeanne était la seule à se débarrasser de son soutien gorge sur la plage, et ça faisait l'objet de nombreux commentaires de la part de Lyse qui lui trouvait de très beaux seins, très fermes, alors que les siens avaient tendance à tomber. Jeanne avait le ventre très plat, malgré qu'elle ait eu deux enfants, Lyse, elle n' avait pas eu cette chance. Après ses deux grossesses, elle avait gardé de la cellulite et un petit ventre.

Je regardais Jeanne qui avançait doucement devant moi dans le couloir. Sa démarche me fit frémir, et je me mis à avoir des pensées un peu déplacées au regard de notre amitié.
"Tes enfants ne sont pas là, lui demandais je ?? ". "Non, j'avais un rendez-vous en début d'après-midi, mes parents sont venus les chercher et ne les ramènent que demain, c'est bête tu loupes tout le monde..." me dit-elle d' une voix que je n'avais pas l'habitude de lui entendre, mais c'était peut être le bruit du ventilateur qui m'a fait croire un instant...

Elle se laisse tomber dans le canapé face à moi, sa tunique déja courte remonte un peu plus sur ses jolies jambes. Ca ne contribue pas à faire diminuer les battements de mon c'ur qui au fil des minutes me signifie que quelque chose d'inhabituel est en train de se passer.
"Et lyse alors, ça ne va pas mieux ?? dit elle d' une voix un peu étouffée." Non, elle voudrait me pousser dans d'autres bras qu'elle ne s'y prendrait pas autrement." m'entends-je dire avec surprise. "Elle me fait des scènes épouvantables dés que je mets un pied dehors sans elle, elle me désespère, je ne sais plus quoi faire pour la calmer."

"Pourquoi est tu là ?", demande Jeanne, "C'est... par hasard. Tu ne savais pas que Marc n'étais pas là, ta jolie secrétaire ne vous a pas mis au courant ??"
La question de Jeanne me laisse sans réponse, pourquoi par hasard ?? Non je me refuse à cette idée, et puis il y a au moins les enfants qui devraient être là.

Jeanne fait monter ma pression en se ventilant le ventre avec sa tunique, des gouttes de sueur perlent entre ses seins, je me sens moite, et ne sais plus comment me tenir, je sens monter en moi une envie de lui sauter dessus.

Elle croise et décroise ses jambes pendant notre discussion, et je ne me prive pas d'essayer d'apercevoir ses dessous à chaque fois. Elle s'en est aperçu et me dit tout à coup.
"Viens, on va faire se baigner, il fait vraiment chaud tout d'un coup."
Ce faisant elle se lève, et l'espace d'un instant j'entrevois sa culotte avec l'étrange impression qu'elle aussi est humide, une tache brune mouille son entrejambe. Voilà que je regarde Jeanne comme une maîtresse potentielle.

"Jeanne je n'ai pas de maillot de bain, j'étais venu vous voir Marc et toi, pour discuter un moment, je n'avais pas prévu que..."

"Pas grave" me dit-elle, en laissant glisser sa tunique le long de son corps, "Tu te baigneras tout nu, je ne te regarderai pas te déshabiller." dit-elle d'une voix que décidément je ne lui connais pas.
Elle n'est plus vêtue maintenant que d'une culotte de soie noire, si fine qu'on la dirait peinte sur elle et de son soutien gorge de la même soie. Cette beauté s'habille divinement. Elle a décidément de très belles fesses. Jeanne a vraiment tout pour elle physiquement, en a t'elle vraiment conscience ??

Pendant que je cherche quelque chose à dire, elle a passé les mains dans son dos et cherche l'agrafe de son soutien gorge. Elle tourne la tête vers moi pour m'inviter à l'aider car l'agrafe résiste. Je suis complètement engourdi par ce qui arrive, et c'est maladroitement que je l'aide à se débarrasser de ces quelques grammes de tissu, qui paraissaient compresser ses seins , qu'elle tient à présent dans ses mains, comme si elle se préservait encore de quelque chose d'inéluctable.

"J'ai de l'avance" dit-elle en me fixant droit dans les yeux, mutine et effrontée, un air que je ne lui connaissais pas non plus, "Tu n'as pas encore enlevé ton pantalon. Veux-tu que je t'aide ??"

J'ai un mouvement de recul, et fait presque demi tour pour me sauver à toutes jambes, mais l'envie d'elle est à présent trop installée. Elle l'a certainement vu car je ne peux plus rien cacher. Mon pantalon est taché au bout de la bosse que fait mon sexe tendu à l'extrème.

"Jeanne, Jeanne, c' est peut-être le destin qui fait que..."
"Non, non , c'est la chaleur qui fait que... Laisse tomber ton pantalon, la piscine nous attend, j'ai très chaud partout"
Elle libère sa poitrine et je suis là admiratif de ses seins que je déguste du regard. Ses mamelons sont érigés, ses seins droits et fiers.
Elle s'avance vers moi et attaque la boucle de ma ceinture, je sens son souffle chaud et court sur ma poitrine car tout ce que je suis arrivé à enlever jusque là, c'est ma chemise. Elle est délicatement parfumée, chose que je n'avais pas sentie jusque là, à cause du ventilateur, mais maintenant tous mes sens sont en éveil. On dirait que Jeanne savais que j'allais venir aujourd'hui, tout se déroule comme dans un rêve.

En plus de son parfum et de l'odeur douce de sa sueur, j'en sens une autre, que j'ai déjà eu l'occasion de humer. C'était sur une des plages où nous étions en vacances tous les quatre, Marc avait fait un délicieux et sensuel massage à Jeanne. Il était à genoux, Jeanne assise contre lui, le dos contre sa poitrine, et il lui caressait le corps doucement, des épaules aux cuisses en évitant soigneusement sa jolie poitrine, avec de temps en temps une ou l'autre de ses mains qui frôlaient la naissance du sexe de sa Femme.

Quant au bout d'un long moment Marc était parti se baigner, elle est venue chahuter avec Lyse et moi sur nos serviettes. Dans notre pseudo combat, je me suis un court instant retrouvé avec la tête entre ses jambes, et c'est là que j'ai senti cette délicate odeur intime. Avec son massage langoureux, Marc lui avait mis le feu, et au lieu de l'éteindre, il était parti se baigner, peut-être pour se calmer.

Pendant que je me remémore ces instants délicieux, Jeanne a commencé à déboutonner mon pantalon, j'attrape ses poignets, pour qu'elle arrête, guidé par ce qui me reste de conscience, mais il m'en reste bien peu.

Je la retourne afin qu'elle ne voit pas ma bosse, mais ne l'a t-elle pas déjà vue ??. Je lui donne une claque sur les fesses, et suis étonné par leur fermeté.
"Je vais finir tout seul, ne te retourne pas."
"D'accord Yann, mais dépêche toi j'ai de plus en plus chaud."
Maintenant de dos, Jeanne pose ses mains sur son ventre, je devine ses doigts entrant dans sa culotte, mais elle ne l'enlève pas.
Je vois sa main droite entrer plus profondément, elle écarte légèrement les cuisses pour pouvoir se caresser debout. De sa main gauche elle entreprend de quitter sa culotte. Pendant de temps j'ai pu me débarrasser de mon pantalon et ai du mal à quitter mon boxer tellement mon sexe est tendu. Jeanne se retourne une nouvelle fois pour faire appel à moi afin de la débarrasser de son petit bout de soie, et c'est là qu'elle s'aperçoit réellement de l'excitation qui m'anime.

Elle me jette un regard déjà plus vraiment lucide car maintenant sa main entière a disparu dans ce petit bout de tissu qui s'accroche encore à ses hanches et dont elle n'arrive pas à se défaire. Je m'avance vers elle, le sexe en avant, glisse deux doigts sous l'élastique pour la libérer. La culotte finit par capituler, je me baisse pour l'aider à s'en défaire, Jeanne a un sursaut quand ma bouche avale la pointe de son sein puis l'autre. Dieu !! que ses seins m'ont fait fantasmer. Elle a du mal a tenir debout, je suis en plein rêve, elle va jouir devant moi.
Elle se caresse de plus en plus vite, et je me relève pour la soutenir, pensant qu'elle va s'écrouler sur le sol, elle s'agenouille doucement la jouissance étant proche, son menton heurte mon sexe qui rebondit, je n'en peux plus de la voir dans cet état second. J'ai envie de plonger mon sexe dans le sien et de m'y libérer car je sens que moi aussi je vais venir.



Mon sexe est au niveau de son visage. Jeanne le caresse avec sa joue puis pose ses lèvres sur mon gland. Elles s'entrouvrent et je me vois disparaître dans sa bouche. Elle continue à se caresser en m'avalant de plus en plus profondément. Ses râles se font plus rapides, son bassin ondule de plus en plus vite. Dans un dernier râle elle m'avale d'une traite jusqu'à la garde. Un long feulement sort de sa gorge envahie par ma bite prête à exploser.
Elle retire violemment sa bouche jusqu'à mon gland et le mord. C'est à ce moment là, que n'en pouvant plus j'éjacule dans sa bouche. Jeanne continuant de jouir ravale mon sexe et c'est dans sa gorge que je déverse tout ce plaisir en attente depuis que sa main dans la mienne m'a fait frémir.

J'ai du mal à tenir debout, Jeanne est couchée par terre, chacun essaye de reprendre ses esprits. Je n'ai pas encore très bien pris la mesure de ce qui vient de se passer.
Je la prends délicatement dans mes bras, elle se blottit très fort contre moi, enroule ses bras autour de mon cou, je la hume je la déguste, elle vient de me faire passer un moment inoubliable.
Je me dirige vers la piscine ou j'espère que la fraicheur va nous faire reprendre nos esprits. Jeanne me dit qu'elle est bien, qu'elle a envie de moi, qu'elle a eu du mal a avaler mon sexe qui est plus gros et grand que celui de Marc, qu'elle regrette pour Lyse, que sa main dans la mienne a déclenché quelque chose de très érotique, qu'elle est désolée, mais qu'elle a trop envie de moi maintenant.

Je la couche sur le bord de la piscine les jambes pendantes dans l'eau et je descend les quelques marches. Le contact de l'eau me fait du bien. Je prends mon sexe dans ma main et en pensant à la suite, je me masturbe doucement, je sens la vigueur revenir. J'ai tellement envie d'elle que je ne veux pas la décevoir.

J'ai hâte d'enfouir ma bouche dans le sexe de Jeanne, que je n'ai encore pas vu jusqu'à présent. Je lèche ses jambes, l'intérieur de ses genoux, je remonte entre ses cuisses. Jeanne avance son bassin au bord de la piscine, devinant ce que je veux faire. Son sexe est beau, ses grandes lèvres sont enflées par le plaisir, elle a un mont de Vénus proéminent, dominé par une petite toison blonde qui a l'air très soyeuse, ses petites lèvres sont roses et plissées. Pour savourer ce moment je fais ma langue très douce pour faire la découverte de ce corps dont je dois bien l'avouer maintenant, j'ai rêvé. Lyse aurait elle pressenti que quelque chose pourrait se passer entre Jeanne et moi ??

Jeanne a passé ses jambes sur mes épaules pour faciliter mon approche. Je la lèche maintenant à grands coups de langue pour ne rien laisser. Son odeur et le gout de sa féminité sont sublimes. Tous mes sens sont à nouveau en éveil. J'écarte doucement ses petites lèvres avec mes doigts et introduis ma langue aussi profondément que je le peux dans son sexe, une autre manière de la pénétrer.
Je cherche son clitoris, pas longtemps d'ailleurs, car il est gonflé, en attente, je m'attarde longtemps dessus, cherchant à donner à Jeanne le plus de plaisir possible.
Elle donne des coups de reins, me plaque contre le bord de la piscine avec ses jambes, et se remet à gémir. J'approche deux doigts de l'entrée de la fente d'où coule son délicieux jus et les pousse à l'intérieur de sa féminité.
Son sexe est délicieusement chaud et humide, elle est tellement ouverte que c'est maintenant trois doigts qui fouillent Jeanne qui ondule de plus en plus vite en gémissant qu'elle va jouir. Je suis dur comme du bois, mais puisque ma délicieuse partenaire est au bord de l'orgasme, je décide de garder mon érection pour un peu plus tard.
Ma langue continue d'exciter le clitoris de Jeanne et après l'avoir lubrifié, j'introduis mon doigt dans le seul orifice que je ne connais pas encore. Jeanne a un spasme et sur un dernier coup de rein, je vois mon doigt disparaitre complètement dans son anus. Jeanne jouit maintenant sans se retenir, et se laisse glisser dans la piscine.

Je l'aide, la plaque contre le bord, la fais descendre doucement et guide mon sexe vers le sien. je voudrais que ce moment dure toujours, et la tiens fermement quand nos sexes se rencontrent. J'ai bien l'intention de la prendre millimètre par millimètre pour ne rien oublier de ce moment.
Jeanne toujours à la recherche de ses esprits essaie néanmoins de s'empaler sur moi en se servant de ses jambes qu'elle a passé autour de mes hanches. Mon sexe a trouvé son entrée et je la fais descendre tout doucement sur ma hampe raide et congestionnée. Son vagin est d'une douceur incomparable, il est fait pour moi. Je la pénètre jusqu'à la garde et donne de petits coups de reins. Jeanne recommence à gémir. Elle est accrochée à moi, incrustée dans moi, empalée sur moi, et pour la première fois mes lèvres font la connaissance des siennes. Ma langue cherche la sienne, elles s'enlacent se font l'amour, se détachent, pour se chercher à nouveau, Dieu que ce baiser est bon, que ce baiser est beau.
Ma main cherche ses seins fermes et tendus par le plaisir, je les englobe d' amour, les lèche les aspire, ses pointes sont dures, on dirait des bonbons dont je me délecte.
Elle me regarde, les yeux dans le vague. Pourtant, ils sont noisette d'habitude, mais j'ai l'impression qu'ils ont changé de couleur, qu'ils ont pris une couleur "or". Mettant cette impression sur le fait qu'il fait presque nuit et que moi même ne vois plus très bien, je me re-concentre sur son plaisir et le mien, que j'ai d'ailleurs bien du mal à contenir, j'ai l'impression que mon gland va se détacher de mon sexe, tellement le plaisir est intense

Mes petits coups de rein répétés ont eu raison de Jeanne, et c'est sa bouche collée à la mienne qu'elle jouit à nouveau sans retenue et sans égards pour le voisinage.
J'ai pu résister à l'assaut et garder ma semence pour tout à l'heure, je détache ma Chérie de moi et la sors de la piscine pour la poser à genoux sur le gazon. Chancelante, elle écarte ses superbes jambes, cambre ses reins pour mieux s'offrir à moi.
Je la prends par les hanches, caresse mon sexe contre la raie de ses fesses, et pénètre à nouveau son vagin où je veux jouir maintenant le plus vite possible. Pendant un long moment Jeanne ne réagit plus et se laisse faire. je sens que le plaisir vient, je quitte mon doux écrin et appuie mon sexe contre son anus. "Tu veux ?" lui dis-je. Son mouvement de rein vers l'arrière est une nouvelle invitation.

Je pousse doucement mon gland, sa rondelle se dilate, je la sens s'écarter au maximum et je la pénètre très doucement pour ne pas lui faire mal. Lyse a toujours refusé la sodomie, mes autres copines aussi, c'est donc pour moi la première fois. C'est une impression étrange mais douce. J'ai l'impression d'avoir un préservatif tellement son conduit m'enserre.
Je profite de cette nouvelle expérience sans m'apercevoir que Jeanne que je croyais dans un autre monde se dégage se retourne, me pousse sur le dos et vient me chevaucher. Elle attrape mon sexe, le caresse sur toute sa longueur pour bien en prendre la mesure. Je suis moi même étonné par ses dimensions. Il me semble plus grand et gros que quand je suis avec Lyse, mais vu l'intensité du moment...

De sa main elle le guide vers son vagin, l'introduit pour le lubrifier, se dégage et vient frotter son sexe sur le mien, dans une caresse lente, Ses cheveux ondulent et caressent mon visage, elle pose ses seins tour a tour sur ma bouche, elle ne dit plus rien, elle sait que nos corps sont à l'unisson, et quand elle me sent prêt à la jouissance, elle reprend mon sexe à pleine main, le remet dans son écrin et a d'amples mouvement de hanches tout en se caressant. Je regarde cette superbe femme prendre à nouveau son pied sur moi tout en cherchant à me donner le plus de plaisir possible.

Je n'en peux plus, je la laboure tellement maintenant que la jouissance vient vite.
Dans un violent coup de rein, je me déverse dans son sexe, j'essaie de garder les yeux ouverts pour la voir jouir aussi, mais c'est trop fort, je suis à demi inconscient, Jeanne libère mon sexe, le présente contre son anus et jouit en s'empalant entièrement dessus.

Je ne sais pas combien de temps nous sommes restés par terre, pour nous remettre, mais il faisait nuit quand nous nous sommes relevés, repus.

Je vais avoir droit à un questionnaire en règle ce soir, mais pour une fois, ça sera justifié !!