En petites foulées jusqu'à l'orgasme.

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Proposée le 21/12/2009 par anais66

ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

Je me suis réveillée très tôt ce matin, le jour se lève à peine. C'est le temps idéal pour aller courir. J'enfile rapidement une tenue adéquate et prends la voiture pour rejoindre un parcours situé tout près de la plage. Il ne fait pas encore chaud, bien qu'une journée caniculaire soit prévue. J'entame ma course en respirant à plein nez cette fraîche odeur marine. La mer superbement calme, accueille le soleil grandissant sur elle. J'aime tout particulièrement cette ambiance matinale. Les cafetiers commencent à sortir gaiement leur terrasse, les pêcheurs au large sont sur le point de rentrer. Je ne croise que quelques cyclistes me saluant d'un joyeux "bonjour". Je suis à mi-parcours, mon corps est maintenant bien échauffé et je prends un réel plaisir à accélérer ma course.

Je distingue un coureur au loin, enfin, je ne suis pas la seule à profiter de cette superbe matinée. A l'évidence, ce n'est pas un amateur, il avance rapidement, ses foulées sont aériennes, il semble survoler le bitume. En le voyant se rapprocher, j'admire son corps élancé et robuste. Nous nous croisons sans ralentir, nous saluons et échangeons un sourire courtois. Je continue ma foulée encore hypnotisée par ses grands yeux bleus, quel dommage que nous n'allions pas dans la même direction. Quelques minutes plus tard, j'entends quelqu'un derrière moi, un nouveau coureur probablement.

"Est-ce qu'il vous arrive souvent de courir sans être importunée ?"
Tiens quelle bonne surprise, il a fait demi-tour.
_ "Assez souvent oui, mais il faut croire que ce ne sera pas le cas aujourd'hui." Je réponds sèchement et accélère un peu ma course pour tester sa motivation.
_ "Mais que vouliez vous que je vous dise ? Vous avez l'heure, quel beau cul ! ? Si vous croyez que c'est facile... Je suis loin d'être un expert en la matière et, même si vous ne me croyez pas, sachez que je n'aborde pas une inconnue à chacune de mes courses ! Si je l'ai fait avec vous c'est parce que... Vous... Je... Oh puis rien! "
J'étouffe mon rire en toussant un peu. Voyons voir jusqu'où il est prêt à aller.
_ "Vous vous en sortez plutôt bien, votre discours était presque crédible, presque. Une petite larme et c'était parfait ! " En prononçant ces mots, je réalise que je suis peut-être allée un peu trop loin.
_ "Excusez-moi de vous avoir ennuyée."
Effectivement, je l'ai vexé. Il fait demi-tour maintenant. J'attends un court instant avant de me lancer à sa poursuite. Son allure est vraiment rapide et je peine à le rejoindre. J'arrive jusqu'à lui à bout de souffle et lui lance :
"Quel beau cul, vous avez l'heure ?"
Il éclate de rire. Il est craquant cet homme.
Nous nous sommes arrêtés, quelques secondes s'écoulent ; Nous nous regardons en silence, l'un et l'autre un peu mal-à-l'aise. Nos poitrines se soulèvent à chaque inspiration, il nous est difficile de reprendre une respiration normale.
Ses pectoraux se dessinent sous son tee-shirt ajusté, quelques gouttes de sueur glissent dans son cou ; je ne me souviens pas avoir déjà vu un homme avec un tel sex-appeal.
"Je vous demande pardon pour tout à l'heure."
Il me fixe en souriant, son regard me trouble.
_ "On efface tout, on recommence ?"
_ "Avec plaisir."

_ "Je m'appelle Olivier."
_ "Enchantée, Olivier, moi, c'est Anaïs."
_ "Vous savez, ce n'est pas la première fois que je vous vois courir sur la plage à cette heure."
_ "Non ?"
Je ne me souviens pourtant pas l'avoir croisé. Ces yeux bleus à damner une sainte et cette mâchoire carrée ne m'auraient certainement pas échappé. Sans parler de ces pectoraux qui saillent sous le tee-shirt. Involontairement, sans doute par association d'idées, mes yeux se posent fugitivement en-dessous de sa ceinture pour voir s'il n'y a que ses pectoraux, qui saillent. Il porte un collant du genre que n'adoptent pas les coureurs occasionnels, et qui moule parfaitement ses formes.
_ "Non, je vous avais remarquée, et ce matin, je suis parti un peu plus tôt, pour avoir une chance de vous croiser."
_ "Ah, tiens..."
Je lui adresse un sourire encourageant, pour qu'il poursuive pendant que je retrouve mon souffle.
_ "Oui... Et donc, quand je vous ai vu arriver en face de moi, il y a 2 minutes, je me suis demandé ce que je pouvais vous dire pour qu'on se parle."
_ "C'est ça, le problème : vous courez trop vite. Il vous aurait fallu 3 minutes."
Il faudrait que j'arrête de me payer sa tête si je ne veux pas qu'il se sauve à nouveau. Mais c'est plus fort que moi, lorsqu'un homme me plait comme ça, j'ai envie de jouer un peu avec lui.
Heureusement, il ne m'en veut pas du tout, semble-t-il, parce qu'il rit encore une fois de bon c'ur.
Je suis tentée de lui demander de quoi il voulait me parler si ardemment, mais il m'a l'air du genre réservé, qui demande à être un peu bousculé sous peine d'être paralysé par un respect excessif. Alors je décide de précipiter un peu les choses.
_ "Vous courez depuis longtemps ?"
Il a l'air surpris de ma question, qui me parait pourtant bien ordinaire.
_ "Euh... Je ne sais pas... Oui, depuis l'école, je suppose."
Décidément, on va de malentendu en quiproquo. On risque de bien s'amuser, ensemble.
_ "Vous devez être drôlement fatigué, alors !... Non, je voulais dire : ", ajouté-je avec patience, "Est-ce que vous courez depuis longtemps ce matin ?"
_ "Ah, OK...!" Il a l'air de s'amuser lui-même de sa balourdise et de sa maladresse, aptitude que j'apprécie tout particulièrement chez les hommes, surtout lorsqu'ils sont beaux comme lui. "Eh bien, depuis une petite demi-heure, je dirais. Et vous ?"
_"Pareil", mens-je. "Que diriez-vous de prendre un petit déjeuner ? On l'a bien mérité, non ?"
_ "Après seulement une demi-heure, je ne suis pas certain que nous l'ayons vraiment mérité, mais en tout cas, j'en ai très envie."
A la façon dont il a dit "très envie", je me demande si c'est bien du petit déjeuner qu'il parle. J'en ai un frisson.
"Mais à cette heure-ci, il n'y a pas grand chose d'ouvert.", objecte-t-il, avec ce que je crois identifier comme une pointe acérée de regret.
_ "Pourquoi aller chercher plus loin ce que nous avons à portée ? J'habite à deux foulées d'ici, une maison avec vue sur la mer, et je vous y invite à prendre... Le petit déjeuner. Ça vous dit ?"
_ "Ha oui ? Chez vous ?"
Il semble surpris et un peu effrayé par mon invitation.
_ "Vous préférez que l'on aille chez ma voisine ? Son café est délicieux !"
_ "Etes-vous toujours aussi taquine Anaïs ?"
Son regard pénétrant aiguise mon désir, une légère douleur se diffuse entre mes cuisses.
_ "Non, c'est vous qui m'inspirez Olivier..."

Nous arrivons chez moi, je l'invite à patienter sur la terrasse le temps de préparer le petit déjeuner. En revenant les bras chargés d'un copieux plateau, je m'arrête un instant. Il est face à la mer, encore debout, j'en profite pour m'attarder sur ses fesses musclées. J'étais loin de me douter ce matin, que je prendrai mon café en si bonne compagnie.
"Vous permettez que je vous abandonne un instant ? Je vais prendre une douche et je suis à vous tout de suite."
_ "Bien sûr, allez-y."
Olivier s'installe à table et se sert une tasse de thé.
Sous la douche, je me demande comment décoincer la situation et rendre mon invité plus entreprenant. Je pense qu'il va falloir que je l'aide un peu.
Je le rejoins les cheveux encore dégoulinant et ne portant qu'un court peignoir légèrement dénoué. Son regard, à ce moment-là, me semble déjà plus sûr de lui. Il se balade sans gène sur tout mon corps.
_ "Je ne vous ai pas trop fait attendre, j'espère. J'ai laissé une serviette pour vous dans la salle de bains."
Sans un mot, il se lève, se rapproche de moi, pose un doux baiser près de mes lèvres et se dirige vers la douche. Je l'ai peut-être sous-estimé en fin de compte.
Effectivement, lorsqu'il revient dans le jardin, il ne porte qu'une serviette nouée autour de la taille. Quel torse à croquer!
_ "Il commence à faire chaud non, on rentre ?" Je prends sa main doucement et le conduis vers l'intérieur. Il me suit en silence puis lâche ma main pour me retourner et me prendre dans ses bras. Nous sommes dans la cuisine.
Dans sa hâte de m'embrasser, il néglige un instant de tenir la serviette autour de sa taille et sans doute était-elle mal nouée car elle choit sans un bruit sur le carrelage de la cuisine, découvrant une érection de belle facture.
_ "Oups", fait-il, en se baissant à la vitesse de l'éclair pour ramasser la serviette et protéger à nouveau sa nudité de mon regard gourmand.
Je regrette qu'il n'ait pas montré plus de présence d'esprit que de pudeur, car faute d'avoir saisi l'opportunité qui se présentait, grâce à cette maladresse qui aurait pu passer pour calculée, il a laissé s'enfuir "l'instant".
Je ne peux néanmoins m'empêcher d'éclater de rire devant sa mine déconfite et rougissante.
_ "Toujours aussi taquine, hein ?"
_ "C'est que vous m'inspirez de plus en plus, Olivier... Et si j'en crois ce que j'ai eu le temps d'entre-apercevoir malgré votre hallucinante vitesse de réaction, je vous inspire un peu aussi."
_ "C'est l'air marin, ça me fait toujours ça, quand je cours au bord de l'eau."
_ "Ca doit vous ralentir un peu... Bon, très bien, puisque je ne vous inspire pas plus que ça, laissons les effets de l'air marin se dissiper."
Au regard qu'il pose sur le noeud très lâche de mon peignoir, je vois bien qu'il regrette ce qu'il vient de dire. J'ai l'impression qu'il appartient à ce genre d'hommes très sûrs d'eux en apparence et pourvus d'un charme tel qu'ils pourraient se permettre de partir à l'assaut d'à peu près n'importe quelle femme avec succès, mais qui sont comme paralysés au pied du mur.
Son regard de convoitise sur mon corps me conforte dans la conviction qu'il faut que je lui donne un coup de pouce, en même temps qu'il fait naitre une humidité prometteuse entre le haut de mes cuisses.
D'un déplacement insignifiant de la jambe gauche, je fais en sorte qu'elle sorte du peignoir jusqu'à la naissance de ma cuisse. Je sens un courant d'air s'infiltrer entre le tissu et ma peau et caresser les tétons durcis de mes seins, en haut, et entre les grandes lèvres que j'ai beaucoup plus bas. Je recule d'un pas, tout en écartant légèrement les deux bouts de la ceinture de ma sortie de bains et je sens maintenant la table de la cuisine contre mes fesses. Je lâche les deux extrémités de la ceinture et elle tombe en laissant s'écarter les deux pans de mon peignoir, ce qui signifie que je suis en train de soumettre Olivier au dilemme cruel consistant à choisir entre le spectacle de mes seins, à peine découverts, et celui de ma chatte soigneusement épilée et déjà avide d'apprécier les effets de l'air marin.
Je le vois ouvrir la bouche, comme pour dire quelque chose, et s'avancer vers moi.

_ "Oh Anaïs..."
Il semble songeur, comme s'il se demandait encore comment s'y prendre. Mon visage entre ses mains affiche un sourire incitatif. Elles effleurent alors mon cou, frôlent mes épaules et chassent doucement mon peignoir qui glisse le long de mon dos. Frissonnante, je lève lentement les bras et me dégage totalement de ma tenue. Sa respiration s'accélère, il avale sa salive et demeure immobile.
_ "Laissez-vous aller, Olivier..."
J'embrasse son torse à la hauteur de ma bouche. Le contact de ma langue sur sa peau semble lui plaire, ses tétons durcissent tandis que la chair de poule se propage sur tout son buste. Je l'attire vers moi en prenant ses fesses fermes à pleine main. Mon envie de le sentir me pénétrer ne cesse de croître. Son sexe encore dissimulé derrière la serviette, la déforme audacieusement et appuie maintenant contre ma chatte impatiente.
Nous échangeons un regard empli d'émotion avant de nous embrasser. Sa langue timide vient caresser la mienne, puis devient peu à peu plus gourmande, laissant la place à un baiser torride et passionné. Surexcitée, je m'empare de ses mains pour les poser sur ma poitrine. Satisfait par cette invitation, Olivier pétrit mes seins délicatement au début, puis plus ardemment. Ses mains sont d'une douceur inespérée, aussi un gémissement s'échappe de ma bouche. Je détache sa serviette avant de nouer mes jambes autour de sa taille. Nos sexes se frottent l'un contre l'autre, mon vagin désormais trempé mouille son gland gonflé par le désir. Ce dernier devient insoutenable ; cependant, je suis bien décidée à faire durer cet instant délicieux qui précède la pénétration. Apparemment Olivier partage cette envie, car au lieu de s'introduire en moi, il m'allonge tendrement sur la table. Haletante, je lui offre mon corps enflammé en redressant mes cuisses. Les yeux fermés, je frémis en sentant son souffle chaud parcourir mon bas-ventre.
Je m'attends au contact imminent de ses lèvres sur mon entrejambes. Mais elles se posent d'abord un peu plus haut, à peu près au niveau de l'élastique de la culotte que je ne porte plus. Elles effleurent ma peau, tandis que ses mains délicieusement chaudes me caressent les hanches en remontant doucement jusque sur les flancs de mes seins.
L'action subtile de ses doigts sur mes seins, conjuguée au parcours de sa bouche un peu au nord de ma chatte me fait me cambrer et pousser un nouveau gémissement.
_ "Olivier..."
Il ne répond pas, mais ses mains descendent, et sa bouche, imperceptiblement, aussi. Ses mains passent sous mes cuisses et les soulève encore davantage. Ses lèvres passent sans avertissement de la zone comprise entre mon nombril et mon vagin à la face interne de mes cuisses. Je brûle maintenant de sentir sa bouche dans ma chatte et je suis sur le point de le lui dire lorsque sans crier gare, il l'applique brusquement sur mon mont de Vénus et descend petit à petit le long de ma fente. J'ai comme un choc électrique à l'instant où je sens sa langue s'infiltrer entre mes lèvres. Il est patient et l'introspection de sa langue agile, secondée par ses mains qu'il a placées sous mes fesses pour me soulever un peu, commence à me faire perdre la tête.
_ "Olivier!!"
J'ai crié, malgré moi, comme poussée par le sentiment de l'urgence. J'ai envie qu'il me prenne sans plus tarder, de connaitre enfin la sensation de cette queue massive dans mon ventre.
Je le vois alors redresser son torse glabre tandis que m'empoignant les hanches, il m'attire à lui. Je sens que d'une seconde à l'autre, il va me pénétrer. Son regard plonge dans le mien et j'y lis à la fois sa détermination et l'anticipation de son plaisir.
Pourtant, contre toute attente, il prend son temps et me rend folle. Je suis affamée, assoiffée, rongée par le désir, suppliante et enfiévrée. Mon attirance envers lui atteint les limites du supportable. Son geste pourtant anodin, mais si viril, lorsqu'il m'a rapprochée de son sexe, m'a détraquée. Je renverse la tête en arrière, soumise à ses envies. Sa langue danse à nouveau sur mon clitoris en transe et ne tarde pas à provoquer un orgasme violent. Étourdie par cette merveilleuse jouissance, je tente de me relever, émue jusqu'aux larmes. Il me serre fort dans ses bras rassurants tandis que je récupère. Mes mains caressent son dos, mon visage disparait dans son cou.
_ "Prends-moi maintenant !"
Il entend mon murmure et empoigne mes cuisses, pressé par l'envie obsédante de s'engouffrer au plus profond de moi. Il me soulève alors de la table. Les cuisses nouées autour de ses fesses, je le laisse me porter. Il nous fait pivoter de 180 degrés de façon à m'adosser contre le mur. Je ne pense plus qu'à sentir en moi son sexe gonflé, je n'en peux plus de cette attente.
Il fait une pause de quelques secondes, et je l'entends me dire dans l'oreille :
_ "Oh oui je vais te prendre... J'ai envie de t'entendre gémir, j'ai envie de te voir jouir encore une fois."
Pendant qu'il me dit ces mots, je sens le gland de son sexe commencer à exercer une légère mais irrésistible poussée entre les lèvres de mon vagin et je ne peux m'empêcher de pousser un long gémissement de délivrance pour l'accompagner. Je suis tellement trempée que sa queue s'introduit dans ma chatte bien plus vite qu'il ne voudrait.
_ "Oh Anaïs, pas trop vite !"
De ses deux mains passées sous mes cuisses, il me remonte de quelques centimètres le long du mur, jusqu'à ressortir de moi, et il se met à m'embrasser avidement les seins tandis que mes mains courent sur ses épaules, sur sa nuque, sur ses oreilles, dans ses cheveux. Il a apparemment décidé de me rendre folle de frustration, mais ces baisers ne sont qu'une diversion, car soudain, au moment où je m'y attendais le moins, il s'enfonce en moi d'un seul trait, m'arrachant un cri de surprise.

L'impression de reposer de tout mon poids sur sa queue me donne le vertige.
Il se met alors à entamer une séquence de coups de reins sur un rythme d'abord lancinant, puis de plus en plus rapide, et qui finit par se précipiter en même temps que ses halètements se font plus sonores et plus rauques. Les doigts de ses mains s'insinuent dans la raie de mes fesses et les écartent l'une de l'autre, comme s'il voulait monter plus profondément en moi encore.
De sentir que je suis à la merci de sa volonté, plaquée contre le mur, incapable de participer autrement que par mes gémissements ou par l'action désordonnée de mes mains dans ses cheveux, décuple l'intensité de mon plaisir. Je sens bientôt les prémices d'un nouvel orgasme s'annoncer au creux de mes reins, avec la vitesse et la force d'un tsunami.
_ "Oh mon Dieu, ouiiii ! !"
Mon vagin se contracte et comprime le sexe de mon amant, gagné lui aussi par une jouissance explosive. Notre étreinte à ce moment-là est si puissante qu'elle nous coupe le souffle.
Olivier pousse un râle bestial, tandis qu'il s'enfonce une dernière fois en moi.
A bout de force et essoufflé, il desserre lentement son emprise. Ses mains laissent glisser mes jambes tremblantes jusqu'au sol.
Emus, pantelants, éreintés, nous nous regardons quelques secondes en souriant d'un air complice.
_ "J'aimerais beaucoup que nous refassions du sport ensemble, ma chère Anaïs."
_"Ah oui ? Je ne peux qu'accepter l'invitation d'un athlète de si haut-niveau..."