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Proposée le 17/12/2009 par batman69
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- Viens avec moi...
- Où m'emmènes-tu ?
- Là d'où tu ne voudras plus partir, crois-moi !
- Comment résister ?
- Justement, ne résiste surtout pas !
Je t'ai attrapé par le bras et je t'ai attiré vers ma chambre. C'était la première fois que tu venais chez moi et depuis ton arrivée, j'arrivais difficilement à penser à autre chose qu'à t'attirer dans cette pièce. Mais bon, comme je ne voulais pas que tu crois que je ne suis qu'une belle obsédée qui ne pense qu'au sexe, j'ai tenté de calmer mes ardeurs. C'est de ta faute aussi! Tu m'excites tellement, je n'arrive pas à me concentrer sur autre chose! Je suis obnubilée par toi, ta beauté, ton physique parfait, ton odeur sublime, ton parfum de sexe et l'incroyable sensualité que tu dégages... Là j'ai supporté un long, mais très agréable quand-même, repas en tête-à-tête avec toi. Maintenant, c'est l'heure de vraiment passer à table !!
J'ai doucement ouvert la porte de ma chambre dans laquelle j'avais d'avance disposé quelques chandelles qui, sans trop l'éclairer, donnait à la pièce une douce lumière tamisée qui permettait à nos yeux de se régaler l'un de l'autre malgré l'obscurité. Bien que j'avais la ferme intention de balancer tout ce tissu à l'autre bout de la pièce d'ici peu, j'avais quand-même fait mon lit parce que je ne trouve rien de plus excitant et de plus érotique que de regarder, au petit matin, les draps froissés par quelques joutes sexuelles, souvenir de notre plaisir. Une tonne de coussins étaient disposés ici et là, ajoutant à notre confort, et c'est contre ceux-ci que je me suis calée alors que tu restais debout au pied du lit.
- Tu ne viens pas me rejoindre ?
- Laisse-moi d'abord t'admirer... Fais-moi plaisir, déboutonnes-toi, doucement...
Je me suis donc redressée légèrement et j'ai commencé à déboutonner mon chemisier, dévoilant un soutien-gorge d'un rouge framboise. Je sais que tu aimes beaucoup cette couleur, et tu me l'as confirmé par ton exclamation de surprise. Ravie, j'ai terminé de détacher ce qui restait et j'ai commencé à retirer le vêtement, mais c'est là que tu t'es approché et que tu m'as arrêtée dans mon geste.
- Laisse-moi faire. Laisse-toi faire...
- Hmmmm...
Tu as doucement fait glisser le vêtement sur mes bras, mais tu ne l'as pas enlevé complètement, tu t'en es plutôt servi pour les garder emprisonnés et tu t'es penché sur ma poitrine. Ton souffle chaud sur mes seins m'allumait complètement! Tu as rabaissé le tissu pour libérer mes seins et tu t'es empressé de prendre un mamelon entre tes dents. Mmmmm!!!! Ta langue a tracé des cercles autour de l'auréole de mon mamelon, puis a titillé la pointe très dure de mon sein. Tu les as léché comme j'adore tellement qu'on le fasse et je me cambrais pour mieux t'offrir l'objet de ton désir. Tes mains pétrissaient mes seins avec force et je sentais déjà une terrible moiteur s'installer entre mes cuisses. Je me suis relevée pour te repousser et j'ai moi-même retiré mon chemisier pour libérer mes mains car j'avais trop envie de te caresser moi aussi. Agenouillé devant moi sur le lit, tu as commencé à retirer ton chandail mais j'ai pris le relais. C'est chacun son tour! J'ai relevé le tissu très doucement, embrassant ta peau au fur et à mesure que je la découvrais. Tu sentais si bon, quel parfum enivrant! Du bout de la langue, j'ai tracé un chemin de ton nombril jusqu'au cou, te faisant frissonner de désir. Tu as levé les bras pour que je puisse passer le chandail par-dessus ta tête et j'en ai profité pour plonger ma langue dans ta bouche. On était si affamés que nos dents s'entrechoquaient. On se régalait l'un de l'autre, nos bouches se dégustaient, nos langues s'entremêlaient. Tu avais un goût de fruits dans la bouche, tes lèvres étaient douces et fermes et les miennes s'empressaient de les mordiller et de les suçoter. Une de tes mains était posée contre mon visage alors que l'autre agrippait doucement mes cheveux. Les miennes caressaient ta barbe et parfois glissaient le long de tes pectoraux que je me plaisait à découvrir. J'adorais pincer la pointe de tes seins et sentir ton corps réagir.
À contrec'ur j'ai abandonné ta bouche si délicieuse pour te repousser sur le lit. Étendu comme ça sur les couvertures, tu ressemblais à une offrande exotique dont j'avais absolument l'intention de profiter! J'ai commencé à détacher ta ceinture, puis à déboutonner tes jeans. J'en ai écarté les pans pour découvrir un boxer absolument sexy! Moulant à la perfection, le tissu satiné ne cachait rien de ton érection et ça a assurément décuplé mon désir. Je n'avais qu'une envie et c'était de t'enfourcher et de te baiser jusqu'à la nuit des temps! Tu as vu mon regard étincelant et tu as compris à quel point tu m'excitais. Tu as remué légèrement les hanches, pour me montrer que tu avais tout aussi envie de moi, ou peut-être pour m'inciter à continuer à te déshabiller? Quoi qu'il en soit, j'ai poursuivi ma découverte et j'ai fait glisser tes pantalons le long de tes jambes, te dévoilant ainsi tout entier à moi. Dieu que tu étais beau!!! Tu te disais la même chose de moi de ton côté en me voyant, là, à califourchon sur toi, vêtue simplement d'un soutien gorge duquel giclaient effrontément deux seins d'un blanc laiteux aux mamelons rose foncé, puis d'une jupe qu'il me tardait de voir gésir sur le plancher. Les cheveux détachés et retombant en cascades dans mon dos, les lèvres rouges et meurtries de nos baisers parfois un peu brutaux, la peau douce et parfumée à l'agrume comme tu aimes tant, tu n'avais qu'une hâte et c'était de me culbuter!
Délicatement, j'ai posé ma bouche sur la protubérance de tes boxers et j'ai embrassé ton membre par-dessus le tissu. La chaleur de mon haleine a encore plus réveillé ton sexe déjà paré au combat! J'ai fait glisser ma langue le long de ta verge cachée et je l'ai sentie remuer sous le vêtement.
- Suces-moi ma belle! Suces-moi maintenant!
- On est pressé?
- Je n'en peux plus, suces ma queue, elle est dure rien que pour toi!
Comment résister à une telle supplique ? Hmmm... impossible! J'ai retiré ton boxer que j'ai envoyé rejoindre le tas de vêtements sur le plancher, puis je t'ai attiré au bord du lit où tu t'es assis. Ta queue dressée était un véritable appel à la débauche et j'avais envie de te dévorer tout cru! D'un seul coup, j'ai enfouis ta bite au fond de ma bouche et le râle qui est sorti de ta gorge m'a tellement tellement excitée! J'ai emprisonné ton gland entre mes lèvres et je l'ai léché par petits coups de langue que j'ai laissée s'enrouler autour de la chair rose et frémissante. Tout en emprisonnant tes testicules dans ma main, j'ai englouti ta queue au fonde de ma gorge et je l'ai serrée fort avec mes lèvres. Tes mains s'agrippaient à mes épaules. J'ai déposé ma salive le long de ton membre, l'ai humecté et je l'ai caressé de ma main que j'enroulais tout autour alors que ma langue reprenait son manège sur ton gland gonflé de désir. Ma bouche allait et venait, ta queue cognait contre mes joues. Ma langue courrait sous ton sexe, léchant chacune des petites veines palpitantes. Bientôt tu n'as plus été capable de te retenir et tu as explosé dans ma bouche, l'emplissant de ton sperme chaud et goûteux. J'ai tout avalé, continuant même de sucer ta queue pour n'en perdre aucune goutte. J'ai ensuite continué d'embrasser ta peau tout autour, l'intérieur de tes cuisses, ton bas-ventre qui se soulevait au rythme de ta respiration saccadée. Je me suis relevée et je t'ai embrassé longuement.
- À toi maintenant de me faire demander grâce !
- Tes désirs sont des ordres ma belle !
- Fais-moi crier de plaisir ! Fais-moi jouir ! J'ai envie de sentir ta langue en moi ! Lèches-moi, manges-moi, dévores-moi !!!!
Après m'avoir retiré ma jupe, tu m'as aidée à remonter sur le lit et alors que j'allais m'étendre sur le dos, tu m'en as empêchée et tu m'as plutôt fait mettre à quatre pattes. Je me suis accrochée aux barreaux du lit alors que tu écartais un peu plus encore mes jambes, t'offrant ainsi une vue imprenable sur mes fesses. J'ai cambré les reins et j'ai écrasé mes seins sur le lit, laissant ma chatte s'offrir à tes yeux. Tu as écarté le tissu de mon string minuscule et tu as laissé ta langue courir le long de ma fente déjà toute mouillée. Je n'ai pas pu retenir mon petit cri de surprise. De tes mains tu as écarté mes fesses et tu as de nouveau laissé courir ta langue le long de ma fente jusqu'à mon anus. Puis tu l'as ensuite plongée entre mes lèvres gonflées et humides de jus de sexe. En même temps, tu as plongé un doigt en moi que tu as laissé entrer et sortir à ta guise. Le mouvement de vas-et-vient, jumelé à ta langue qui caressait mon intérieur si délicieusement, m'a rapidement fait haleter d'excitation. Je gémissais fort, je me tortillais de plaisir. Tu as titillé mon clitoris de ta langue, puis tu l'as doucement frotté du bout du pouce en petits mouvements circulaires, puis tu en as augmenté le rythme. Ma chatte était si mouillée que tu devais en aspirer le jus, puis tu reprenais tes coups de langue sur mon clitoris. Me sentant déjà au bord de l'orgasme, tu t'es légèrement relevé de façon à venir coller ta queue toujours aussi bandée contre mon petit cul. Tu as frotté ton gland contre ma chatte, mouillant ton membre pour encore mieux le glisser le long de ma fente. Bientôt je n'ai plus réussi à me contenir et tu t'es empressé de recoller ta bouche à ma chatte alors que le plaisir a explosé en moi, si fort que d'une main j'ai me suis accrochée au lit alors que de l'autre j'ai dû agripper les couvertures.
Tu ne m'as pas laissée reprendre mon souffle et alors que mon orgasme perdurait, tu as carrément enfoncé ton pieu dans ma chatte encore vibrante. J'aurais juré que des étincelles explosaient devant mes yeux. Tu as encore plus amplifié mon excitation et j'ai crié très fort de plaisir! Ta peau claquait contre mes fesses à chaque assaut et tes grognements de plaisir venaient ajouter au mien. Parfois tu te retirais complètement, puis laissais de nouveau ton gland glisser le long de ma fente jusqu'à mon anus, puis tu me pénétrais de nouveau. J'espérais tant que tu forcerais ma petite porte secrète, mais on avait encore bien le temps. Mes seins frottaient contre la couette et mes mamelons se durcissaient encore plus sous la caresse du tissu. Tu agrippais mes hanches et tu te cognais fort contre moi.
Puis tu t'es retiré et tu m'as retournée pour que je te fasse face. Bien calée sur le dos, tu as relevé mes jambes que tu as appuyées contre tes épaules et tu as enfoncé de nouveau ta queue dans ma chatte. Tes yeux étaient plongés dans les miens que je ne fermais que l'instant de savourer la force des sensations que tu m'imposais. Ta bouche ouverte te forçais à humecter tes lèvres qui s'asséchaient et la vue de ta langue me donnait une terrible envie de t'embrasser, de goûter de nouveau ta bouche. Je mordais les miennes pour ne pas hurler. Tu as pris mes jambes que tu as écartées pour t'enfoncer plus loin encore en moi, m'arrachant quelques cris de surprise et de plaisir, puis tu t'es penché sur moi pour coller ta bouche à la mienne. J'ai accroché mes jambes autour de ta taille pour mieux accompagner tes mouvements et j'ai glissé ma langue dans ta bouche alors que mes mains se cramponnaient à ta bras musclés et fermes. Tu continuais de me pénétrer plus doucement et le frottement de ton gland contre mes lèvres alors que tu te retirais presque complètement était carrément insoutenable! J'allais jouir je le sentais, mais je ne voulais pas que ça se passe tout de suite, je voulais faire durer le plaisir le plus longtemps possible! Je t'ai repoussé afin que tu te retires de moi et je me suis mise à genoux devant toi.
- Est-ce que tu me fais confiance ?
- Bien sûr ! Qu'est-ce que tu mijotes petite coquine ?
- Une surprise !
J'ai tiré sur les couvertures afin de récupérer sous la couette une écharpe de soie que j'y avais cachée. Un simple regard et tu as tout compris. Aux quatre coins du lit se trouve des colonnes qui en plus d'être très jolies, peuvent avoir plusieurs utilités et j'en ai une très vilaine en tête ce soir. Je t'ai donc invité à t'adosser à la colonne et à passer tes mains derrière. Tu t'es prêté à mon petit jeu érotique avec docilité et par le fait même, tu m'as permis de réaliser un de mes fantasmes les plus fous. J'ai donc attaché tes mains ensemble. La chatte toujours palpitante d'un presque orgasme interrompu, j'ai retiré mes sous-vêtements que je n'avais encore jamais enlevés et je me suis agenouillée devant toi. Tu étais si beau ainsi à ma merci, la queue fièrement dressée, toute humide de mes fluides sexuels, tes cuisses musclées légèrement écartées. J'ai approché mon visage du tien sur lequel j'ai déposé de légers baisers tout en chuchotant des petites coquineries à tes oreilles...
- J'ai envie de toi...
- Hmmmm....
- J'ai envie de te sucer encore et encore...
- Ahhhhhh....
- J'ai envie d'abuser de ton corps jusqu'à ce que tu demandes grâces...
- Oh ouiiii... tellement!!!!
- J'ai envie de m'empaler sur ta belle queue et de me faire jouir devant tes yeux sans que tu puisse m'en empêcher...
- Vas-y je t'en supplie, baises-moi... baises-toi!!!!!!
Alors j'ai fait tout ça... J'ai longuement sucé ta queue, je l'ai léché jusqu'à ce que tu m'implores de mettre fin à ton supplice. Puis avant que tu viennes, je l'ai fait glisser entre mes seins jusqu'à ce que ton sperme explose à la fois sur eux et sur mon visage dans l'un de tes cris rauques et terriblement virils. Souillée de ta semence, j'ai alors léché tout le sperme que j'ai récupéré du bout de mes doigts. Ensuite je me suis mise debout sur le lit et je me suis caressée doucement devant toi, la chatte tout près de ton visage, mais assez loin pour que tu ne puisses y toucher. Je me suis caressée avec un peu de retenue quand-même car je ne voulais pas jouir tout de suite. C'était seulement pour te laisser le temps de récupérer avant que je te viole carrément sur place. Tu étais tout excité de me voir me toucher, me donner du plaisir et aimer ça, tu te tortillais, pris au piège et impuissant devant de spectacle excitant. Tu humais le parfum de ma chatte et tu me désirais comme un fou! J'aime tellement savoir que tu as envie de moi! Langoureusement, je me suis approchée de toi, agace et féline. J'ai grimpé sur toi, j'ai laissé ma langue errer sur ta peau, puis le long de ton cou. Tes râles m'excitaient tellement! J'ai mordillé doucement ton oreille, j'ai chuchoté encore quelques grivoiseries qui t'ont encore plus allumé, puis tu m'a supplié de m'occuper de toi. Je t'ai fais languir encore quelques secondes avant de m'asseoir sur ton membre qui s'est enfoncé en moi comme. J'ai commencé à bouger les hanches, à me mouvoir sur toi, à balancer mes fesses d'en avant à en arrière, tout doucement. Ton sexe dansait en moi et faisait dangereusement monter une vague de plaisir qui n'était déjà pas bien loin. Tu donnais des coups de bassin rageurs et c'est là que j'ai décidé de mettre fin à ton calvaire. Tout en t'embrassant j'ai défait tes liens, libérant ainsi deux mains qui te démangeaient tant tu voulais les utiliser. Tu m'as presque brutalement renversée sur le lit et tu m'as assené plusieurs coups de bassin si forts que ta queue semblait vouloir aller cogner au fond de moi. J'ai été sidérée par la force de l'orgasme que tu m'as procuré à cet instant, au même moment ou une grande jouissance s'emparait de toi.
Ce fut une soirée mémorable qui, à mon grand plaisir, ne s'est pas terminée tout à fait ainsi. Parce qu'après s'être assoupis une heure ou deux, bien collés l'un sur l'autre, mon dos reposant contre ton torse, je me suis fait réveiller par tes mains baladeuses et par ta queue de nouveau bandée qui cognait contre mes fesses. Tu m'as alors prise par derrière de la manière la plus sensuelle qui soit et tu m'as de nouveau offert un orgasme mémorable!