Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.
Proposée le 15/12/2009 par Salvatore
ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE
<< l'amour d'une mère >>
Avertissement avant lecture. Ce récit est bien entendu entièrement fictif.
Ce n'est qu'une histoire écrite sur un fantasme que beaucoup d'hommes partagent, moi le premier. j'ai voulu montrer que l'inceste entre une mère et son fils peut être aussi un sentiment d'amour partagé.
Si vous n'êtes pas d'accord avec moi, je vous invite à me faire part de vos réflexions. Je tacherais d'y tenir compte lors de prochains épisodes.
Merci et bonne lecture
*
* *
Adossée à l'huisserie de la porte séparant la cuisine de la salle à manger, Germaine surveillait d'un oeil impatient le groupe d'hommes d'affaires qui n'en finissaient pas de dîner. c'étaient les derniers clients ; l'horloge au dessus du bar indiquait vingt deux heures trente. Habituellement à cette heure, Germaine se trouvait chez elle, auprès de son fils, Julien. Evidemment elle lui avait téléphoné afin de le prévenir qu'elle rentrerait un peu plus tard, mais le savoir seul à l'appartement la perturbait. Malgré ses seize ans, Julien était resté encore enfant. A la mort de son mari, survenue lors d'un accident de voiture trois ans plus tôt, elle s'était retrouvée seule avec un garçonnet de treize ans à élever. Terriblement perturbé par le décès de son père, le gamin avait dû suivre diverses séances chez une psychologue. Celle-ci avait alors diagnostiqué chez l'enfant un blocage cérébral dû à l'annonce du décès de son père, blocage qui devrait s'atténuer avec le temps. Elle avait conseillé à Germaine de remplacer le manque affectif que connaissait le gamin, par énormément de tendresse et d'amour.
Aussi oubliant sa propre détresse, Germaine s'était investie à fond dans la thérapie conseillée par la psy. Elle avait alors entouré son fils d'un cocon d'affection et d'amour. Chaque instant de sa vie avait été alors consacré à Julien, au bonheur de Julien, au bien être de Julien. Elle s'arrangeait pour devancer les moindres désirs de son fils, et ceci au préjudice de sa propre vie. Depuis trois ans plus rien ne comptait pour elle, hormis le bonheur de son enfant. Son amour maternel s'en était trouvé décuplé. Julien au fil de mois était redevenu son bébé, mais aussi son amour, son petit homme. Il avait pris en quelque sorte, dans son c'ur la place de son mari décédé. En mère attentive, Germaine partageait son temps entre son travail et son fils, rien d'autre ne comptait pour elle.
Son premier but, après les obsèques de son époux, avait été de rechercher rapidement un job. n'ayant jamais travaillé ; Le salaire de son mari suffisait largement pour les faire vivre tous les trois, la quête d'un emploi avait été des plus difficile. Ce n'est qu'avec l'aide d'un conseillé municipal, ami de son époux qu'elle avait obtenu le poste de serveuse dans ce restaurant situé pas très loin de chez elle.
Dans son malheur, Germaine avait eu la chance de rencontrer Isabelle, la seconde serveuse du restaurant. Plus âgée qu'elle, cette dernière, veuve également, savait lui remonter le moral, la réconforter dans les moments d'affliction qu'elle connaissait de temps à autre. Un jour cette dernière lui avait fait gentiment remarqué qu'elle se conduisait avec son fils, plus comme une amante que comme une mère. Cette remarque avait étrangement perturbé Germaine et dans son fond intérieur elle avait bien dû reconnaître qu'Isabelle avait un peu raison. Elle avait ensuite essayé de modifier cette relation équivoque qui la liait à l'adolescent. Mais ce dernier ne comprenant pas ce changement d'attitude sombra rapidement dans un tel état de tristesse, que Germaine reprit immédiatement ses habitudes, pour le plus grand plaisir des deux. Que pouvait comprendre Isabelle au merveilleux bonheur qu'elle ressentait, lorsque Julien venait se blottir sur ses genoux, son bras passé autour de son cou, sa tête reposant sur sa poitrine. Dans ces instants il revenait son bébé, ce nourrisson qui s'était nourri de son lait nourricier, et en même temps elle le considérait comme son petit homme auprès duquel elle se sentait en sécurité.
Comme pour la centième fois elle jetait un coup d'oeil sur les aiguilles de l'horloge, une main se posa sur son épaule :
? Si tu désires rentrer, vas-y? Il est tard, je fermerais'
Laurent, le patron du restaurant, homme au grand c'ur, qui connaissait évidemment les problèmes de sa serveuse poussa celle-ci vers la sortie :
? Allez, files !... Isabelle nettoiera la salle demain matin'
Tout heureuse d'échapper à la corvée du nettoyage et ravie de pouvoir enfin rentrer chez elle, Germaine quitta le restaurant après un dernier regard en direction des dîneurs. Sur le trottoir elle fût étonnée par le monde circulant encore à cette heure. n'ayant jamais terminé son service si tard, elle ne pouvait s'imaginer que les gens pouvaient flâner à une heure aussi tardive ; il est vrai, reconnu-t-elle que c'était l'heure à laquelle les salles de cinéma libéraient leurs flots de spectateurs. Ce qui la surprit également, fut la douceur de l'air ; en cette fin de mois de mai la température était particulièrement agréable, et la nature exhalait ses parfums enivrants.
Alors qu'elle se frayait un chemin parmi les noctambules, son regard fut attiré par quelques couples qui, tendrement enlacés déambulaient lentement devant elle, s'arrêtant de temps à autre pour échanger un baiser. Spectacle pourtant bien anodin d'amoureux avançant vers un avenir encore incertain, mais plein d'espoirs heureux. La vision de ces jeunes gens étroitement accolés, le bras du jeune homme entourant la taille de la fille, déclencha chez Germaine une étrange émotion. En fait cela faisait plusieurs jours que ses sens, jusque là en complète léthargie, venaient la perturber insidieusement.
Le décès brutal de son mari l'avait si douloureusement frappé, qu'une partie d'elle-même avait comme cessé d'exister. La seule raison qui la faisait réagir un tant soi peu, était l'amour que lui portait son fils. Aussi depuis trois ans elle avait vécu dans une abstinence sexuelle complète. Aucun homme ne l'avait détourné du souvenir de son époux, ce qui occasionnait de nombreuses discussions avec sa collègue Isabelle : celle-ci l'encourageant à trouver un compagnon, ne serait-ce que par hygiène sexuelle. Mais jamais elle n'avait consenti à ce qu'un homme vienne partager, ne serait-ce que quelques jours, l'intimité qui s'était installée entre Julien et elle.
Tout en continuant son trajet, Germaine se surprit à rechercher du regard les couples enlacés, silhouettes discrètes se fondant dans l'ombre des arbres. Chaque nouvelle découverte lui apportait un étrange plaisir et en même temps une excitation suave. Etrangement, depuis quelques jours, ses sens qui depuis plus de trois ans semblaient en somnolence, se rappelaient sournoisement à elle. Etait-ce dû à ce printemps particulièrement doux ou à un réveil de sa libido depuis trop longtemps endormie ? De brusques accès de désir, accompagnées de bouffées de chaleur venaient par instant la perturber, et cela dans des endroits et des moments les plus inattendus. Il suffisait que son patron vienne à poser la main sur son bras nu, comme il en avait l'habitude, sans attention équivoque, pour que tout son corps soit parcouru par un frémissement sensuel. Il en était de même lorsque les lèvres d'Isabelle venaient par mégarde effleurer les siennes, lors du bonjour matinal. Germaine s'était longuement interrogée sur cette transformation qui peu à peu perturbait ses sens, sans vraiment trouver une réponse satisfaisante.
Tout en suivant du regard le jeune couple enlacé qui la précédait, Germaine se rappela avec émoi le temps merveilleux où elle aussi se promenait ainsi, le bras de son mari encerclant sa taille. Elle se souvint avec émotion comment son époux s'ingéniait à l'exciter insidieusement. Pour cela il s'arrangeait, tout en marchant, à frôler son bas-ventre de sa main ; où alors il pressait l'un de ses seins entre ses doigts, tentant de pincer son téton. Que de fois, pareils à tous ces amoureux qu'elle dépassait, ne s'étaient-ils pas arrêtés à l'abri d'un coin discret, afin de se procurer un plaisir, certes fugace, mais dont l'intensité était décuplée du fait de l'endroit incongru.
c'est ainsi, perdue dans ses pensées, que Germaine arriva devant le parc public ; fierté de la commune. Habituellement elle évitait de s'y aventurer passée une certaine heure, mais ce soir les nombreux badauds qui y circulaient la rassura. La traversée de ce parc raccourcissait son trajet de dix minutes, ce qui n'était pas négligeable vu son impatience à se retrouver chez elle. Malgré l'heure tardive, la lune dans un ciel dégagé de tous nuages éclairait parfaitement le lieu, ce qui permit à Germaine lors de son cheminement, de distinguer ça et là des couples allongés à même le gazon et d'autres étroitement enlacés sur les quelques bancs publics. Jeunes amoureux se prouvant leur passion, comme cela se faisait depuis le début de l'humanité. Par endroit, la blancheur d'une cuisse féminine tranchait dans la pénombre de cette nuit de printemps. La vision de ces couples enlacés dans des positions des plus sensuelles ne fit qu'accentuer encore le trouble que Germaine ressentait ce soir. Ses sens lui procuraient des sensations qu'elle avait cru oubliées. Des élancements dans le bas-ventre venaient lui rappeler son état de femme. Il fallait bien qu'un jour sa libido se réveille. Le spectacle de tous ces jeunes gens tendrement enlacés avait réveillé ses sens, et par voies de conséquence déclenché un certain brasier au creux de ses entrailles. Brasier qui s'était étouffé à la mort de son mari et qu'elle croyait éteint à jamais. Complètement affolée par cette résurrection inattendue de sa sensualité, elle accéléra le pas, pressée de se retrouver chez elle, dans ce cocon qu'elle avait amoureusement édifié.
Délaissant le sentier gravillonné qui serpentait entre les arbres, Germaine s'engagea à même le gazon, malgré le panneau l'interdisant, ce qui devait lui permettre de gagner quelques minutes. Mais comme elle contournait un bosquet, elle se heurta presque à un couple fort occupé à se procurer du plaisir. Ce n'était pas le premier duo qu'elle croisait, mais celui-ci se croyant certainement à l'abri des regards indiscrets, se livrait à un exercice beaucoup plus impudique que tous ceux qu'elle avait aperçu auparavant. La fille se tenait à genoux à même le sol, la tête reposant sur ses avant-bras repliés, sa jupe largement retroussée sur ses reins. Sa croupe blanche qu'aucune culotte ne voilait tranchait dans la semi obscurité du lieu. Son compagnon, à genoux également derrière elle, la maintenait par les hanches et les mouvements saccadés qu'il imprimait à ses reins attestaient s'il en était nécessaire, à quel genre d'activité il s'adonnait.
Surprise par la découverte de ce couple en plein labeur sexuel, Germaine s'immobilisa, ne sachant trop que faire. Sa raison lui dictait de se retirer discrètement alors que sa libido perturbée, l'incitait à demeurer sur place et suivre cet accouplement champêtre. Trop occupé à se procurer du plaisir le couple ne l'avait pas remarqué. La gorge étrangement nouée, le bas-ventre dévoré par ce désir soudain et impérieux, Germaine demeura immobile, les yeux fixés sur le corps arqué de la jeune fille... Il y avait si longtemps qu'elle n'avait ressenti cette sensation voluptueuse, que procure l'introduction d'un membre masculin à l'intérieur de son sexe. Percevoir cette masse charnelle forcer l'ouverture de sa vulve, repousser ses chairs intimes, les écarteler, pour venir se loger au plus profond de son vagin affamé. Un flot de souvenirs, qu'elle avait crû oubliés, lui revint soudainement en mémoire : des scènes identiques à celle qui se déroulait à quelques mètres d'elle défilèrent devant ses yeux. Combien de fois s'était-elle pliée aux désirs pressés de son mari avant même d'être mariée ; que de fois avaient-ils fait l'amour dans les endroits les plus incongrus : parkings souterrains de certaines grandes surfaces, toilettes publics, arrière d'un car lors d'un voyage? Les souvenirs des jouissances fulgurantes qu'elle ressentait, du fait des endroits inopportuns choisis, procura à Germaine un long frémissement de tout son être.
Le spectacle érotique qui se déroulait sous ses yeux, plus les souvenirs des instants où elle et son mari se conduisaient comme ce couple, provoqua chez Germaine un certain malaise sexuel. Elle prit soudainement conscience qu'une abondante humidité suintait de sa vulve. c'était incroyable, la vision de ce couple occupé à se procurer du plaisir la faisait mouiller !... Cela ne lui était plus arrivé depuis le décès de son mari. Depuis trois ans son sexe était devenu un terrain aride, d'où plus aucunes sources n'avaient émergé ; la seule fois où il s'humidifiait était lors de ses mictions ; ce qui n'avait rien de sexuel' Elle comprit alors que quelque chose venait de se régénérer au plus profond de ses entrailles' Affolée par cette constatation, elle s'éloigna rapidement du spectacle trop excitant pour une femme comme elle, qui avait été privé d'amour et d'acte sexuel depuis si longtemps.
Germaine quitta enfin le parc, les sens extrêmement perturbés. Les images de ce couple faisant ainsi l'amour dans un lieu public, à la vue d'un quelconque promeneur, défilaient dans son esprit. Les sens exacerbés, elle pressa le pas, impatiente de se retrouver chez elle? A cette heure, Julien devait dormir pensa-t-elle, elle irait quand même l'embrasser avant d'aller prendre une douche qui calmerait ces élancements qui lui parcouraient le bas-ventre, et surtout expulser cet afflux de sécrétion vaginale. Elle eut une pensée pour sa culotte qui ayant épongé sa liqueur intime devait être particulièrement trempée?
*
* *
Se retrouvant enfin entre les quatre murs de son cocon familial, à l'abri de toutes les visions affolantes qu'elle avait dû subir, Germaine se sentit apaisée. De la chambre de Julien lui parvint le son du poste de télévision. Un sentiment de bonheur l'envahit ; son fils l'avait attendu malgré l'heure tardive. Le c'ur débordant d'amour pour son ?bébé?, elle se dirigea en direction de la chambre d'où s'échappait le son. Au premier coup d'oeil elle comprit amusée qu'elle s'était trompée : Julien dormait profondément, malgré le son assez élevé de la télé. Connaissant particulièrement bien son fils, elle savait que celui-ci avait le sommeil si profond que rien ne pouvait le réveiller lors de son premier somme. Aussi décida-t-elle d'aller d'abord éteindre la télé avant de venir embrasser son rejeton.
Le silence revenu dans la chambre, Germaine jeta un coup d'oeil critique autour d'elle ; au sol traînaient des chaussettes, le Tee-shirt et un slip. Malgré ses perpétuelles remontrances au sujet du rangement de ses affaires, Julien n'en faisait toujours qu'à sa tête !... Si bien qu'elle avait renoncé à faire comprendre à son fils qu'il devait ranger ses vêtements le soir ! Mais après tout n'était-t-elle pas là ? n'était-elle pas en tant que mère, appelée à être plus ou moins la bonne de son fils, comme elle l'avait d'ailleurs été avec son père? Isabelle n'aurait certainement pas été d'accord avec ce point de vu ! Mais qu'importait son avis' Son amie ne pouvait imaginer l'amour qui la liait à son fils.
Une fois le linge ramassé et soigneusement plié sur une chaise, Germaine s'approcha de son fils endormi. Longuement elle contempla le visage juvénile que le sommeil rendait extrêmement doux. Avec ses boucles blondes retombant sur son front, Julien ressemblait à l'un de ces anges que l'on voit sur les gravures religieuses. Le drap repoussé au niveau de la taille découvrait le torse fin et musclé de l'adolescent, féru de natation. Germaine était fière de son fils ; il était bien évidemment le plus beau des garçons du quartier. La seule ombre qui venait assombrir sa joie, était que si le corps de Julien suivait une croissance normale, son mental ne suivait pas la même évolution, ayant bien deux ans de retard. La psychiatre l'avait bien prévenu que cela allait s'arranger avec le temps, aussi Germaine s'accrochait-elle à cet espoir.
Ainsi endormi, le visage reposé, Julien avait une certaine ressemblance avec son défunt père. Attendrie et pleine d'amour, Germaine se pencha pour déposer un baiser sur le front de son fils bien aimé. Quelques gouttes de sueur perlaient à la racine des boucles blondes, dues à la chaleur de cette soirée de printemps particulièrement précoce. s'asseyant à même le lit, Germaine entreprit alors d'éponger délicatement le front moite de son fils à l'aide d'un mouchoir, éprouvant un certain plaisir à accomplir cette tâche.
Après avoir longuement essuyé la sueur qui perlait au front de son ?bébé?, comme elle aimait à l'appeler, Germaine se décida d'aller enfin prendre cette douche qui calmerait son corps encore sous le coup de cette étrange montée de désir. Comme elle se relevait, Julien, certainement incommodé par la chaleur, remua brusquement, repoussant quelque peu le drap sous lequel il dormait. En mère attentive Germaine décida de recouvrir le corps de son fils avant de quitter la chambre. Mais comme elle s'apprêtait à remonter le drap qui avait glissé, ce qu'elle découvrit la statufia sur place ; elle demeura la main tendue, incapable de terminer son geste. Le drap froissé laissait apparaître un gland rose et gonflé. Abasourdie par cette découverte inattendue, Germaine réalisa avec stupéfaction que son fils était victime d'une formidable érection.
La gorge soudainement nouée par ce qu'elle découvrait, Germaine douta de ce qu'elle voyait, ne pouvant accepter la réalité. Son « bébé » ne pouvait avoir ce genre de réaction, ce n'était encore qu'un enfant? A seize ans un garçon ne pouvait connaître une pareille turgescence !... Ce ne pouvait qu'être accidentelle... Mais à fixer incrédule le gland à la chair extrêmement lise, Germaine dut se rendre à l'évidence : Julien bandait réellement... Son « bébé » était devenu un homme, sans qu'elle ne s'en soit rendue compte? A quoi rêvait-il ? s'interrogea-t-elle, pour avoir une telle érection.
Tout en s'interrogeant sur la réalité de ce qu'elle découvrait, Germaine ne pouvait détacher son regard de ce gland inconvenant qui semblait la narguer. Encore sous le coup de l'ahurissement provoqué par l'incroyable découverte, elle ressentit le besoin de s'assurer de la véracité de ce qu'elle voyait. Aussi au lieu de remonter le drap comme elle en avait décidé, elle fit exactement le contraire en le repoussant nerveusement, dénudant ainsi entièrement le bas-ventre de son fils. Ce qu'elle découvrit alors lui confirma la réalité sur la sexualité de son fils. Contre le ventre musclé de l'adolescent endormi, son sexe reposait tel l'épée sur les tombeaux des gisants, véritable pal de chair, volumineux et étonnement long. Le prépuce repoussé par la dilatation du membre, laissait libre le gland rose lisse et fendu en son centre de sa minuscule brèche. Germaine sentit son pouls s'accélérer, tandis que dans ses entrailles le brasier qui avait pris naissance dans la soirée lui irradiait de nouveau le bas-ventre. c'était la première fois depuis le décès de son mari, qu'elle contemplait un sexe masculin en érection. Même si le membre qu'elle fixait ardemment appartenait à son fils, l'excitation ressentie n'en était pas moins considérable. Cependant un détail la laissait confondue. Comment un gamin de seize ans pouvait posséder un outil aussi long !... Son père, à ce qu'elle s'en souvenait était convenablement fourni coté appareil génital, ne possédait pas un sexe aussi développé?
Combien de temps resta-t-elle ainsi à fixer la jeune verge gonflée, à l'air pourtant bien inoffensive, Germaine n'aurait pu le dire. Mais le désir de saisir cette virilité gonflée, de la presser entre ses doigts se fit de plus en plus impérieux ; il y avait si longtemps qu'elle n'avait pas senti la douceur d'un sexe masculin dilaté dans sa main. Elle se souvint alors du plaisir qu'elle prenait à branler son mari, à sentir sa queue, comme il aimait à l'appeler, frémir contre sa paume, se durcir au moment de l'éjaculation. Aussi, l'esprit complètement perturbé par ses sens embrasés, oubliant le lien de parenté qui la liait au possesseur de cette virilité convoitée, elle referma ses doigts autour de la colonne de chair dilatée. Aussitôt une onde d'une intensité prodigieuse lui parcourut le creux des reins. Percevant contre sa paume la douceur et la dureté en même temps de l'organe viril elle retrouva cette émoi qui la saisissait à l'époque. Esclave de cette fièvre sexuelle qui l'avait soudainement frappée dans la soirée, elle pressa fermement ses doigts autour de la verge durcie, appréciant la chaleur qui s'en dégageait. Mais alors, échappant à sa volonté, comme animée d'une vie propre, sa main se souvenant de certains mouvements effectués jadis, s'activa doucement le long de la verge bandée. Coulissant depuis la racine jusqu'au prépuce dilaté, sa main devenue complètement indépendante exécuta une lente masturbation le long de la jeune bite en érection. La gorge nouée, une boule au niveau de la poitrine, Germaine fixait incrédule le gland dilaté, qui tel un diablotin jaillissant de sa boite, émergeait d'entre ses doigts refermés en anneaux.
Incapable de se dominer, Germaine, ressentait un indéfinissable plaisir à branler la jeune verge? d'étranges sensations renaissaient en elle. De nouveau cette source qu'elle avait cru tarie à jamais, rejaillissait des tréfonds de son vagin, humidifiant l'orifice de sa vulve, alors qu'une étrange chaleur lui irradiait les entrailles. Complètement perturbée, inconsciente de ce que ses attouchements avaient d'immorales, Germaine pressa fortement la verge gonflée de son fils dans sa main, comme s'y par un effort de volonté, elle pouvait calmer le brasier qui la consumait. Malheureusement ce fut exactement le contraire qui se produisit. Dans sa main refermée, elle perçut les pulsations du membre contre sa paume, ce qui augmenta encore le trouble sexuel qui l'habitait. Combien de fois n'avait-elle pas effectué ce genre de caresse à son mari, éprouvant un plaisir évident lorsqu'elle sentait ce dernier se dilater dans sa main. c'était ce même plaisir qu'elle ressentait ce soir, à la différence que la queue qui frémissait dans sa main n'était pas celle de son mari, mais celle de son propre fils. Ce plaisir diffus, provoqué par la présence du membre frémissant contre sa paume, avait toujours particulièrement attisé ses sens, ce qui la rendait impatiente.
Comme elle accélérait légèrement le va-et-vient de ses doigts le long de la colonne de chair devenue extrêmement dure, un sursaut du corps nu de Julien la surprit, lui faisant stopper immédiatement sa masturbation. Paniquée à l'idée d'être surprise par son fils dans une occupation qui n'avait rien de maternelle, elle tourna son regard en direction du visage de l'adolescent. Son c'ur reprit sa cadence normale quand elle constata que Julien ne s'était pas réveillé comme elle l'avait craint ; un souffle régulier s'échappait de sa bouche entrouverte.
Cette alerte ramena Germaine à la réalité, lui faisant prendre conscience de ce qu'elle était en train de faire. Quelque peu confuse elle lâcha avec regret le membre viril de son fils, décidée à regagner sa chambre. Avant de se lever elle jeta un dernier regard sur la virilité de son « bébé ». La vision de la verge gonflée au gland rose et dilaté, reposant mollement sur le bas-ventre de son fils endormi, la fit revenir sur sa décision de quitter la chambre. Elle avait éprouvé un tel plaisir à caresser le membre viril à la texture si douce, les sensations qu'elle en avait ressenties avaient été si sensuellement intenses, qu'elle ne pouvait y renoncer si facilement.
Jetant un dernier regard sur le visage de Julien, afin de se rassurer, Germaine se saisit de nouveau de la virilité convoitée ; "encore cinq minutes décida-t-elle, puis je m'en irais' Julien dort trop profondément pour qu'il se réveille?" Fixant intensément le gland dilaté, elle reprit sa sensuelle masturbation, éprouvant de nouveau ce plaisir indéfinissable qui enveloppait son corps d'une douce chaleur voluptueuse.
*
* *
« Monica Bellucci sort des vagues. Le corps ruisselant de milliers de gouttes d'eau, les seins débordant de » « son maillot trop petit pour sa somptueuse poitrine, les hanches évasées mises en valeur par un bikini » « extrêmement étroit. Elle s'avance de sa démarche sensuelle. Tout son corps attise les désirs les plus fous. » « Elle s'approche, un sourire complice aux lèvres. »
« Julien n'en croit pas ses yeux ; son idole, son fantasme, est là, près de lui. Elle s'agenouille sur le sable » « chaud où il est étendu. Elle ne dit rien ; ce n'est pas nécessaire son merveilleux regard parle pour elle. »
« Julien ne peut détacher son regard des dômes charnus qui émergent des balconnets trop étroits du » « maillot de bain. Toujours sans un mot, Monica frôle de ses mains si douces son torse parcourut de » « frissons voluptueux, avant d'effleurer son ventre crispé par le désir, puis son slip de bain déformé par » « une incontrôlable érection. Avec un sourire ensorcelant, Monica crochète l'élastique de son slip de bain. »
« c'est fait, son rêve se réalise : Monica vient de refermer ses doigts autour de sa verge dilatée par » « l'intense désir qui le travaille et dans un lent mouvement de va-et-vient elle le masturbe? »
« Tout le bas du ventre tétanisé, Julien apprécie cette caresse qu'il est le seul à se prodiguer » « habituellement. La main de Monica, si légère, si experte lui procure un plaisir d'une rare intensité. » « Jamais ses masturbations solitaires ne lui ont provoqué une telle félicité. Sa jeune bite, comme animée » « d'une vie propre, frémit, se gonfle, se dilate sous les frôlements experts et terriblement voluptueux des » « doigts féminins. Le bas-ventre littéralement embrasé par l'intense délectation que lui procure cette » « masturbation, Julien sent soudain ses couilles se rigidifier, prémices de cette jouissance libératrice. »
« Pris de panique à l'idée de décharger aussi inopinément, de souiller les doigts de son égérie, Julien tente » « de se rebeller contre son désir. Que va penser Monica à recevoir sa substance virile au creux de sa main. » « Dans un effort prodigieux, il se cambre frénétiquement afin de stopper l'éruption de sa semence qu'il » « sent sur le point de jaillir de sa verge gorgée »
Tout à son combat contre son propre désir, Julien émerge soudainement de son rêve érotique. Réalisant que ce qu'il venait de vivre n'était en fait qu'un effet de son imagination perturbée par l'éveil de ses sens, Julien demeure immobile les yeux clos, tentant de replonger dans ce songe si prodigieusement sensuel.
Cependant au bout de quelques secondes, l'adolescent réalise qu'une étrange et merveilleuse sensation perdure au niveau de sa verge. Comment Monica pouvait-elle continuer à le branler de si troublante façon alors qu'il est bien réveillé ?... Etonné, Julien ouvre alors les yeux et plonge son regard en direction de son bas-ventre. Abasourdi, il reconnaît en la femme qui délicatement le branle d'une main insistante, sa propre mère. Penchée sur sa besogne sexuelle, cette dernière ne s'est pas rendue compte qu'il était réveillé et semble prendre un certain plaisir à faire coulisser sa main le long de sa jeune virilité tendue.
Revenu de son ébahissement premier, Julien ne peut s'empêcher de s'exclamer :
? Maman !
Pétrifiée par l'interjection soudaine de son fils qu'elle croyait profondément endormi, Germaine s'immobilise confuse. Tachant de cacher son embarras, elle détourne son visage en direction de Julien :
? Tu étais découvert, tenta-t-elle de s'expliquer? Je désirais te recouvrir?
Mais alors qu'elle essaye de se justifier, Germaine se rend compte soudainement que dans sa précipitation à se justifier, elle n'a pas lâché le jeune membre viril de son fils, toujours aussi dur et ferme contre sa paume. Comme si la verge bandée lui brûlait brusquement la main, elle relâche précipitamment la bitte au gland dilaté.
? Non' Continue? Quémanda alors Julien d'une petite voix implorante? c'était trop bon'
Germaine resta un instant sans voix devant la demande de son fils. Devait-elle faire semblant d'être offusquée par la sollicitation de Julien' En fait, reconnut-elle, si elle se trouvait devant pareille situation, elle ne devait s'en prendre qu'à elle même ; quelle folie l'avait poussé à vouloir caresser le sexe de son propre enfant. Il est vrai que la soirée avait été quelque peu perturbante pour ses sens. Jamais elle n'avait ressenti un tel besoin sexuel depuis le décès de son mari. Et la vue du jeune membre en érection de Julien avait déclenché en elle cette pulsion, qui la mettait dans une situation extrêmement gênante vis-à-vis de son fils. Incapable de contrôler ses sens, ceux-ci avaient pris le dessus sur la raison. Plus rien n'avait alors compté que son désir de se saisir de ce membre dressé pour en sentir la douceur et la fermeté au creux de sa main.
Après quelques instants de réflexion, Germaine se convainquit que c'était presque son devoir, après sa folie, de contenter son fils ; comme elle le faisait chaque fois que celui-ci émettait un désir. Mais au plus profond d'elle même, elle dut se l'avouer, elle mourrait d'envie de sentir de nouveau cette jeune verge frémir au creux de sa main. Cela faisait si longtemps qu'elle n'avait ressenti cette sensuelle sensation. Qu'importe si cette colonne de chair tant désirée appartenait à son fils ! Si elle pouvait apporter du plaisir à ce dernier et en ressentir elle-même par la même occasion, chacun y trouverait son compte ; et cela resterait entre eux.
? Tu veux que Maman' te? te fasse du bien, mon chéri ? demanda-t-elle d'une voix enrouée par un certain embarras.
? Oh oui !... s'il te plait Maman !...
? d'accord, mais cela doit rester entre nous !... Tu me le promets ?...
? Oui, maman, je te le promets !...
Ayant pris sa décision, Germaine s'installa alors commodément sur le lit, s'asseyant de trois quarts par rapport à son fils, allongé. Avec émotion, du fait du regard de Julien épiant ses gestes, elle s'empara de nouveau du jeune membre viril qui, à son étonnement était resté toujours aussi raide pendant tout l'interlude.
? Tu as souvent ce genre de? problème ? demanda-t-elle curieuse.
? Ouuii? Tous les matins, quand je me réveille?
Attendrie devant le fait que son fils, son bébé comme elle aimait l'appeler, était devenu un homme, Germaine continua de se renseigner, sans toutefois cessez de dispenser à la verge gonflée une lente masturbation :
? Pourquoi ne m'en as-tu pas parlé ?... j'aurais su te conseiller !
? Ben' Heu' Je n'ai pas osé, geignit Julien dont les légères caresses le long de sa verge le ravissaient, sans toutefois lui apporter le plaisir qu'il avait escompté.
? Pourquoi ? Je suis ta maman' Tu sais on peut tout dire à sa maman' Et comment faisais-tu pour calmer ?
Terriblement gêné, Julien demeura un instant sans répondre. Devait-il tout dire ?
? Eh bien, se décida-t-il', je me? caressais'
? Tu veux dire que tu te branlais, précisa Germaine à qui l'hésitation de Julien n'avait pas échappée !... Car c'est bien ainsi que l'on dit, n'est-ce pas ?
? Ouuii?
? Tout seul ?... n'as-tu pas de petite copine ?
? Heu non !...
« Soudain confus, Julien préféra ne pas faire état des séances de masturbations qu'il pratiquait avec son camarade René. Comment expliquer à sa mère qu'il lui arrivait quelque fois de se branler mutuellement avec son camarade de collège ; ce dernier du même âge que lui était plus au courant de tout ce qui touchait le sexe. Lors d'une visite chez son camarade, en l'absence de ses parents, René lui avait montré une revue porno. Ce qui avait au premier abord surprit Julien c'est que la revue ne montrait que des hommes ; soit se branlant ou se suçant et même s'enculant. René semblait fortement apprécier les images, au point qu'il avait finit par extraire son sexe en érection de son pantalon pour se masturber avec frénésie. Affolé par les images et surtout par la masturbation de son camarade, Julien n'avait pas tardé à imiter ce dernier. Très vite ils avaient négligé la revue pour se concentrer sur leur plaisir, s'épiant l'un l'autre. Ils avaient pratiquement joui ensemble. Julien avait du reconnaître qu'il avait éprouvé un plaisir intense à se branler en compagnie de son camarade. »
« Cette séance de masturbation leur ayant tellement plu, les deux adolescents n'avaient pas tardé à recommencer. Puis un jour, René avait émis l'idée de se branler mutuellement. Toujours prêt à suivre son camarade plus expérimenté que lui, Julien avait accepté. Et c'est avec un étrange plaisir qu'il avait empoigné la verge tendue de son complice, alors que la main de ce dernier enserrait sa propre queue. Encore une fois ils avaient déchargé de concert, leurs spermes, tels deux geysers avaient jailli simultanément, leur poissant les doigts. Julien avait alors découvert que le fait de se faire branler par une main étrangère était bien meilleure que lorsqu'il se masturbait soi même. Aussi avait-il pris goût aux séances de masturbations communes, ne s'y refusant jamais lorsque René le lui proposait. »
« Puis quelques jours plus tôt, lors de l'une de ces séances érotiques, René, sans le prévenir s'était emparé de son membre dans sa bouche et avait entreprit de le sucer. Le va-et-vient des lèvres de son camarade le long de sa verge, et surtout autour de son gland l'avait tellement enchanté qu'il n'avait pas eu le cran de repousser le visage ami. Julien avait laissé René s'escrimer autour de sa queue frémissante, ravi de l'audace de son camarade. La jouissance l'avait saisi beaucoup plus rapidement que lors des séances de masturbation. Gêné à l'idée de jouir dans la bouche de son camarade, il avait voulut se retirer de la cavité buccale qui le pompait si délicieusement. Mais il en avait été empêché par René, qui ayant comprit son intention, lui avait agrippé les fesses pour l'obliger à demeurer en lui. Alors dans un sursaut de tout son être, dans un orgasme encore jamais atteint, Julien avait déchargé la totalité de son sperme au fond du gosier de René, qui avala goulûment ce nectar qui lui emplissait le gosier. »
« Mais lorsque son camarade lui demanda de lui rendre le même service, Julien s'y était fermement opposé, ne se sentant pas prêt à accepter la semence de ce dernier dans sa bouche ; ce qui avait quelque peu refroidi leur complicité sexuelle. »
Tout en fixant le visage attentif de Julien, Germaine avait entamé une lente masturbation le long de la verge dressée de ce dernier.
? Tu te rends compte de ce que tu me fais faire, tenta-t-elle de plaisanter? Il faut vraiment que je t?aime?
? Moi aussi je t?aime, maman' Huummm'
Mettant toute sa dextérité dans sa caresse, Germaine tenta de se souvenir des gestes que son défunt mari appréciait lorsqu'elle le branlait. Un détail lui revint en mémoire ; Louis aimait qu'elle repousse le plus loin possible la peau mobile de son méat, pour ensuite la remonter afin d'en couvrir entièrement son gland dilaté. Elle entreprit alors d'exécuter cette man'uvre sur le sexe de Julien qu'elle répéta plusieurs fois de suite, cachant et décalottant le gland rose alternativement. Tel un diablotin, le bourgeon de chair dilaté émergeait d'entre ses doits. Chaque apparition du dôme de velouté la comblait de joie, lui procurant mille frissons aux creux du ventre.
Tout en branlant sensuellement la jeune verge fièrement érigée, Germaine surveillait le visage de son fils, afin d'y lire les effets de sa masturbation. Julien avait fermé les yeux, pour certainement mieux apprécier la caresse dont il était l'objet. Comme elle accélérait le mouvement de va-et-vient de sa main, elle vit les traits de Julien se figer soudainement. Comprenant que son fils ressentait les prémices du plaisir, Germaine accéléra encore sa masturbation le long de la colonne de chair, éprouvant elle-même une intense délectation à astiquer la jeune bitte. Comme Julien se tendait convulsivement, offrant son membre à sa caresse, elle murmura :
? c'est bon mon chéri ?... Tu aimes ce que je te fais ?...
? Oh oui !... Huummm.
? c'est meilleur que lorsque tu le fais toi même ?
? Oh oui?
Julien n'en revenait pas combien cette caresse qu'il avait tant de fois pratiqué pouvait être si délicieuse. Déjà avec son camarade René, il avait constaté qu'elle pouvait être plus agréable pratiquée par une autre main que la sienne, mais la main de sa mère était d'une telle douceur qu'il n'en revenait pas. Le plaisir qu'il ressentait à cette masturbation n'avait rien de commun à tout ce qu'il avait éprouvé jusque là. Il aurait voulu que cette merveilleuse sensation qui se diluait dans son bas-ventre et dans son sexe ne cesse jamais. Aussi faisait-il des efforts désespérés pour contenir la monté de sa sève intime qu'il sentait sur le point de jaillir.
A s'activer ainsi sur le membre de son fils, à percevoir la tiédeur ainsi que les frémissements de la jeune verge au creux de sa main, Germaine ne tarda pas à sentir une certaine humidité naître aux creux de sa vulve ; ce qui, vu son activité ne l'étonna pas le moins du monde. Le plaisir qu'elle ressentait à branler un membre viril en érection, après tant d'années de veuvage, la faisait mouiller comme au meilleur temps de son mariage. Et le fait qu'elle branlait son propre fils, accentuait encore cet émoi. Retrouvant quelques peu ses instincts maternelles, elle s'obligea à procurer un maximum de plaisir à ce fils qu'elle chérissait plus que tout au monde. Fixant le gland qui lui semblait-il se dilatait de plus en plus, l'envie lui prit de le prendre en bouche pour le sucer, comme elle le faisait avec Louis son malheureux époux. Comme elle aurait aimé sentir le gland tressauter entre ses lèvres, alors que l'abondante semence virile lui aurait empli la bouche? Un dernier reste de pudeur, vis-à-vis de Julien la retint. Qu'allait penser son fils si elle mettait à exécution son désir. A son âge, il ne devait certainement pas savoir que ce genre de caresse se pratiquait !... Comment allait-il la juger?
Loin des troubles de sa mère, Julien se laissait peu à peu griser par la sensuelle masturbation dont sa génitrice le gratifiait. Il éprouvait un plaisir étrange à fixer la main de cette dernière qui coulissait doucement le long de sa verge érigée. Mais un détail troublant frappa son regard ; du fait de la position qu'avait adopté sa mère, sa jambe droite repliée sur le lit et la gauche reposant au sol, sa courte jupe s'était largement retroussée, laissant apercevoir une bonne partie de ses cuisses nues. La vision de la chair blanche des deux jambes écartées accentua encore le trouble sexuel de l'adolescent. Son regard se figea sur la partie plus sombre, tout en haut des cuisses, que lui cachait malheureusement la jupe, l'endroit où se nichait ce mystérieux sexe féminin, objet des fantasmes les plus fous de son imagination. l'envie de poser sa main sur cette peau nue exposée à son regard le saisit ; pouvoir caresser cette chair à l'aspect si soyeux, la presser de ses doigts, et pourquoi pas explorer cette partie encore cachée. Mais la crainte que sa mère n'apprécie pas son initiative, et que pour le punir de cette excursion intempestive en direction de son intimité, elle cesse sa caresse retint son geste.
Inconsciente du soudain désir de son rejeton pour ses cuisses et son sexe, Germaine continuait à s'appliquer dans sa masturbation ; branlant son adolescent d'une main aussi douce que possible. Fixant avec envie le gland rose tendre au centre duquel s'ouvrait la minuscule bouche du méat, elle se prit à attendre l'éjaculation qui allait en jaillir, s'impatientant même. Cela faisait si longtemps qu'elle n'avait vu jaillir ce geyser séminal lors de la jouissance d'un homme. Cette pensée l'affola si fort qu'elle accéléra le mouvement de va-et-vient de sa main le long du membre qu'elle sentait palpiter contre sa paume, le branlant de plus en plus vélocement.
Surprit par cette soudaine accélération de la masturbation dont sa virilité était l'objet, Julien sentit la jouissance l'envahir inexorablement, sans qu'il ne puisse rien faire pour la juguler. Sous la violence de l'orgasme qui le submergea, il griffa les draps alors que tout son corps s'arquait. Dans un grognement il tenta de prévenir sa mère de l'imminence de son éjaculation :
? Mamaann' Ca vient !... Rrraahhh?
Germaine qui s'était rendue compte d'un certain changement dans les palpitations du membre qu'elle maintenait, fut quand même surprise par le premier jet de sperme qui fusant du gland congestionné lui frappa le visage. Toute heureuse du résultat enfin obtenu, elle ne tenta pas d'éviter les suivants, éprouvant un plaisir d'une rare intensité à sentir le liquide séminal venir s'écraser contre son menton et sa bouche. Ne pouvant contenir son envie, elle lécha vivement ses lèvres sur lesquelles le liquide viril s'était déposé, appréciant le goût quelque peu salé de cette semence fluide. La liquidité du sperme de Julien la surprit quelque peu ; autant qu'elle s'en souvenait celui de son mari était beaucoup plus épais, une véritable crème avec laquelle elle aimait se masser le visage, les seins ou le ventre, suivant la partie de son corps que son époux avait arrosé.
Lorsque du méat les jets se raréfièrent, pour se tarirent enfin, Germaine se redressa le visage gluant d'un liquide onctueux et pratiquement incolore. Se tournant vers Julien qui la fixait d'un air penaud, elle comprit qu'elle se devait de le rassurer :
? c'était bon, mon chéri ?... Tu as aimé ce que ta maman t?a fait ?...
? Oh oui !... c'était merveilleux !... Je t?aime maman'
? Moi aussi je t?aime mon chéri? c'était meilleur que lorsque tu te le fais toi même ?
? Oh oui !? Tu' Tu recommenceras ?...
? Je ne sais pas !... Tu sais ce n'est pas normal ce que l'on a fait ce soir? Je suis quand même ta mère?
? s'il te plait maman' c'était si bon'
? On verra !... maintenant dors !... Je ne t?embrasse pas, tu m'en as mis plein le visage? Regarde comme tu m'as arrangé !... Je n'ai plus qu'à aller faire un brin de toilette? Fais de beaux rêves mon chéri?
? Bonsoir maman chérie.
? Bonsoir mon petit amour?
Refermant la porte de la chambre de Julien derrière elle, Germaine se dirigea vivement en direction de la salle d'eau où elle s'enferma. Malgré ce qui s'était passé avec son fils, elle ne voulait pas que ce dernier puisse la surprendre entièrement nue, s'il venait à pénétrer dans la salle d'eau à l'improviste.
Les jambes quelque peu flageolantes, elle s'agrippa au lavabo de faïence bleu. l'éjaculation de Julien lui avait procuré un tel plaisir qu'un mini orgasme l'avait tétanisé un court instant. Elle avait dû faire un immense effort pour cacher ce spasme voluptueux à son fils. Mais à présent dans la solitude de la salle d'eau, elle subissait le contrecoup de cette félicité. Le plaisir qu'elle avait ressenti, même s'il avait été fugace, avait encore accentué le malaise sexuel qu'elle ressentait depuis le début de la soirée. Tous ces sens réclamaient un apaisement?
Comme elle fixait le reflet de son visage que le miroir lui renvoyait, Germaine découvrit avec émoi les taches qui souillaient son menton et les commissures de ses lèvres. Malgré son jeune âge, Julien avait eu une éjaculation abondante, ce qui l'avait quelque peu étonné sur le coup. Comment un gamin de seize ans pouvait emmagasiner une telle quantité de sperme ? Elle osa alors ce qu'elle n'avait pas tenté devant son fils : délicatement, du bout du majeur elle récupéra le sperme qui lui collait aux lèvres, qu'elle porta à sa bouche, curieuse d'en connaître le goût. Avec émoi elle retrouva les sensations qu'elle avait connues quelques années auparavant, lorsque Louis lui déchargeait sa semence au fond de la bouche, l'obligeant à avaler sa liqueur virile. Par contre un détail lui revint en mémoire ; le sperme de son époux était non seulement plus épais que celui de son fils, mais il était aussi plus épicé au goût. Julien n'avait certainement pas encore atteint sa maturité sexuelle.
Tout en fixant son visage souillé, dans le miroir surplombant le lavabo, Germaine se remémora les instants passés à masturber son garçon. Un étrange sentiment l'envahit ; sentiment fait de confusion pour avoir accompli un geste inavouable de la part d'une mère, et en même temps une joie immense à l'idée du plaisir qu'elle avait donné à « l'amour de sa vie »? En fin de compte elle se persuada qu'elle avait bien agi, qu'en fait elle s'était conduite en mère aimante et prête à tous les sacrifices pour assumer le bonheur de son fils. Certainement que son amie Isabelle n'aurait pas été de son avis, elle qui lui reprochait de trop couver son fils'
Après avoir consciencieusement essuyé la totalité de la liqueur étrangement fluide qui lui souillait le visage, et l'avoir savourée, Germaine se décida à se préparer pour la nuit. Elle s'attaqua aux petits boutons qui fermaient son chemisier de soie, qu'elle retira. Puis d'un geste rapide elle repoussa la fermeture éclair qui retenait sa jupe, qui tomba mollement au sol. Puis après quelques contorsions, l'écrin de soie qui contenait les deux fruits de chair veloutés de sa poitrine, fut retiré à son tour. Le torse dénudé, Germaine fixa l'image que le miroir lui renvoyait. A bientôt trente six ans, elle pouvait être fière de ses seins pointus et encore étonnamment fermes ; il est vrai que depuis le décès de son mari, aucunes mains masculines n'étaient venues malaxer la chair tendre de ses fruits mammaires. Du fait de sa carnation de rousse, la chair de ses seins était d'une blancheur extraordinaire, recouverte de multiples taches de rousseur. Ses mamelons aux centres desquels pointait un téton malicieux, avaient gardé leur teinte rose ; comme deux larges pièces rapportées qui auraient tranché sur la blancheur de ses mamelles. La vision de ses bourgeons de chair fièrement érigés, n'étonna qu'à moitié Germaine ; l'excitation qui l'avait gagné lors de la découverte de la virilité érigée de son fils ne l'avait pas quitté, malgré le mini orgasme qui en avait suivi. Ses sens trop longtemps endormis se rappelaient soudainement à elle, quémandant un rapide apaisement.
Désirant échapper à ce désir qu'elle sentait grandir au plus profond de ses entrailles, Germaine s'empressa de retirer sa culotte afin de faire un brin de toilette intime, qui elle en était sure calmerait ce brasier qui lui consumait l'utérus. Jamais, aux cours de ces trois années, ces organes sexuels n'avaient été autant perturbés. Avant de jeter sa lingerie intime dans la corbeille aux linges sales, elle jeta un coup d'oeil critique à l'entrejambe de cette dernière? Ce qu'elle découvrit ne l'étonna pas le moins du monde ; ses humeurs intimes avaient copieusement trempé le nylon protecteur, d'où se dégageait un parfum épicé.
Jugeant qu'il se faisait tard, Germaine s'empressa de faire un brin de toilette intime, à l'eau froide afin de calmer quelque peu ce désir qui lui consumait le sexe. Puis enfilant une légère chemise de nuit, plus à cause de la chaleur de la soirée que par coquetterie, elle rejoignit sa chambre.
Allongée dans le noir, recouverte uniquement d'un drap fin, Germaine se remémora les instants passés auprès de son fils. Tout en reconnaissant ce que son comportement avait eu d'inconvenant, elle ne regrettait en rien ce qu'elle avait fait ; une seule chose comptait : le plaisir qu'elle avait procuré à son fils chéri, à l'amour de sa vie !... Grâce à elle Julien avait connu sa première masturbation féminine, et la quantité de sperme qu'il avait émis ne faisait que confirmer combien il avait apprécié cette caresse. Au souvenir de l'éjaculation de son fils, qui l'avait soudainement surprise, Germaine ressentit un agréable frisson parcourir tout son corps. Lorsque la semence juvénile lui avait frappé le visage elle avait ressenti une telle exaltation, qu'elle en avait éprouvé un mini orgasme, qui l'avait laissé pantoise, ne s'y attendant pas. Un seul regret cependant la perturbait ; celui de n'avoir osé refermer ses lèvres autour du gland libérant sa liqueur. Combien elle aurait aimé retrouver sur ses papilles le goût spécial du sperme chaud.
Si jamais l'aventure se reproduisait, et elle en était certaine que cela arriverait : Julien aurait encore besoin de ses services, elle oserait alors cette caresse qu'elle désirait tant. Tout en s'imaginant ce qui pourrait se passer entre elle et son fils, Germaine glissa une main coquine entre ses cuisses grandes ouvertes. Retrouvant ses gestes d'adolescente, elle fourragea rapidement dans sa toison rousse. d'un majeur décidé elle suivit la longue fente qui séparait ses grandes lèvres sexuelles, pour enfin atteindre son bouton de chair, qu'elle n'eut pas à chercher longtemps, tant ce dernier était boursouflé. Alors les yeux refermés sur des songes pleins de promesses, Germaine se branla longuement, comme au plus belles heures de son adolescence?