Mars et Venus

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Proposée le 13/12/2009 par viking35

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« Les hommes viennent de Mars et les femmes viennent de Vénus » John Gray
LE LECTEUR EST INFORME QUE DES RESSEMBLANCES AVEC DES PERSONNAGES EXISTANTS NE SERAIENT SUREMENT PAS FORTUITEs'

MARS

Depuis de nombreuses semaines, je correspondais quotidiennement ou presque sur le net avec Claire, divorcée, secrétaire prés de Cherbourg, malheureusement trop éloignée pour envisager une relation régulière.

A raison de plusieurs messages par semaine, nous nous étions totalement dévoilés et, à ma grande surprise souvent de manière intime; me surprenant à lui écrire des pensées que je n'aurais jamais exprimées à ma femme ou mon meilleur copain. Nous avions même poussé le jeu jusqu'à ne nous être téléphoner que seulement quelques jours avant ce rendez-vous de travail bienvenu dans son département, excellent prétexte pour la rencontrer.

Sa voix ne m'avait pas déçu, bien au contraire, et je n'avais aucune raison de mettre en doute son physique, auquel, de toute façon, je n'attachais pas une grande importance. Sa description sur m'. 1.65m, silhouette : normale, look classique? Elle m'avait indiquée être actuellement blonde avec des cheveux plutôt courts, et regrettait sa poitrine plutôt menue.

Je ne m'attendais pas à rencontrer un canon. Pour elle, par contre, cela semblait capital et je craignais un peu que l'embonpoint excessif de ma quarantaine bien avancée, ma calvitie naissante ne crée un blocage?

Ainsi, c'est l'un et l'autre avec une impatience adolescente que nous nous sommes retrouvés un jeudi soir de mars pour dîner au restaurant le Moulin à Vent dans La Hague, région méconnue et magnifique.


















VENUS

Depuis plusieurs mois, j'échangeais régulièrement sur le net avec Michel, un breton, malheureusement marié et trop éloigné pour que j'envisage une relation avec lui.

Comme je n'avais pas l'intention de le rencontrer, au fur et à mesure de nos messages, je m'étais totalement découverte. Lui écrivant même des pensées intimes, des fantasmes que je n'aurais jamais osé exprimer à ma meilleure amie. De passage dans ma ville fortuitement, il m'avait communiqué son numéro de téléphone pour que je l'appelle, très peu de temps avant notre rencontre.

Au téléphone, j'ai immédiatement aimé sa voix chaude et chaleureuse, son humour... et ses propos correspondaient bien à l'esprit de nos échanges. Aussi, je n'ai pas hésité à lui proposer une rencontre dans un restaurant proche de mon bureau.

Malgré tout, c'est avec une certaine appréhension que je me rendais un soir de l'hiver dernier à l'auberge, le Moulin à Vent sur les hauteurs de La Hague, où j'avais réservé.

MARS

Dès le premier contact dans le pub de ce restaurant à l'atmosphère délicieusement british, son visage ouvert, son regard malicieux, sa vivacité me séduisent. Ses taches de rousseur de Normande sur sa peau laiteuse, son visage mutin contribuent à son charme.

Elle quitte à peine son bureau d'une grande entreprise située à quelques minutes, dans un tailleur de laine de couleur bleue, un corsage blanc agrémenté d'une broche assortie à ses boucles d'oreille, bref un look bon chic bon genre, sensiblement différent des photos que nous avions échangé par mail qui montraient une femme décontractée et sportive.

Malgré tout, son physique m'apparaît un peu sévère et son nez? apparent. Mais notre conversation prend tout de suite un ton souriant, spontané, sans temps mort. Je suis, sans aucun doute, le plus gêné de m'être tant dévoilé lors de nos échanges épistolaires.

Vive, directe, Claire est décidée, et même un peu autoritaire.
Spontanément, elle m'avoue m'avoir menti sur deux points. Elle n'est pas secrétaire mais occupe des responsabilités importantes et, ne voulant pas être reconnue, les photos publiées sur le net sont celles de sa jeune s'ur? j'en déduis que tout le reste est exact. La nuit s'annonce prometteuse?

Toujours est-il qu'entre les bouquets du Nez de Jobourg et le bar au fenouil, délicieux, soit dit en passant, nous abordons tous les sujets. Y compris, et même beaucoup, ceux concernant notre sexualité. Elle ne mâche pas ses mots et n'hésite pas à parler de sexe ; plus facilement que moi en tout cas. Ainsi, elle me confirme que sa dernière histoire date de l'année passée, qu'elle préfère une bonne masturbation à un mauvais « coup »; qu'elle se masturbe plusieurs fois chaque semaine, qu'elle ne couche jamais la première fois. Toutes choses que Claire m'avait déjà écrites. Mais c'est autre chose de l'entendre exprimé de vive voix !

d'après nos échanges épistolaires dont je n'ai aucune raison de douter, Claire est sensuelle et n'a pas fait l'amour depuis longtemps' Il est évident que j'avais donc imaginé une suite à notre soirée. Cerise sur le gâteau, elle m'indique que sa fille étant seule dans son appartement, elle rentrera tôt. d'autant plus qu'elle prend un train pour Paris dès 8 h le lendemain. Les choses ayant le mérite d'être claires, j'essaye d'évacuer toute pensée lubrique?

Faisant contre mauvaise fortune bon c'ur, nous ne voyons pas le temps passer et, après le café, nous n'avons guère envie de nous séparer. Le clair de lune superbe, la nuit étoilée et glaciale sont un excellent prétexte à une promenade romantique vers le petit port de Goury, à quelques pas de là.


VENUS

Dès mon entrée au bar, je remarque Michel, seul au comptoir. Il me plait, mais il est évident que ce n'est pas mon type d'homme. Il m'attend déjà depuis un long moment. Vêtu d'un Barbour, d'une chemise noire et d'un pantalon beige; son visage, fortement marqué par de nombreuses rides, correspond bien aux rares photos que nous avions échangé par mail.

Il m'avait indiqué être châtain et un peu chauve, avoir un embonpoint « respectable » ; bref, il est gros. Et vieux, en plus: 12 ans de plus que moi ! Ses traits m'apparaissent marqués et ce n'est pas George Clooney, mais il est évident que Michel n'est pas dénué de charme. Ses yeux bleus, en particulier, m'ont vite fait craquer, un bon point.

Notre conversation prend tout de suite un ton sympathique, spontané. Je suis un peu honteuse de m'être tant dévoilée lors de nos échanges, mesurant le risque de rencontrer un inconnu à deux pas de mon travail. (QUELLE IDEE d'AVOIR RESERVE ICI, IL NE MANQUERAIT PLUS QUE JE TOMBE SUR X. EN PLUS, c'EST LA CANTINE A Y? HEUREUSEMENT, IL n'Y A PAS GRAND MONDE.)

Calme, posé, regard franc ; il se confirme que Michel est sympathique, rassurant, sincère. j'aime sa voix. En plus, il m'assure ne m'avoir écrit que la vérité, rien que la vérité. Je m'en veux un peu de lui avoir menti, sur mon travail réel et sur les photos que je lui ai envoyés par mail. (IL FAUT AUSSI QUE JE LUI DISE QUE JE NE SUIS PAS AUSSI LIBEREE QUE CE QUE LE LUI AIT ECRIT. PAS d'AMBIGUÏTE? JE NE SUIS PAS CELLE QUE j'AI DECRITE.)

Très vite, je suis en confiance et me confie à lui comme s'il était un ami de longue date. (SI TOUT CE Qu'IL m'A ECRIT EST EXACT ; c'EST VRAIMENT DOMMAGE Qu'IL HABITE SI LOIN ET SOIT MARIE.)

Toujours est-il que, entre le carpaccio de saumon et la raie au beurre noir, nous n'excluons aucun sujet : travail, enfants, relation sur le net, nos difficultés conjugales' Le Sancerre aidant, nous parlons de nos expériences sexuelles. Cela surprend souvent les hommes mais j'appelle un chat un chat. j'aime parler cul, et lui aussi, quoiqu'il en dise. En baissant la voix, je lui raconte ma dernière histoire et quelques anecdotes coquines. Comme tous les mâles, il est tout ouï.

d'après nos échanges sur le net, Michel aime faire l'amour, « longuement et doucement » m'écrivait il' (A VOIR, ILS DISENT TOUS CELA? MAIS CE NE SERA PAS CE SOIR. EN EFFET, MA JOURNEE A ETE LONGUE ET JE PARS DEMAIN MATIN DE BONNE HEURE POUR PARIS. IL m'AVOUE AVOIR IMAGINE UNE AUTRE SUITE A NOTRE SOIREE, c'EST BIEN NORMAl')

Nous n'avons pas vu le temps passer et, après le café, je regrette de devoir le quitter. Lui aussi, et, intelligemment, il me propose une ballade vers le phare de La Hague, tout proche. (BONNE IDEE. POURQUOI, l'AI JE DECOURAGE TOUT A l'HEURE ? JE l'EMBRASSE, JE l'EMBRASSE PAS ?)

Nous montons dans ma voiture. Je le sens morose, « saudade ». j'ai toujours envie de l'embrasser? Je l'embrasse, fiévreusement.

Nous devenons silencieux et, très vite, ses mains s'aventurent sur mon cou, sur mon corsage. (ALLEZ, JUSTE UN PETIT FLIRT. 10 MINUTES, PAS PLUS. IL Y A SI LONGTEMPs' j'AIME SON PARFUM. HUGO BOSS SUREMENT? c'EST PAS VRAI, j'AI DES FRISSONS. c'EST TROP BON.)

Dans le froid de ma petite voiture, tant bien que mal, je me blottis contre lui et sent qu'il apprécie, lui aussi, ma main sur sa nuque. Je refuse qu'il déboutonne mon chemisier. Il embrasse divinement, et nos baisers sont longs et fougueux. Mes mains parcourent sagement son torse.

Progressivement, de ma main gauche, j'ose déboutonner quelques boutons de sa chemise et m'autorise des caresses sur les poils de sa poitrine. (j'AIME. SES GROGNEMENTS m'ENCOURAGENT. CELA m'EXCITE, MAIS POURQUOI NE CARESSE T-IL PAS MES SEINS ? ALLEZ, j'OUVRE MON CHEMISIER. IL FAIT FROID.)

Ses caresses, à même la peau de mon dos, me donnent des frissons. Je ne veux pas trop qu'il pousse son avantage et essaye, tant bien que mal, de retenir le plaisir que ces frôlements sur mes reins me procurent déjà. Je me sens fondre. Presque contre ma volonté, j'ouvre mon corsage et, afin de réchauffer l'habitacle, démarre le moteur.

MARS

A peine installée dans sa voiture froide, Claire se penche vers moi et m'embrasse? Vite revenu de ma surprise, nous devenons silencieux et je réponds à ses tendres caresses.

Dans l'inconfort de sa Clio, tant bien que mal, nous nous rapprochons et je constate immédiatement combien elle réagit vivement à mes timides frôlements sur sa poitrine. Elle me refuse toutefois de déboutonner son chemisier. Nos baisers sont délicieux, ses mains s'aventurent sagement sur ma chemise.

Progressivement, de ma main gauche, je tente d'autres tentatives vers le bas de son dos, que je réussis à caresser à même la peau après m'être immiscé sous son chemisier. Instantanément, je sens combien le grain de sa peau est doux et lisse sous mes mains ; les effleurements de ma langue sur son cou la font glousser de plaisir. Ses réactions on ne peut plus vives m'encouragent. Après de trop longues minutes, elle déboutonne enfin les deux pans de son corsage.


VENUS

Je sens Michel très excité, et son érection est évidente. Il bande (IL A l'AIR BIEN MONTE? JE LE BRANLE OU PAS ? NON, SINON IL VOUDRA PLUS. POURVU Qu'IL ME CARESSE UN PEU. )

n'osant pas encore ouvrir sa braguette, je tente juste quelques frôlements sur son pantalon. Manifestement, il adore.

Comme par inadvertance, depuis mon genou, sa main droite, glissant doucement sur mon collant, remonte progressivement et me caresse en cercles concentriques l'intérieur de ma cuisse sans, toutefois, oser pénétrer plus avant sous ma jupe. j'écarte mes jambes franchement. Enfin, ses doigts frôlent mon sexe, des soupirs m'échappent, trahissant mon excitation grandissante.

j'oublie le froid et l'inconfort, le risque que les passagers de la voiture voisine surviennent. Cela me rappelle mes premiers amoureux?

j'hésite entre me laisser aller, jouir égoïstement, rapidement, et la tentation de le suivre dans sa chambre. (c'EST TROP BON, MAIS IL EST TROP TIMIDE. Qu'EST-CE Qu'IL ATTEND ? s'IL POUVAIT m'EMBRASSER LES SEINs')

MARS

Mon érection est sûrement devenue apparente et elle ose me frôler par-dessus le pantalon. Encouragée, ma main droite s'aventure sur ses genoux puis, sur ses cuisses recouvertes de bas. Loin de me décourager, elle les écarte légèrement, me semble t-il.

Oubliés, le froid et l'inconfort, la buée sur les vitres, le risque que les derniers clients surviennent. Cette situation, inhabituelle pour moi, me rappelle mes premiers flirts du début des années 1970?

Je suis partagé entre l'envie de lui donner du plaisir rapidement et la tentation de la surexciter afin de la contraindre, presque malgré elle, à me rejoindre dans ma chambre d'hôtel. Aussi, j'ai peu de mérite à ne tenter que des caresses furtives et douces.

VENUS

Sa main droite dégrafe enfin mon soutien-gorge. Comme tous les hommes, Michel se précipite sur mes petits seins. Il en suce et malaxe avidement les mamelons. Très sensible de ce coté, je craque littéralement et ne peut retenir de petits soupirs. (MAIS POURQUOI A-T-IL ABANDONNE SES CARESSES SUR MES CUISSES ?).

Mon autre main s'active toujours sur son pantalon. Il ouvre sa braguette et ma main gauche branle doucement son sexe dans son caleçon. (IL A RAISON, ON SERAIT MIEUX DANS SA CHAMBRE. OUI, MAIS, IL EST DEJA TARD. JE VAIS LE FAIRE JOUIR EN LE BRANLANT. )

Caresses douces que, manifestement, il apprécie beaucoup. La raideur de son sexe... tout en lui m'excite et me fait vibrer. Je le sens se tortiller sur le siège et de temps en temps, ses grognements de satisfaction m'encouragent. (TROP BON, SES CARESSES SUR MES SEINS, CARESSE MOI AUSSI LA CHATTE, s'IL TE PLAIT MAINTENANT. j'AI ENVIE?)

MARS

Peu à peu, toutefois, ma main droite a dégrafé son soutien-gorge, dévoilant ses petits seins ronds et galbés, surmontées de deux larges auréoles couleur brune.

Tour à tour, je suce ses mamelons, les pince entre mes lèvres, les aspire, les mordille. Mon autre main s'active toujours sur ses reins. Caresses circulaires, que manifestement elle apprécie beaucoup. Je la sens se cambrer sur le siège et de petits gémissements difficilement contenus lui échappent.

VENUS

Tout à mon plaisir naissant, j'oublie un peu le sien. Michel me glisse à l'oreille de me laisser aller, de lâcher prise. Il a raison et je m'abandonne, totalement. (c'EST TROP? CARESSE MOI? MAIS POURQUOI NE CARESSE T-IL PAS MON MINOU ? )

Mon clitoris gonflé en est presque douloureux. Je suis obligée de guider sa main vers mon sexe. Mes petits soupirs de satisfactions lui font immédiatement comprendre ce que j'implore, ce que j'attends. Enfin, il caresse ma vulve. Sensations plaisantes mais trop diffuses et imprécises à cause de mon collant. (POURQUOI n'AI JE PAS MIS DE BAS CE MATIN ? LA SENSATION EST AGREABLE, MAIS FRUSTRANTE. JE RETIRE MA JUPE ? PAS FACILE.)

Discrètement, j'ouvre la petite fermeture de ma jupe. Il a compris. Sa main gauche s'infiltre sous mon slip et même sous mes fesses. Je le laisse faire et il a même le culot d'introduire légèrement l'un de ses doigts dans l'anus. (JE NE LUI MONTRE PAS MAIS j'AIME BIEN. )

MARS

Il faut reconnaître que, tout à son abandon, elle oublie beaucoup mon propre plaisir. Je ne lui en veux pas tant je suis heureux de la voir lâcher prise. Son désir devient manifestement plus pressant, ma main droite glissant sur le nylon de ses bas, remonte progressivement vers l'antre de ses cuisses et constate avec regret qu'une ligne de défense y empêche toute attaque. Les bas imaginés sont, en réalité, un incontournable collant qui me rappelle tant de mauvais souvenirs d'attaques avortées'

Malgré tout, à travers son collant, mes caresses sur sa chatte deviennent plus précises, insistantes, et Claire ne cache plus son besoin de plaisir. Incidemment, je découvre que la petite fermeture éclair latérale de sa jupe est ouverte et que sa jupe est dégrafée. j'interprète cela comme une invitation pour ma main gauche à s'aventurer un peu plus bas.

Descendant encore, ma main approche de la lisière de son slip, dernier rempart de son intimité. Mon doigt le plus long atteint facilement l'orée de la raie de ses fesses et, devant son apparente bénédiction, prolonge sa progression, à l'extrême limite, jusqu'à l'anus sur lequel mon majeur s'attarde, caressant malicieusement les abords de son entrée la plus étroite. Majeur bientôt rejoint par l'index, pour une exploration secrète? et semble t-il, bienvenue?

VENUS

Je ne sais pourquoi, malgré mes demandes répétées, il ne caresse toujours pas ma chatte. j'en meurs d'envie, pourtant. (FAIS MOI JOUIR, CARESSE MOI, MAINTENANT?)

Ses baisers sensuels sont irrésistibles mais je veux plus. De temps en temps, à sa demande, je caresse son sexe dur. (FINIS MOI, s'IL TE PLAIT).

j'essaye une fellation mais ma voiture est vraiment étroite. Finalement, son sexe est petit. (MAIS MA PAROLE, IL BANDE MOU ! IL n'AIME PAS ÇA ? JE VAIS GEMIR POUR l'EXCITER.) Je fais un peu semblant de râler pour l'exciter.

MARS

Volontairement, je décide de la faire languir. j'aime ces baisers profonds et sensuels qu'elle réclame. De temps en temps, se ressaisissant, Claire caresse mon sexe hypertendu au point que cela m'est parfois un peu douloureux. Elle tente même une fellation mais c'est à ce moment que survient, le couple de la BMW voisine.

Ils tardent à démarrer et j'imagine qu'ils nous observent du haut de leur 4 X 4? Je n'aime pas cela. (c'EST SUR, ILS NOUS « MATENT ». SANS DOUTE LA PETITE BLONDE DE LA TABLE DU COIn' MAIS QUE FONT ILS DONC ?) Malgré la bonne volonté de Claire, mon érection est amoindrie, plus crûment, je débande.

VENUS

Encore une fois, Michel me propose de finir la nuit dans sa chambre d'hôtel. (ALLEZ, ON Y VA. CELA FAIT BIEN SIX MOIS QUE JE n'AI PAS FAIT l'AMOUR, c'ETAIT AVEC MON EX. ET PUIS, NON. IL EST TARD, CE NE SERAIT PAS RAISONNABLE.)

Mais je sais déjà que ma journée de demain, non, de tout à l'heure, sera longue. Il ne faut pas que je rentre trop tard. Pourtant, j'ai envie, je veux jouir.

Aussi nous nous embrassons et nous caressons de plus belle. Rien que ses baisers sur les mamelons, ses caresses dans le bas du dos m'emportent aux portes de la jouissance. Le désir m'envahit, je ferme les yeux pour mieux me laisser aller. Je me mords les lèvres mais ne peut retenir tous mes soupirs. (c'EST TROP BON. JE VAIS JOUIR, c'EST SUR?)

MARS

Une fois de plus, je lui propose de finir la nuit dans ma chambre d'hôtel et encore une fois, Claire me répond qu'il fallait qu'elle rentre? avant que nous ne partagions nos baisers et nos caresses de plus belle. Cette fois, elle ne retient plus ses soupirs et encore moins ses gémissements.

Claire veut plus, et appelle des caresses plus directes, plus fortes, sur son sexe, sur son clitoris. Je m'en garde bien. Retirer un collant, une jupe et faire l'amour dans une Clio n'est pas ce qui est le plus romantique! Mon excitation a atteint elle aussi, un point de non retour.

VENUS

Mon excitation est telle que j'ai perdu la volonté de le caresser et ne pense plus qu'à moi. Mes mains se crispent sur son dos et son cou. j'ai envie, j'ai besoin de jouir. Michel, est lui aussi très excité. Mon sexe a besoin d'être comblé, d'éclater. J'exige qu'il me prenne, là, maintenant. J'ai chaud. Mon corps tout entier brûle de l'intérieur. Je sens les contractions de mon vagin qui appellent? Je veux faire l'amour. Je lui murmure : "Viens maintenant? baise moi?! j'ai envie Fais moi jouir, s'il te plait? ».

Et ce Michel qui continue à m'embrasser les seins, en oubliant mon clito. (l'IDIOT, POURQUOI ARRETES TU ? j'ALLAIS JOUIR. c'EST TROP BETE, JE VAIS ME FINIR?)

Je suis obligée de glisser ma main sous mon collant et mes doigts s'activent immédiatement sur mon clitoris en caresses vives et circulaires, comme j'en ai l'habitude. Je me laisse emporter, j'ai chaud, j'oublie tout. Mon plaisir est là, tout proche. Cela y est, je pars, ?"Oui? Oui?? Oui? Je viens' Je viens' Aah? Super!".

j'ai joui comme il y avait longtemps que cela ne m'était pas arrivé. j'aime me masturber mais c'est tout de même meilleur que seule dans mon lit, et surtout, de partager ce moment. (SUPER ! c'EST QUAND-MEME MIEUX A DEUX. j'AI EXPLOSEE COMME JAMAIS. IL FAUT DIRE Qu'IL m'AVAIT BIEN CHAUFFEE?)

MARS

j'ai envie, j'ai besoin de jouir. Elle le sent. n'y tenant plus, Claire me supplie maintenant de la prendre: "Viens maintenant? viens en moi?! « Elle ajoute même de temps à autre « s'il te plait. ». Devant ma passivité relative, je m'aperçois que sa main droite s'aventure sous sa jupe, s'infiltre sous son collant, avant de s'activer sur son clitoris. Elle se masturbe. c'est donc ce qui explique ses halètements soutenus, ses gémissements ! Ma main sur la sienne, je l'encourage et la comble de bisous sur les seins. Elle souffre terriblement, semble t-il ...

Son orgasme est proche. Il la surprend, soudainement, violemment. Elle est envahie, hurle presque, tremble de toute part et se laisse submerger d'une violente montée de jouissance. j'en suis surpris mais j'adore.

VENUS

Michel me câline gentiment. La lumière est allumée dans la voiture voisine. (BON, IL FAUT RENTRER, JE SUIS TOUTE DEBRAILLEE. LES VOISINS SONT TOUJOURS LA. EST-CE Qu'ILS m'ONT VUE ? IDIOTE QUE JE SUIS, DANS MA VOITURE, EN PLUS. JE NE PEUX PAS LAISSER MICHEL EN PLAN COMME CELA. JE VAIS LE BRANLER VITE FAIT, ET BASTA?)

c'est vraiment un gentleman, il refuse que je le masturbe. Pourtant, je vois bien qu'il en a très envie. Gentiment, il continue à me câliner.

Minuit est passé, il fait froid. Michel insiste pour finir notre nuit dans sa chambre à Cherbourg. Cela me tente beaucoup. c'est vraiment un amour, sa gentillesse me fait craquer. Il a su trouver les mots et j'ai envie de le sentir dans moi, même pour une étreinte rapide. Et puis l'hôtel est à deux pas de chez moi. (VRAIMENT SYMPA, CE MEC. IL A RAISON, ON SERAIT MIEUX DANS UN LIT. j'AURAIS DU ACCEPTER TOUT A l'HEURE. ALLEZ, c'EST d'ACCORD MAIS PAS LONGTEMPS. ET PUIS, c'EST SUR MA ROUTE. j'HABITE A COTE.)

MARS

Je l'embrasse tendrement, presque amoureusement et, un peu honteuse, Claire se rhabille partiellement. Dur retour à la réalité. Nous constatons que les quelques véhicules garés sur ce petit parking sont tous partis... Sauf la BMW voisine. Cela m'ennuie. Tout à nos ébats, nous ne l'avons même pas remarqué !

Claire sent ma frustration et s'en veut de ne m'avoir pas satisfait ; Aussi, elle se penche de nouveau sur moi pour entamer une fellation. Je la dissuade. Bien que rempli de désir, je ne veux pas qu' « elle me finisse », qu'elle fasse « son devoir ».

Dans un sursaut de lucidité, nous prenons conscience du froid, de l'heure déjà matinale et notre excitation est nettement retombée. Je prends le risque de lui proposer, une nouvelle fois, de finir notre nuit dans ma chambre de l'hôtel Chantereyne, tout en craignant un nouveau refus, satisfaite qu'elle est. Comme je le craignais, mais mollement, Claire refuse encore; me rappelant que ses enfants dormaient seuls. Finalement, quelques bisous câlins plus tard et sans avoir vraiment insisté, elle me suit en voiture dans la nuit glaciale.

VENUS

Michel ne me laisse pas le temps de me doucher. Il m'embrasse la nuque et me caresse les seins. Je le sens terriblement impatient et très vite, ma jupe, mon soutien gorge se retrouvent sur la moquette. Je l'aide un peu et lui retire son pantalon en l'embrassant, une fois de plus. (IL EST TRES PRESSE, TANT MIEUX).

Michel n'est pas ce qu'on appelle un bel homme mais son corps est encore ferme, bien que son ventre soit trop gros Et puis il est attentionné, doux; il a de l'humour et jusqu'à présent, il a tenu ses promesses. Je le sens très demandeur et c'est bien normal. Je vais lui donner du plaisir à son tour.

Couchée sur le dos, j'aime sentir les poils de son torse contre ma poitrine, sa langue titille mes seins, mes oreilles... Un peu surprise, je sens déjà mon plaisir revenir. j'ouvre mes cuisses pour qu'il vienne sur moi, vite. (TIENS, j'AI ENCORE ENVIE. c'EST, BIZARRE, d'HABITUDE, j'AI DU MAL A JOUIR DEUX FOIs')

j'ai toujours envie de ses baisers profonds et sensuels, de ses caresses persistantes sur mes seins. Je prends l'initiative de caresser ses testicules, sa verge. Il aime et me le dit franchement.

MARS

A peine franchit le seuil de ma chambre, je dépose un baiser dans sa nuque pendant que mes mains passent sous son corsage. Terriblement impatient, je dégrafe sa jupe, son soutien gorge. Claire retire ses horribles collants et, toujours derrière elle, je continue de lui déposer des baisers tendres sur la nuque, le haut du dos.

Soudain, elle se retourne et un long baiser sensuel recommence. A mon tour, je sens ses mains sur mon corps, partout. Avec une violence qui me surprend moi-même, je la soulève en la prenant par le dessous des cuisses et par la taille, et la couche sur le lit.

Immobile, je détaille son corps encore harmonieux, son ventre un peu rond mais joliment bombé, ses jambes aux cuisses un peu fortes. Je caresse son ventre, sa peau douce et humide, je remonte vers sa poitrine. Mon désir est exacerbé de nouveau, je ne peux plus attendre.

Sa poitrine contre la mienne, ma langue titille ses seins, sa respiration s'accélère. Avec satisfaction, mes lèvres sentent ses mamelons se durcir de nouveau. Puis ma bouche descend le long de son ventre avant de bécoter ses cuisses qu'elle écarte pour s'offrir à moi. Je continue de la couvrir de baisers autour de son pubis. Son corps est si doux, si sensuel.

Un slip Aubade de couleur rouge, ornée à petites fleurs brodées, cache encore son intimité que je rêvais depuis des jours d'explorer.

Ces baisers profonds et sensuels qu'elle réclame soudent la complicité de nos jeux sexuels. Nos baisers durent de longues minutes ; moi penché sur elle, elle toujours massant doucement mes testicules et ma verge tandis que mes mains parcourent ses seins menus mais tellement sensibles.

c'est moi qui interrompt le premier ce baiser. Ce que je veux maintenant, c'est découvrir son sexe, cette fente rosée et luisante depuis trop longtemps inaccessible à mon regard.

VENUS

Ses doigts caressent de plus en plus fort ma vulve. Je suis trempée. (j'AI DE PLUS EN PLUS DE CHALEUR DANS LE BAS-VENTRE, ENCORE UN PEU ET JE VAIS PRENDRE MON PIEd')

Ma main tire un côté de mon slip pour l'encourager. Ses doigts s'affairent sur mes lèvres entrouvertes, doucement. Ses doigts habiles remontent et descendent sur mes lèvres puis tournent en petits cercles autour de mon clitoris. Le désir m'envahit. Mon excitation est là et, je lui montre combien j'aime ses caresses, je gémis sans pudeur. (c'EST PAS VRAI, JE VAIS ENCORE JOUIR?)

Je m'abandonne de nouveau. Il réactive terriblement mon besoin de sexe. J'ai envie qu'il me prenne, là, maintenant. J'ai chaud. Mon corps tout entier brûle de l'intérieur. Bêtement, une pensée fugace me traverse l'esprit. Dans quelques heures, je serais dans le train. Comme tue l'amour, on ne fait pas mieux. Mon excitation naissante baisse d'un coup. ( DOMMAGE ! JE VAIS LE SUCER ET IL VA VOIR CE Qu'IL VA VOIR?)

MARS

Mes doigts redescendent donc vers son intimité pour caresser de plus en plus fermement le renflement au travers du tissu que je vois, trempé de sa « mouille ».

Après avoir furtivement frôlé et caressé son Mont de Vénus; doucement, l'une de ses mains tire un côté du triangle de tissu trempé, me dévoilant ainsi sa chatte luisante, d'un rose délicieusement nacré. Une chatte de blonde ou plutôt de rousse, peu fournie, aux poils particulièrement doux, désirable.

Sa main maintenant le tissu afin qu'il reste en place, mes doigts s'affairent sur ses lèvres entrouvertes, trempées; les titillent, les tiraillent doucement. Mon majeur continue son exploration, remonte, caresse ses petites lèvres, glisse le long de sa fente, remonte et descend plusieurs fois puis tourne en petits cercles sur le pourtour de son clitoris que j'aperçois fugacement, petite perle gonflée. Déjà, il me semble que son vagin frémit, palpite. En tout cas, son excitation est revenue et, cette fois, elle ne cache plus son plaisir. s'il le fallait, ses halètements, ses petits gémissements incontrôlés en témoignent.

La voir s'abandonner ainsi de nouveau, les yeux mi-clos, m'excite terriblement. Elle aussi : « Viens sur moi, baise moi doucement, mais laisse moi venir » me glisse t-elle entre deux halètements'

VENUS

Ma main branle un peu son sexe puis je l'enfourne goulûment. Langoureuse, ma langue tourne autour de son gland. Prisonnier de ma gorge, il halète à son tour bruyamment, il est à ma merci.

j'aime sentir le plaisir que je donne. Je sens Michel se raidir. Ses mains se crispent sur mes fesses, je veux qu'il jouisse vite. Il exige que j'arrête mais je sens qu'il est sur le point d'exploser. Il n'en peut plus, c'est évident. (IL NE VA PAS TENIR LONGTEMPs' IL ME PENETRE MAINTENANT, OU JE FINIS MA PIPE ?)

MARS

Mais, curieusement, sa main moite s'empare de ma verge, la branle légèrement puis la conduit rapidement vers sa bouche dans laquelle les deux tiers de mon sexe disparaissent. Langoureuse, sa langue tourne autour de mon gland, le couvre de sa salive abondante.

Prisonnier de sa gorge, je râle sans chercher à me contenir, tandis que ses deux mains caressent alternativement mes fesses et mon dos. Mon corps tout entier se raidit sous l'effet de ces caresses conjuguées. Ma frustration est telle que je suis partagé entre l'envie d'en finir immédiatement et celui de la pénétrer.

Je ne tiendrais plus longtemps comme ça, je le sens, ma jouissance ne va pas tarder à se manifester. Je l'appréhende et le désire à la fois; délicieuses sensations. Je crains de me répandre dans sa bouche, sur sa langue enveloppante. Mais c'est trop tôt, j'aimerais prolonger le plaisir le plus possible, indéfiniment si cela était possible.

VENUS

Brutalement, Michel fait glisser ma culotte ; puis me bascule sur le lit et prend mes jambes sur ses épaules. (ENFIN, IL VA ME PRENDRE! SUPER !)

Il recommence à donner de petits coups de langue sur les pourtours de ma vulve, puis sa langue s'introduit à l'intérieur de mon minou. (SUR LE CLITO, MAINTENANT ! IL m'A ENTENDU.)

Après cette entrée en matière plutôt directe, il dépose un doux baiser sur mon pubis puis caresse ma petite chatte toute chaude avec son menton, sa bouche, son nez... Ses mains frôlent délicatement mes seins puis sa bouche s'empare de nouveau de mes lèvres. il s'attarde sur mes petites lèvres et mon petit bourgeon gonflé de désir, sa langue me lèche en suivant le rythme des petits coups de hanche que je donne fiévreusement pour venir à sa rencontre. Il a compris que mon désir impérieux veut qu'il accélère ses coups de langue. ( MON ORGASME EST LA, TOUT PROCHE?MAIS COMME TROP SOUVENT, j'AI DU MAL A l'ATTEINDRE UNE DEUXIEME FOIs' j'ENRAGE?)

Mon clitoris roule sous sa langue. j'imagine que c'est bon pour lui de me lécher. Soudain, je maintiens la pression de mon ventre contre sa bouche. C'est le moment qu'il choisit pour maintenir mon petit bouton plus fermement contre sa langue... (CONTINUE, CELA VA VENIR?)

Sa langue joue vivement avec mon clitoris gonflé. Sa main va plus loin et je sens ses doigts qui titillent mon anus. Je suis secouée de petits spasmes et ne peut retenir quelques râles. (j'AIME. MAIS JE NE VEUX PAS TROP LUI MONTRER. c'EST VRAIMENT TROP BON, MAIS CELA m'ETONNERAIT QUE JE JOUISSE DE NOUVEAU. QUEL AMANT, QUAND MEME !)

MARS

Dans un sursaut de lucidité, je m'empresse de faire glisser sa culotte jusqu'à ses chevilles. Puis, la basculant sur le lit, je soulève ses cuisses, les ramènent complètement en arrière, ses genoux presque sur ses épaules et, penché sur elle, observe, admiratif, son sexe gorgé de désir et les petits replis de ses lèvres plus brunes que le reste de sa peau.

Je veux la goûter, y enfouir ma langue pour la fouiller afin de combler ma gourmandise sexuelle. Ce que je veux, c'est me repaître de son intimité la plus profonde, m'en enivrer. Tout en maintenant ses jambes en arrière. Sur ma langue, pénétrant la première fois l'intérieur de son minou, éclate une saveur adorablement acide.

Mes pouces écartent ses grandes lèvres pour permettre à ma langue de déguster son fruit. Je sais qu'elle aime la sentir se faire toute douce pour contourner son clitoris puis un plus dure pour séparer ses petites lèvres, je devine aussi qu'elle aime lorsque la pointe de ma langue s'enfonce sans prévenir d'un coup dans son ventre trempé...

Claire pousse des gémissements permanents, elle râle. J'introduis une nouvelle fois un doigt dans son vagin. Ses mouvements de bassin s'intensifient et je continue mon va-et-vient alors que ma langue joue toujours avec son clitoris gonflé de plaisir. Mon index descend maintenant sur son périnée, vers son entrée la plus étroite dans lequel il s'introduit légèrement en tournant. Mon majeur le rejoint, sans réaction.

Claire est secouée de petits spasmes, autant parce que la jouissance la gagne que parce qu'elle imagine déjà tout ce que vais lui faire?

VENUS

En retirant son caleçon, je découvre son sexe avec érection modeste. Je lui murmure: « Masturbe-toi? j'aime voir un homme se branler devant moi? » Il semble étonné. Il se branle curieusement. (c'EST BIZARRE, TOUS LES HOMMES SONT GENES DE SE MASTURBER. CELA m'ETONNERAIT QUE TU JOUISSES COMME CELA. JE VAIS TE MONTRER?)

Il se masturbe doucement, bizarrement. Cela n'est pas comme cela que son excitation va revenir. Ma main empoigne sa verge, de haut en bas, lentement mais puissamment. Un gémissement de plaisir s'échappe de ses lèvres. j'observe son sexe que je sens durcir. (TIENS, JE LE CROYAIS MIEUX MONTE ! JE VAIS LUI MONTRER CE QUE JE SAIS FAIRE, IL s'EN SOUVIENDRA LONGTEMPs')

Sans cesser de le branler, je lèche sa verge, ses testicules. Ma langue monte et descend de son gland à la base de son sexe. Il souffle bruyamment, agite ses bras. Il est à moi.

MARS

Elle fait enfin descendre mon caleçon, le glisse le long de mes jambes pour le retirer. Je suis maintenant complètement nu à coté d'elle, en érection. Elle me susurre avec un sourire attendri : « Masturbe-toi? j'aime voir un homme se branler devant moi? »

Très surpris, mais au comble de l'excitation, je m'exécute et serre instinctivement ma verge entre mon pouce positionné dessus, juste à la limite de mon gland, l'index et le majeur au niveau du frein. Je me branle de cette façon depuis toujours. Devant son insistance, je me masturbe docilement, malgré une gêne dont j'essaye de faire abstraction.

Trop mollement à son goût, sans doute, car sa main empoigne ma verge, commence de la masturber de haut en bas, très lentement mais à fond. Des gémissements de plaisir s'échappent de mes lèvres.

Je relève la tête pour regarder sa main me branler langoureusement, ses yeux fixés sur mon sexe.

Sans cesser ces mouvements profonds de haut en bas, elle entreprend de me lécher la verge, les testicules. Sa langue monte et descend de mon gland jusqu'à eux tandis que je me tord littéralement de plaisir.

VENUS

Je continue encore une minute sans prendre son petit sexe dans ma bouche. j'observe Michel qui grimace et soupire comme s'il souffrait le martyr? Il est temps. j'enfourne son membre, profondément, et je reste presque immobile, quelques secondes, une éternité pour lui. En même temps, mes mains caressent l'une, ses testicules, l'autre branle légèrement la base de son sexe. (CELA m'ETONNERAIT Qu'IL TIENNE LONGTEMPS. HEUREUSEMENT Qu'IL A UNE PETITE QUEUE.)

Il se « lache » enfin franchement et gémit presque en permanence, il râle sans retenue, bruyamment. Je crains qu'il ne puisse se retenir et l'observe. Mais j'ai trop envie de lui donner du plaisir, aussi, progressivement, j'augmente le rythme de mes va-et-vient tout en effleurant son corps. (JE FAIS SEMBLANT DE GEMIR, ILS AIMENT TOUS. CELA SATISFAIT LEUR EGO?) Je m'active sur son sexe rigide et turgescent, mais rien ne vient? Je veux pourtant le finir.

MARS

Puis, elle agace encore mon membre un long moment sans l'enfourner dans sa bouche. Le délicieux supplice me semble durer une éternité jusqu'à ce que, sans prévenir, goulûment, elle l'enfonce dans sa bouche, presque totalement, sans à peine bouger.
Une main à la base de mon sexe, elle malaxe mes testicules de l'autre. Moi, je m'abandonne en râlant de moins en moins discrètement. Sa bouche coulisse enfin sur mon sexe, je vois ses cheveux blonds monter et descendre très sensuellement tandis que ses deux mains me caressent tour à tour le ventre, les cuisses.

Elle me suce divinement bien, sans précipitation, avec volupté et douceur. Régulièrement, elle place mon gland tout au fond de sa gorge pendant quelques secondes puis reprend le va-et-vient, avec de petits soupirs étouffés avant de s'arrêter un court instant pour me lécher le gland sur sa périphérie. Ses lèvres brillantes happent ensuite mon sexe en entier, glissent dessus avant de mieux l'aspirer. Quelle coquine!

VENUS

Je sens Michel proche de la rupture, il se raidit, se cambre, l'une de ses mains me pince le dos. (JE LE SURVEILLE DU COIN DE l'oeiL, POURVU Qu'IL NE m'ENVOIE PAS SON SPERME DANS LA BOUCHE, j'AIME PAS. ALLEZ, VIENS, GICLE MAINTENANT !)

Je n'arrête pas de le pomper et suit surprise de son endurance. Pourtant, il n'en finit pas de râler, de grogner. (IL NE PEUT PAS JOUIR OU QUOI ? IL ME DONNE DE NOUVEAU ENVIE d'ETRE PRISE?. JE PENSE QUE j'AURAIS AIME AVOIR UN SEXE AUSSI ENDURANT DANS MOI. j'HESITE UN PEu' IL n'EST PEUT ETRE PAS TROP TARD ?)

Son orgasme imminent m'excite trop. Ma vulve palpite, mon clito est gonflé, je le veux en moi de nouveau. Maintenant.

MARS

Je sais que je ne tiendrais pas longtemps comme ça. L'explosion que je sens monter en moi, incontrôlable, est proche. Je m'étonne même d'avoir réussi à me contenir. Dans un murmure, je la supplie d'arrêter tout en souhaitant qu'elle continue, encore et encore? l'imminence de l'éjaculation se précise.

Pour l'avertir, je tente de me redresser pour écarter sa tête. Mais sa main droite me repousse fermement et sa bouche s'enfonce encore plus bas à la base de mon sexe.

Tout en gardant mon membre dans sa bouche, Claire étrangle alors la base de mon sexe, le serre fort pour réfréner le flot de sperme qui ne demandait qu'à jaillir. l'opération se révèle efficace.

Dans les dernières secondes, ses lèvres quittent mon sexe prêt à exploser, la nécessité de jouir retombe en même temps que mon membre qui s'amollit un peu entre ses doigts. Alors que la fellation avait cessée, je pouvais encore sentir sa bouche et sa langue parcourir toute la surface de mon ventre, de mes cuisses. Pause bienvenue, satisfaction presque aussi bonne qu'après un orgasme.

VENUS

Finalement, je lui ordonne de me pénétrer: "Viens maintenant? Baise moi? j'ai trop envie?! Met un préservatif » (BEN, OUI. JE NE SUIS PAS FOLLE, NOUS NOUS CONNAISSONS A PEINE? )

Le préservatif en place, je m'agenouille rapidement sur lui et m'enfonce au plus profond sur sa verge. Il entre en moi. Je me sens remplie de lui. Cambrée, les mains en arrière sur ses cuisses, je commence de légers glissements de haut en bas, pleins de puissance. Je coulisse sur sa queue avec de lents mouvements

De temps à autre, je me soulève sur mes jambes, pour ne garder en moi que le gland, puis m'enfonce à fond. Je l'absorbe alors tout entier et il me demande de me pénétrer au plus profond. (j'AIME JOUER AVEC UN HOMME, LE SENTIR A MA MERCI. c'EST BON, j'AI DU PLAISIR A SENTIR SA QUEUE MAIS c'ETAIT MIEUX TOUT A l'HEURE.)

MARS

Impérieusement, elle exige maintenant que je la prenne: "Viens maintenant? Viens en moi? j'en ai trop envie? »

n'y tenant plus, Claire s'agenouille, face à moi, s'empale au plus profond d'elle-même sur mon phallus fièrement érigé. Elle se cambre, les mains en arrière sur mes cuisses, et commence alors de lents mouvements de va-et-vient, centimètres par centimètres.

Parfois, elle se soulève sur ses jambes, ne prenant en elle que le gland, joue avec et s'enfonce tout à coup aussi fort qu'elle le peut, m'arrachant à chaque fois un gémissement. Sans répit.

Nous nous en donnons à c'ur joie tous les deux, j'adore sa façon de me faire l'amour.

VENUS

Michel me souffle qu'il va jouir et me demande encore d'arrêter. (POURQUOI NE SE LAISSE T-IL PAS ALLER ? IL ALLAIT JOUIR ! JE NE COMPRENDS PAS. POURTANT, IL ETAIT A DEUX DOIGTS d'EJACULER.) j'obtempère, et m'allonge immédiatement sur le dos.

Immédiatement, il me relève les jambes sur les épaules et sens son gland contre mes lèvres, mon clito. j'aime cette position et sens que mon excitation augmente ; je me laisse aller et la chaleur de la jouissance naissante revient. Je soupire de nouveau, de plus en plus. (FINALEMENT, IL AVAIT RAISON. JE SENS Qu'IL FAUT PEU DE CHOSES POUR QUE MON EXCITATION SE MULTIPLIE. POURVU Qu'IL TIENNE ENCORE.)

On dirait que Michel sait depuis longtemps ce que j'adore, ses pénétrations n'arrêtent pas de me surprendre. Parfois lentes et profondes, parfois rapides. Il fait semblant d'hésiter en maintenant son gland à l'entrée de mon vagin. Il est toujours au bord de la rupture, me semble t-il. (CETTE FOIS, c'EST SUR, JE VAIS ENCORE JOUIR ! c'EST TROP BON.)

Michel continue à me taquiner, il se retire de plus en plus souvent, cela m'énerve et m'excite à la fois... Il me fait peur aussi en se retirant totalement pour mieux recommencer à moins que cela ne soit de peur d'éjaculer. Il donne de tous petits à coups rapprochés, c'est très bon, très agréable. Ensuite il reste quelques instants en place puis reprend les va-et-vient, (AH ! c'EST TROP BON) pour me faire jouir une nouvelle fois. Je lève les yeux pour le regarder, il me fixe intensément avec un air d'extase. Je le sens limite. Il me propose de me mettre à quatre pattes. Aussitôt dit, aussitôt fait. j'adore. (BONNE IDEE. j'AURAIS DU LUI DIRE PLUS TOT?)

MARS

Pressentant le point de non-retour de ma jouissance imminente, une pause m'est impérative. Je la supplie d'arrêter. Elle se retourne sur le dos. l'invitation est claire. Je lui prends les jambes pour les relever sur mes épaules. Prisonnière à son tour, elle se laisse faire, sentant immédiatement monter à nouveau en elle le plaisir.

Agrippée à mes fesses, elle me garde ainsi prisonnier en elle. j'aime l'entendre gémir et soupirer de plaisir. j'aime la sentir agrippée à ma taille comme pour me retenir, sentir mes mains sur sa poitrine.

Par de mouvements bien dosés, alternant pénétration douce et profonde, restant parfois en dehors de son vagin quelques instants, je réussis à la faire monter en puissance tout en contrôlant la montée de mon plaisir. A l'extrême limite de la jouissance, je joue encore avec elle. Mais cela en est trop pour moi, de nouveau.

Aussi, je me retire une fois de plus, et lui glisse que j'aimerais la voir en levrette.

VENUS
Les fesses en l'air, la tête appuyée sur l'oreiller, je m'offre au maximum pour l'accueillir le mieux possible. Quel bonheur, il se glisse en moi et me pénètre profondément, presque violemment. Je sens ses mains sur mes hanches. c'est clair, il ne va pas tenir longtemps à ce rythme, il veut jouir vite. (j'EN PEUX PLUS. POURVU Qu'IL m'ATTENDE, JE VEUX JOUIR AUSSI?)

Je ne peux, bien sur, pas résister et m'abandonne totalement à mon plaisir. Lent, mais plein de force. Ma jouissance n'est pas loin, elle aussi. j'ai peur qu'il me laisse sur ma faim'

Soudain, je sens son doigt dans mon anus. j'adore. Le plaisir qui s'empare de moi est impressionnant. c'est le déclic, et mon orgasme survient aussitôt. Super. Je sens Michel qui s'affale sur mon dos. c'est trop bon. Il a enfin joui, lui aussi. (SUPER ! c'EST TROP BON. JE n'EN REVIENS PAS, IL Y AVAIT LONGTEMPS QUE JE n'AVAIS JOUI DEUX FOIS DANS LA MEME SOIREE. c'ETAIT MOINS VIOLENT QUE TOUT A l'HEURE, DIFFERENT MAIS TELLEMENT BON AUSSI? QUELLE IDIOTE DE n'ETRE PAS VENUE PLUS TOT DANS SA CHAMBRE?)

En sueur, fatigués, nous nous blottissons l'un contre l'autre.
Nous restons longtemps comme ça. Semi conscients, semi éveillés. Délicieux moment.

MARS
Elle s'exécute avec enthousiasme et, les mains sur ses hanches, je la pénètre sans attendre, profondément, désireux d'en finir, cette fois. Dès mes premières pénétrations, je sens que mon éjaculation devient incontrôlable. Je n'en peu plus' De ma main gauche, tout en la pilonnant, j'introduis légèrement mon pouce dans son anus. Son plaisir est immédiat. Très vite, elle est envahie d'une profonde montée de jouissance?

"Ah? Encore? Encore? Oui? Je viens' Je vais' » Elle ne peut terminer sa phrase et tremble de toute part en gémissant, en criant. Mon éjaculation est immédiate, violente. Je libère une énergie depuis trop longtemps contenue. j'explose littéralement, en criant je crois.

En levrette, n'y tenant plus, elle a donc, une deuxième fois, simultanément senti cette décharge de chaleur dans tout son corps, tous ses muscles et, le souffle haletant, a réuni ses derniers efforts pour me faire jouir.

Anéanti, en sueur, je ne peux que m'affaler à coté d'elle, haletant, les yeux fermés, ivre de jouissance.

MALHEUREUSEMENT, IL Y A UN MONDE ENTRE LE REVE ET LA REALITE? ET l'HONNETETE ME POUSSE A AVOUER QUE, SI LA PRESQUE TOTALITE DU RECIT EST PARFAITEMENT EXACTE, LE CONCLUSION FUT MOINS GLORIEUSE !

LA REALITE, c'EST Qu'AU MOMENT CRUCIAL, IL s'APERÇOIT Qu'IL A OUBLIE SES PRESERVATIFS DANS SA VOITURE. LE PRESERVATIF, Qu'EN HOMME PREVOYANT ET CALCULATEUR IL ME DIT AVOIR ACHETE SPECIALEMENT. LA REALITE, c'EST DONC :

VENUS

Finalement, je lui ordonne de me pénétrer: "Viens maintenant? Viens en moi? j'ai trop envie? Tu as un préservatif ? ». ( BEN, OUI. JE NE SUIS PAS FOLLE, NOUS NOUS CONNAISSONS A PEINE?)

Mais pas de condom ! Un peu honteux, il m'annonce qu'il les a oublié dans sa voiture. (JE NE DIS RIEN, MAIS JE SUIS FURIEUSE. l'IMBECILE ! TANT PIS POUR LUI MAIS JE VAIS ME FINIR.)

Il m'invite à me retourner pour un 69, me supplie presque?
Pour jouir ensemble, me dit-il. (MON OEIL ! JE n'AI PAS ENVIE DE REPARTIR POUR UN MARATHON DE LA FELLATION, ET PUIS DANS l'ETAT OU JE l'AI MIS, LES HOMMES OUBLIENT VITE NOTRE MINOu')

j'hésite, lui propose de le branler. Finalement, je m'agenouille sur lui, pose ma vulve sur sa verge toujours bien ferme. (Qu'IL LE VEUILLE OU PAS, JE LE MASTURBERAIS s'IL NE JOUIT PAS MAINTENANT.)

Couchée sur son torse, j'entreprends de lents mouvements de va-et-vient et frotte son sexe en érection contre ma chatte humide. Je le sens palpiter, Michel gémit déjà. Agréable surprise, mes sensations reviennent vite; douces, délicieuses. La raideur de son sexe... Tout en lui m'excite et me fait vibrer.

De temps en temps, je maintiens son gland juste à l'entrée de mon vagin. Il adore et souffle bruyamment, me supplie de continuer. (CONTINUER QUOI ? QUE TU ME PENETRE ? SUREMENT PAS. )

Puis, Michel toujours allongé sur le dos, accroché à mes fesses; je frotte doucement mon clitoris contre son membre dur; à mon rythme. Je me tord de plaisir, ce qui ne fait qu'accroître son impatience. j'aime l'entendre râler et soupirer, sentir ses mains crispées. (IL EST A POINT. ALLEZ, JE VAIS LE FAIRE EJACULER. IL FAUT EN FINIR).

Par de rapides mouvements d'avant en arrière, je frotte mon clito contre son sexe. De plus en plus vite. (c'EST PAS VRAI, IL m'EXCITE LE BOUGRE, c'EST TROP BON. IL n'ARRIVE PAS A JOUIR, OU QUOI ? )

Mon désir est impérieux, je vais encore jouir, c'est sûr. Je le sens, mon plaisir monte, il est proche. Et pendant que la jouissance m'envahit, je ferme les yeux pour mieux me laisser aller. j'oublie Michel, et ne pense plus qu'à moi. Cambrée en arrière, je suis folle d'excitation.

MARS

Elle m'ordonne maintenant de la prendre: "Viens maintenant? Viens en moi? j'ai trop envie? Tu as des préservatifs ?»

Imbécile que je suis, je me souviens les avoir laissé dans la boite à gants de ma voiture. Claire est très contrariée, notre excitation tombe brutalement. Je crains qu'elle ne me laisse en plan.

Sans me répondre, Claire s'agenouille, face à moi, posant les lèvres de son vagin sur ma verge déjà tellement sollicitée. Elle se couche, ses seins contre mon thorax, et entreprend de lents mouvements de va-et-vient, centimètres par centimètres, maintenant le contact de son sexe contre le mien, le sentant palpiter.

Prisonnier à mon tour, je me laisse faire, tout en sentant monter à nouveau en elle le plaisir. Très vite, nous retrouvons de vives sensations. Elle joue aussi avec mon vit, ne prenant en elle que le gland, se dégage, m'arrachant à chaque fois un gémissement de plaisir. Sans répit.

Elle se redresse. Toujours allongé sur le dos, mes deux mains accrochées à ses fesses, ses hanches; accompagnent ses mouvements d'avant en arrière. Claire frotte doucement son clitoris contre mon membre turgescent. j'aime rester à sa merci, l'entendre gémir et soupirer de plaisir, elle aime me sentir agrippé à elle comme pour la retenir.

Par de mouvements de plus en plus rapides, elle me submerge très rapidement d'une profonde et irrésistible montée de jouissance, depuis trop longtemps contrôlée.

VENUS

Tout d'un coup, sans réfléchir, j'introduis son membre dans mon vagin, sensation délicieuse de chaleur intense. Je n'en profite guère. Presque immédiatement, Michel se cambre, grogne puissamment ; il jouit ! Enfin!

c'est le déclic pour moi aussi et je prends mon pied ; pour la deuxième fois de la soirée ! Un orgasme différent du précédent ; moins violent, plus intérieur, plus habituel. (SUPER ! DEUX ORGASMES ! j'Y CROIS PAs' IL Y A BIEN LONGTEMPS QUE CELA m'EST ARRIVE. AH, SI AVEc' COMMENT s'APPELAIT IL DEJA ?)

Affalée sur Michel, quasi-immobile, je me rends maintenant compte de ma bêtise. Je m'en veux. (QUELLE IDIOTE JE SUIS ! ENCORE HEUREUX QUE j'AI MON STERILET?)

En sueur, fatigués, nous nous blottissons l'un contre l'autre. Délicieux moment. Nous restons longtemps dans cette position. Semi conscients, semi éveillés.

Des pensées se bousculent dans mon esprit. (j'AI ENVIE DE RESTER AVEC LUI. ET DIRE Qu'IL FAUT QUE JE LE QUITTE. MICHEL EST VRAIMENT SUPER, DOMMAGE Qu'IL SOIT MARIE, ET SI LOIn' QUAND NOUS REVERRONS NOUS ?
POURVU QUE LE GARDIEN DE NUIT NE ME RECONNAISSE PAs' ET SI MA FILLE s'EST REVEILLEE ? ET DIRE QUE JE PRENDS LE TRAIN DANS 6 HEURES ! )

MARS

Soudain, à demi conscient, je sens mon sexe s'enfoncer dans un délicieux fourreau chaud et humide. Claire s'empale sur moi. c'est le coup de grâce. Après seulement quelques va-et-vient, tel l'adolescent que j'ai été, ma jouissance incontrôlable survient. j'explose littéralement: "Ah? Je n'en peux plus' Toi? Toi, aussi? Je viens' Je jouis' »

Mon orgasme est fulgurant, intense ; une explosion dont je n'ai pas la mémoire d'en avoir eu d'aussi forte. Je crois même avoir eu un instant d'absence, d'inconscience, augmentant par là même son propre plaisir?

Anéanti, je reste étendu quelques instants à ses cotés, immobile, les yeux fermés, ivre de jouissance, oubliant même sa présence...

Après quelques minutes d'abandon, toujours sous elle, Claire me murmure que la vue de ma jouissance, mon « lâcher prise », lui avait déclenché, une deuxième fois, une décharge de chaleur et de plaisir dans tout son corps. Un orgasme, plus sourd, plus long, moins violent que le précédent. Elle m'affirme que j'ai crié, très fort?

Nous restons serrés l'un contre l'autre, désireux de prolonger ce moment. De petits spasmes secoue le corps de Claire, elle sanglote. Je ne sais que dire, que faire ?

Ma main caresse doucement ses cheveux.

l'amour est triste, aussi.

LA REALITE, c'EST AUSSI Qu'IL ETAIT MAINTENANT PRES DE 2 HEURES DU MATIN, Qu'IL FALLAIT SE QUITTER, RETOURNER DANS LA NUIT
FROIDE ET QUE, DANS QUELQUES HEURES, CLAIRE RETROUVERA SA CARAPACE DE FEMME RESPONSABLE?

DANS LES MOIS QUI SUIVIRENT, CLAIRE ET MICHEL ONT PARTAGES QUELQUES NUITS AMOUREUSES, ET MEME PLUSIEURS JOURS DE VACANCES EN COMMUN. LEURS DIVERGENCES DE CARACTERE SONT RAPIDEMENT APPARUES. ILS SONT RESTES BONS AMIS ET CLAIRE A MAINTENANT TROUVE SON NOUVEL AMOUR?