Les culotes de tata Francine...1

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Proposée le 9/12/2009 par membractif

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Les vacances chez tata Francine resteront à jamais gravées dans ma mémoire.
C'était l'été 1980, une chaleur asphyxiante irradiait le pays tout entier. La France somnolait tapie derrière les volets dans la fraîcheur des maisons.

En vacances forcées chez ma tata Francine, mon père divorcé et ne pouvant me garder dans son appartement à Paris, je passais un mois à la campagne occupant le plus clair de mon temps à me masturber dans tous les lieux possibles et imaginables de sa maison.

Dans les toilettes bien sûr, dans le canapé, dans le garage, dans l'abri jardin et même dans l'automobile de tata Francine.

Il faut dire qu'à 15 ans, j'avais l'esprit plutôt porté sur le "cul" et je me vidais les couilles plusieurs fois par jour dans des mouchoirs en papier très méticuleux et soucieux de ne pas me faire démasquer par je ne sais quelle mauvaise tâche séchée et douteuse !

- Mon poussin (tata aimait m'appeler ainsi). Je pars en ville faire quelques courses ! Tu veux venir avec moi ?
- Non tata je préfère rester ici j'ai mon bouquin à terminer....
- Comme tu voudras mon chéri, je serais de retour dans une petite heure !
Tata Francine posa ses lèvres maquillées sur ma joue un sourire en coin.
- A tout à l'heure mon chou et fais pas de bêtises !

Je l'observais du coin de l'oeil quitter la maison caché derrière les énormes double-rideaux violets de la salle à manger.
Tata Francine était une femme magnifique qui hantait mes jours et mes nuits depuis mon arrivée chez elle.

Elle aussi était divorcée depuis plusieurs années, brune au teint mat, la quarantaine bien tassée, elle était encore très belle et appétissante.
Plutôt bien en chair et de petite taille, ses formes généreuses maladroitement cachées me mettaient dans tous mes états.

- J'ai un bon cul avait-elle pour habitude de dire mais je l'assume !

Souvent je rêvais que Tata Francine me rejoignait la nuit dans mon lit et m'initiait aux jeux de l'amour.

En attendant une bonne petite branlette s'imposait.
J'avais une heure devant moi... Le pied !

Je commençais à m'excitait en fermant les yeux et en imaginant des scènes torrides où j'étais l'acteur principal bien entendu.

Mon sexe tendu comme un pieu, je divaguai alors dans la maison à la recherche de nouvelles sensations.
Au fond du couloir, j'entrai dans la chambre de Tata Francine.
Elle était assez petite, sombre et oh surprise le lit n'était pas encore fait!

Je m'allongeai dessus en respirant les odeurs laissées cette nuit par tata Francine.
Je frottais ma bite tendue comme un arc sur son oreiller et mimai un coït dans l'empreinte du matelas laissée par ses deux grosses fesses.

Depuis quelques temps j'éprouvais plus de plaisir à éjaculer en me frottant la queue sur diverses surface (un matelas en l'occurrence) plutôt que de me branler de façon plus conventionnelle.

Au summum de l'excitation, je m'arrêtai net, une petite lumière venait de s'allumer dans mon cerveau de jeune puceau.

Là, posée négligemment sur la moquette un bout de tissu capta toute mon attention.

Je me levai pour vérifier si ma trouvaille était bien à quoi je pensais.

- Putain la culotte de tata Francine !

J'étais aux anges devant cette étoffe de dentelle blanche dont l'entre-jambe était souillée de taches plutôt douteuses.
Je reniflai comme un jeune chiot le slip sali en donnant même des coups de langues dedans pour goûter le jus séché.

Ma bite allait exploser tant j'étais excité de cette découverte. Mais je voulais en profiter le plus longtemps possible retardant l'éjaculation encore un peu.

Après un rapide coup d'oeil à ma montre, j'enfilai la culotte de tata Francine.
Le tissu trop étroit ou ma queue trop tendue, je m'observai dans le miroir de l'armoire.
Ma bite prise de petites convulsions au contact de la dentelle, je commençai à me caresser lentement à travers la culotte.

Dégoulinant de sueur, une goutte de sperme, signe de la délivrance finale, commençait à suinter de mon gland cramoisi.

La suite fut si rapide que j'entends encore aujourd'hui les battements de mon c'ur redoubler dans ma poitrine.

La porte de la chambre venait de s'ouvrir de façon impérieuse quand tata Francine s'immobilisa net les deux yeux exorbités devant un tableau peu conventionnel....