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Proposée le 10/12/2009 par cplecoquin
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Fin de soirée mouvementée
Nous revenions d'un long voyage au Maroc avec notre camping-car.
Malgré deux très petites aventures, nous n'avions pas pu réellement profiter de notre liberté sans enfant. Aussi, étant en avance de trois jours sur notre itinéraire, nous décidons de nous arrêter dans une grande ville Espagnole pour y passer une bonne soirée.
Nous arrivons dans un camping vers 15h00, la sécurité n'étant pas fameuse en Espagne pour y faire du sauvage.
La moto à l'arrière étant dans un état peu compatible (sale) avec une tenue sympa, nous prendrons un taxi.
Petite sieste crapuleuse, douche et préparatifs et nous allons à la réception pour avoir un taxi.
Sylvie porte une petite jupe assez courte si elle la porte sur les hanches et carrément indécente si elle la monte sur la taille.
En haut petit bustier très court. Nue du dessous des seins au ras du pubis.
Le taxi arrive, je veux la faire monter devant mais elle refuse.
Nous palabrons à voix basse car notre chauffeur parle Français presque sans accent.
Elle trouve que j'exagère en voulant qu'elle soit devant et moi je lui reproche de ne pas jouer le jeu prétextant que nous n'avons pas profité de notre liberté depuis presque deux mois. Le tout entrecoupé de réponses et d'échanges de banalités avec le chauffeur.
Elle abdique et prétextant qu'elle est malade à arrière, vu la durée du trajet, elle demande au chauffeur de s'arrêter pour passer devant.
Entre les deux portières, il ne lui faut qu'une demi seconde pour remonter sa jupe en "position haute" sur la taille...
Ma très chère femme est formidable !
Le chauffeur n'a rien d'un Apollon, typé Espagnol, mais j'ai appris plus tard qu'il avait des yeux noirs perçants et un regard très sensuel.
Son regard ne quittant pratiquement pas ses cuisses, nous discutons.
Nous en profitons pour lui demander où faire un bon repas et où pouvons nous aller ensuite.
Nous choisissons un restau parmi ses propositions mais rien ne nous accroche pour la suite.
Notre discussion a amené Sylvie à se retourner sur le coté, et moi avancé entre les deux sièges.
Sa jupe est remontée très haut devant surtout que dans cette position de 3/4 elle a les jambes assez écartées mais le pire est sur les cotés.
Elle n'est plus assise sur sa jupe et a le coté des fesses découvert.
La conversation s'anime de plus en plus sur la suite de notre soirée, il est très sympa.
Il nous propose un détour de visite en ayant soin de nous le chiffrer pour nous rassurer. Nous acceptons.
Sylvie lui explique avec un air mutin que nous ne cherchons pas un spectacle ni des visites mais un endroit où s'amuser, danser.
Et moi de préciser: "même un peu chaud"
Il arrête pas de regarder ses jambes et je crois que de sa place il en voit beaucoup plus que moi.
Nous arrivons sur une grande place et il demande si nous voulons faire une photo. Nous n'avons même pas regardé autour de nous pendant cette balade !
Notre petit numérique étant dans le sac de Sylvie, nous descendons de voiture.
Je lui demande de nous prendre en photo.
Je lui en demande une autre en prenant Sylvie dans mes bras, puis une autre et là je lui fais tourner le dos et soulève sa jupe.
Elle la rabat aussitôt et je lui demande s'il a eu le temps de la prendre.
Il est hilare et me dit que oui. Elle sourit aussi.
Nous remontons dans la voiture et l'atmosphère est de suite plus lourde.
Je lui demande s'il a apprécié le spectacle.
Sournois, il répond qu'il n'en a pas eu le temps et en plus à travers l'appareil.
Je profite d'un arrêt pour lui montrer sur écran. Elle est réussie mais un peu loin. Il complimente Sylvie et lui pose la main sur la cuisse.
Elle lui repousse avec délicatesse et je lui explique que le plaisir commence par les yeux, qu'il ne faut pas brûler les étapes.
D'un air implorant, il me répond que nous sommes presque arrivés et demande comment se revoir.
J'interroge mon épouse du regard, elle a l'air touchée mais difficile d'en savoir plus dans ses yeux.
-"Y a t-il un endroit discret par ici, si elle est d'accord, elle t'en montrera plus."
J'aime qu'elle prenne position, qu'elle s'offre.
Je lui demande donc ce qu'elle en pense.
Elle répond oui, mais pas en pleine rue comme tout à l'heure !
Il redémarre avec un grand sourire et la minute suivante s'engouffre dans un parking souterrain.
J'ai quand même un peu peur d'un traquenard et reste sur mes gardes.
Il descend au dernier sous sol et stoppe derrière un gros pilier. L'ambiance a eu le temps de retomber et plus personne ne bouge.
Je lui rappelle qu'il ne s'agit que de voir et lui demande son téléphone pour après le restau nous emmener en boite.
Ca le rassure sur une éventuelle poursuite...
Je propose a Sylvie de sortir de la voiture et de lui montrer ce qu'il lui demandera, je sais qu'elle préfère comme ça plutôt que de le faire seule.
Sur ses demandes, elle lui montre ses seins, ses fesses dans plusieurs positions. De temps en temps, je la prends dans mes bras et la caresse devant lui. Un bruit de moteur nous fait remonter en voiture. Fausse alerte, ça ne vient pas jusqu'à nous.
Nous avons repris nos places respectives et j'en profite pour mettre fin en précisant la suite peut-être tout a l'heure.
Il redémarre et nous conduit au restaurant.
Repas agréable mais nous décidons de ne pas rappeler notre taxi-man, il nous a donné suffisamment d'explications pour trouver seuls cette boite de musique Antillaise.
Nous arrivons dans ce club parmi les premiers et prenons une table bien placée mais 1 heure plus tard c'est plein a craquer.
Moi, n'étant pas un bon danseur, après quelques essais nous retournons nous asseoir.
Sylvie est très sollicitée et elle a ma bénédiction.
Elle change de cavalier très souvent et vient se reposer de temps en temps.
Elle me montre un homme d'une trentaine années, le trouve charmant et super danseur.
Nous l'observons et par moment son regard accroche le notre, plutôt celui de Sylvie certainement.
Il finit par venir vers nous et me demande l'autorisation de faire danser Mme, si elle veut bien.
Quelle éducation !
Je lui dit qu'elle n'attendait que ça et les voila partis tous les deux.
Même sans être connaisseur, je trouve qu'il danse admirablement bien.
Les danses enchaînent et ça devient de plus en plus chaud. J'ai hâte de savoir qui des deux entraîne l'autre mais ils ont la délicatesse de rester devant ma table et ça n'a pas l'air être toujours facile vu le monde sur la piste.
Ces danses sont merveilleuses.
Par moment il passe un genou entre ses cuisses et j'ai bien l'impression qu'elle s'y appuie.
D'autres fois elle lui tourne le dos et frotte ses fesses sur son ventre.
Elle vient me voir pour me demander si ça va et boire un coup.
Elle précise qu'elle passe une super soirée et repart. j'adresse un signe de tête amical à son cavalier en espérant qu'il comprenne.
Leurs pas sont de plus en plus érotiques et Sylvie me fait signe de les rejoindre.
J'y vais et notre danse à trois simule parfaitement des relations en trio.
Nous sommes très regardés.
Nous nous embrassons pendant qu'il se frotte derrière elle. Changement de coté mais sans le baiser, la tête sur son épaule.
Je lui glisse à l'oreille que je la laisse seule avec lui, charge a elle de bien le chauffer.
Elle s'y prend bien. Dos à lui, elle soulève assez discrètement sa jupe, il ne peut pas ne pas s'en rendre compte !
Toujours dans cette position, de profil par rapport a moi, elle passe ses mains derrière ses fesses et je devine qu'elle lui palpe le sexe. Lui, glisse ses deux mains sous son chemisier.
Personne ne prête plus attention à eux. De toute façon, je m'aperçois en regardant autour que tout le monde en est à peu près au même point d'érotisme.
Là où ça se complique, c'est qu'un autre vient pratiquement prendre ma place de tout a l'heure.
Comme aucun d'eux ne le repousse, il s'installe et ils simulent le triolisme avec lui.
La jupe se soulève de plus en plus souvent et les mains se perdent un peu partout, Sylvie n'étant pas en reste.
Ca dure et je bande comme un fou.
Soudain elle les plante tous les deux, vient s'asseoir et m'explique qu'elle n'en peut plus.
Elle précise que s'ils l'avaient entraînée au toilettes, elle se serait laisser faire et qu'il faut qu'elle se soulage.
Sa main droite est déjà entre ses cuisses, elle me demande de l'embrasser pour étouffer ses cris.
J'ai tout juste le temps de plaquer ma bouche contre la sienne, qu'elle jouit intensément.
Je sens qu'elle reprend sa caresse et un deuxième orgasme tout aussi violent la secoue immédiatement.
Elle écroule sur mon épaule en tremblant, puis se reprend, boit un verre et m'explique en détails ses plaisirs de la soirée.
J'en ai vu l'essentiel mais pas tout !
Elle a fait jouir avec ses fesses et sa main le deuxième danseur ! Ca je ne l'avais pas vu !
D'ailleurs, il a disparu mais le premier est resté près de notre table.
Je le fais remarquer à Sylvie et lui dit qu'il n'a certainement rien perdu de son plaisir solitaire.
Je lui propose de l'inviter et elle est d'accord.
Je lui fais signe, il devait n'attendre que ça car il s'assoit immédiatement en face de nous.
Je lui dis que la soirée est très réussie pour Sylvie. Il comprend assez bien et sourit.
Elle donne des signes de fatigue et il propose que nous passions au fond de la salle pour être plus au calme.
Nous prenons bouteilles, verres et glaçons et le suivons.
En passant devant le bar je vois qu'il commende qq. chose puis nous tombons sur le 2e danseur.
Sylvie me montre qu'il a mit un pull noué à la taille pour cacher sa tache. Elle me présente et sans prévenir, elle défait le n'ud pour me montrer son ?uvre. Il n'a pas l'air très gêné et nous repartons.
En fait le fond se sépare en deux pièces paraissant obscures comparées à la piste.
Nous trouvons une table et les yeux s'habituant a l'obscurité nous nous apercevons que cette pièce est pratiquement utilisée comme dans un club libertin.
Francisco nous désigne la banquette et repart sans un mot.
Je demande à Sylvie comment elle se sent et si elle veut partir ou rester sachant que la pièce où nous sommes ne se prête pas a une banale conversation avec son cavalier.
Elle répond que ça va mieux et qu'elle a envie d'aller un peu plus loin. Je sors de ma poche des préservatifs en lui disant « On a ce qu'il faut. »
De son coté, d'un air décidé, elle fouille son sac et en sort 4 ou 5 petits sachets. Il s'agit de petites serviettes imbibées de désinfectant dont nous nous servons en voyage en précisant « ça devrait suffire. »
Nous rions. J'en sort immédiatement une et me nettoie les mains en insistant lourdement sur le majeur sous son nez.
Elle me prend la main et engloutit mon doigt. Elle est encore entrain de me le sucer sensuellement quand Francisco arrive avec trois verres.
Il s'assoit en face, je laisse faire, il viendra sur la banquette plus tard. Je lui tends un sachet et reprenant ma serviette, lui montre quoi en faire. Il est très intelligent ce garçon ! Il l'ouvre et se lave scrupuleusement les mains en faisant le même geste que moi avec son majeur.
En riant, je me tourne vers Sylvie pour lui dire qu'il a l'air doué !
Pour toute réponse elle me donne des coups de langue sur la bouche comme un chien et me presse le sexe à travers mon pantalon.
Je la prends par les épaules et lui caresse les seins sous son bustier. Voulant passer de l'un à l'autre, je tombe sur une main !
Il n'a pas perdu de temps. Je les regarde faire et passe sur ses cuisses qui s'ouvrent presque instantanément.
Je reste entre genoux et mi cuisses pour faire durer le plaisir. Elle s'avance un peu au bord de la banquette et je remonte sur ses lèvres.
Elle est déjà trempée !
Je pousse un peu la table et lui demande de s'asseoir au bord de la banquette pour libérer son sexe.
En même temps qu'un long baiser, je reprends ses seins et je sens que Francisco doit s'occuper du bas sous la table.
Je propose à Sylvie de l'inviter à venir sur la banquette avec nous, ce qu'elle fait immédiatement.
Il nous montre une table qui vient de se libérer, effectivement, un peu plus isolée et en angle elle parait parfaite.
Nous ramassons nos affaires et y allons.
Sylvie s'installe immédiatement dans l'angle et nous de chaque coté et le plus naturellement du monde, retire sa culotte.
Immédiatement elle est assaillie par nos quatre mains. Elle ne sait plus comment se mettre pour nous faciliter la tache.
L'assise étant plus profonde dans l'angle, elle est à demi allongée, la tête à peine au milieu du dossier, les bras écartés derrière nos dos, les fesses hors du siège et les cuisses écartées au maximum.
Elle se laisse faire.
Les doigts de Francisco font merveille car elle jouit très rapidement. Il retire sa main et se lèche les doigts.
Il lui fait comprendre qu'il veut la lécher.
Embarras à cause de la discrétion, mais c'est elle qui trouve la solution.
A coté de lui, un pouf puis le mur d'angle. Qu'il se mette accroupi à la place du pouf et elle à la sienne.
Aussitôt dit, aussitôt fait. lui à genoux, elle me tourne le dos et se laisse faire.
Je me rapproche d'elle dans l'angle et lui susurre quelques sucreries:
" Tu es une sacrée garce de te faire lécher par un inconnu dans une boite."
" Je suis sur que tu vas vouloir le sucer aussi, salope."
" Tu vas même vouloir qu'il te baise devant moi et tout ceux qui te regardent."
Elle me répond presqu'île criant " C'est bon, il suce bien." Mais sa phrase finit en cri à peine étouffé.
Il se relève, lui dépose un baiser sur la bouche et lui dit qq. chose que je n'entend pas.
Elle le traite de canaillou trop gourmand et m'explique qu'il veut ses fesses.
Elle a l'air très décidée car elle se retourne et me demande de me pousser.
Elle est maintenant les fesses en l'air, la tête sur mes genoux et lui, de nouveau à genoux, la tête dans ses fesses.
Je l'entend dire c'est bon et elle s'attaque à ma ceinture, dégage mon sexe et m'entreprend une fellation qui fait sa réputation d'excellente suceuse.
Malgré le plaisir intense que j'éprouve je fais un effort pour articuler qq. amabilités:
"Tu te rends compte à quel point t'es une salope pour faire ça."
"Y a plein de mecs qui te regardent et qui doivent se branler en s'imaginant s'enfoncer dans ton cul de dépravée."
Elle me lâche pour me dire qu'il enfonce sa langue dure dans son cul et qu'il la branle en même temps.
Puis je l'entend jouir à nouveau.
Je prends alors conscience de sa position avec ses fesse en l'air qui dépassent la table de beaucoup et regarde autour de moi.
Quelques ombres furtives s'éparpillent. On a vraiment exagéré sur ce coup là !
Je lui explique et elle s'allonge mais sans empressement pour qu'on ne la voit plus.
Lui se rassoit sur le pouf.
Elle lève la tête vers moi et me dit:
"C'est finit. Et toi et lui." Avec un sourire moqueur.
Tu crois qu'on peut continuer comme ça
Je crois comprendre mais je veux qu'elle en dise plus et lui demande de s'expliquer.
Elle aimerait qu'il la prenne comme ça pour me finir en même temps.
Je doute qu'il y arrive si elle reste allongée car la banquette est basse
Je prends une capote et lui donne, il comprend très vite.
Il se positionne derrière elle, s'accroupit, s'allonge presque sur son dos et je vois que ça va être difficile.
" Il va falloir que tu lui offre ton cul plus haut et comme ça tout le monde pourra en profiter"
Elle ne se fait pas prier et remonte ses fesses très haut.
Je le vois s'enfoncer d'un coup et la sens vibrer. Il l'attrape par les hanches et commence à la pilonner.
Elle me reprend dans sa bouche. Elle a du mal à tenir sa tête tant les coup de boutoirs sont brutaux.
Je le saisis au poignet pour attirer son attention et lui fais signe de ralentir.
C'est nettement mieux pour moi aussi !
Autour de nous les ombres sont revenues et j'en fais part à Sylvie pour l'exciter encore plus.
L'un d'eux s'approche de plus en plus mais je ferme les yeux pour mieux apprécier la montée de ma jouissance.
J'explose dans sa bouche une première gicle et elle se retire pour recevoir la deuxième sur le visage puis me reprend aussitôt
et me vide complètement. Comme à son habitude, elle utilise mon sexe pour étaler sur toute la figure.
Je lui demande de se redresser et fais signe a Francisco d'y mettre le paquet.
Elle est maintenant à quatre pattes, elle fait des bonds en avant sous les assaut d'une brutalité rare.
Je lui demande de regarder autour d'elle :
"Je sais, j'ai vu." Parvient elle a articuler.
Ils sont deux contre la table, à peine un mètre nous sépare.
Je leur fais un geste international qu'ils comprennent de suite mais un seul ose, il sort son sexe et se branle devant elle.
Il a juste commencé qu'elle crie à nouveau suivit de son marteau pilon.
Elle est toute pantelante mais elle passe le bras au dessus de la table et s'empare du visiteur.
Après qq. va et vient, il lui envoie sa semence sur le bras.
Je le laisse ensuite se rembrailler et je lui demande de nous laisser.
Nous remettons nous aussi de l'ordre dans nos vêtement, d'autorité je mets la culotte de Sylvie dans ma poche.
Il n'y a plus de glaçons, les boissons sont chaudes, je propose d'aller boire un dernier verre au bar.
A la lumière, Sylvie est méconnaissable, traits tirés, énormes cernes sous les yeux.
Son bustier est taché et encore mouillé et nous nous posons la question de savoir si c'est moi ou notre visiteur.
Francisco nous propose de nous raccompagner au camping.
Nous en sommes soulagés, il est 3h45 du matin.
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