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Proposée le 1/12/2009 par bobleponj
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J'habitais avec Hélène une maison mitoyenne avec pour voisins deux petits vieux avec qui on ne causait pas trop. J'avais toujours voulu vivre en maison, un peu à l'écart de la ville, en location, mais j'y étais bien. On y était bien.
Seulement des conneries peuvent mettre un doigt dans l'oeil du bonheur.
Depuis un certain temps, le doute m'habitait lorsque je croisais à mon départ au boulot tôt le matin, une camionnette avec le logo de l'entreprise de mon propriétaire garée sur le parking en face de chez nous.
Je pris un jour de congés, et fis mine de m'en aller. Je démarrai, quittai la cour et me garai un peu plus loin, pour revenir à pieds, juste le temps de voir deux types, dont le proprio, entrer chez moi, puis un autre avec une sacoche noire. Et c'est elle qui tenait la porte J'étais stupéfait....ma femme. Non! Quand même!J'avais du mal à croire ce que je soupçonnais pourtant depuis un moment. J'ai tourné un moment dans la cour jusqu'à ce que je croise le regard fuyant de mon voisin dans son jardin. J 'avançais jusqu'à l'entrée, tendis l'oreille: rien puis le bruit de pas montant l'escalier. J'entrais : en bas, personne. J'ignore de quelle couleur j'étais; rouge, blanc, vert'
Et puis des bruits de froissement, et puis l'un des gars soupirer « -vas-y oui! » Un autre « -elle mouille dès que je la touche maintenant! T'aimes tout maintenant petite salope! »
Mais elle, je ne l'entendais pas.
Je gravis lentement l'escalier, et restai au raz des dernières marches pour voir...elle, à quatre pattes sur le lit, la nuisette retroussée sur les reins, à se faire doigter, lui laissant la bouche ouverte et les yeux fermés, et masturbant un autre, plus bedonnant, le plaisir l'empêchant de le sucer.
Le premier, le propriétaire lui-même, allait et venait plus ou moins rapidement avec deux de ses gros doigts lubrifiés, essayant, avec succès d'en mettre un troisième, et un quatrième. Il y allait de plus en plus fort.
Elle, elle grognait fronçant les sourcils et la bouche toujours béante. Le « gros » en profita pour se la refourrer dedans; elle reprit alors ce qu'elle avait commencé.Elle semblait même avoir du plaisir!
Et moi j'étais comme un con dans l'escalier, décomposé, ne comprenant plus rien. Je m'aperçus malgré tout que j'avais une gaule d'enfer.
Le troisième, que j'avais oublié, caché dans un coin, tenait un camescope et les fit stopper:
« -Les gars, ce serait bien qu'elle enlève tout.
-c'est bien le moment! Répondit le gros.
-Allez, lève toi! »
Elle s'exécuta, silencieusement ; pendant que le proprio glissais ses mains sur le corps de ma femme, de haut en bas, des seins au sexe et les fesses, le gros tira par le haut sa nuisette. Alors ils la saisirent à deux, l'autre filmant toujours, et la déposèrent dos sur le bord du lit. Le gros lui souleva les jambes, se frotta le sexe un peu débandé sur le sien, puis finit avec un peu de mal par la pénétrer, dans un soupir. Elle était comme un pantin, elle n'était pas dans une démonstration de porno; elle se laissait juste aller sans en rajouter, gémissant.
Les deux autres, à la tête, se faisaient pomper tour à tour. Elle léchait, suçait en se faisant marteler par le bas.
Et moi je me tripotais, enragé, mais intrigué.
Le proprio avait la trique ; il s'allongea et lança: « -à moi, allez! »
Le gros lui écartait toujours les genoux et accélérait ses coups de boutoir, secouant Hélène qui s'accrochait aux draps en couinant. Son collègue insistait: «-Magne bordel! »
Il la libéra enfin...pour qu'elle aille chevaucher l'autre. Elle se tenait droit sur lui, pendant qu'il cherchait l'entrée du bout de la bite. Il essaya par l'arrière, mais elle se rebella d'un écart qui l'obligea à reprendre un style plus classique. Alors qu'elle entâma des mouvements du bassin, lui se mit à la peloter, et essaya de l'attirer à lui pour l'embrasser. Au point où elle en était, je fus surpris qu'elle se mette autant à résister! Mais ce fut bref car le gros lui appuya légèrement sur la tête pour que son camarade lui roule une pelle. Il l'invita ensuite à reprendre sa séance de suçage.
Le troisième, qui devait se sentir à part, posa son appareil sur ma table de chevet, ajusta l'angle de vue, puis se rapprocha du trio infernal, la bite à la main.
Ma petite femme était couverte de mains qui la caressait touchant les seins, les cuisses, les fesses, un doigt parfois s'aventurant au bord, puis dans l'anus, pendant qu'elle-même s'agitait de haut en bas.
Le cameraman poursuivit l'expédition dans son petit trou plus intensément, ce qui la fit se redresser:
« -Non pas ça! Vous savez que j'aime pas!Vous m'aviez promis! »
Le gros s'adressa à celui qui les rejoignait : « -Laisse faire, écoute pas, vas-y, elle aime! »
Après qu'elle se soit remise à son ouvrage, ce dernier n'hésita pas longtemps avant de la prendre d'abord doucement par derrière puis plus sévèrement, lui ôtant des râles bruyants. Ma petite épouse tenait une performance que je ne soupçonnais pas, prise... de partout. Ils la secouaient, la malmenaient, et elle arrivait encore à esquisser discrètement un sourire.
L'ensemble soufflait, elle criait...
Celui à l'arrière se retira puis se mit sur le dos, mais conserva le petit orifice lorsqu'elle s'assit sur lui, dos à lui. Le proprio la reprit par devant et c'était reparti...
Seulement cette fois elle s'est trouvée face à moi; son cri de surprise de me voir se confondait avec les autres. Elle me fixa, essayant de serrer les lèvres; à ce moment le gros grogna, l'aspergea de sperme sur la joue puis entre les seins , provoquant l'envie du proprio de s'abandonner au-dessus de sa toison. Elle était toujours fixée sur moi, rouge, d'on ne sait plus trop quoi, en fait. Ils suivirent son regard et me virent debout dans l' entrebaillement de la porte.
Je déglutis, puis d'un calme maitrisé : « -ça y est vous avez terminé? Maintenant tirez-vous! »
J'avais bien remarqué que « sodomisator » allait devoir se finir plus tard; ils prirent cependant tous leurs affaires. Le gros me défia un peu du regard; je ne baissai pas le mien. Le poprio sans se tourner vers Hélène lui dit: « -On te laisse lui expliquer ». Je tendis la main au cameraman qui à son tour me tendit la cassette. »
Une fois partis, il régnait un silence de mort. Je me sentais fou. Je m'approchai, puis m'assis à côté d'elle. Je lui caressai les cheveux, l'allongeai, puis d'un doigt ramassa un peu de la semence cumulée pour la porter à sa bouche que je lui fis ouvrir. Elle comprenait ce que je voulais; n'étions-nous pas un couple fusionnel' Elle me lécha le doigt, le suça. La trique ne me revenait au galop; je me dévêtis puis lui fis l'amour en missionnaire, simplement, avec pour unique perversité le tartinage de foutre que je lui appliquai autour et dans la bouche. J'explosai en elle et revins à la raison, l'essuyant avec un coin de drap.
Quelques jours fantomatiques, discrets, se sont écoulés, et la douleur intérieure me tiraillait. Qu'est-ce que je devais faire?Qui allait enfin crever l'abcès'
Pour me laisser une chance d'aller mieux, et peut-être elle aussi, je la laissai s'expliquer; après avoir reçu une lettre, qu'elle m'a ensuite montrée, elle s'est rendue à l'atelier du proprio qui, de fil en négociation, lui a soumis cet arrangement:
« -Je sais que tu serais malade de quitter cette maison, mais il nous réclame plus cher et nous ne pouvons plus assumer. Je ne tenais vraiment pas à ce que tu l'apprennes, je ne voulais pas te faire de mal. Jusque là, nous n'avions pas de problème...
-Et c'est tout ce que tu as trouvé? Tu ne pouvais pas faire nounou, ou autre chose?C'est complètement absurde!Qu'est-ce qui t'as pris bordel'
-On a commencé à le faire dans l'arrière de sa boutique, deux ou trois fois, je devais passer parfois quand il me prévenait. La 1ere , ce n'était qu'avec lui, et puis...les choses ont pris de l'ampleur. Ils passaient tour à tour, son collègue, même son apprenti. Ce n'était pas par plaisir, je te le promets!
-Mais tu y as pris goût quand même, avoue-le! Dans notre chambre, sur le lit! »J'avais les poings et les dents serrées.
Après un temps, sans me regarder: « -...parfois, souvent, je ne sais pas trop... »
Sa voix s'étouffait.
« -Et ne me dis surtout pas que tu t'es aussi tapée le voisin! »me souvenant de son regard.
-Ah ça non, bien sûr que non! » ce qui me rassura un tout petit peu,
Je lui demandais comment elle arrivait encore à me faire l'amour; elle prenait, au début, des gelules d'hormones, qui la rendaient « folle ».Je ne pense pas que cet abus ne soit très sain, mais elle avait vite arrêté lorsqu'elle savait ensuite à quoi s'attendre.
Je ne comprenais pas qu'elle n'ait pas essayé de m'en parler avant.
Elle me répondit qu'elle m'aimait et qu'elle ne voulait pas me voir malheureux. Ben c'était pas gagné!
Ressasser tout ça me troublait; je l'aimais toujours, et j'avais à la fois une sorte de haine envers ces cons, j'étais fou de douleur...mais sans l'avouer tellement excité que...
Parfois je l'ai prise en levrette devant la télé, avec à l'image ses ébats, immortalisés à l'atelier,ou dans ma chambre, et même un coup dans le jardin! Elle me disait qu'elle n'acceptait que pour moi mais que ça la dérangeait et que ça ne nous aiderait pas. Et je ne le pensais pas non plus. Mais je voulais découvrir tous le moments qu'ils avaient partagés.
Je vis d'autres personnes, elle s'est retrouvée avec cinq mecs (elle m'a certifié que ce fut le maximum, une fois. ), elle devait faire des choses seule, s'était faite couvrir de sperme, sur notre lit. Elle m'avoua, pour commentaires de scènes, qu'elle essayait d'esquiver les sodos et les éjacs faciales.
Je crois que dans tout le film, ce qui l'a le plus fait crier était une double pénétration vaginale, courte mais intense.
Depuis les tensions se sont apaisées. Je ne sais plus si j'ai pardonné ou si je me suis habitué.
Ou les deux.
Nous habitons aujourd'hui un petit appart au centre ville, ça fait 3 ans déjà et je m'occupe sérieusement moi-même du loyer.
Hélène et moi sommes heureux maintenant.
Enfin je pense.
J'y pense toujours.
Et j'ai gardé les vidéos.