Un vendredi mouvementé 2

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Proposée le 30/11/2009 par 10things

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Nous nous rhabillons, et il met mon string en poche pour s'assurer que je n'en porte pas sous ma robe.
Il met une chemise bleu marine qui lui va à merveille et nous prenons la voiture jusqu'au centre ville. Je me sens un peu mal à l'aise de marcher sans culotte sous une robe si courte. Je ne cesse de tirer dessus de peur qu'on ne remarque ce secret. Mais mon homme me prend la main et m'assure que personne ne peut rien deviner.
Nous entrons dans une brasserie. Je ne suis jamais allée là mais l'ambiance a l'air fort convivial, la lumière est faible, des gens sont assis autour de tables rondes et dégustent une poutine en buvant une bière.
Mon homme commande pour nous. Nous parlons comme à notre habitude, j'en oublie même que je ne porte pas dessous. Jusqu'à ce qu'il glisse sa main le long de ma cuisse. Je frémis inconsciemment, et instantanément, je sens mes seins se durcir. Tellement qu'on peut aisément les deviner pointer sous ma robe légère. Mon homme remonte le long de ma cuisse en relevant un peu ma robe. Si bien que si quelqu'un regardait dans cette direction, il pourrait voir ma cuisse nue. Ses doigts effleurent les lèvres de mon sexe. Je m'avance un peu pour qu'il ait plus facile à me toucher. Je suis mouillée comme jamais et ses doigts glissent sur mon clitoris qu'il caresse. Un doigt entre en moi et je gémis sans m'en rendre compte. j'ai envie qu'il ma prenne là, tout de suite, me couchant sur la table sans prêter attention aux gens autour. Un deuxième doigt glisse en moi, son pouce se fixe sur mon clitoris. Il me masturbe lentement et toute cette situation me rend folle. Je laisse vagabonder ma main sous la table, jusqu'à atteindre la bosse qui déforme son pantalon. Je frotte son membre au travers du tissu, n'aspirant qu'à sentir cette verge gonflée dans ma bouche.
Je me tortille de plus en plus sur la chaise, cette sensation de ses doigts en moi est si bonne? Mais mon homme cesse de me masturber, il vide son verre d'un trait et demande l'addition. « Viens, on y va ». Je ne réponds pas, sa voix est enrouée par le désir et j'ai moi-même très envie qu'il me prenne.
Nous sortons et il m'entraine dans une ruelle mal éclairée. Je me retrouve plaquée dos au mur, nos bouches se cherchent et nos langues s'entremêlent. Il me pelote les seins, les faisant sortir de mon décolleté. Il prend l'un de mes mamelon en bouche, je gémis de plaisir, de désir et mon sexe s'inonde.
- Allez, suce-moi
j'hésite un peu à m'agenouiller sur le sol sale de cette ruelle mais devant la pression de sa main sur mon épaule, je ne résiste pas. Je m'agenouille devant lui, ouvre son pantalon, en sortant un sexe d'une longueur et d'une largeur impressionnante. Je le porte à ma bouche, suçant d'abord son gland avant d'enrouler ma langue autour de cette hampe brûlante. Je le branle en même temps, cette situation m'excite au plus au point, à moitié nue, dans une ruelle sombre du centre-ville, à sucer mon compagnon à genou devant lui.
Il me relève brusquement et me soulève dans ses bras avant de me replaquer contre le mur en me pénétrant rapidement. Je l'entoure de mes jambes et m'accroche à son cou. Je me sens comme flottant dans les airs, uniquement retenue par ce gros membre planté en moi. Il me soulève et tout en me maintenant contre le mur, va et vient en moi.
- Mmmh oui, prends moi, continues, je t'aime tant
- Mmmh alors t'aime ça ma belle ?
- Ho oui ! Ne t'arrête pas !
La position doit être un peu fatigante pour lui, il me redépose au sol et m'ordonne de me mettre face au mur et de me pencher. Il agrippe mes hanches et joue avec mon clitoris d'une main pendant qu'il me pénètre en levrette. Sa grosse bite va et vient profondément en moi et me fait crier de plaisir. Mon homme sort mon string de sa poche et me le met en bouche pour qu'on ne m'entende pas crier.
Je n'en peux plus, des vagues de plaisir déferlent en moi et je peine à tenir sur mes jambes' Il râle de plaisir et soudain, mon corps se tend. Le plaisir me terrasse et il doit me tenir pour que je ne m'effondre pas. Je crie de plaisir, mon corps s'agite dans tous les sens. Son membre est toujours dur en moi, je réalise qu'il n'a pas joui mais je me doute qu'il n'en est pas loin. Fatiguée, je me remets pourtant à genou pour le sucer. Je le pompe à fond et il agrippe mes cheveux, m'empêchant de me retirer. Son sperme jailli dans ma bouche, l'inondant de cette substance chaude. j'avale tout jusqu'à la dernière goute, léchant ensuite méticuleusement son pénis afin de le nettoyer.
Il me sourit en refermant son pantalon et en m'aidant à me relever, me collant ensuite contre lui pour m'embrasser.
Nous reprenons le chemin de notre voiture comblés et heureux?