Un vendredi libérateur

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Proposée le 28/11/2009 par 10things

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Textes un peu crus


Voila plus de deux semaines que nous étions tous deux morts de fatigue lorsque nous rentrions le soir. Nous nous couchions rapidement et toutes mes tentatives pour l'exciter échouaient. Je le savais préoccupé et stressé, j'abandonnais donc assez vite mes assauts, préférant me réfugier de mon côté du lit.
Un vendredi pourtant, je commençais à ressentir violemment les effets de ce manque de sexe. Je m'étais surprise plusieurs fois à me caresser à travers mon jeans et à pincer mes seins. j'imaginais des tonnes de scénarios tous plus osés les uns que les autres où nous ferions l'amour, enfin.
Je mouillais rien qu'à y penser et en début d'après-midi, ma culotte était toute trempée et mes seins pointés... j'avais décidément hâte de rentrer pour pouvoir me satisfaire et pourquoi pas, réussir à ce que mon homme se détende.
Lorsqu'il fut enfin l'heure de rentrer, je ne pus m'empêcher, une fois dans ma voiture, d'ôter mon jeans et d'introduire deux doigts en moi. Je me mis à caresser mon clitoris tout en faisant des va-et-vient dans mon sexe trempé. Je gémissais de plaisir tout en tripotant mes seins. Je jouis rapidement et bruyamment. En ouvrant les yeux, je remarquai qu'un homme m'observait de la voiture garée à côté de la mienne. Je rougis de honte et démarra en vitesse.
Une fois rentrée, je pris une douche, savourant la caresse de l'eau brûlante sur ma peau. Il me restait plus d'une heure avant que mon homme ne rentre et je comptais en profiter afin de préparer une petite soirée destinée à le détendre.
Je m'enveloppai dans une serviette et me postai devant ma garde-robe. Je choisi une guêpière noire et un string, le tout un peu transparente et j'enfilai ensuite porte jarretelle et bas noirs.
Une robe courte et décolletée ainsi que des talons hauts pour compléter ma tenue.
j'eus à peine le temps d'allumer quelques bougies que mon homme rentrait déjà.
- Tu es sublime, tu sors ?
- Non, c'est juste pour toi
- Chérie, je suis fatigué?
Je ne m'avouais pas vaincue pour autant, je me collai à lui pour l'embrasser tout en passant mes mains sous sa chemise.
- Assieds-toi
Je fus surprise qu'il obéisse aussi facilement.
- Oh attends, j'ai une chanson à te faire écouter !
Et le voila qui se relève, décidément, je n'arriverai jamais au bout de mes peines. Il met un CD, une musique entrainante commence à jouer. Il se rassied dans le canapé.
- Je suis sûr que tu n'es pas capable de me faire un strip là-dessus'
Il veut jouer ? Je suis partante, je commence une danse langoureuse tout en ôtant lentement ma robe, je me frotte à lui, montant et descendant, mes seins frôlant son visage. Il sourit, il a cette lueur de désir dans les yeux, c'est gagné. Ma robe tombe à mes pieds, je suis en guêpière devant lui.
Je viens au dessus de lui, une jambe de chaque côté. Il m'agrippe par les hanches et j'ondule et me frotte contre la dure bosse qui déforme son pantalon. Il m'embrasse ; nos langues s'entremêlent.
- Je n'avais pas remarqué cette tenue.
- c'était une surprise.
- Suce moi.
Je m'exécute et glisse entre ses jambes, j'ouvre son pantalon et en sort sa verge dure. Je la gobe directement, tenant de la prendre le plus loin possible dans ma bouche. Je lèche son membre, suçote son gland. Il ne peut s'empêcher de retenir des râles de plaisir tout en agrippant mes cheveux.
- t'aime me sucer hein, salope ?
Je ne réponds pas mais ces mots me font mouiller. Je caresse ses couilles d'une main, le branlant de l'autre. Il n'y tient plus et, me maintenant la tête, enfonce son membre dans ma gorge. Je tousse un peu mais fait mon possible pour continuer à le sucer. Le rythme qu'il m'impose est presque insoutenable et je me débats. Enfin, il me lâche, il n'a pas encore joui.
- Tu te débats ? Tu n'aimes pas mon membre ?
- Si?
- Tu devrais être punie pour refuser de me sucer
- Je sais, pardon.
- Retourne-toi.
j'obéis et me mets à quatre pattes, dos à lui. Je l'entends se déshabiller, le bruit de froissement des vêtements est reconnaissable. Soudain, il me frappe les fesses, pas trop fort mais assez pour qu'elles claquent bruyamment. Je gémis.
- Tu as envie de mon membre hein ?
- Non. Répondais-je, encore vexée de la fessée
- Tu n'as pas le choix?
Il tire sur mon string et l'abaisse sur mes chevilles'
Je suis toujours de dos, il me caresse doucement les fesses, je frissonne de plaisir. Puis, il entre deux doigts en moi et commence à me masturber. j'ai envie de lui résister. Son membre frôle l'entrée de mon sexe mais je me débats encore. Il attrape mes bras et me les tient fort derrière le dos. Ma tête est collée au sol, mon cul vers le haut, il doit adorer me voir ainsi à sa merci?
- n'oublie jamais que tu es juste ma petite pute
d'un coup de rein, il me pénètre tout en frappant mes fesses. Je sens sa grosse bite cogner au fond de mon sexe tandis qu'il accélère son mouvement. Je me cambre, me tendant encore plus vers lui. Je mouille abondement et crie de plaisir comme une folle. c'est tellement bon de se sentir ainsi maitrisée?
- Alors salope, t'aime que je te prenne comme ça hein ?
- Mmmm
- Je suppose que ça veut dire oui? Petite garce, tu croyais pouvoir me résister, dis moi que t'as envie de moi
- Ho oui, baise moi !
Il ne se fait pas prier et continue de me défoncer, je crie de plus en plus. Puis, il me lâche les mains et me porte jusqu'à la table de la cuisine. Sur laquelle il m'allonge sur le dos. Il relève mes jambes sur ses épaules et s'enfonce à nouveau en moi. Je pince mes seins pendant qu'il me défonce allégrement, faisant bien attention à aller de plus en plus loin en moi. Je me sens entièrement remplie par sa grosse bite. Nous n'en pouvons plus et crions de plaisir à l'unisson. Je me cambre vers lui alors que nous atteignons l'orgasme?

Il s'effondre sur moi et nous restons un certain temps ainsi. Jusqu'à ce qu'il commence à se faire lourd. Puis, il se relève et me dit « Remets ta robe, reste sans string, j'ai envie de sortir ce soir »

À suivre