Le retoucheur photo

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Proposée le 3/04/2007 par philou

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Bonjour, je m'appelle Julie. J'ai trente-cinq ans, on me dit bien faite, j'ai de longs cheveux auburn, des yeux pailletés de mauve, j'ai me dit-on de belles mensurations (avis aux amateurs), mais ce que je veux d'abord, c'est apporter ma contribution à ce site en vous racontant ce qui m'est arrivé.

L'action se passe au cours de l'été 2003 qui fut si chaud au propre comme au figuré, pour moi..

Ça fait un peu plus de deux ans que je suis mariée, et après une période de bonheur intense, j'ai commencé à déchanter. Marc, mon époux, a commencé à changer; et inévitablement, je me suis posée des questions.
Ce n'est plus le même homme. Il a attrapé des rides à force de froncer les sourcils. Il n'est plus aussi insouciant qu'avant, il sait faire sentir aux autres qu'ils l'énervent, même à moi, son amour, et c'est devenu super fréquent.
Après un temps de relative aisance au point de vue financier, les choses ont commencé à changer.
Non que je me sois retrouvée brusquement sans le sou, mais je voyais bien que plus rien n'était comme avant..
Nos sorties, nombreuses au début commençaient à se raréfier, notre train de vie baissait sensiblement...
Jusqu'au soir où je questionnais Marc, et où il m'avoua qu'il croulait sous les remboursements d'emprunts qu'il avait contractés.
Il avait fait un crédit pour rembourser l'autre, puis un troisième pour pouvoir honorer les traites de notre automobile, de notre maison. Vous savez, l'effet boule de neige, eh bien c'était ça!
Selon lui, il avait agit ainsi pour se maintenir à flot, pour tenter d'éviter la situation dans laquelle nous nous trouvions maintenant! Habitué qu'il était à faire des cadeaux coûteux et à tout le monde, il devait changer et rapidement!
Le spectre du dossier de surendettement était là, et bien là. Ce qui m'a fait le plus mal, n'est pas encore cette période de vache maigre, non, c'est d'être tombée sur plusieurs mails de femmes différentes me donnant à penser que Marc me trompait. Lui, le mari aimant qu'il se targuait d'être.
J'ai voulu avoir confirmation de mes doutes, et là je suis tombée de haut, de très haut.
Mon mari, de par son travail -commercial dans une boîte de bâtiment public- était amené à se déplacer souvent. Je l'ai suivi alors qu'il avait exceptionnellement rendez-vous dans la région. Arrivée peu après lui, je l'ai vu, de mes yeux vu, avec une grande bringue blonde qui devait à peine avoir franchi le cap de la vingtaine.
Marc est sorti de son coupé sport, toujours élégant dans de beaux habits et son look de jeune premier, et il a rejoint sa blonde. Ils se sont embrassés passionnément, puis ils sont allés s'asseoir à une terrasse où ils ont continué à se bécoter, à se mignoter et à se caresser persuadés qu'ici on ne les connaissait pas.
Ma moitié a toujours montré un goût certain en matière de femme (et je ne dis pas cela pour moi. Quoi que!..). Grande comme je vous l'ai dit, elle était vêtue d'un haut moulant comme une seconde peau sa poitrine libre de toute entrave, d'une mini (quasiment un appel au viol) et de sandales à lacets noués jusqu'au genou.
Marc prenait un plaisir certain à peloter ses seins presque nus et il avait envoyé sa main en exploration à l'intérieur de la mini
Je pris plusieurs clichés avec mon appareil numérique et revins vite fait chez nous. J'avais la preuve de son infidélité!

Salaud, tu vas me le payer!...

Le soir arriva. Je fis comme si rien ne s'était passé, Marc rentra, pesta contre son boulot qui le tenait éloigné de moi et me tendant un bouquet de fleurs et fit comme s'il rentrait de son travail. Il me dit qu'il était fourbu et prétexta un déplacement professionnel jusqu'à la fin de la semaine pour me planter là. Il devait, selon ses dires, partir dans la nuit pour rejoindre ses collaborateurs demain matin, à la première heure.

Je ne vous cache pas que la nuit suivante se passa à ruminer ma vengeance. Tard dans la nuit je me suis enfin endormie, ça y était! J'avais trouvé!

Le lendemain matin, mon époux volage parti, je pris le téléphone et appelais Philou, mon beau frère.
Mais que je vous explique qui est ce nouveau personnage qui débarque dans mon histoire. Récemment divorcé et "garé des femmes" comme il le prétend lui-même, il possède un savoir faire que je n'ai pas : il est retoucheur photos sur informatique.

Rendez-vous fut pris pour l'après-midi même.
Alors, ma belle Julie, comment ça va depuis tout ce temps ?
Il faut dire que Marc et son frangin se fréquentent très peu depuis qu'ils ont eu un grave différent à propos d'une affaire de gonzesse, comme se plaît à le souligner mon futur ex-époux. Déjà, à mon mariage, j'étais tombée de haut en découvrant que Marc avait un frère. J'avais été surprise par ce lien de famille qui aurait dû les rendre proche, mais mon époux avait laissé tomber un "De toutes façons, on ne se fréquente plus". On a eu des histoires, et il n'existe plus pour moi, l'inverse étant valable pour lui.

Quand j'avais proposé mes services en tant que médiatrice, je m'étais fait rembarrer et il m'avait priée de ne même pas regarder son frère.
Je me le suis tenu pour dit, et donc, jamais je n'ai osé intervenir dans leur histoire de famille.

Ce que j'ai retenu de Philou, entrevu le temps de la noce et qu'il m'a été donné de rencontrer quelquefois (toujours en cachette de mon époux). Les raisons de ces rencontres furent essentiellement familiales et professionnelles, et c'est là que j'ai appris à connaître un garçon très agréable ma foi, tant par ses manières que par son physique.
Le ton agréable de sa voix lors de nos conversations, une vaste culture m'ont bien vite fait comprendre qu'il valait mieux s'en faire un allié.

Ce n'est pas par hasard que j'ai décidé d'aller le voir pour lui exposer ma demande. Comme je le soupçonne fort d'en pincer un peu pour moi, et s'il peut m'aider dans le sens que je vais lui indiquer, ma revanche n'en sera que plus forte. Ce sera presque tromper Marc avec son frère.
Hum, je m'en lèche les babines !

Philou, je suis venu te voir pour que tu m'aides à confondre Marc.
Il me reçoit, vêtu en tout et pour tout d'un slip de bain moulant ses attributs.
Lui ayant brièvement exposé que je souhaite avoir son aide pour "parfaire" les photos de mon époux avec sa radasse, il m'écoute attentivement et comprend vite ma demande. Il s'agit pour lui de supprimer d'un cliché un poteau placé de telle manière qu'il masque partiellement la main de Marc sur la cuisse de la salope.
Ayant extrait les photos de mon sac à main, je les lui remets pour avoir son avis.

Eh bien, je pense que tu vas être satisfaite, non seulement je peux supprimer cet obstacle, mais en plus je peux transformer tes prises de vue, comme si elles avaient été prises de beaucoup plus près, avec un luxe de détails qui rendront mon frère malade.

Comme je l'accompagne à l'ordinateur qui trône au centre de son bureau, j'ai le temps d'apercevoir ce sur quoi il est en train de travailler. Sur l'écran géant de son outil de travail, une jeune fille, complètement nue se fait prendre par un gars velu à souhait qui n'est autre que Philou. Le moins qu'on puisse dire c'est qu'elle a l'air d'apprécier le traitement que mon beau-frère est en train de lui faire subir.
J'ai le temps de reconnaître une de ses voisines.
Ben dis donc, tu t'emmerdes pas avec Géraldine!
Devant mon air goguenard, il cherche à se disculper comme il peut.
Oh! Tu sais, elle est venue chercher du réconfort, et comme en plus elle a des problèmes d'argent en ce moment, je l'aide comme je peux.

Étonnée, je me laisse raconter l'histoire de Géraldine qui dans la dèche, a accepté de faire une série de prises de vues avec mon beau-frère et que celui-ci lui rétribue assez grassement.

Comme nous parlons du paiement de ces clichés, j'en arrive à lui avouer que moi aussi je suis "étranglée" financièrement. Il me dit alors être en relation avec des gens qui ont un site Internet et qui payent bien ce genre d'images.

Il me dit que cela varie selon le degré d'érotisme de la photo, mais qu'en bref, dès qu'une meuf montre ses seins il est preneur, les tarifs augmentant selon le degré de nudité de la fille, le top étant une relation sexuelle à deux ou plusieurs.

À bien y réfléchir, il est gagnant sur les deux tableaux : il fait des photos de charme avec des partenaires de choix qu'il recrute lui-même, et en plus il les rétribue avec de l'argent qui n'est pas à lui.
Il a trouvé le bon filon mon beauf!

Philou me demande ensuite de patienter quelques instants et se met au travail. Il retouche d'abord les clichés que j'ai pris avec un soin tout professionnel. Il fait tant et si bien que je suis totalement satisfaite de sa prestation, et même plus que ça!

Ensuite, il se met à maquiller les photos de lui et de Géraldine. J'assiste à du grand art, avec un grand A. Il a vite fait de rendre méconnaissable sa voisine, rendant dans un premier temps le visage flou, surajoutant un loup, effaçant une partie de décor, puis en en insérant d'autres par duplication. Il procède de la même manière avec son portrait, et satisfait de son travail me donne à voir le résultat.
Surprenant, étonnant, que dis-je : c'est stupéfiant !

Le couple est devenu parfaitement méconnaissable, et il faut que je sois persuadée de connaître les participants pour retrouver, ne serait-ce qu'une de leurs particularités physiques. Même le décor semble différent.
Il est vrai que Philou est un fondu d'informatique, mais là il me laisse baba!

Alors, convaincue ? Tu vois qu'on ne risque pas de reconnaître mes modèles. Et comme toi aussi tu me dis être en manque d'argent frais, pourquoi ne poses-tu pas pour moi ? Tu pourrais débuter par des photos où tu exposes ta poitrine. Surtout que de ce côté là, tu m'as l'air d'avoir ce qu'il faut.
Et joignant le geste à la parole, il baisse le zip de mon haut, révélant ainsi mes seins qui depuis le début de notre conversation ont commencé à pointer sévèrement.

Tu es parfaite comme cela, dit-il en empoignant son appareil photo numérique. Et le voici qui se met à tourner autour de moi, me demandant d'enlever mon vêtement et de prendre les pauses qu'il me dicte. Cinq ou six déclics de son appareil, puis il charge les photos sur ordinateur. Ne songeant même pas à me rhabiller je contemple Philou qui rend méconnaissable mon visage, effectue une opération de copier coller afin de parfaire l'arrière-plan. Quand il a terminé, il se retourne vers moi, lorgnant vers mes seins qui se tendent presque douloureusement.
Que penses-tu de mon boulot ? Convainquant ?
Je dois bien t'avouer une chose : tu as de l'or dans les mains. Si je ne savais pas que cette nana qui expose ses seins en toute impudeur, c'est moi eh bien je me laisserais prendre au décor, à la sensualité que tu sais si bien rendre.

Tout heureux de m'avoir convaincue, il me dit qu'il va soumettre les épreuves à ses commanditaires et qu'il verra combien il peut me payer.
Pendant qu'il surfe sur le Net pour me donner une réponse, je bois le verre de tit punch qu'il m'a versé. Au bout de dix minutes, il revient et me déclare que ses patrons sont très satisfaits du résultat, qu'ils en demandent davantage et me donne une somme assez conséquente pour les cinq photographies retenues.

N'oublies pas que plus les photos que je fais de toi sont dévêtues, plus tu gagnes d'argent!
Considérant la somme que je viens d'acquérir pour cinq photos me montrant la poitrine nue, je lui demande combien une photo de moi entièrement nue me rapporterait.
À son avis, un cliché de moi dans le plus simple appareil me rapporterait autant que les cinq images qui circulent maintenant sur le Net. Ce n'est pas que je sois particulièrement dépensière, mais là ce que m'annonce Philou, m'intéresse énormément.
Eh oui, pour se constituer une cagnotte pour mon divorce prochain, pour me permettre d'acheter de jolis dessous, pour me permettre de vivre convenablement.

Je lui donne mon accord pour des photos de nu. Il en est tout heureux et m'aide à quitter ma jupette et mon string. Il me donne des bas et un porte-jarretelles qu'il possède "pour l'occasion". J'aperçois avec une certaine satisfaction une bosse qui se manifeste sur le devant de son slip de bain.

Il me guide pour les poses à prendre, me donne de bons conseils, je m'accroupis, écarte les cuisses, fléchis les genoux comme il me le demande. L'appareil crépite une bonne dizaine de fois, il revient vers moi, dépose une sortie de bains sur mes épaules. Et cette fois encore, j'assiste à un travail de maquillage photo époustouflant, et encore, je pèse mes mots!

Après m'avoir servi un autre verre, il rentre à nouveau en contact avec ses mécènes et revient avec un large sourire aux lèvres.
Neuf photographies sur dix sont acceptées ce qui fait que je te dois neuf cent euros.

Un peu interloquée par cet argent si vite et si facilement gagné, je me rapproche de Philou et l'embrasse sur les lèvres d'abord par reconnaissance, puis au fur et à mesure que nos langues se touchent, virevoltent, s'apprivoisent j'avoue que ça devient un besoin impérieux.
Ses mains ont vite fait de trouver mon corps nu sous la sortie de bain.

Il a tôt fait de me l'ôter et se débarrasse de son slip de bain et nous voici entièrement nus, lui me déposant de tendres bisous dans le cou, à la naissance des seins, sur les épaules. Comme il a posé ma main sur son sexe, je monte et descend sur sa queue, flattant ses bourses. Décalottant son membre viril, le recalottant, je glisse à genoux devant lui, embouche son pieu. De son côté, il me fait mettre tête bêche par rapport à lui, en 69. Alors, nous nous en donnons à cœur joie, salivant sur le sexe l'un de l'autre nous nous adonnons à une véritable orgie. Lui boit mes sucs intimes, moi j'essaie de le faire venir dans ma bouche, savourant à l'avance les jets de sperme chauds qui englueront ma glotte.

Il se fait tard. Il ne faudrait pas que Marc se doute de quelque chose. Je suis obligée d'interrompre les baisers que Philou distribue généreusement sur ma poitrine, mon minou, mes aisselles.
Je prends congé en lui promettant de revenir afin qu'il me fasse le grand jeu, qu'il me fasse l'amour avec quelques photos en gros plan sur mon sexe, sur son mât quand il me pénétrera par devant et par derrière. C'est sur ces promesses que je le laisse, après qu'un baiser très long unisse nos lèvres, joigne nos bouches, lie nos langues, mêle nos salives....