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Proposée le 23/11/2009 par viking35
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Heureuse surprise que de sentir la main de mon compagnon délicatement posée sur ma chatte. Il n'est pas dans ses habitudes d'être aussi entreprenant au milieu de la nuit, et cela réveille en moi immédiatement le désir latent qui me possède depuis quelques jours.
j'émerge de mon sommeil profond et réalise que je suis dans la cabine du catamaran que je partage avec le jeune fils de mes amis.
En effet, en ce mois d'aout, un couple d'amis m'a invité à faire une croisière d'une dizaine de jours au départ de St Malo en compagnie de leurs trois enfants. Deux filles de 13 et 15 ans, et leur fils Michaël, 17 ans. Avec lui, garçon intelligent et éveillé, j'avais partagé des discussions intéressantes sur sa vie et pu apprécier sa maturité. Mais, compte tenu de notre grande différence d'âge, j'avais naturellement gardé un comportement maternel avec lui.
La nuit est encore profonde, un léger clapotis bruisse sous la coque bâbord de notre voilier au mouillage à Chausey. j'entends aussi la respiration régulière de mon jeune voisin qui, innocemment, dort les bras bien écartés.
Un peu déçue, je ferme les yeux et imagine que la main posée sur ma vulve est celle de mon compagnon en déplacement professionnel depuis près de deux semaines. Il me faut vous dire que, peu avant minuit, je l'avais appelé pour lui dire combien il me manquait. De fil en aiguille, sur le pont du bateau, nous avions fini par faire l'amour au téléphone. Plus exactement, il se masturbait pendant que je l'encourageais. c'est dire dans quel état j'ai ensuite essayé de m'endormir.
Mauvaise idée que de penser à Bernard, la sensation du poids de cette main sur le doux tissu de soie de mon pyjama active mon imagination. Il faut que je m'arrête.
Mais aujourd'hui, ça ne passe pas, j'en ai trop envie. Qu'est ce qui m'arrive?? Ma main effleure mes seins, passe sous ma nuisette, titille leur tétons. Je sais pourtant bien qu'ils sont particulièrement sensibles. Je pince le bout qui se durcit. j'ai trop besoin d'un câlin. Je frôle, j'effleure, je touche ; j'aime ce désir qui grandit au fil de mes pensées pour mon Bernard. Oh, Bernard, si tu savais depuis combien de temps j'attends. Et, tu es à nouveau là, dans mon esprit.
Après une dizaine de minutes de ce régime doux, bien sur, mon excitation est sérieusement exacerbée et mon sexe humide et palpitant exige plus.
Que faire ? Déplacer sa main au risque de réveiller mon jeune voisin et de rester sur ma faim ou continuer à entretenir mon excitation si agréable?
Un bref coup d'oeil vers lui me rassure, allongé sur le dos, il dort à poing fermé. j'aimerais pourtant sentir une caresse plus précise sur ma vulve, j'en ai envie, j'en ai besoin. Au prix de contractions involontaires, mon vagin appelle.
Bouche fermée, lèvres serrées, je retiens péniblement mes gémissements mais ne peut rien contre ma respiration haletante? Afin de rester discrète, de ma main gauche, j'écrase un oreiller sur mon visage.
En effet, j'appréhende de ne pouvoir contrôler mes cris de plaisir, car extravertie, j'ai fréquemment des orgasmes explosifs incontrôlables
Jamais je ne me suis caressée les seins aussi longuement, j'ai le sentiment que je vais jouir seulement sous ces douces caresses. Mon plaisir monte, ma chatte est vraiment mouillée, je le sens. Afin d'amplifier mes sensations, je cambre légèrement mon pubis afin de mieux sentir le poids de sa main sur mon clitoris. De temps à autre, des mouvements involontaires des doigts de cette main me lancent des sensations fulgurantes. Il m'arrive de ne pouvoir retenir de petits gémissements étouffés par l'oreiller. Du moins, je l'espère.
Ma tête me dit d'arrêter mais mon corps me demande de continuer. Délicieux dilemme. c'est trop bon.
Après un temps certain, dans un moment de lucidité je suis prise d'un doute. Il me semble que les mouvements furtifs de sa main sont fréquents, que la respiration de Michaël est différente. Je stoppe aussitôt mes caresses et l'observe attentivement. Toujours sur le dos, il dort mais je remarque immédiatement une bosse caractéristique sous son caleçon. Rêve t-il ?
Toujours est-il que, reprenant mes caresses, ce phallus en érection à coté de moi m'obsède maintenant. De plus, je me demande si Michaël ne serait pas un petit coquin aussi gêné que moi de cette situation. d'ailleurs, en l'observant, je surprends un clignement d'yeux vers mes seins.
Sans imagination, je l'interroge : « tu dors ? ». Il ne répond pas mais, observant les soubresauts de sa verge tendue sous son caleçon, je suis convaincu que non. Sans réfléchir, me roulant vers lui, je saisi son membre tout en embrassant mon jeune voisin à pleine bouche. Sans manifester plus de surprise, il répond avec habileté à mes baisers et se laisse materner.
Une sensation de main pleine, des mouvements amples de mes doigts, me pousse à baisser les yeux vers cet objet. Objet, qui devient celui de mes désirs les plus cachés. En fait, son sexe n'est pas seulement doux, dur, chaud, il est tout simplement beau, désirable.
Au fur et à mesure que j'entreprends de le branler doucement, avec soins et attention. Je commence nettement à apprécier non seulement, la douceur, mais aussi la chaleur de cette queue, sa dureté, sa constitution, sa texture.
Je sens toutefois que sa jouissance est proche et me doute que son endurance sera faible. Aussi, retirant prestement mon pantalon de pyjama, j'enjambe rapidement mon Michaël... Je me retrouve sur ses genoux et écarte tout juste ce qu'il faut de cuisses, pour qu'il m'enfile sa queue, dure et encore mouillée de mes petites attentions.
J'entame alors de lents va-et-vient, en montant et descendant sur son dard qui, je le sens, est prêt à exploser. Sur le fil du rasoir depuis le moment où j'ai commencé à le branler, Michaël, malgré les efforts désespérés qu'il fait pour contenir le plaisir qu'il sent monter, ne peut retenir plus longtemps la jouissance qui l'envahit.
Devant l'imminence de son orgasme, il me souffle déjà:
- « Claire arrête. Je n'en peux plus ! »
A contre c'ur, je m'immobilise, espérant prolonger ce moment tant attendu. Mais c'en est trop pour lui et très vite il me souffle :
-« Je viens ! c'est trop ! «
Avant de se lâcher dans un grognement profond. Je sens sa verge libérer un long jet tiède dans le bas de mon ventre, puis une deuxième secousse, suivie aussitôt d'une troisième.
Un peu honteux à l'idée de jouir si vite, il essaie de se justifier. Impérativement, je lui pose ma main sur la bouche et, avant qu'il ne débande totalement, couchée en arrière, j'active furieusement ma chatte palpitante de mouille d'avant en arrière sur sa verge turgescente. En vain, j'essaye de m'octroyer l'orgasme auquel je rêve.
d'un coup, je réalise l'incongruité de ma situation. Frustrée, un sentiment de culpabilité m'envahit. Je m'allonge alors contre lui, et tente de dialoguer avec lui sur le mode coquin. Tu sais, les hommes et les femmes ont les mêmes besoins' la masturbation est naturelle, elle fait partie de la vie? as-tu une petite copine ?
A ma grande surprise, il me répond franchement et une complicité se créé entre nous. Durant ce temps, j'avais guidé sa main vers ma chatte, et ses doigts entretiennent chez moi une douce excitation.
Fanfaron, il prétend avoir déjà fait l'amour plusieurs fois déjà mais précise à regret, me semble t-il, que ses copines ne l'avaient jamais sucé. A ma question, en as-tu envie ? Il me répond avec enthousiasme qu'il en rêve. Trop heureuse je saisis immédiatement l'opportunité qu'il m'offre.
Il me tarde de le goûter, de m'en délecter, d'éprouver cette sensation d'excitation encore inconnue pour lui : sucer un homme pour le plaisir réel de se faire plaisir, la simple satisfaction de le sentir blêmir sous ma langue, la simple luxure de le voir gonfler encore plus.
Sucer, aspirer, tirer, pomper, il y a de nombreuses années que j'ai appris à vraiment aimer cela.
Progressivement, je sens sa verge durcir. Devenant silencieux, fermant les yeux, j'enfourne ce sexe qui ne demande qu'à grossir de nouveau, alors qu'il vient à peine de débander, privilège de la jeunesse.
Ma salive coule le long de son membre, ma main y glisse facilement. Mes yeux vagabondent du bas de son ventre au haut de ses cuisses. Il est couché, les jambes ouvertes, se laissant faire avec délectation, jouissant de mes lèvres et de ma bouche tout entière. A tout cela s'ajoute ma main qui poursuit son office : le « branlage » direct et précis du reste de la longueur de sa queue. Je suis même téméraire en risquant mes doigts plus bas, en lui frôlant ses deux orphelines, qui n'en demandent pas tant.
Ma longue expérience me permet de le branler avec douceur et vigueur, oui ... mais pas forcément là où c'est le meilleur, là où les tremblements font comprendre que l'on est pratiquement au bout du plaisir. j'invite Michaël à m'indiquer alors comment lui en procurer encore plus...
Les femmes me comprendront d'autant plus ici. Le clitoris, si petit, si tendre... Il suffit que la caresse se disperse d'un millimètre vers la gauche ou vers la droite, que la pression soit altérée de quelques millièmes, que la vitesse augmente trop ou pas assez. Tout cela est si imperceptible, si subtil, si indiscernable pour celui qui s'y affaire, que seule la femme qui reçoit cet effleurement peut guider son homme.
Cette fois, ce fut l'inverse ... Elève appliqué, c'est lui qui me conduit et me montre comment lui donner le plus de satisfaction, plus haut, plus fort, moins serré ... Bref, en ajustant ainsi mes gestes, cela me permet de les accompagner de ma langue, ma salive inondant son dard vif et rouge... Ses jambes se crispent, son ventre se tend, je le sens se raidir de plus en plus et comme des décharges électriques traversent son corps ...
Je ne perçois plus uniquement la douceur de son sexe, mais aussi ces petites veinules qui se désincrustent lentement ... Je devine son gland, de nouveau prêt à exploser. Je ne me trompe pas... et mon altruisme a des limites.
Aussi, je ralentis mon rythme et guide ses doigts sur mon clitoris. Là aussi, j'essaye de le guider, de lui apprendre. Trop direct, maladroit, il me fait autant mal que plaisir. Mes doigts remplacent à nouveau les siens, et ça me fait du bien. Les va et vient de mes doigts imposent à mon bassin des mouvements plus langoureux, plus intenses. Je me cambre, j'écarte les jambes. Un de ses doigts puis deux me pénètrent. Le plaisir monte encore.
Mes doigts reviennent se positionner à l'endroit le plus sensible de mon bouton enflammé. Je le connais cet organe, et je sais ce qu'il réclame. Il veut la même chose que mon esprit en ce moment. Et, je lui donne par mes caresses incessantes depuis quelques minutes, ce qu'il attend. Mes cuisses enferment mes doigts posés sur mes grandes et petites lèvres. Je veux jouir.
-« Caresse mes seins' Embrasse les' J 'adore? Tu verras' »
Répondant à ma supplique, Michaël caresse doucement mes seins. Presque immédiatement, un orgasme me submerge et ma jouissance naît alors dans de petits gémissements que je dissimule dans l'oreiller. Une jouissance bienvenue mais insatisfaisante, une jouissance ordinaire, au plaisir équivalent à celui que je ressens lors d'une masturbation furtive. Cela me soulage quand même et ce plaisir solitaire me transporte loin, à des kilomètres d'ici...
j'ai presque oublié Michaël qui m'observe, surement étonné.
Soulagée mais insatisfaite, le sentant à mes cotés, je me couche tête bêche sur lui et lui impose à me lécher la vulve, à découvrir les délices d'un 69. Pour ma part, concentrée sur mon excitation renaissante, je me contente d'entretenir son désir par quelques lêchouilles sur son phallus.
Il dépose un doux baiser timide sur mon pubis puis caresse ma petite chatte de blonde, peu fournie, toute chaude, avec son menton, sa bouche, son nez ... Il est doué, le bougre.
Je le guide, l'encourage.
-«Plus haut? Plus vite ? Continue? »
Mes pouces écartent mes grandes lèvres. j'aime sentir sa langue se faire toute douce pour contourner mon clitoris puis se faire un plus dure pour séparer mes petites lèvres, j'adore aussi lorsque la pointe de ma langue s'enfonce sans prévenir d'un coup dans mon ventre trempé... et il en abuse.
Après cette entrée en matière plutôt directe, il s''attarde sur mes petites lèvres et mon petit bourgeon toujours gonflé de désir, sa langue me lèche en suivant le rythme des petits coups de hanches que je donne fiévreusement pour venir à sa rencontre, j'exige qu'il accélère ses coups de langue pour me retrouver mes sensations, il m'obéit et je sens mon clitoris rouler sous sa langue.
«Sur le clito? Plus vite ? Continue? c'est bon'»
D'un coup, mon ventre vient se cogner contre sa bouche, afin de maintenir mon petit bouton plus fermement entre ses lèvres... je me laisse aller ...
«Cela vient? Encore ? Oui? Oui?Comme cela ! Continue? Je vais venir?»
- « Michaël' j'ai envie de toi! »
Comme je le pressentais, mon plaisir reviens vite, déjà je le supplie, j'ai envie de le sentir en moi. Je ne veux pas qu'il jouisse encore avant moi.
- « Michaël' Je te veux ! Viens sur moi ! j'en ai très envie ! Viens maintenant! «
Ravi de cet ordre impérieux, Michaël remonte son visage depuis mon sexe jusqu'à ma bouche. Je l'embrasse avidement en guidant de ma main droite son sexe modérément bandé vers mon vagin.
Je sens sa queue fouiner maladroitement entre mes jambes pour, finalement, s'enfoncer dans ma chatte complètement inondée. Comme un adolescent qu'il est encore, tel un cheval fou, il agite son bassin dans un rythme d'enfer, heureux de faire coulisser son membre gonflé dans les antres d'un sexe féminin'
Sous les violents coups de boutoir qu'il m'assène, je ne tarde pas à sentir la jouissance me submerger. Pour mieux le sentir encore, de mes jambes refermées sur ses reins agités, je l'emprisonne entre mes cuisses.
- « Super ! Encore !... c'est bon !... Oui ! Oui !... Continue ... «
Dans un tempo effréné, Michaël accélère encore les va-et-vient de sa verge hyper tendue à l'intérieur du vagin.
-
-« Plus vite ... Plus vite !... Cela vient ! ? Reste au fond ! «
Cette fois, je suis follement excitée. Le bruit de clapotis de son membre qui entre et sort de moi, de son pilonnage contre mes cuisses, m'emmène vers un orgasme certain. Je suis dans un état second. j'halète de plus en plus fort en m'arquant rigidement.
- « Encore!... Oui... Ouiii !... »
A la raideur de son sexe, je sens aussi qu'il va surement encore une fois éjaculer avant que j'obtienne mon plaisir. Dans un éclair de lucidité, en bonne initiatrice, j'exige une courte pause câline et lui explique combien l'alternance de douceur et de vigueur est tellement meilleure.
Elève appliqué, il me pénètre alors délicatement, très doucement et je pousse un gémissement de soulagement, en crispant mes mains sur ses fesses, pour que cette fois, il reste bien en moi. Son membre me remplit complètement. Il recommence doucement à aller et venir, et tous les deux nous regardons les mouvements de nos bassins. Ses bras au-dessus de mon visage et ses mains sur les miennes, il semble fasciné.
Oh, j'aime tellement qu'il me regarde, et aussi ce qu'il est en train de me faire ! Malheureusement, très vite, la nature de mon cheval fou reprend le dessus. Le rythme de ses coups s'accélère et je me laisse emporter. Je bouge aussi mes fesses, pour mieux le sentir encore.
-« Doucement ... s'il te plait doucement !...Doucement ! ? c'est trop bon! «
Ma vulve, complètement inondée est, de nouveau, follement excitée. J'entends le bruit de son membre qui entre et sort de moi, et ne peut m'empêcher de gémir. j'ai envie, très envie. Mon orgasme est imminent, je le sens. Je m'entends pousser à mon tour de petits gémissements contenus, de plus en plus forts, jusqu'à se fondre en un seul. Le regardant droit dans les yeux, je glisse une main entre nous pour caresser ses testicules.
- « Claire, arrête, je t?en supplie, tu vas me faire jouir. »
Cette fois, je ne veux pas qu'il se retienne, je veux l'entendre crier, je veux voir le plaisir que je lui donne.
- « Moi aussi !... Maintenant, viens ! ? Viens ! Ensemble ! Viens ! ? »
Soudain, je sens vibrer son sexe, l'entendant crier « Claire ! » à mon oreille. Le plaisir me submerge et m'emporte soudain. Je me cambre pour encore mieux ressentir l'orgasme m'irradier. Mes spasmes sont si violents que ma tête heurte légèrement l'équipet voisin. j'ai le sentiment de perdre conscience, et totalement occulté le lieu où je me trouve. j'oublie tout.
Michaël m'a prétendu ensuite que je ruais comme un cheval de rodéo et qu'il avait été effrayé par le grand cri de jouissance que j'aurais poussé. c'est possible, cela m'arrive.
Ecroulés tous les deux sur la couchette, nous sommes repus, comblés, essoufflés et en sueur. Quelle nuit ! Quelle baise ! Reprenant notre souffle, il a pris ma main dans la sienne et la retient prisonnière contre son torse. Contre mes cuisses tremblantes, je sens sa peau mouillée.
Trop vite, la réalité s'impose à moi. Je réalise alors que mes cris ont pu réveiller ses jeunes s'urs dans la cabine proche ou, pire, les parents de Michaël dans une cabine plus éloignée. Je pense aussi à Bernard, seul dans son hôtel. Un énorme sentiment de honte m'envahit alors.
Le lendemain, mon amie Laurence, sa mère, me fit des sous-entendus coquins inhabituels' j'ai fait mine de ne pas comprendre mais dans la soirée, lors d'une de nos discussions intimes entre femmes, elle me remercia !
En effet, cette nuit là, son mari se leva pour surveiller l'ancre du bateau. Entendant mes gémissements, il joua au voyeur puis, tout émoustillé, a été particulièrement entreprenant et endurant avec Laurence. l'air de la mer, sans doute? Toujours franche et directe avec elle, je lui expliquai. Finalement, fière de son fils, elle garde un excellent souvenir de cette nuit là, elle-aussi...
Durant les quatre jours de croisière qui suivirent, Michaël essaya de me convaincre de « remettre le couvert ». A tort ou à raison, je m'y refusais.
l'année passée, nous nous sommes rencontrés fortuitement dans le TGV entre Paris et Marseille. c'est toujours un bel homme qui approche de la quarantaine. Nous avons devisé gaiement et franchement. Il m'avoua qu'il pensait toujours à notre nuit qui, pour lui, avait été le déclencheur de sa vie sexuelle?
En bon ingénieur commercial qu'il est, il a cherché à ce que nous passions la soirée ensemble. j'avoue que j'étais très tentée de remettre cela 20 ans après. Heureusement, sans doute, nos emplois du temps n'étaient pas compatibles. Aussi, avec un certain regret, je coupais court. Je ne le regrette pas.
Ne vaut-il pas mieux rester sur un excellent souvenir que sur celui d'une nuit de passage dans un hôtel banal ?