l'Espagne en train'

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Proposée le 21/11/2009 par simonel

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L'ESPAGNE EN TRAIN


Je me prénomme Simon et ma compagne Sylvie, elle mesure 1m71 et pèse 56kg, silhouette superbe ! Seins magnifiques pas trop gros et un corps ravissant, châtain clair et les yeux bleus, elle a 29 ans et moi 50.

Nous étions en avril et avions décidé de prendre une dizaine de jours de vacance en Espagne, nous étions tombés d'accord pour voyager en train sans rien réserver à l'avance, l'aventure en quelques sortes'

Ma fille aînée nous a déposé à la gare de Bruxelles, et oui nous sommes Belge ! Nous avons emprunté le TGV jusqu'à Paris et de là, le train de nuit pour Barcelone.

Sans réservation, il est clair que nous n'avions pas de couchette, nous avions prit place dans un compartiment relativement confortable. A notre arrivée, Le compartiment était vide, j'étais installé le long d'une vitre et Sylvie à ma droite.
Arrivés au premier arrêt, peu de personnes sont montées dans le train, deux hommes on ouvert notre compartiment et sont entrés, ils étaient ensemble.
Le plus jeune semblait avoir une petite quarantaine, très élégant, galant et très classe, il a prit place à la droite de Sylvie, tandis que l'autre en face de moi, le reste de sa banquette étant occupée par des bagages et des sacs qui monopolisaient les autres places.
l'autre homme, en face de moi, devait avoir environ 60 ans, ils discutaient entre eux et relataient des anecdotes de travail assez comiques qui nous faisait sourire également?
Ils étaient cadres dans une société pharmaceutique bien connue en Belgique.

De temps en temps le voisin de Sylvie regardait dans sa direction et appréciait qu'elle rigole aussi de leurs conversations, l'homme en face d'elle jetait des coups d'oeil discrets sur le visage et les jambes de Sylvie.

Ma compagne avait le sourire facile, car avant de partir nous avions déjeuné chez ma fille et bien arrosé le repas d'un délicieux vin Français, je sais ce que l'alcool a comme effet sur elle et particulièrement celui de réveiller sa libido.

Nous avions une vie sexuelle très riche, nous échangions volontiers nos fantasmes, elle savait que le mien était de là voir se faire caresser par d'autres hommes devant moi et peut-être plus, mais j'étais prudent car je ne sais pas si je pouvais l'assumer, quand à elle jamais elle n'a fait un commentaire positif ou négatif dans ce sens, je parlais en lui faisant l'amour et échafaudais souvent des scénarios qui alimentaient ce fantasme, elle a toujours joué le jeu mais je n'ai jamais su si cette situation l'excitait vraiment ou si c'était juste pour satisfaire mon plaisir.
Le voisin de Sylvie se tourna vers nous et nous dit qu'il s'appelle Jacques et son collègue d'en face Victor, à mon tour, je lui répondis, voici Sylvie et moi c'est Simon, j'ajoute que nous partons un peu à l'aventure pour nous détendre?
Il m'explique qu'ils sont en déplacement pour le travail et que son collègue Victor n'est pas loin de la retraite, de ce fait il se met au courant du job car il va lui succéder comme cadre dans cette société.
Ils étaient tous les deux très sympathiques et cultivés.

Le jour commençait à tomber, Sylvie me dit discrètement qu'elle doit se rendre aux toilettes, elle se lève et se dirige vers la porte du compartiment, voyant que je reste immobile, Jacques se tourne vers moi et me dit, sans vous offusquer, j'imagine où madame se rend, si j'étais à votre place, je l'accompagnerais, car ce ne sont pas toujours des endroits très sûrs ! Vous avez raison lui dis-je et nous quittons le compartiment.
A l'extérieur, ma compagne se retourne vers moi et me dit, (voilà un homme prévenant ! en plus dit-elle, physiquement, il est plutôt pas mal !) Elle me sourit et se dirige vers les toilettes.
A notre retour, nos voisins de voyage, avaient débouché une bouteille de vin rosé et ils tenaient en main chacun un gobelet de ce breuvage, très gentiment, Jacques nous proposa un verre de vin que nous avons accepté avec plaisir.

Le climat commençait à se détendre Jacques et Victor nous faisaient beaucoup rire, leurs humours étaient d'une très grande qualité ! Par moment, Sylvie riait aux éclats, visiblement, elle appréciait leurs compagnies et trouvait le moment fort agréable?
Elle en était à son deuxième verre de vin et ses joues commençaient à rosir, c'est vrai qu'ajouté au vin de ce midi elle devenait doucement pompette mais tout à fait cohérente.
Quand la bouteille fut vide, Victor nous demanda si on voyait un inconvénient à ce qu'il ferme les stores, je répondis que non, aucun inconvénient, Jacques se leva et les ferma tous.

Victor s'installa confortablement, visiblement dans l'espoir de trouver le sommeil, Jacques fit de même mais n'ayant que son seul fauteuil, ne trouva pas une position aussi confortable, et ils fermèrent les yeux tous les deux.
Ce geste doit être communicatif car ma compagne s'enfonça dans le siège posa la tête sur mon épaule en me disant qu'elle tombait de sommeil, elle ferma les yeux aussi.

Au bout d'une bonne demi heure, tout le monde dormait sauf moi car je travaillais souvent de nuit, je n'étais pas trop dérangé par ce changement brutal d'horaire.
Sans se réveiller, Sylvie se mit à rechercher une position plus confortable encore en repliant les jambes sur son siège et posa la tête sur mes cuisses, ce mouvement avait sorti Jacques de son sommeil, là voyant se chercher une place semi allongée, il l'aida un peu en relevant l'accoudoir qui les séparaient.
Cette position avait pour effet de laisser voir par Jacques, ses jambes, ses cuisses et à mon avis son string par instant?.
Victor devait aussi voir une grande partie de ses cuisses puisqu'elles étaient tournées vers lui, mais visiblement il dormait toujours.
Sylvie portait une jupe assez ample qui arrivait mi-cuisses un chemisier boutonné et un gilet ouvert.
Discrètement je voyais Jacques qui matait les cuisses et les fesses de ma femme il faisait tout juste assez de lumière, cette situation m'excitait terriblement, je sentais mon c'ur battre à tout rompre dans ma poitrine?
Avec les mouvement du train et sans l'accoudoir pour faire barrage, les jambes de ma femme s'allongeaient insensiblement sur le siège et ses pieds n'étaient plus qu'à 2 ou 3 cm de la cuisse gauche de Jacques, je vérifiais régulièrement si elle dormait vraiment mais sa façon de respirer me le confirmait
Voilà ! Les pieds de Sylvie sont en appui sur la cuisse de Jacques, il regardait ses jambes avec désir ! De temps à autre, il me regardait, histoire de savoir si je me rendais compte de la position de Sylvie et de la vue qu'il pouvait avoir sur elle, pendant une seconde ou deux nos regards se sont croisés, j'ai ensuite posé mon regard en direction de Sylvie et puis j'ai repris ma position initiale, c'est à dire, la tête en appui sur le dossier du fauteuil.

A ce moment, plus de doute pour lui je pense, car il matait bien plus franchement qu'auparavant.
Sylvie bougea encore, toujours en restant sur son côté gauche, elle avait allongé complètement la jambe droite qui reposait carrément sur les cuisses de Jacques, position qui bien sur était loin de lui déplaire !
Probablement en réunissant tout son courage, Jacques posa délicatement la main gauche sur la jambe qui lui squattait les cuisses et la laissa immobile un long moment.
Je regardais fixement la scène sans rien dire et il s'en aperçut, sûrement encouragé par ma passivité devant les événements, il caressait doucement la jambe de ma femme, j'étais très excité, j'aurais voulu qu'il aille plus vite et là voir jouir sous les carrasses de cette main ! Mais bon, on n'en était pas là?

Sylvie dormait toujours profondément, La main caressante remontait vers son genou qu'il caressa un peu et puis se dirigea sur la cuisse, il glissa lentement pour ensuite se glisser sous la jupe et remonter vers le haut de celle-ci.
Soudain, avec une grande lenteur, il entreprit de détacher son pantalon complètement pour arriver à dégager son sexe qui arborait une érection arrogante ! il tira sur la jambe pour l'amener tout près de son sexe, il faisait de légers mouvements du bassin pour se masturber sur le mollet de ma femme ! À cet instant j'ai cru que mon sexe allait exploser !

Elle bougeât à nouveau mais cette fois, elle se positionna sur le dos en allongeant complètement les deux jambes, Jacques attendit un peu et positionna son sexe entre les mollets de ma femme pour continuer à se masturber, il me regarda en souriant et je lui rendis ce sourire, il se fit alors plus entreprenant en se tournant légèrement vers elle et se mit à lui caresser les cuisses à l'aide des deux mains, il remontait la main gauche et laissait le pouce traîner un peu sur son string au niveau de son sexe.
Dans le but d'accélérer les choses, je tirai doucement sur sa jupe et lui remontai jusqu'à la taille, elle était maintenant offerte à la vue des deux hommes en string, quand je fus pris d'une angoisse, si elle se réveille maintenant ? Bof me dis-je, je n'aurai qu'à faire semblant de dormir et faire constater que je n'y suis pour rien, un peu rassuré par ce raisonnement, je glissai alors ma main droite sous le string de Sylvie et commençai à lui caresser le clitoris, Jacques commençait à être très excité et plus nerveux, des deux mains, il saisi alors son string au niveau des hanches et le fit glisser centimètre par centimètre le long de ses cuisses pour finalement lui ôter complètement.

A SUIVRE?