Un week-end torride (2ème partie)

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Proposée le 23/11/2009 par Talis Cat

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Je reviens de la cuisine, m'assoies sur le lit, les pieds sur toi. Je bois tranquillement. Puis je prends de l'eau dans ma bouche et te crache à la figure. Puis je dis :
"- Ca va, ma pute ? Pas trop mal à l'aise attachée comme ça ?"
Tu bafouilles en clignant des yeux pour enlever l'eau qui coule sur ton visage :
"- N... Non, ca va."
Je te claque la fesse en souriant :
"- Brave petite cochonne."
Je reste encore un moment à te caresser distraitement du pied, scrutant la pièce, buvant de temps en temps, te crachant à nouveau dessus. Tu trésailles alors que mon orteil s'attarde sur les lèvres de ton intimité, gémis de plaisir. Je te regarde :
"- Tu m'as l'air encore très excitée dis-moi... Et humide."
Tu hoches la tête et m'adresses un regard plein de désir. Je détache tes liens. Je te regarde t'étirer pour relaxer tes muscles fourbus. Puis je prends ta laisse et tire un coup sec, tu te lèves. Tu as un peu de mal à garder l'équilibre. J'attends que tu sois remise et te dis :
"- Fais-moi visiter, que je vois où je vais te prendre."
Tu frissonnes de plaisir à l'idée de me sentir à nouveau en toi. Puis tu te retournes et me guides. Je garde ta laisse en main. Je mate ton beau petit cul et tu le sais. Tu trémousses ce dernier comme pour m'appeler... Tu es chaude, si chaude...

Nous voici dans l'entrée. Tu commences alors à me présenter les lieux. La cuisine, que je connais déjà, puis tu te diriges vers une autre porte, ignorant celle face à la cuisine. Je demande :
"- Et là ?"
Tu me dis :
"- C'est un placard."
"- Et alors ?"
Tu me regardes, étonnée mais viens ouvrir la porte et me dis :
"- Voilà."
Je vois tes manteaux accrochés, notamment un en fourrure et l'autre en cuir, côte à côte. Tu t'apprêtes à refermer mais je te pousse à l'intérieur. Tu te retournes, me fais face. Je m'avance à l'intérieur, saisis ta cuisse et t'empale. Tu serres ta jambe derrière moi et m'embrasses en passant tes bras autour de mon cou. Puis je te lime délicatement, mon front posé sur le tien. Je souris :
"- Même un placard ça peut-être intéressant..."
Les deux manteaux frottent sur nos corps, offrant des sensations différentes mais très plaisantes. Tu fermes les yeux et te laisses aller en caressant ma nuque. Puis je me recule. Tu restes pantelante, les yeux toujours clos. Je tires sur ta laisse et tu sors enfin de ta rêverie. Tu ressors avec un soupir, fermes la porte et te diriges vers la pièce suivante. Tu te cambres et gigotes encore plus ton fessier. Tout ton corps est un appel à la sodomie. Ca me donne une idée... Je donne un nouveau coup sec. Tu t'arrêtes, tremblante. Je sens ton désir. Tu espères secrètement m'avoir trop allumé, que je ne puisse me retenir et que je te défonce. Mais je m'approche lentement de toi, pose ma tête sur ton épaule, souris et murmure :
"- On va faire un petit jeu... Si tu arrives à me faire craquer et que je te sodomise avant qu'on soit revenu à la chambre, tu as gagné. Sinon c'est moi et tu auras un gage."
Tu frémis sous l'effet de mon souffle et de mes mots. Tu n'avais pas besoin de raison pour me donner envie de t'enculer... Mais, au fond de toi, tu aimerais aussi être punie, tu es sûre que tu adoreras ton gage. Tu dis dans un souffle :
"- C'est... Intéressant. Et si je gagne ?"
Je te donne une claque sur la fesse, la saisit fermement :
"- Tu ne gagneras pas, ma pute."
Tu as l'air déçue de cette annonce. Mais tu compte bien me faire changer d'avis...

Tu t'avances alors à nouveau vers la prochaine pièce. Un bureau. Je relâche ta laisse. Tu viens t'appuyer sur celui-ci, à côté de l'ordinateur. Tu te cambres en me souriant. Je m'approche, caresse tes fesses. Tu poses ton buste sur la surface de la table, écarte les fesses puis ton anus. J'y glisse un doigt, deux, les tourne... Tu gémis. Puis je fais le tour de la table, les yeux rivés sur toi. Tu me suis du regard sans jamais cesser d'écarter ton fion dilaté de désir. Mon sexe s'approche de ton visage et tu tends le cou, tires la langue. Je saisis ta laisse et tu as à peine la possibilité de frôler mon gland avant de ressentir une secousse sur ta gorge. Tu te relèves avec réluctance. Je ne te regarde même pas, t'attends à la porte. Tu avances et me dépasse, tu sens mon regard et l'excitation envahit ton corps, tes tétons pointent... Puis tu te diriges vers la porte d'en face.

La salle de bain. A nouveau je lâche la laisse. Sans surprise tu vas dans la baignoire et saisis le pommeau de douche. Je suis plus étonné de te voir démonter le flexible. Puis tu te l'enfonces dans le cul et allume l'eau. Tu pousses un cri de jouissance alors que l'eau emplit ton anus. Tu le retires d'un coup sec, du liquide dégouline. Tu te penches en avant et pousses pour faire jaillir toute l'eau que ton cul contient. Tu te caresses la chatte et pousses des cris en même temps. J'ai très envie de défoncer ce cul maintenant bien lubrifié... Mais je m'avance et saisis le flexible puis le remonte nonchalamment. Je remets ensuite le pommeau à sa place et je te regarde. Tu t'es redressée et te caresses. Tu es déçue de ne pas m'avoir fait céder mais heureuse de t'être offert ce petit plaisir. Je te souris. Puis je t'attrape par la nuque et te force à te mettre à genoux. Je tire sur ta chevelure et ton visage se retrouve sous le robinet. Je fais couler de l'eau. Glacée, puis bouillante. Tu hurles. Je te redresse, te tire de la baignoire, te plaque sur le mur en t'étranglant. Je t'embrasse sauvagement alors que tu essaies vainement de libérer ta gorge avec tes mains. Je susurre :
"- Tu m'as excitée, salope, beaucoup. Alors je vais te prendre. Tu te rappelles du placard ?"
Tu hoche la tête et ta jambe s'enroule autour de moi. Je souris puis t'embrasse de nouveau. Tu as arrêté d'essayer de te libérer et tes bras sont autour de mon cou, tes mains me caressent le dos, la nuque. Je commence à te prendre. Tu me caresses le torse. Je te dis en souriant :
"- Dommage pour toi. Maintenant je vais encore plus facilement pouvoir me retenir..."
"- Je m'en fiche. J'adore sentir ta queue en moi, dans mon cul ou ailleurs..."
Tu m'embrasses. Puis nous nous séparons à nouveau. Tu as à nouveau l'air déçue, frustrée. Mais tu te contentes de me guider hors de la pièce et de te diriger vers la prochaine...

Il s'agit de la chambre d'ami. Pas grand chose d'intérêt à part le lit... Enfin c'est ce que je crois. Lorsque je relâche ta laisse tu vas directement vers les montant du lit. Je remarque alors qu'il se finisse par une sculpture en bois en forme de pomme de pin. Tu m'adresses un sourire coquin et t'agenouilles à côté de l'un d'eux. Tu caresses la sculpture, la lèches, la suces même. Je te regarde, ma queue est si dure... Comme j'aimerais être à la place de cette pomme de pin... Tu te relèves alors et poses ta rondelle sur la sculpture. Tu poses un pied sur le lit, l'autre au sol. Tu te penches légèrement en arrière, une main sur le lit. Tu jettes ta tête en arrière et plonges tes doigts dans ta chatte avec un soupir. Puis tu descends lentement le long du montant. Je le vois disparaitre en toi. Tu redresses alors la tête, me regardes, me souris. Et tu commences à te déhancher. J'imagine que les motifs de la sculpture doivent te faire souffrir mais tu ne sembles retirer que du plaisir de cet exercice... Je m'approche de toi et caresse ton corps. J'ai terriblement envie de toi. Je joue avec ton clitoris, les pétales de ta fleur. Tu frémis, gémis. Tu t'acharnes de plus bel sur le montant. Je te saisis sous les aisselles, te relèves, te tires d'un coup sec. Tu pousses un cri de douleur. Nous restons face à face, nos regards forment un brasier ardent. Tu es haletante. Mon souffle aussi est court... Je murmure :
"- Salope... Tu es une salope, une chienne."
Tu m'embrasses :
"- Tout pour toi. Je serais tout. Je suis tienne."
Je reprend mes esprits :
"- Tu as bien failli m'avoir. Mais je serai sur mes gardes maintenant... Je sais que tu peux transformer le moindre élément de décor en objet de ton désir..."
Tu m'embrasses à nouveau et dis :
"- Oublies ce petit jeu. Encules-moi. Là, tout de suite."
Le ton de ta voix est tremblant, suppliant, désespéré. Mais je reste ferme :
"- Non, ma pute. J'ai décidé de ce petit jeu et c'est moi qui décide quand il s'arrête."
Je sens à nouveau ta frustration. Tu caresses mon sexe, espérant me faire céder. Mais je me contente de tirer sur ta laisse. Tu me guides alors vers le salon.

Tu es à court d'idées. Et c'est la dernière pièce avant la chambre... Enfin au moins tu pourras bientôt sentir ma queue dans ton cul. Pourvu que le gage ne soit pas de te priver de ce plaisir ! Tu tentes malgré tout quelques avances, tu te plaques contre la vitre, profitant de la sensation du verre sur tes mamelons. Tu te cambres, t'enfonces les doigts dans le cul, m'invites du geste et du regard. Mais je t'ignore superbement. Enfin tu as abandonné et reviens vers moi. Tu fais mine de faire tomber un bibelot de la table en passant. Tu es face à moi et tu te retournes pour le ramasser, m'offrant ton cul. Tu restes un peu dans cette position, faisant mine de vérifier qu'il n'est pas cassé, espérant que je vais craquer. Mais je tiens bon. Tu te relèves alors en soupirant, reposes le bibelot. Je saisis alors ta nuque et t'embrasse fougueusement. Je murmure :
"- Tu m'as donné beaucoup de mal, ma cochonne. J'ai cru que je ne tiendrais pas. Mais il ne reste plus que la chambre. J'ai gagné."
Tu souris, m'embrasse à ton tour. Je sens du soulagement dans ta voix :
"- Oui, tu as gagné. Prends ta récompense, prends ta chienne."
Je me contente de sourire et me dirige vers la chambre. Tu me suis.

Une fois arrivé tu dis en baissant la tête :
"- Pourquoi tu ne veux pas me faire tienne ? Je ne t'excite pas ? Je peux être encore plus salope si tu le veux !"
Je me place face à toi et tu suces ma verge en te caressant. Tu es tellement excitée et frustrée qu'il ne te viens même pas à l'esprit que je ne serais pas aussi raide si tu ne m'excitait pas... Je te demande :
"- Où sont tes jouets ?"
"- Le tiroir, là-bas. Mais viens plutôt me défoncer. C'est moi ton jouet..."
Je t'ignore et dis simplement en ouvrant le tiroir :
"- Arrêtes de te caresser. C'est la première partie de ton gage."
Tu obéis, serres les draps entre tes doigts pour les empêcher vagabonder sur tes formes. Tu te lèches les lèvres. Je te regarde. Puis je choisis un énorme gode et un vibro. Je te regarde :
"- Tu es belle tu sais, surtout quand tu es excitée..."
Tu rougis. Je sens tes bras se raidir. Tu aurais tellement voulu te masser la poitrine, te lécher les seins, pour me montrer combien tu pouvais être excitante... Et combien tu étais excitée. J'ajoute alors :
"- Lèves-toi et mets tes mains derrière ta nuque."
Tu obtempères. J'attache tes poignets, accroche les menottes à ton collier. Mes mains glissent sur ton corps, je te sens frémir. Je pétris ton sein. Tu me fixes avec un regard de chienne en chaleur. Je dis alors :
"- A la cuisine. Vite. J'ai faim..."
Toi aussi, je le sais. Tu ne te fais d'ailleurs pas prier.

Nous arrivons à la cuisine et je te guides vers la table. Je t'aide à t'y installer et tu t'y allonges sur le ventre, dressant tes fesses vers moi. Je souris. J'allume le vibro et le passe sur tes tétons, puis ton clitoris. Enfin je le plonge en toi. Tu pousses un cri de plaisir. Je ressors le vibro, te caresse le corps avec, le faisant glisser le long de ta colonne. C'est alors au tour de l'énorme gode d'entrer en toi. Il glisse tout seul. Tu gémis :
"- Ta queue... Donnes-moi ta queue, vite !"
J'entre mon gland dans ton anus. Tu gémis à nouveau. Je ressors. Tu hurles :
"- Baises-moi ! Déchires-moi le cul !"
Je te saisis par le bras et te place sur le dos. Puis je te gifle. Je dis d'un ton froid :
"- Tu la fermes. C'est moi qui décide quand tu t'en prends plein le cul et quand tu restes frustrée, salope."
Puis je te replace sur le ventre sans attendre ta réponse. J'ajoute :
"- Et là, tu vas t'en prendre plein le cul."
Je te prend. Tu hurles ta jouissance, te déhanches comme une damnée. Je te bloque en te saisissant les cuisses. Tu restes tremblante, frémissante. Je commence alors à te pilonner. Le gode enfourné en toi à rétréci le passage mais ton fion est encore très dilaté. Je saisis alors le vibro et stimule ton clitoris. Je te le fais sucer, il vibre dans ta bouche. Enfin je l'enfonce au côté du gode. Ca a du mal à entrer, je force. Tu cries de douleur. Enfin il est en toi. Les vibrations envoie des vagues de plaisir dans tout ton être. J'ai arrêté mes mouvements. Je te demande :
"- Il ne te manque pas quelque chose ?"
"- Si : la sensation de ton sexe bougeant dans mon cul."
"- C'est bien, mon garage à bite, tu n'oublies pas ta vocation."
Je reprend mes assauts. Et tu reprends tes cris de jouissance. J'entends ta complainte :
"- Oui, prends-moi fort. Vas-y, profondément... Ah oui ! Comme ça !"
Mais je sens qu'il va t'en falloir plus... Je retire alors le vibro de ton intimité détrempée. Tu soupires de plaisir. Je frotte à nouveau ton clito avec. Puis je l'éteins. Je le pose alors au dessus de mon sexe à l'entrée de ton cul. Je te sens te raidir. Je détache alors tes mains. Tu saisis le bord de la table. Je te regarde puis dis :
"- Voilà ton gage..."
Tu hurles alors que le vibro se glisse à côté de mon sexe. Je force encore et encore, sans jamais faire demi-tour. Tu te dresses à quatre pattes, serrant aussi fort que tu peux le bord de la table. Tu pousses un râle :
"- Oui... Oui... J'ai mal !!!"
Enfin j'ai fini d'enfoncer le vibro. Ta tête retombe sur la table. Tu as le souffle court. Ton vagin s'est rétracté et le gode est en partie ressorti. Je le pousse à nouveau au fond de ton sexe. Puis je rallumes le vibro et tu pousses un râle, un rugissement primaire et gutturale. Tu n'es plus humaine : tu es une créature avide de sexe. Tu réclames mon sexe et je reprend mes coups de hanches. Tu gémis :
"- Mon cul... Oh, mon cul..."
"- Qu'est-ce qu'il a ton cul, salope ?"
"- Il est si dilaté, si large... J'ai mal ! Mais c'est si bon..."
Je commence alors à changer de rythme. Je ressors mon sexe jusqu'au gland puis, brutalement, d'un coup sec, j'entre à nouveau en toi. Tu ponctues chaque mouvement d'un cri. Je continue ainsi et ressors le gode de ta chatte. Je te le fais sucer. Tu goûtes avidement ta propre mouille. Enfin je viens le poser lui aussi sur ta rondelle. Tu pousses des hurlements de terreur. Mais tu ne peux t'empêcher de me supplier de le faire. J'essaie mais c'est vraiment trop. Je finis par abandonner et tu pousses un grand soupir. De soulagement amis aussi de dépit. Enfin je ressors mon sexe, puis le vibro. Je n'ai aucun mal à insérer l'énorme gode dans ton cul. Je souris en te fessant. Je passe devant toi et tu me suces, le cul toujours dressé vers le ciel. Je caresse ton dos. Tes mains s'égarent sur ton corps, dans ta chatte. Je te retourne et dis :
"- Tu as oublié ton gage ? Tu ne te touches pas !"
Tu place tes mains de chaque côté de ton corps et agrippes les bords de table pour ne pas te toucher. Je caresse doucement ta gorge pour que ma verge puisse s'y enfoncer toujours plus loin. Tu n'arrives plus à respirer, ta figure s'empourpre. Je me penche sur toi, le vibro glisse des tes tétons jusqu'à ton clitoris. Je suces les lèvres de ton intimité. Ma bite est entraînée un peu plus loin. Tu te contentes de l'aspirer plus avidement. ta langue glisse sur ma hampe alors que la mienne se plante en toi. Tu te cambres de plaisir. Tu es en équilibre sur tes épaules, tes bras, tes pieds. c'est terriblement inconfortable, d'ailleurs je sens que ta chatte s'est resserrée. J'imagine que ton cul aussi... Je vérifie que le gode y est toujours bien logé. Puis je plante le vibro dans ta chatte. Je me recule alors pour te laisser respirer. Mais tu restes cambrée... Tu es proche de l'orgasme et la douleur n'est plus une considération pour toi : seul le plaisir compte. Tu reprends ta respiration alors que me queue libère ta gorge. Elle reste cependant dans ta bouche et tu la suces goulument. Je me penche à nouveau vers toi et tu es à nouveau étouffée. Je sors le vibro, plante ma langue à sa place. Puis je le mets à côté du gode. Tu pousses un hurlement étouffé, tu te raidis. Mes doigts fouillent ta chatte et tu hurles à nouveau... Mais pas pour la même raison ! Ton corps se cambre encore plus, m'incitant à aller toujours plus loin en toi. Je suis tellement perdu dans ton excitation, ton désir que je sens à peine ma semence gicler dans ta gorge, que je sens à peine que tu avales comme une affamée mon jus. Je laisse ma verge dans ta bouche, tu la lèches. Mes doigts s'activent, te masturbent avec force. Tu atteins l'orgasme dans une série de spasmes. Tu te raidis, t'écroules, te raidis à nouveau. Puis tu n'arrives plus à garder les pieds sur la table. Tu tremblent toujours, me suces avec une énergie renouvelée. Je te masturbe toujours, provoquant des vagues de plaisir qui se finissent en râles assourdis. Enfin je m'écarte, te regarde. Tu es essoufflée, fourbue, anéantie. Mais tu as l'air heureuse, épanouie. Tu te pétris les seins en gémissant. Je murmure :
"- Tu es vraiment une grosse salope..."
Tu souris :
"- Et tout ça grâce à toi..."