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Proposée le 22/11/2009 par Talis Cat
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Récit cru, femme totalement soumise
Tu es venue me chercher à la gare. Dans la voiture je te mates avec insistance. Tu me souris et caresse mon sexe déjà dur à travers mon pantalon. Tu t'apprêtes à le sortir mais je t'arrête et dis :
"- Plus tard. Je sais que tu as très envie de te faire défoncer mais il va falloir patienter un peu... Montres-moi tes seins plutôt."
Tu conduis d'une main en dégageant un de tes seins de ton haut. Tu le caresses en poussant un soupir. Je te regarde et pose ma main entre tes jambes. Tu te déhanches pour sentir mes doigts frotter ton intimité à traverse ton pantalon. Je glisse alors ma main dans ce dernier. Mes doigts caressent les pétales de ta fleur... Tu es déjà si humide ! Tu gémis quand j'enfonce mes doigts en toi. Tu as arrêté de te caresser la poitrine, tes mains sont crispées sur le volant. Tu as bien du mal à rester concentrée sur la route ! Cela m'amuse et je te stimule de plus bel. Je me penche pour sucer ton mamelon, le mordiller. Il est bien dur, lui aussi, comme ma verge. Je déboutonne ton pantalon, ouvre la fermeture éclair. Tu te relèves pour que je puisse baisser ce dernier. Je le descends sur te chevilles. Je pose ensuite mes mains de chaque côté de ta taille, saisis le haut de ta culotte. Tu as du mal à ne pas te rasseoir mais tu restes ainsi alors que je restes à t'observer, jouant avec l'élastique de ta culotte. Je t'embrasse dans le cou puis fixe ton entrejambe trempée de mouille. Tu écartes les cuisses pour que je vois mieux. Je souris et descends enfin ta culotte pour révéler ta fleur. Tu te rassois en poussant un soupir de soulagement : tes muscles devenaient douloureux. Tu ne t'es pas aperçue que j'ai positionné ma miain face à ta chatte et ton anus. Mes doigts glissent en toi. Tu sursautes, manques de sortir de la route mais tu reprends tes esprits et savoures la sensation de ma main entrant dans tes orifices. Je bouge mes doigts en toi et tu fermes les yeux... La voiture dérive et un bruit de klaxon te sort de ta rêverie. Tu fais une embardée puis tu te gares sur le bas-côté. Tu te laisses aller au plaisir, fermes les yeux, sors ton autre sein et te masses la poitrine. Je te regarde en accentuant mes caresses. Ta main se pose à nouveau sur mon sexe. Tu me regardes, les yeux mis-clos et me supplie :
"- Laisses-moi voir ta queue, la sucer..."
"- Non. Il faudra attendre que l'on soit chez toi. Alors dépêches-toi..."
Mon pouce est sur ton clitoris, j'ai deux doigts dans ta chatte et deux dans ton cul. Je fais des va et viens en toi. Tu ne peux retenir un cri de jouissance. Tu te lèches frénétiquement le sein, écartes un peu plus les cuisses, gémis :
"- Oh oui... Prends-moi avec tes doigts..."
Je sors alors mes doigts, te les fais lécher. Puis je me replace sur mon siège et dis :
"- Dépêches-toi, je commence à me sentir à l'étroit dans mon pantalon."
Tu n'as pas besoin que je te le dise deux fois. Tu redémarres, le pantalon et la culotte toujours sur les chevilles, les cuisses écartées et les seins à l'air.
Nous arrivons bientôt en face de chez toi. Tu te gares. Je sors de la voiture. Je reste à te regarder et dis :
"- Rhabilles-toi. On dirait une pute."
Tu rougis mais tu me dis :
"- Mais je suis ta pute !"
Je ris :
"- Parce que tu crois que je paierais pour toi ?"
Puis, plus sérieusement :
"- Tu n'es pas ma pute : tu es ma chienne, ma salope."
Tu te lèches une dernière fois le sein en disant :
"- Oui. Mon corps t'appartient."
Je referme la portière alors que tu te rhabilles. Je te suis chez toi. Tu m'emmènes au salon. Je m'assoie sur le divan. Tu reste debout, face à moi, les mains dans le dos. Tu bombes ton torse et ton cul pour m'allumer. Je sors mon sexe durci. Nos regards se croisent. Je lis ton désir. Je dis d'un ton neutre :
"- C'est joli chez toi. Suces-moi."
Tu t'approches sans un mot, t'agenouilles et avales mon sexe. Je me redresse alors plaque ta tête contre mon aine. Tu tente de résister un peu en poussant sur mes cuisses. Je te demande :
"- Tu es excitée ?"
"- Umm, umm !"
"- Montres-moi ça. Relèves ton haut."
Tu t'exécutes. Je profites que tu n'ais plus les mains sur mes cuisses pour m'enfoncer plus loin dans ta gorge. Tu étouffes, les larmes te montent aux yeux mais tu poses tes mains sur mes fesses pour me serrer encore plus. Ta langue s'active dans ta bouche. Ma main caresse ta poitrine, tes mamelons : ils sont bien durs. Je souris :
"- C'est vrai que tu es excitée, ma cochonne... Alors tu l'aimes vraiment ma queue, hein ? Ou bien c'est simplement que tu es une trainée qui mouille dés qu'on la touche ?"
Tu ne réponds pas. Tu ne peux pas de toutes façons... Mais tu me suces avec plus d'ardeur. Je t'ordonne :
"- Ouvres ton pantalon."
Tu obéis. Je demande :
"- Tu dois être trempée, n'est-ce pas ? Vu comme tu étais déjà chaude dans la voiture..."
Ta réponse est étouffée par mon sexe mais le ton enthousiaste m'en laisse deviner la teneur...
"- Caresses-toi, petite pute."
Tes doigts se glissent dans ta culotte, ta chatte. Tu te masses la poitrine. Je t'observe et dis :
"- Descends ton pantalon et ta culotte."
Tu les descends autant que ta position le permet. J'ajoute alors :
"- Doigtes-toi bien. Le cul aussi."
Je sens ton excitation alors que tu obtempères, que tu te fouilles les orifices. Je commence alors à pilonner sauvagement ta gorge. Tu baves, toussotes, des larmes coulent sur tes joues. Mais tu m'aspires, me lèche avec ardeur. Enfin je te laisse reprendre ta respiration. Puis je me penche pour t'embrasser et te saisis à la gorge, t'étranglant. Je te dis :
"- Dis-moi ce que tu vas me faire, ce que je vais te faire, détailles-moi tout."
Tu te caresses toujours, comme je l'avais exigé. Ta voix sort comme un croassement :
"- Je vais te sucer, avaler ton sexe. Puis tu me défonceras les orifices..."
Je souris :
"- Bien. Et à ton avis, que se passera t-il quand je vais te ramoner l'anus ?"
"- Je vais prendre beaucoup de plaisir, jouir."
Je ricane :
"- Ca oui, à la fin... Mais crois-moi, pas au début... Alors réponds-moi, que va t-il se passer ?"
"- Je vais avoir mal, très mal. Tu vas me déchirer, me faire saigner."
"- Et toi que feras-tu ?"
"- Je hurlerais de douleur. Mais je te réclamerai, te demanderai de me prendre plus fort."
Je te gifle. Tu tombes sur le côtés mais tes doigts restent en toi... Puis je dis nonchalamment :
"- C'est bien, tu as tout compris. Allez mets-toi en position."
Je n'ai pas besoin de préciser ce que je compte te faire. Tu t'appuies sur le divan et te cambres, me présentant ton fessier rebondi. Je t'ôtes ton pantalon et ta culotte, puis ton haut. Tu es nue, frémissante d'anticipation : Tu veux sentir ma queue en toi. Je te regarde. Tu n'oses bouger. Je te donne une claque sur la fesse, la saisis à pleine main. Je me penche sur toi, te susurre à l'oreille :
"- Putain, je sens que je vais prendre du bon temps avec toi, sale chienne..."
Je me relève, frôlant ton sein du doigt. Tu frémis de nouveau. Ce que tu peux être chaude ! Prête à exploser... Je pose mon gland sur ta rondelle, mes mains sur tes hanches. Je savoure ton appréhension, ton désir. Puis j'entre en toi, violemment. Tu hurles, comme tu me l'avais dis. Mais tu me demandes aussi d'aller plus loin, plus profond, plus fort. Et tes cris de douleur sont bientôt mêlés de hurlement de jouissance. J'attrape tes épaules et te bourres le cul de toutes mes forces. Tu adores chaque seconde, gémit à chacun de mes assauts. Je pousses un râle et te crie dessus :
"- Salope !!! Tu aimes te faire déchirer le cul, hein ? Tu aimes sentir ma bite forcer tes orifices ? T'élargir le fion ? Dis-le pétasse !"
Tu cries toi aussi :
"- Oui ! J'adore ça, défonces-moi, je suis à toi !"
Je te lime avec vigueur. Je te claque les fesses, attrape ta chevelure pour tirer ta tête en arrière et t'embrasser, ta malmène les seins, le clito, fourre mes doigts dans ta chatte sans ménagement. Enfin je sens ma sève monter. Je te dis :
"- Tu es mon vide-couilles, n'est-ce pas ?"
"- Oui, je suis ton garage à bite, ton sac à foutre."
"- Bien. Parce que tu vas bouffer mon sperme, connasse."
Je sors de ton cul et tu viens t'agenouiller face à moi, te massant la poitrine. Tu as la bouche béante et tu tires la langue. Tu fermes les yeux. J'entends ton souffle haletant de désir. Et je te jute au visage. Je me dépêche de fourrer ma queue dans ta bouche et tu avales goulument, m'aspires. Je finis de me libérer dans ta bouche en poussant un râle.
Je t'attrape alors par les épaules, te jette au sol et dis :
"- Tu ne te touches pas. J'ai un truc pour toi..."
Tu as bien du mal à obéir. Je te vois frotter tes cuisses l'une contre l'autre pour tenter de stimuler ton intimité. Te voir aussi chienne me stimule à nouveau. Je sors un collier et une laisse du manteau que je n'avais même pas enlever pour te prendre et m'agenouille pour te les mettre. Tu me souris. Je te retourne ton sourire. Puis je te gifle :
"- C'est pas tout ça, ma chienne, mais j'ai encore envie de te baiser moi !"
Tu approches ton visage de mon sexe. Je me relève, te laissant la bouche entrouverte. Je me dirige vers la chambre en te tirant par ta laisse. Tu me suis à quatre pattes. Nous arrivons dans la pièce et je constate avec plaisir que tu as bien mis les menottes en cuir et les liens que je t'avais demandé sur ton lit. Je t'attaches les poignets, les chevilles, puis les deux ensemble, devant toi. Tu me regardes et me demandes :
"- J'aurai encore le droit à ta queue ?"
"- Bien sûr, salope ! Qu'est-ce que tu crois, je vais te prendre encore et encore !"
Tu souris :
"- Merci !"
"- Mais de rien, ma pute, c'est normal."
Je me déshabille. Tu es adossée au lit et je te présente ma verge que tu t'empresses de sucer. Elle a un peu ramolli mais tes bons soins la remettent vite d'aplomb... Je saisis ta tête pour m'enfoncer bien loin, reste un moment ainsi enfoncé puis ressors et dis :
"- Allez, montes sur le lit !"
Tu as un peu de mal à cause des lien mais tu y arrives malgré tout. Tu te places en levrette mais tes liens font que ta tête repose sur le lit et que ton cul est bien dressé vers moi. Je monte moi aussi sur le lit, te claque les fesses plusieurs fois. Tu pousses de petits cris. Enfin je viens me placer près de ton visage et tu tend le cou pour me suçoter le gland. Je te laisse faire en te caressant le dos et en te fessant à nouveau. Mon majeur s'enfonce dans ton cul. Puis j'enserre ta tête entre mes jambes, forçant mon sexe à entrer dans ta gorge. Je te fesse à nouveau puis saisit ton cul à pleine main avant de l'écarter. Je commence alors à te lécher la rondelle alors que tu m'aspires de toutes tes forces. J'enfonce trois doigts dans ta chatte. Puis quatre. Je te demande alors :
"- Tu te sens prête pour plus ?"
"- Ummm, ummm !!!"
Je souris :
"- Ca doit vouloir dire oui..."
Je plante ma langue dans ton anus alors que ma main force l'entrée de ton vagin. Tu pousses des hurlements étouffés par ma hampe. Je suis en toi. Mes doigts s'activent alors, je tourne ma main. Puis, lentement, je ferme mon poing. Tu hurles plus fort, tu as du mal à continuer à me sucer. J'enfonce ma verge plus profond dans ta bouche et grommelle :
"- Tu n'aimes pas, ma pute ?"
Tu ne réponds pas mais reprend ta succion avec plus d'ardeur. Je souris :
"- C'est mieux..."
Ta chatte est trempée. La douleur n'a pas l'air de couper court à ton plaisir... Bien au contraire ! Je te donne une bonne claque sur les fesses et sors mon poing d'un coup sec. Nouveau hurlement étouffé. Puis je relâche ta tête, m'éloigne de toi. Je te vois tenter de me suivre, d'avaler à nouveau mon sexe. Je ris :
"- Et ben alors, cochonne, on aime bouffer de la queue ?"
Tu ne réponds même pas, parviens à te tortiller jusqu'à mon gland le lèche avec gourmandise. Je savoure tes caresses quelques instants puis m'éloigne. Tu lèves la tête, tires la langue. Puis tu abandonnes, ton visage retombe sur le lit. Je t'encule alors sans autre préambule. Cela te prend par surprise et tu pousses un cri. Je tire sur ta laisse, tirant ta nuque vers moi, t'étranglant. Ma bite te laboure l'anus. Ton gémissement sort comme un gargouillis. Je relâches la laisse et t'attrape par les cheveux. Tu peux un peu mieux respirer mais ta nuque te fait toujours aussi mal. Je te redresse alors lentement et tu te retrouves finalement assise sur moi, ton propre poids entrainant ma verge loin en toi. Je te prend quelques instants comme ça puis te place sur le dos et te force à passer tes mains derrière ta nuque, tes chevilles accompagnant le mouvement. Tu as mal mais ton regard est toujours brillant de désir. Je te sodomise à nouveau. Je sors parfois ma queue pour te la faire sucer, ce que tu t'empresses de faire avec un plaisir non feint. Enfin je m'arrête et détache tes liens.
Je te regarde t'étirer, relaxant tes articulations endolories. J'écarte doucement ta fleur, te doigte et dis :
"- Ce que tu peux mouiller. Une vraie chienne en chaleur !"
Tu souris :
"- Et si tu me prenais ? Ce serait dommage de gâcher toute cette mouille, non ?"
"- Pas faux. Mais on peut déjà la goûter..."
Je suce mes doigts :
"- C'est un bon millésime... Tu veux goûter ?"
"- Bien sûr !"
Je te regarde :
"- Ok. Dégustation spéciale pour toi !"
Je te plante. Tu pousses un long gémissement de plaisir. Je souris. Je donne quelques coups de hanches. Puis j'approche ma verge de ta bouche. Tu la lèche délicatement. Je demande :
"- Alors ?"
"- C'est dur à dire avec le bon goût de ta verge en même temps..."
Je lui caresse le visage :
"- Petite pute, vas. Tu ne rates pas une occasion de me rappeler que tu aimes mon sexe."
Tu ne réponds pas et me suces.
Je te laisse faire puis je rattache tes poignets et tes chevilles, derrière toi cette fois-ci. Je les croise pour que tu te retrouve complétement cambrée. Je fourre alors mon sexe dans ta bouche et me penche sur ta chatte. Je la doigte un peu puis commence à la lécher. Tu me suces avec ton ardeur habituelle. Ma langue se plante en toi. Tu pousses un gémissement étouffé. Je te lèche et te doigte encore un peu puis me place alors entre tes cuisses. Tu arrives à les écarter malgré l'inconfort de ta position. Je te récompense en t'empalant profondément. Mon sexe glisse tout seul en toi, il est aspiré. On entend même un bruit de succion obscène alors que je commence à te prendre... Tu étais vraiment humide ! Tu ne tardes pas à gémir, crier, hurler ton désir. Et moi je te pénètre toujours plus fort. Je te tire vers le bord du lit, me met debout en maintenant tes cuisses. Tu te retrouves en appui sur tes épaules, ta nuque. Chacun de mes assauts provoque te tire un petit cri de couleur. Mais tu me réclames, encore et toujours. Et je te prends, encore et toujours. Enfin je jouis en toi, je me plante bien profondément alors que ma semence coule en toi.
Enfin je te laisse choir. Tu es si près du bord du lit que tu glisses au sol. J'entends ta respiration hachée, tes légers gémissements de désir. Tu en veux encore plus... Je te caresse du pied. Te pousses pour que tu sois sur le dos. J'observe ton corps, ta poitrine qui se lève et se rabaisse au rythme de ton excitation, ton intimité ruisselante. Mon pied se pose sur ton ventre et j'appuie. Tu pousses un petit cri. Puis je triture tes tétons entre mes orteils. Je les fourre ensuite dans dans ta chatte. Tu cries à nouveau, mais pas pour la même raison... Enfin j'écrase ton visage au sol. Tu me lèches la plante des pieds, me suces les orteils. Je pose alors mon pied sur ta gorge et appuie. Ton visage devient rouge. Je te demande :
"- Tu as aimé, ma pute ?"
Tu hoches la tête vigoureusement. J'ajoute :
"- Tu en veux plus, hein, salope ?"
Ta voix est sourde, étranglée :
"- Oh oui... Je veux ta queue, de n'importe quelle manière, de la façon dont tu voudras. Mais je veux ta queue."
Je souris, relâches la pression :
"- C'est bien, cochonne. J'aime que tu me désires ainsi."
Puis je la regarde et dis :
"- Mais il va falloir attendre mon bon vouloir !"
Elle hoche la tête, cachant difficilement son impatience. Je lui demande alors :
"- C'est où la cuisine ?"
"- Première pièce à gauche quand on entre."
"- Bien, j'ai une petite soif moi. Ne bouge pas surtout !"
Je pars en rigolant : comme si elle pouvait bouger avec ses liens ! Je lui jette un regard. Je sens qu'on va bien s'amuser tout les deux...