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Proposée le 19/11/2009 par Talis Cat
ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE
Récit très cru et très hard, merci de ne pas lire si vous n'êtes pas amateur de ce type d'histoire.
Nous avons passé la soirée dans un petit bar tranquille. On a discuté de tout et de rien. Tu as pas mal bu. A la fin de la soirée je te sentais un peu saoule. Et très chaude. Tu t'es levée et m'as dis sans autre préambule :
"- Faut que j'aille au toilettes. Tu viens m'enculer ?"
J'ai souri : toujours aussi directe. Tu m'excites terriblement quand tu es comme ça. Enfin tu m'excites aussi le reste du temps, d'ailleurs... Je répond simplement :
"- Plus tard."
"- Allez ! Viens m'enculer, s'il te plait !"
Tu me tires par le bras. On dirait une gamine. Enfin une gamine sacrément bien gaulée et accroc au sexe... Je résiste :
"- Non. On fera ça chez toi."
Tu boudes :
"- Bon. Mais je te préviens que je me ferai prendre par le premier venu !"
Tu pars aux toilettes. Je vois un homme te suivre. J'espère qu'il n'a pas entendu la conversation...
J'attends. Tu en mets du temps. Je m'inquiète un peu : l'homme non plus n'est pas revenu. Je me lève et vais alors aussi au toilettes. J'entends ta voix dans celle des dames :
"- Lâches-moi, je t'ai dis non !"
J'entre. L''homme te plaque sur le mur, sa main te caresse l'entrejambe. Il murmure :
"- Arrêtes de résister, t'en as envie, je le sais..."
Je lui tape sur l'épaule, il se retourne :
"- Laisses ma copine, je pense qu'elle a dit non..."
Il grogne, m'adresse un regard noir puis part en refermant sa fermeture éclair. Je te prend dans mes bras. Tu murmures :
"- Merci."
Je dis en souriant, sur un ton moqueur :
"- Je pensais que tu voulais te faire enculer par le premier venu."
"- Oui. Mais pas par lui, il pue l'alcool. Et puis il est violent."
"- T'aimes bien qu'on te malmène pourtant, non ?"
"- Oui, mais pas n'importe comment."
"- Je vois..."
Tu m'embrasses :
"- Et puis ce soir j'ai très envie de ta queue."
Je souris à nouveau et te chuchote à l'oreille :
"- Je pense que je devrais pouvoir arranger ça ..."
Je t'embrasse à mon tour, ta main caresses mon visage. Tu dis :
"- Génial !"
Puis tu t'appuies sur le lavabo en remontant ta jupe et te claques la fesse :
"- Allez ! Au boulot !"
Je te regarde. Tu ne perds pas le Nord... Une femme entre mais tu te contentes de te cambrer un peu plus. Je m'approche, écarte ta culotte, caresse ta fente. Tu soupires. Puis je dis :
"- Désolé, mais il va falloir attendre un peu !"
Puis je ressors te laissant seule et frustrée. J'ai un peu peur que tu ailles t'offrir au premier venu dans les toilettes des hommes mais je me dis que tu seras échaudée par ta dernière expérience. Tu ne reviens pas tout de suite. Je crois que j'ai eu tort d'espérer...
Quand tu reviens tu as l'air déçue. Tu grommelles :
"- Tous des lopettes. Imagines-toi que ce con à pas voulu m'enculer ! J'ai juste eu le droit à quelques doigts. Quand je lui ai demandé de me prendre il m'a demandé qu'on aille s'enfermer dans une cabine. Gros con."
Je soupire de soulagement. Quelle salope tu es quand même... Bon, je l'avoue, j'adore ça... Je ris et dis :
"- Alors je suis une lopette aussi ?"
"- Faut voir... Toi tu as le droit à une deuxième chance. Profites-en !"
"- Ne t'inquiètes pas, tu ne le regretteras pas."
Tu soupires :
"- J'espère !"
Mais quelle chienne ! Je bande grave. Et si je te prenais dans les chiottes finalement ? Non, je me sentirais pas à l'aise, je veux pouvoir te défoncer sans retenue...
Sur le chemin de ton appartement nous sommes silencieux. Mais je sens ton excitation, je devine tes tétons qui pointent à travers ton haut moulant. on a l'impression que quelque chose te gêne entre les cuisses, je suis sûr que tu mouilles d'anticipation... Enfin nous arrivons chez toi. Tu te bats avec ton trousseau de clé. Tes mains tremblent. Je m'amuse de te voir ainsi. Je me place derrière toi, mes mains glissent sur ton corps, je souffle dans ta nuque, te mords le lobe de l'oreille. Je soupèse tes seins, descend entre tes cuisses... Tu gémis. Puis tu t'appuies sur la porte et tu demandes à nouveau :
"- Encules-moi."
Je refuse à nouveau. Tu te redresses me repousses et dis :
"- T'es vraiment chiant avec tes principes à la con ! En plus, tout le monde va m'entendre crier cette nuit, alors on s'en fout qu'ils nous voient !"
Tu n'as pas tort. Je cède, sors ma queue :
"- Suces-moi d'abord."
Tu te jettes à mes pieds, m'avales la bite. Je serre ta tête contre moi, je te sens m'aspirer, me manger le sexe comme une affamée. Ta langue court sur ma hampe. Je suis bien dur. Tu me caresses les couilles. Enfin je ressors ma verge, tu continues à la lécher en me regardant avec un air de chienne en chaleur. Puis tu te redresses. Avant que tu n'ais pu te retourner je t'ai plaquée contre la porte et j'ai écarté ta culotte, mes doigts sont dans ton intimité. Nous nous embrassons alors que mon sexe se glisse en toi. Je te sens te raidir alors que tu serres ma tête contre la tienne. Nos langues, nos salives se mêlent. Je commence à te prendre. Mes mains ses posent sur tes fesses alors que ta jambe passe autour de moi. Tu me regardes et murmures :
"- Umm... Vas-y... Tu sais ce dont j'ai envie..."
Mon majeur glisse dans ton anus alors que tu m'embrasses à nouveau. Je ressors de ton corps, me recule. Tu te retournes et te penches en avant en écartant les fesses. Je pose mon gland sur ta rondelle, le fais légèrement entrer. Poses mes mains sur tes épaules. Tu hurles :
"- Prends-moi fort !"
Je me recules alors et dis froidement :
"- A l'intérieur, salope, vite. Je veux te défoncer le cul... Mais pas ici."
Tu es frustrée, énervée. Mais excitée aussi par le ton autoritaire de ma voix. Tu trouves en fin la clé, ouvres en toute hâte. Tu me tires par le bras et m'amènes vers le salon. La porte reste ouverte. Quand nous passons devant la chambre je m'arrête. Tu tires plus fort, me suppliant :
"- Tu avais promis ! Viens m'enculer !"
Je ne répond pas. C'est à mon tour de te tirer par le bras, sans ménagement. Tu es surprise. Je te serre contre moi et t'embrasse goulument en te doigtant l'anus. Puis je t'entraine dans la chambre et te jette sur le lit. Je me déshabille et dis :
"- Tu voulais ma queue ? Elle arrive."
Je m'allonge sur toi et retire ta culotte. Tu m'embrasse et je suis déjà en toi. Tu dis en rigolant :
"- C'est pas un peu rétro de baiser dans un lit ?"
"- On s'en fout du lieu. Ce qui compte c'est que je te déchire..."
Tu me regardes avec des yeux plein de désir, ta main posée sur mon torse alors que je te lime méthodiquement la chatte. Tu enlèves ton haut et te pétris les seins. Mes doigts sont à nouveau dans ton anus. Je rabats tes jambes contre ton corps. Tu les serres contre toi en souriant, te lèche les mollets. Je te prend toujours plus fort. Tu me regarde à nouveau, veux dire quelque chose. Mais tu te tais. Tu sais que je connais la nature de ta requête. Et que je vais bientôt y accéder... Je me retire et relève ton dos, plaçant tes genoux à côté de tes oreilles. J'observe ton cul, le doigte. Puis je te fais lécher mes doigts. Je me penche sur toi pour t'embrasser. Puis je te claque les fesses et fais le tour de toi. Mon sexe se pose sur tes lèvres. Tu le lèches. Je saisis tes fesses, te lèche avidement la rondelle, te doigte les orifices. Mon sexe vient se planter dans ta gorge et ma langue dans ton intimité. Puis dans ton cul. Tu pousses un gémissements étouffés. Je te pilonne la gorge. Tu me suces de toutes tes forces. Je n'en peux plus : j'ai trop envie de toi. Je fais à nouveau le tour de ton corps. Tu serres tes jambes contre toi, tentes de lever ton fessier plus haut. Tu es frémissante, haletante. Je te mange une dernière fois la rondelle, la doigte, puis je la pénètre violemment. Tu cries :
"- Oh oui !!! C'est trop bon !!! J'ai si mal, je sens si bien ta verge qui me dilate ! Défonces-moi !!!"
Je m'exécute. Je peux enfin me laisser sans retenue et je ne me gêne pas pour me faire. Je libère toute ma frustration accumulée lors de la soirée. Je te hurle dessus :
"- Alors comme ça on préférait les autres bites, salope ? On voulait se faire enculer par d'autres ? Pourtant tu as l'air d'aimer, cochonne !"
"- Oh oui, j'adore quand tu me défonces comme ça. Et j'adore te faire enrager pour que tu te défoules dans mon cul après..."
Je me penche sur toi et dis :
"- Je t'aurais déchirée de toutes manières. Ton cul m'excite trop pour que je me retienne..."
Je t'embrasse fougueusement. Puis je ressors de ton cul et viens fourrer mon sexe dans ta bouche. Tu le suces. Je maintiens ta nuque et dis :
"- Tu sens comme je suis excité pour toi ? Suces-moi bien et je te ramonerai encore plus fort."
Tu me suces avec l'énergie du désespoir. Je replonge dans ton anus. Je te regarde. Tu me souris. Je te crache au visage. Tu as un mouvement de recul puis tu ouvres grand la bouche. Je pose ma main sur ta gorge et serre fort. Je laisse un filet de bave couler de mes lèvres vers les tiennes. Tu lèche ma salive qui coule sur toi. Puis je te crache dessus à nouveau en murmurant :
"- Sale chienne..."
Je relâche ta gorge et ma queue retourne se fourrer dans ta gorge. Je n'arrive pas à t'étouffer malgré tout mes efforts : tu as trop faim pour ça. Lorsque je ressors ma hampe tu la lèches. Puis mes couilles. Je m'assoie sur ton visage et tu me lèches le cul. Je te laisse faire en caressant ton visage. Puis je retourne entre tes fesses. Je te lime avec ardeur. J'attrape tes cheveux et ramène ta tête vers moi... Tu pourrais presque te lécher la chatte... Je dis :
"- Ton cul est déjà si dilaté, mon sac à foutre, un vrai boulevard. On sent bien que tu as l'habitude... Et que tu adores !"
Tu ne réponds pas mais hoches la tête vigoureusement. Je te crache à nouveau au visage :
"- Tu veux un joli masque de beauté ?"
Nouveau hochement de tête enthousiaste. Je souris. Puis je sors ma queue et jute presque instantanément. Tu bouges ta tête pour bien en recevoir partout. Puis je te fais suçoter mon gland. Nous échangeons un regard brûlant. Puis tu fermes les yeux et m'avales à nouveau profondément. Je soupire :
"- Sacrée salope... Qu'est-ce que tu aimes la bite, c'est dingue !"
Enfin nous nous allongeons côté à côte et je caresse tes formes. Nous sommes en sueur. Je t'embrasse. Tu as un goût de sperme dans la bouche. Je murmure :
"- Tu en reveux, hein ?"
Tes yeux plein de désir réponde à ma question. Je me lève alors. Tu me demandes :
"- Tu me laisses ? Tu ne veux plus me défoncer ?"
Je souris :
"- Si, mais je dois aller pisser d'abord."
"- Restes ici, je suis là pour ça..."
Je souris à nouveau. Tu t'agenouilles sur le lit et je t'urine dessus. Tu te cambres, places ton visage sous le jet. Cela lave les traces de spermes qui parsemaient ton visage. Je te regarde. Tu me suçotes le gland, le léchant délicatement pour le nettoyer. Je soupire :
"- On en a foutu partout... Va falloir changer les draps."
Tu me fais durcir dans ta bouche. Puis tu me dis en me branlant :
"- C'est vrai. Mais d'abord..."
Je ris et dis :
"- Je t'encule, c'est ça ?"
Tu ne réponds pas mais avales ma queue, aspires puis la laisses ressortir avec un bruit de succion tout en me regardant. Je te mets sur le ventre et entreprend de te sodomiser sans plus de préparation. Il n'y en avait pas besoin d'ailleurs, si j'en juge à tes cris de plaisir. Tu m'excites tellement que je ne tarde pas à sentir à nouveau ma sève monter...
Mais je ne veux pas céder aussi vite. Je t'attrape alors par les cheveux et te traine hors du lit. Tu te laisses faire en te débattant faiblement. Mais je sais que c'est plus pour la forme, pour m'exciter. Tu te doigtes d'ailleurs sauvagement alors que je te traine au sol... Nous arrivons à la salle de bain. Je m'arrête un moment, te regarde te caresser. Tu te lèches même les seins, pourtant encore collant de mon urine. Je me dirige vers la douche et te jette dessous avant d'allumer l'eau. Tu pousses un cri. Je te dis juste :
"- Laves-toi, sale truie, frottes-toi bien. Après je t'enculerai."
Tu me regardes. Tu lèches tes lèvres, te suces les doigts avant de les fourrer dans ta chatte, dans ton cul. Puis tu frottes tout ton corps d'une manière terriblement érotique. Je n'y tiens plus. Je me jette sur toi et te prend. Tu me caresse le dos, m'embrasse. Mais je dis :
"- Continues à frotter. Je ne t'ai pas encore enculée que je sache."
Tu obéis en subissant mes assauts. Puis je te fais sucer ma queue. J'ai complétement oublié que j'avais fait ça pour gagner du temps... Tant pis, j'ai trop envie de toi, tu m'excites trop à être aussi chienne. Et puis je compte sur ta capacité à me faire durcir encore et encore... La nuit et loin d'être finie ! Sans compter la journée qui suivra... Je t'attrape par la gorge, te relève. Tu as du mal à respirer, tu tentes de desserrer mes doigts. Je te crache au visage puis je t'embrasse brutalement. Je te prend contre le mur. Quand tu peux à nouveau respirer la seule phrase qui te viens à l'esprit est:
"- Tu devais pas m'enculer à la fin ?"
Je souris, te retourne et te plaque contre le mur en appuyant sur ta nuque. Tu tentes malgré tout de te cambrer, de m'offrir ton cul. Comme si j'avais besoin de ça pour vouloir te déchirer... Je murmure :
"- Tu as raison, ma chienne. Tu as bien fait de m'y faire penser..."
Je te prend alors et tes hurlements de plaisir résonnent dans l'appartement ...