une affaire en or (I)

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Proposée le 15/11/2009 par anphets

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- Ecoute, Carole, c'est une affaire en or ! Je ne peux pas la louper, surtout dans la situation actuelle de la boîte.
- D'accord, mais tu aurais pu me demander mon avis avant ! C'est un peu gonflé d'inviter tes clients à bouffer à la maison. C'est pas toi qui fait la cuisine et c'est pas toi qui va tout préparer !
- Ma chérie, tu as raison, je suis vraiment désolé... Mais je sentais que le truc pouvait me filer entre les doigts. J'ai préféré leur forcer un peu la main. Je ferai une démonstration sur mon portable, on sera bien à la maison pour discuter tranquillement.
- Mouais... et combien ils sont ?
- Deux. Le Chef du service informatique, et le Directeur des achats.
- Et alors ?
- Tu rigoles ? Tu sais ce que c'est, cette boîte ? Plus de 10 000 personnes rien que pour les sites en France !
- Ah...
- Si j'arrive à leur vendre le progiciel, je suis tranquille pour un moment, rien qu'en maintenance. Sans parler du bouche-à-oreille derrière. Ça pourrait enfin faire décoller mon business, tu comprends... En trois ans d'activité, c'est pas encore trop trop ça... mais tu le sais aussi bien que moi.
- Oui... bon... d'accord pour cette fois, mais ne me refais plus ce coup-là ! Déjà que tu passes trop de temps au bureau, si c'est pour que le boulot s'invite chez nous, merci bien...
- Merci, ma chérie. Tu verras, si tout se passe bien...
- Ne t'inquiète pas...

Carole sourit gentiment à son mari Stéphane. Depuis le temps qu'il lui parlait de cette fameuse affaire... Depuis le temps qu'il ramait pour maintenir sa petite start-up à flots... Elle pouvait bien faire une petite entorse aux règles familiales et accepter d'accueillir des clients « si importants »...

***

Le jour J, Stéphane rentra exceptionnellement tôt de son bureau : 19h... Lorsqu'il franchit la porte, il avait toujours le même air préoccupé de la prochaine idée géniale en train de germer dans son esprit inventif... mais aujourd'hui, il semblait surtout très excité. Il appela sa femme :
- Carole ? C'est moi !
- Oui, mon chéri ? Je finis de me préparer. Tu les as bien invités pour vingt heures ?
- Vingt heures oui, c'est ça. Tout est prêt ?
- Mais bien sûr mon chéri, ça mijote. Il n'y a plus grand'chose à faire.

Stéphane passa faire un tour dans la cuisine. Comme d'habitude, tout était parfaitement en place. Un fait-tout répandait un agréable fumet à travers la pièce. Il se détendit un peu et passa dans la salon, où la table était impeccablement dressée. La table basse était également prête pour l'apéritif... Tout était parfait.
Il s'engouffra alors dans le petit bureau attenant pour y installer son PC pour la démonstration.
Quelques minutes après, la voix de sa femme l'arracha à ses vérifications attentives :
- C'est bon ? Tout va bien ?
- Euh, oui, je...

Stéphane n'avait que machinalement tourné la tête vers sa femme mais il s'arrêta net en la regardant.
- Tu t'habilles comme ça ?
- Ben, euh... oui... je ne te plais pas ?

Elle avait opté pour une petite jupette bleu nuit qui mettait en valeur sa taille fine et ses fesses rebondies et lui donnait un air juvénile et estival tout à fait ravissant. Ses jambes étaient gaînées d'une discrète paire de bas. Elle avait mis de très jolies chaussures à talons, assorties à sa jupe. Elle arborait un élégant chemisier blanc, dont la coupe faisait ressortir sa très jolie poitrine. Elle avait ramené ses longs cheveux blonds en un savant chignon, dégageant superbement sa nuque. Enfin, elle avait mis un soin tout particulier à son maquillage.
Elle était tout simplement éblouissante, toute en simplicité.
Stéphane répondit après quelques instants :
- Euh... si... mais c'est pas un peu... trop...

Carole semblait effondrée.
- Trop quoi ?
- Eh bien... non, écoute, tu es superbe... je... euh... on voit ton soutien-gorge, là...
- Ah bon ?

C'était un peu vrai : dans la lumière assez vive du salon, le tissu du chemisier était trop fin pour dissimuler la belle dentelle noire. Carole regarda dans une glace et eût l'air un peu déçue.
- Tu as raison... d'un autre côté, toutes les femmes mettent un soutien-gorge, celui-ci est mon plus joli... et je n'ai pas grand'chose d'autre à me mettre, à part un pull...
- Tu ne crois pas que c'est un peu... gênant ?
- Mais non, mon chéri... et puis, comme ça, je serai prête pour fêter ta réussite quand ils seront partis, hmm ?

Elle vint se coller contre son mari et lui mit la main aux fesses avec un petit air coquin. Stéphane se raidit un peu et se renfrogna en bougonnant :
- oui, enfin... c'est pas encore fait... il ne faut pas qu'il y ait de problème, ce soir...
- Oh là là... grincheux, va !

Carole prenait le parti d'en rire, mais elle était un peu déçue que son mari ne l'ait pas trouvée à son goût. Elle comprenait qu'il était accablé par le souci, mais depuis le temps qu'il avait monté sa boîte, la situation ne s'arrangeait guère, et leur relation en pâtissait forcément.
Elle repartit en cuisine pour surveiller son repas.

Il était vingt heures à peine passées lorsque la sonnerie de l'entrée retentit. Stéphane jaillit de son bureau comme un diable et se rua vers la porte en claironnant : « Carole, ils sont là ! ».
C'était eux, en effet.
Carole sortit tranquillement de la cuisine après avoir soigneusement ôté et remisé son tablier.
Stéphane était déjà tout empressé.
- Eh bien... voilà... bienvenue... je vous présente mon épouse Carole. Carole, voici M.X, le Directeur des Achats, et M.Y, responsable du service informatique
- Enchantée...

Toute souriante, Carole détailla les deux personnes que son mari venait de lui présenter. Le premier était un homme élégant d'une cinquantaine d'années aux cheveux poivre et sel, très grand et physiquement très bien bâti. Il arborait en permanence un charmant sourire et Carole ne put s'empêcher de le classer dans la catégorie des « beaux mâles ». Ses yeux gris acier la fixaient avec un calme et une douceur qui la faisaient fondre. Il lui tendit en souriant une immense gerbe de fleurs et lui dit :
- Tout le plaisir est pour moi, Madame. Je me suis permis de vous apporter ceci, ce n'est pas grand'chose mais...
- Oh ! Merci beaucoup, Monsieur, elles sont superbes !
- Pas autant que vous, Madame, vous êtes ravissante. Mais, s'il vous plaît, appelez-moi Pierre !

Le second était vraiment très différent. De taille moyenne, l'allure plus jeune (une petite quarantaine peut-être) et plus athlétique, il avait les cheveux très noirs, les yeux sombres, la peau hâlée, type méditerranéen. Il était vêtu de manière plus décontractée, et son élégance était un peu plus affectée. Son sourire était un peu plus commercial mais c'était aussi un très bel homme, quoique dans un style très dissonant de celui de Pierre. Catégorie pour catégorie, Carole le rangea immédiatement dans la case « dragueurs »... Il la fixait intensément depuis son arrivée, et ses yeux noirs brillaient en la détaillant. Il se présenta également :
- Bonsoir, Carole, appelez-moi Marc.

Il s'avança vers elle, lui saisit le bras et, aussi spontanément que s'ils se connaissaient depuis longtemps, lui fit la bise. Carole rougit un peu mais se laissa faire. Elle repartit promptement à la recherche d'un vase pour les fleurs. Marc la suivit des yeux sans vergogne et admira avec convoitise le déhanchement naturel de la jeune femme.
Stéphane s'était affairé à placer les vestes et leur dit :
- Bien, bien, messieurs... nous allons commencer par un petit apéritif, je vous en prie, asseyez-vous... que puis-je vous servir ?

De la cuisine, Carole regardait avec un brin d'amusement son mari papillonner autour de ses clients. Elle comprenait à quelle point cette invitation était importante pour lui. Elle, de son côté, s'était préparée à une soirée barbante, mais elle été déjà toute consolée par la seule présence de ces deux charmants invités.
Lorsqu'elle revint au salon, les bras encombrés du fameux vase débordant des fleurs, les hommes étaient déjà servis et avaient entamé la conversation sur un ton badin. Carole vint s'asseoir sagement à côté de Stéphane et ce fut Pierre qui lui dit :
- Carole, vous n'êtes pas servie ! Vous désirez quelque chose à boire ?
- Oui, oui, merci, mais je vais me servir, ne vous inquiétez pas

Carole était flattée de l'attention du beau quinquagénaire. Elle était également gênée du regard de Marc, qui semblait véritablement fasciné. La conversation, parfaitement conventionnelle, consista pendant quelques minutes à s'extasier sur la décoration de la maison - superbe - et autres considérations polies. Carole précisa qu'elle ne travaillait pas en ce moment, qu'ils n'avaient pas d'enfants (« hélas ! »), etc etc. Par courtoisie les questions furent renvoyées. Marc se dit célibataire (« j'en étais sûre » se dit Carole) et Pierre avait deux grands enfants, partis de la maison il y a plusieurs années, mais était veuf depuis 5 ans. Carole sembla sincèrement émue mais Pierre lui répondit avec le même doux sourire :
- vous savez, cela arrive forcément un jour ou l'autre. Elle souffrait tellement à la fin... et puis, l'important, c'est que nous ayons vécu de belles choses.
- Vous n'avez pas voulu refaire votre vie ? reprit Carole
- Ma foi, non. Je n'ai pas vraiment eu l'occasion, il faut dire... mon travail est assez prenant...
- Ah ça ! Pour Stéphane, c'est pareil...

Les deux invités rirent gentiment mais Carole regretta presque immédiatement sa remarque spontanée. Stéphane n'en semblait aucunement vexé, mais il en profita pour orienter la conversation :
- En effet ! Mais ça en vaut la peine, je crois. D'ailleurs, puisqu'on en est au travail...

Les hommes commencèrent alors à discuter « affaires ». Carole piqua du nez dans son verre, se maudissant intérieurement de s'être ainsi enfermée. En relevant les yeux, elle remarqua que Marc la regardait toujours avec insistance, en particulier ses jambes. Il semblait se demander si elle avait des bas ou non. Lorsqu'il se vit repéré, il lui adressa un franc sourire charmeur et un discret clin d'oeil mais continua à la regarder avec gourmandise. Malgré elle, elle sentit une intense chaleur commencer à envahir son bas-ventre...
Au bout d'une dizaine de minutes, elle se décida à se lever pour aller vérifier en cuisine que tout se passait bien. Elle sentait le regard de Marc sur elle, ce qui l'excitait de plus en plus. Seule dans sa rêverie, elle s'imaginait dans une autre vie, il lui faisait une cour empressée...
Elle revint toujours aussi souriante, et se permit d'interrompre la discussion :
- Excusez-moi, messieurs, voulez-vous que je vous serve autre chose ?

Cette proposition fut accueillie avec satisfaction par tout le monde, et Carole commença à remplir les verres. Alors qu'elle servait un nouveau Porto à Pierre, elle eut l'impression que Marc lui frôlait la cheville en prenant son propre verre. Elle eût un frisson et le regarda mais lui semblait à présent absorbé par la conversation qui avait repris.
Elle regagna la cuisine en se traitant de midinette... elle était à présent plus qu'émoustillée et, elle en était sûre, son entrejambe s'était légèrement humidifié...

Elle revint une nouvelle fois et vint dire à l'oreille de son mari « il faudrait qu'on ne tarde plus trop à passer à table, mon chéri ». Stéphane s'interrompit et dit alors à ses deux interlocuteurs :
- Eh bien, messieurs, nous allons pouvoir poursuivre cette discussion à table !

Pierre et Marc se levèrent tranquillement mais Pierre objecta tout de même :
- Très bien mais, Stéphane, de grâce, nous n'allons pas parler affaires toute la soirée et délaisser ainsi votre charmante épouse ! Vous nous avez déjà apporté beaucoup d'éléments... et puis vous pourrez nous faire une démonstration tout à l'heure, n'est-ce-pas ?
- Euh... oui... certes, certes...

Les trois hommes s'étaient attablés et défaisaient soigneusement leurs serviettes. Pierre s'exclama :
- Félicitations, Carole, votre table est somptueuse.

Carole revenait déjà de la cuisine, les bras chargés d'une grande soupière. Elle rosit de plaisir en entendant la délicatesse de Pierre. Stéphane se permit de demander à son épouse :
- Chérie, que nous as-tu préparé de bon ?
- Ah ah ! Surprise... c'est une soupe, une spécialité de chez moi... je vous laisse deviner ce qu'il y a dedans. Attention, c'est très chaud.

Elle commença par servir Pierre, puis se tourna vers Marc en remplissant une nouvelle louche. A ce moment, elle sentit une main s'insinuer entre ses cuisses et remonter tranquillement jusqu'à la couture de bas. Elle fut comme prise de panique et perdit tous ses moyens. La louche lui échappa des mains et son contenu brûlant se renversa sur Marc.
Celui-ci ne put réprimer un cri de douleur et se leva brusquement de sa chaise. Son pantalon et le bas de sa chemise étaient maculés.
Stéphane avait bondi presque aussi vite et se précipitait vers lui en invectivant sa femme :
- mais ça va pas, qu'est-ce qui te prend ? Ça va, M. Y ? OH là là... Mais Carole, bouge-toi, bon sang, va chercher quelque chose !
- Mais je... je... oui... je reviens

Carole partit chercher quelques serviettes et revint promptement, le visage empourpré. Stéphane semblait hors de lui.
- je suis vraiment désolé, M.Y... Carole, vraiment, c'est n'importe quoi...

Il semblait se retenir de l'insulter. Il enchaîna :
- Bon, euh... écoutez, je vais vous passer des affaires à moi, on va passer les vôtres à la machine, avec le sèche-linge, tout sera rentré dans l'ordre en fin de soirée. Mais Carole, remue-toi un peu, ne reste pas plantée comme ça !
- Stéphane, voyons...

Pierre venait d'intervenir au bon moment face à un Stéphane qui semblait sur le point d'exploser ; Carole lui adressa un regard éperdu de reconnaissance. Elle s'enfuit par l'escalier en direction de la chambre, afin d'aller chercher des affaires propres. Elle les déposa dans la salle de bains et retourna au salon.

Stéphane la fixait d'un regard furieux, et Marc semblait plus gêné que contrarié. Elle vint à lui et lui dit :
- Excusez-moi, monsieur, je suis confuse... Passez-donc vous changer à la salle de bains, j'ai préparé des vêtements. Je m'occuperai des vôtres après.

Alors qu'elle indiquait la direction de la salle de bains, Pierre chercha à détourner Stéphane de sa blanche colère :
- Stéphane, calmez-vous, ce n'est pas si grave... A quelque chose malheur est bon, vous allez me montrer votre petite merveille...

Stéphane adressa un dernier regard courroucé en direction de son épouse et partit avec Pierre dans le bureau.
Carole était morte de honte et s'affaira pendant une ou deux minutes à réparer les dégâts sur le sol, la chaise et le bord de la nappe. Elle entendit soudain la voix de Marc qui appelait discrètement.
Elle s'essuya les mains et monta l'escalier en disant :
- Vous avez fini ? Je mets vos affaires à laver, alors...

La porte de la salle de bains était entrebaîllée et elle ouvrit machinalement. Marc commençait à peine à lui répondre :
- Non, non, excusez-moi, mais...
- Oui ?
- Je... je crains que ce slip ne soit un peu étroit pour moi...

Instinctivement, Carole avait baissé les yeux et elle tressaillit lorsqu'elle vit l'entrejambe de Marc : libéré de toute entrave, il arborait une verge de taille réellement impressionnante. Elle bégaya...
- Oh... Je... en effet... comment...

Marc ne lui laissa pas le temps d'achever sa confuse question, et partit d'un petit sourire :
- Comment ? Mais c'est vous, ma chère, qui m'avez mis dans cet état... Mais vous comprenez bien que je ne peux pas revenir comme ça... Il va falloir que vous fassiez quelque chose...
- Moi ?... mais je...

Carole était comme hypnotisée par le membre turgescent. Presque mécaniquement, elle était entrée dans la salle de bains. Marc tendit la main et lui saisit l'avant-bras.
- Allez, ne soyez pas timide... Je suis sûr qu'elle vous fait envie... et puis, vous me devez bien ça...
- Marc, voyons, je...
- Ecoutez Carole, je ne vais pas me couvrir de ridicule en retournant au salon comme ça ; votre mari était déjà très contrarié de votre petite bourde, vous savez pourquoi... Alors, soyez gentille...

La visage de Carole avait rougi, sans qu'il soit possible de savoir si c'était la situation qui l'émoustillait ou bien l'allusion à peine voilée de Marc, qui poursuivit :
- Je suis sûr que vous saurez faire quelque chose pour me calmer, Allez, venez...

Elle se rapprocha un peu de lui et bredouilla :
- Vous... vous ne direz rien à Stéphane, c'est promis ?
- Voyons, Carole, vous me prenez pour un goujat ?
- Bon, euh... je... d'accord, mais... juste un peu, alors...

Elle s'agenouilla aux pieds de Marc et caressa ses jambes en regardant le pénis raide et dur. Sa main s'immisca timidement entre les cuisses de Marc, passa sous les testicules et remonta lentement jusqu'au gland. Elle s'empara presque religieusement de l'énorme matraque qui tenait presque à la verticale, et se mit à la caresser avec une grande douceur.
Après une minute de ce traitement, elle s'avança encore un peu et sa bouche remplaça sa main. Du bout de la langue, elle parcourut le long de la tige rougie par l'excitation, qui semblait prête à exploser. Marc ponctua son initiative par un grognement satisfait.
Toujours avec la langue, elle chatouillait et titillait la fente du gland toute dilatée et toute luisante de liquide séminal, puis elle redescendit, explorant chaque parcelle de peau du gland à la base. Elle s'attarda sur la racine pour lécher les testicules, pendant que sa main droite continuait à oeuvrer et à caresser doucement la base du gland : elle y mettait une incroyable application, comme pour contrôler la montée du désir de Marc.
Sa main et sa langue poursuivirent leur mouvement, se croisant et se recroisant savamment sur la hampe, titillant le gland puis redescendant, léchant et caressant toujours avec soin le sexe érigé. Marc semblait bouillir intérieurement, son envie se faisait de plus en plus pressante : il lui fit comprendre ce qu'il désirait en plaçant doucement sa main droite derrière sa nuque :
- ma chère, votre caresse est exquise mais il faudrait passer aux choses sérieuses...

Pour la première fois, elle leva les yeux vers lui et lui jeta un regard pétillant de malice tout en se passant la langue sur les lèvres, avant de les poser sur l'extrêmité de la verge. Elle lécha soigneusement l'énorme bourgeon, puis ses lèvres se détendirent, s'arrondirent et s'avancèrent sur la lance de chair. Elle fit entrer tout doucement le gland dans sa bouche chaude et humide. Elle s'immobilisa un instant, comme songeuse, mais sa langue restait en mouvement, s'enroulant autour du gland, arrachant un soupir d'aise à Marc. Elle refit sortir le gland tout en continuant à l'agacer de sa petite langue agile. puis elle reprit la queue en bouche et commença un petit mouvement de va-et-vient, absorbant à chaque fois un peu plus de la tige entre ses lèvres accueillantes. Sa tête se balançait d'avant en arrière le long de la verge tandis que ses mains, à présent plaquées contre les fesses de Marc, le poussaient vers sa bouche. Elle était à présent totalement dévouée à son ouvrage : le visage détendu, les yeux fermés, ses lèvres gourmandes coulissant sur la hampe, sa bouche merveilleuse absorbant avec application le membre de Marc ; sa poitrine se balançait sous le chemisier au rythme de la fellation.
De temps à autres, elle reprenait sa respiration, maintenant de sa main une délicate caresse sur le membre luisant pendant quelques secondes, avant de le reprendre en bouche à nouveau. Après quelques minutes de ce traitement, Marc semblait aux anges et commençait à lâcher quelques commentaires décousus et un peu inutiles.

Malgré la taille de l'engin, elle l'avait à présent pris aux trois-quarts ; cela paraissait presque invraisemblable, comme un pieu que sa bouche aspirait comme une chatte en chaleur. Elle le suçait très lentement, comme si ses mouvements avaient pu être perçus par quelque observateur caché.
Elle poursuivit tant et si bien qu'elle finit par le prendre complètement dans sa bouche, arrachant à Marc un râle : sa queue était pourtant énorme, grosse et noueuse et il sentait que le gland devait être engagé dans sa gorge.
Elle retira très lentement la queue de sa bouche et reprit ses coups de langue en minaudant :
- Hmm... ça vous plaît ?
- Carole... on ne s'est jamais aussi bien occupé de moi...
- Je suppose que c'est un compliment...

Elle le reprit à nouveau jusqu'au fond et commença à le pomper consciencieusement, en faisant tourner sa bouche.
Elle l'expulsa une nouvelle fois et recommença ses coups de langue :
- je ne vous fais pas mal ? Je fais de mon mieux, vous savez... je n'ai pas l'habitude d'une si grosse...
- tu suces très bien, Carole, continue !


Galvanisée par cette réponse, elle accéléra le rythme ; entre deux mouvements, elle lui lançait un petit regard mutin. Elle lâcha prise un instant, parcourut le sexe de sa langue, allant de bas en haut sur la hampe, puis le reprit en bouche comme si elle avait décidé de le dévorer. Elle suçait à présent avec ardeur, imprimant une cadence de plus en plus soutenue. Marc avait énormément de mal à se contrôler, le plaisir montait manifestement en lui : il plaça ses deux mains sur ses cheveux pour l'aider dans son mouvement mais ce n'était pas nécessaire, elle se débrouillait très bien toute seule. Elle aussi sentait le plaisir arriver, elle ne lui laissa aucun répit, le pompant à présent avec voracité. Son sexe coulissait de plus en plus vite dans sa bouche, les bruits de succion se firent de plus en plus rapides. Elle pressa sa tête contre son torse, ses douces lèvres se resserrèrent sur un membre prêt à éclater. Soudain, Marc se raidit puis explosa :
- Rahhh... putain ! Ca y eeeest !!

Carole sembla prise au dépourvu, elle n'avait pas eu le temps de faire le moindre mouvement qu'une énorme quantité de sperme lui avait déjà inondé la gorge. Elle se recula aussi vite qu'elle le put et la bite surgit, éclaboussant de sperme son visage et ses cheveux.
Marc reprit rapidement ses esprits et dit :
- joli travail, madame... Mais il va falloir nettoyer tout ça, maintenant... sinon je vais tacher le beau pantalon de ton mari !

Carole leva des yeux un peu incrédules sur Marc et comprit alors ce qu'il lui demandait. Soumise, elle reprit le membre tressautant en bouche afin de le lécher consciencieusement. Ensuite, elle alla de sa langue essuyer toutes les coulures de sperme sur les testicules et les cuisses de Marc, qui commenta tranquillement :
- Là... voilàààà... c'est bien... tu fais ça bien, ma petite...

Alors que la queue de Marc perdait un peu de sa fermeté (sans rien céder en proportions), il se saisit d'une serviette de toilette et s'essuya tranquillement. Carole se redressa sans un mot et vint se rincer le visage au lavabo. Marc passa derrière elle et commença à lui caresser les fesses.
Carole lui jeta un regard furieux par la glace et se trémoussa pour manifester sa désapprobation. Marc prit un air sévère et dit :
- Hou là, petite, tout doux ! Je te rappelle que tu dois être très gentille avec moi, ce soir. Sinon...

Carole baissa les yeux. Marc, qui n'avait pas ôté ses mains, reprit :
- D'ailleurs, j'ai un truc pour te rafraîchir les idées : donne-moi ton slip !
- Pardon ?
- Tu as très bien compris : enlève ton slip et donne-le moi !
- Mais... je... vous n'avez pas le droit !

Carole le regardait fixement dans le reflet de la glace, l'air affolé. Marc avait glissé une main sous la jupe et entreprenait de lui caresser la raie des fesses, tiraillant sur la ficelle du string.
- C'est bien ce qu'il me semblait, petite cochonne, tu portes un string ! Ça ou rien... allez, enlève-le, ne te fais pas prier !

Carole ne réagissait pas, et Marc insista encore : de sa main libre il releva franchement la jupe pendant que ses doigts poursuivaient leur fouille intime. Il s'exclama :
- Mais tu es toute mouillée ! Dis-moi, ça t'a plu, notre petite séance, hmm ?
- Je... euh...
- Allez, ne raconte pas d'histoire... tu es trempée... rien que pour ça, il va falloir que tu enlèves ce string... Alors, elle te plaît, ma bite, hein ? Avoue...
- Je... je... (elle finit par murmurer) oui
- Oui, quoi ?
- Oui, ça m'a plu de vous sucer...
- Ah ah ! Et tu n'aurais pas envie de la sentir dans ton ventre, hmm ?
- Arrêtez, maintenant !

Elle s'était retourné, le visage tout empourpré. Comme surprise de sa propre audace, elle reprit l'air penaud et conclut sur un timide ;
- il faut que j'y aille, Stéphane va se demander ce qu'on fait...

Elle avait déjà la main sur la poignée de la porte que Marc dit :
- Tut tut tut... tu oublies quelque chose, ma belle...

Carole sembla ravaler sa salive, comme pour se retenir de répliquer. Elle se raidit un court instant puis, sans se retourner, se contortionna et fit glisser son string le long de ses jambes. Elle le récupéra et, un peu piteusement, le tendit à Marc qui eut un sourire de triomphe :
- C'est bien... merci Carole... du coup, je pourrais montrer à ton mari que tu y as mis du tien pour te faire pardonner, si jamais il t'embête encore...

Marc fourra le string humide dans sa poche en sifflotant...
Carole écarquilla les yeux : elle venait de comprendre la portée de ce qu'il venait de dire... elle n'avait pas imaginé que Marc lui ferait un coup pareil.
Elle ouvrit la porte et s'en alla.

(à suivre)