Vacances de neige -Vendredi

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Proposée le 17/11/2009 par Cidoux

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Michel s'étire. Il regarde sa montre. Les aiguilles lumineuses n'indiquent pas encore huit heures, ils ont le temps. Il étend le bras et rencontre une poitrine. Sa paume se referme sur la douceur d'un mamelon. Françoise grogne. Elle se tourne sur le dos. Michel patouille les deux seins mis à sa disposition. Les tétons se redressent. Il s'amuse à les titiller. Cela agace la jeune femme qui écarte la main importune. Il sourit. D'un doigt, il explore le nombril. Françoise gigote sous la chatouille. Le doigt descend, s'enroule autour des poils, explore la fente et s'attarde sur le clitoris. Elle ne bouge plus, attentive à déguster les frémissements que la caresse fait naître. Il ouvre les lèvres internes qui s'imprègnent de la rosée du plaisir. Le doigt pénètre le vagin. Un spasme de jouissance referme les cuisses sur la main. Michel est surpris de la rapidité de réaction de Françoise, il l'a à peine touchée. Il fouille le sexe de ses doigts prisonniers. La jeune femme serre les lèvres. Elle ne veut pas alerter ses amies, Isabelle s'est suffisamment moquée d'elle cette nuit. Elle se cambre. Ses fesses décollent presque du drap. Puis la vague du plaisir retombe, laissant la jeune femme satisfaite.

Annie se réveille en sursaut. Quelle heure est-il ? Pas question d'arriver en retard au départ de la promenade ! Le moniteur a averti qu'il n'attendra pas les retardataires. Elle tourne en silence dans la chambre, sachant par expérience qu'il ne faut pas réveiller brutalement sa sœur. Zut ! Ses affaires propres sont dans le tiroir sous le lit, elle a oublié de les sortir la veille. Elle tire dessus avec précaution. Le tiroir résiste, elle insiste. Il cède avec un couinement strident qui attire à l'adolescente la réprobation de ses voisines de chambre !
- Tu ne peux pas faire attention !
- On a encore sommeil !

Dans le dortoir, les lits se déplacent, les rideaux se tirent. Annie a réussi à faire lever Sylviane et Isabelle. Michel allume une lampe, il n'aime pas l'obscurité, mais est trop flemmard pour se lever et écarter le rideau. Françoise le regarde. Il sourit. La jeune femme fond au souvenir de la séance de la veille. Un frémissement la parcourt en se rappelant leurs prouesses sexuelles. Comment le remercier ? s'interroge-t-elle. Elle s'enfonce sous le drap, et malgré les efforts du jeune homme, enfourne dans la bouche, la queue déployée. Il regarde sous le drap. Françoise s'active. Elle lui fait signe de se taire sans cesser de le pomper. Il s'abandonne à la caresse, savourant la montée de la jouissance qui grimpe dans la tige de chair. Avant qu'elle n'éclate, il veut se retirer de la bouche avide. Françoise résiste et l'oblige à décharger entre ses lèvres. Il l'entend déglutir ce qui accroît son plaisir. Elle lèche consciencieusement la tige avant d'émerger.
- Embrasse-moi, demande-t-elle.
Il trouve un goût bizarre au baiser, Le goût de son sperme, pense-t-il. Bizarre mais non désagréable.
- As-tu aimé ?
- Oui, tu es formidable !
Il l'enserre dans ses bras. Elle se dégage.
- Laisse-moi me lever s'il te plaît.
La jeune femme sort du lit. Ses fesses dansent quand elle ouvre la porte de la cloison qui les sépare de l'autre pièce.
- N'as-tu pas honte de te balader à poil ? lui reproche Sylviane.
- Non, pourquoi ? Je suis bien ainsi.
Annie admire la poitrine de leur amie. Elle l'envie, elle aimerait avoir de tels seins, sans se rendre compte que leur volume serait disproportionné sur son torse d'adolescente. Elle entre dans la chambre de Michel.
- Tu es tout nu toi aussi ?
- Tu veux voir ?
Il ébauche le geste de se découvrir.
- Non, non !
Elle s'enfuit. Michel respire. Qu'aurait-il fait si elle avait dit oui ? Il préfère ne pas y penser. Il trouve un caleçon dans le placard. Il replie la cloison mobile. Sylviane fronce les sourcils.
- Tu pourrais t'habiller un peu plus ! Tu n'es pas correct.
- Je suis aussi correct que sur une plage !
- Oui acquiesce Annie, il n'en montre pas plus.
- Veux-tu te taire et t'habiller ! commande sa sœur. Cette gamine me rendra chèvre, ajoute-t-elle.
- Bah ! Ça lui passera ! sourit Isabelle.

Annie équipée de pied en cap leur dit au revoir. Ils n'ont pas fini de déjeuner.
- A cet après-midi.
- Sois prudente !
- Je ferai bien attention n'aies crainte.
Sylviane regarde la porte refermée Elle n'est pas tranquille.
- Il ne faut pas avoir peur, tu la reverras saine et sauve ce soir.
Elle regarde Michel l'air mauvais puis efface les rides de son front. Il est sincère et ne se moque pas d'elle.
- Bon, mesdemoiselles, ce n'est pas tout, mais demain il nous faut vider les lieux.
Elles lui en veulent de leur rappeler que le travail les attend la semaine prochaine.
- Comptez-vous faire un peu de ski avant de quitter la station ?
- Quand ? Demain ?
- Oui.
- Je croyais que nos forfaits n'étaient valables que six jours ? s'étonne Françoise.
- C'est vrai, je n'y pensais plus. On peut en acheter pour la demi-journée si vous voulez ?
- Cela ne me tente pas, affirme Sylviane. Et vous ?
- Non !
- Moi non plus.
La cause est entendue. Michel s'essuie la bouche.
- Bon, ben nous rendrons les skis et chaussures en fin d'après-midi dès le retour d'Annie. Inutile de payer une demi-journée supplémentaire de location. En attendant, je vous propose une virée pour le dernier jour, puisque nous n'avons pas à nous préoccuper de la gamine.
- Où tu nous emmènes ? interroge Françoise.
- J'ai envie de vous conduire à Châtel, la station voisine d'Avoriaz. On pourra y déjeuner.
- C'est loin ? s'inquiète Sylviane.
- Non, moins de deux heures à ski, par des pistes pas trop dures et c'est moi qui te le dit, pas Françoise, ajoute-t-il à l'intention de la jeune femme.
- Va pour Châtel, tranche Isabelle, mais n'oublie pas de nous dire combien nous te devons pour le séjour, j'y tiens, n'est-ce pas vous autres ?
- On fera les comptes ce soir avant d'aller au restaurant, promis. Filez toutes les trois dans la salle de bain. C'est mon jour de bonté, je débarrasse la table.
- Vite, vite les filles avant qu'il ne change d'avis.
Elles se précipitent joyeuses et claquent la porte.

Il remplit le lave vaisselle qu'il met en route. Les rires éclatent dans la salle de bain. Il soupire. Déjà le dernier jour ! Il va les regretter ses colocataires !
- Michel ! hèle la voix d'Isabelle. Tu peux venir ?
Il se précipite.
- S'il te plaît, frotte-nous.
Evidemment que cela lui plaît ! Les trois femmes, accroupies dans la baignoire présentent leur dos. Il s'agenouille, enduit une éponge de liquide de douche et commence par Françoise. Passant la main libre sous l'aisselle, il empaume un sein. Il se fait rappeler à l'ordre.
- Le dos, s'il te plaît !
- Mais c'est pour me retenir !
- C'est ça, pour te retenir ! Et tu crois qu'on va avaler cette énormité ?
Qu'on le croit ou non, Michel s'en fiche. Il appuie sa caresse sur le téton et patouille le globe tendre. Françoise ne le décourage pas. Il badigeonne le dos tout en caressant la poitrine. Il se déplace à genoux et passe à Sylviane à qui il fait subir le même traitement. Le bout du sein chatouille agréablement sa paume. Au tour d'Isabelle qui accepte sans rechigner la main sur sa gorge.
- Voilà mesdemoiselles, satisfaites ? Je suis à votre disposition.
- Merci, ça suffit, tu peux nous laisser.
Il n'en a pas l'intention. Il se plante devant le lavabo et fait couler l'eau chaude.
- Que fais-tu ?
- Je me rase, n'est-ce pas permis ?
Elles ne répondent rien sachant qu'il ne s'en ira pas. Elles s'aspergent pour ôter la mousse. Isabelle sort la première. Enveloppée dans un drap de bain, elle ceinture Michel par derrière. Il finit de couvrir son visage de mousse avec un blaireau et empoigne le rasoir. La jeune femme le mordille dans le cou et glisse les mains dans le caleçon.
Françoise se penche à l'oreille de Sylviane.
- Une vraie prise de possession n'est-ce pas ?
- On dirait. Tu es jalouse ?
- Non, et toi ?
- Non, laissons-les s'amuser.
Michel se raidit. Il n'ose utiliser le rasoir pendant qu'Isabelle le caresse. Elle se dégage et tape sur les fesses, le laissant sur sa faim.
- Ne soit pas long, on a assez perdu de temps !
Les deux autres femmes se sèchent. Chacune fesse le jeune homme en sortant.
- Eh ! Ça suffit !
- Punition pour tout ce que tu nous as fait subir !
- Quel culot ! Je n'ai forcé personne !
- Que tu dis !

La balade vers Châtel plaît à Sylviane. Les pistes sont de difficultés moyennes, pas trop de bosses, exactement ce qu'il faut le dernier jour pour rester sur une bonne impression. Ils arrivent à midi juste à la petite station. Un bus navette les transporte au centre du village où ils déambulent, les skis et les bâtons à la main à la recherche d'un restaurant. Il y a foule. « Tût, tût ! », Françoise se pousse précipitamment sur le coté. Plusieurs autos les frôlent. Ils sont obligés de marcher en file indienne sur le bord de la chaussée car les trottoirs sont encombrés par les étalages des boutiques.
- Zut ces voitures ! Qu'elles sont pénibles !
- C'est mieux Avoriaz, n'est-ce pas ?
- Tu l'as dit !
Après le repas Michel leur fait découvrir les pistes qui dominent Châtel avant de revenir sur leur pas. A un moment donné, il se retrouve tout seul. Etonné, il se retourne, les trois femmes groupées discutent au milieu de la piste.
- Alors vous venez ?
- Oui, oui, on arrive... Un instant !
Isabelle a ouvert sa combinaison et Sylviane l'aide à remettre de l'ordre dans ses dessous. Michel sourit. Les trois filles forment un bouquet de couleur sur la blancheur de la neige. « J'ai eu une sacrée chance de les rencontrer ! »
Françoise s'élance suivie de ses copines. Michel a un éblouissement. Il s'imagine qu'elles skient toutes nues, aussi nues que ce matin dans la salle de bain. Elles passent en trombe devant lui, fugace vision rose.
- Alors ? Tu rêves ? demande Françoise.
- On dirait qu'il a vu un fantôme, dit Isabelle.
« Tu ne croyais pas si bien dire ! Pas un mais trois », sourit-il.
- Je viens, je viens.
Il les rattrape en deux virages et prend la tête de leur groupe.

Ils ont la surprise de rencontrer Annie au pied de la dernière remontée mécanique, celle qui conduit derrière leur immeuble.
- Vous avez skié ? leur demande la gamine.
- Oui, il n'y a pas que toi qui as ce droit là ! répond Michel.
Annie baisse la tête vexée. Isabelle s'approche.
- Ne fais pas attention à lui, raconte-nous plutôt ta sortie. C'était bien ?
- Vachement ! C'est immense là derrière.
L'adolescente montre le sommet qui domine la station.
- Tu es contente de ta sortie alors, tu ne la regrette pas ?
- Non, non Sylviane, pas du tout. Je me suis éclatée. Vous skiez encore ?
- Non, nous rentrions. Tu continues toi ?
- Non, je suis fatiguée.
Ils s'avancent vers les portillons du télésiège.
- Si nous rendions tout de suite les skis et les chaussures ? propose Michel.
Françoise est catégorique.
- Il faut passer avant à l'appartement prendre nos après-skis. Je ne remonte pas pieds nus !
- Et si j'allais prendre les après-skis dans le studio ? Je vous rejoindrai au magasin de location.
La proposition de Michel emporte l'adhésion. La perspective de trimbaler skis, bâtons et chaussures dans les ascenseurs n'emballe personne. Françoise se récrie :
- Et mon ticket de location ? Ah si ! Le voilà, pas de problème.
Isabelle et Sylviane contrôlent de leur coté.
- Pas de problème, j'ai le mien.
- Pas de problème pour nous non plus, renchérie Sylviane.
Ils se séparent sur la crête.
- On t'attend à la porte du magasin. Vous venez les filles ?
Françoise dévale la pente suivie par les trois femmes. Michel les regarde disparaître et se dirige vers la résidence. Il a la flemme de ranger les skis dans le placard du ski-room. Il n'en a que pour cinq minutes, on ne les volera pas en si peu de temps, décide-t-il. Dans la chambre, il entasse les cinq paires de boots dans un grand fourre-tout dont il passe les anses sur les épaules comme un sac à dos. En attendant l'ascenseur, mu par un pressentiment, il contrôle ses poches. Il a oublié le ticket de location ! Il revient en vitesse au studio et retourne à temps pour prendre l'ascenseur. A son grand soulagement, ses skis l'attendent intacts. Son chargement le déséquilibre un peu mais le chemin n'est pas long pour rejoindre le centre de la station...

Les pieds légers ils réintègrent la résidence. Françoise les abandonne pour faire les dernières emplettes à la supérette.
- Il nous faut une bouteille de lait pour demain matin, s'excuse-t-elle.
Après avoir réglé à la caisse, elle contrôle l'état de la bourse commune. Il y a encore de l'argent. Qu'en faire ? Le partager ? Elle se souvient de la proposition de Michel d'utiliser le solde pour le restaurant de ce soir. Elle sourit, autant d'économisé sur son « gain » de mercredi ! Elle pourra se payer un pull-over en remplacement de celui abandonné chez les Robert, ils lui doivent bien cela !
Elle ne retrouve que Sylviane et Annie devant la télévision.
- Où sont-ils ?
Du menton, Sylviane indique la salle de bain. Françoise acquiesce, elle a compris.
- C'est bien parti pour ces deux là !
- On dirait.
- Qu'est-ce que vous dites ?
Annie se réveille.
- Rien ma chérie, regarde tes programmes.
L'adolescente hausse les épaules. Elle a l'habitude d'être écartée des confidences entre adultes.

Michel et Isabelle se lavent mutuellement dans la baignoire. Leurs gestes sont doux presque chastes. Au début Michel tente des caresses précises. Isabelle le dissuade.
- Plus tard, je t'en prie, attends ce soir.
Ils ne s'embrassent même pas. D'être face à face leur suffit. Il éponge la jeune femme avec une serviette. Il est content et ne se pose pas de question. Il ne sait pas encore qu'il est amoureux. Ils sortent nus de la salle de bain comme s'ils étaient seuls dans l'appartement. Annie, étonnée, ouvre la bouche mais comprend d'instinct que tout commentaire serait déplacé. Ils enfilent leurs sous-vêtements en silence. Ben mon colon ! Ils sont bien accrochés ! pense Françoise qui interroge Sylviane du regard. Les deux femmes se comprennent et se sourient, complices.
- On peut aller sous la douche ?
- Hein ? Quoi ? Ah oui, la place est libre.
- Tu viens Sylviane ?
- Oui... Non, j'irai avec Annie.
- Venez toutes les deux, on se serrera !
Isabelle et Michel s'habillent sans un mot. Des rires et des exclamations fusent en provenance de la salle de bain. Les yeux vagues, ils fixent le programme de télévision pour la jeunesse qu'a abandonné Annie.

Françoise et Sylviane émergent nues. Elles extraient des tiroirs leurs sous-vêtements qu'elles enfilent sans gêne. Cela fait sourire le jeune homme. Elles sont loin les mines empruntées du début de la semaine. Annie pudique a noué une serviette sur sa poitrine. La serviette est un peu courte et couvre à peine le ventre. La jeune fille consciente des regards posés sur ses cuisses, marche droite à petits pas. Elle ose à peine rejoindre son lit et le tiroir qui garde ses affaires et surtout pas se pencher. Michel par discrétion s'éclipse aux toilettes. Il ne veut pas mettre l'adolescente mal à l'aise pour le dernier soir.

Quand tout le monde s'est habillé, le jeune homme s'installe à table un carnet et un crayon en main.
- On fait les comptes voulez-vous ?
Isabelle, Françoise et Sylviane s'assoient à ses cotés.
- Pour le séjour, vous savez ce que vous me devez.
- Oui, acquiesce Françoise, mais je trouve que c'est peu. J'ai demandé le prix à l'accueil, c'est plus élevé que ce que tu nous as indiqué. Nous ne réclamons pas l'aumône, tu sais.
Ses amies approuvent.
- Je ne vous demande que la quote-part de ce que je débourse. Je ne paye que les charges. Je ne vais pas vous réclamer une participation sur ce que je ne règle pas. En plus vous me devez les forfaits et toi Sylviane, les cours de ski d'Annie. Je crois que c'est tout. Ah non ! J'oubliais. Demain à l'accueil je dois régler le téléphone et le passage à la laverie. Nous attendons pour faire les comptes ?
Isabelle n'est pas d'accord.
- Non, je préfère m'acquitter dès ce soir du gros de la facture. Demain on te remboursera en liquide, avec le coût du traîneau, n'est-ce pas ? demande-t-elle en se tournant vers ses amies.
Celles-ci acquiescent en hochant la tête. La jeune femme poursuit :
- Tu as oublié le restaurant de mardi.
- Quel restaurant ? interroge Françoise.
- Tu n'étais pas là.
- Euh... je n'ai plus le ticket.
- Je me souviens, c'était 48 euros. Divisé par quatre, cela fait 12 euros par personne, note !
Il s'exécute, s'embrouille dans les chiffres. Avec toutes ces calculettes on ne sait plus faire une opération à la main, se désole-t-il. Il arrive enfin à un total correct. Il tend à chaque fille un bout de papier.
- Voilà ce que chacune me doit. Comment voulez-vous me régler ?
- C'est tout ? s'étonne Isabelle. Tu ne t'es pas trompé ?
- Recompte si tu veux.
La jeune femme prend le calepin des mains du garçon. Elle pointe chaque dépense, le total est exact.
- Tu acceptes un chèque ?
- Pas de problème !
Elles fouillent dans leur sac et sortent chacune leur carnet. Michel met de coté les chèques dans son portefeuille.
- Merci. On va au restaurant ?
- Si tôt ?
- Je préfère, on est plus vite et mieux servi. Quand il y a trop de monde il faut attendre une éternité !
- Avant permets-nous de te remercier, déclare Isabelle, approuvée par ses compagnes.
- De quoi ?
- De nous avoir offert de si belles vacances.
- Et d'une, je ne vous les pas offertes, et de deux, ce serait à moi de vous remercier d'avoir égayé de votre présence mon petit appartement.
- Tu mérites qu'on t'embrasse.
Chaque femme défile. A à tour de rôle, il les serre contre sa poitrine et prend les lèvres qu'elles ne lui refusent pas.
- Et moi ? On ne m'embrasse pas ?
Annie se place devant Michel. Il la maintient aux épaules et claque deux bises, une sur chaque joue. La gamine est déçue.
- C'est tout ?
- Oui, c'est tout, dit-il en la retournant et la poussant par les fesses. Habillez-vous, il est temps de partir. Françoise, tu es chargée de régler la note. Tiens prends ça, dit-il en lui tendant la bouse commune. Tu compléteras avec ton gain de l'autre soir.
Quelques minutes après, ces dames attendent devant la porte d'entrée.
- On y va ! commande Françoise.
Il est normal qu'elle prenne la direction des opérations puisque c'est elle, enfin les Robert qui régalent.

Ils sont arrivés tôt au restaurant et ont été vite servis. Il n'est que neuf heures et demie quand ils sortent bras dessus bras dessous.
- Que fait-on ? Voulez-vous aller dans un bar ?
- Pour ce que ça nous a réussi l'autre jour, je n'y tiens pas, déclare Sylviane.
- Et si on rentrait ? On pourrait jouer aux cartes, suggère Isabelle.
- Chic ! Un strip-poker !
- Je ne sais pas jouer au poker, se plaint Sylviane.
Ce qui étonne le plus Michel, n'est pas la proposition d'Annie, osée de la part d'une adolescente, mais le fait que personne, même pas sa sœur se soit récrié ! Les apéritifs et les vins sont passés par-là. Quelle magnifique façon de terminer la soirée ! Par quoi remplacer le poker ? Il lui vient une idée :
- Vous vous souvenez du jeu d'hier soir ? Oui ? Il n'est pas difficile n'est-ce pas ? A chaque donne celui qui abat le premier toutes ses cartes gagne et les perdants comptent les points restants. On pourrait décider que le gagnant ôte un vêtement à celui ou celle à qui il reste le plus de point. Qu'en dites-vous ?
Les jeunes femmes se regardent les yeux brillants. La proposition de Michel est acceptée. Annie a hâte de commencer. Elle houspille ses compagnons.
- Allez ! Venez ! Que vous êtes lents !
- Oh ! Il n'y a pas le feu !
Michel se baisse et forme une boule de neige qu'il lance sur la jeune fille. Celle-ci riposte. La bataille se généralise tout le long du chemin qui les amène à l'ascenseur. La petite troupe fait une entrée bruyante à l'accueil de la résidence sous l'œil amusé du gardien. Michel prend la clé au comptoir pendant qu'Annie retient l'ascenseur.
- Tu viens ?
- Oui, oui, j'arrive !
L'excitation de « ses femmes » l'amuse. Il n'aurait jamais imaginé que la proposition d'Annie reçoive un tel succès.

La table est rapidement débarrassée, le jeu de carte sorti d'un tiroir. Annie est impatiente.
- On y va ?
Michel a toutes les peines du monde à calmer les joueuses. Avant de commencer, il faut établir des règles qui rendent la partie équitable.
- Voilà ce que je propose : Chacun et chacune aura quatre chances avant d'être complètement déshabillé : d'abord le haut moins une chose, puis le bas moins une chose, ensuite le haut et enfin le bas. Ainsi, celle qui s'est précipitée sur sa garde robe pour enfiler le plus de vêtement possible n'est pas avantagée par rapport aux autres.
- Bon, ça va, j'ai compris.
En riant Annie se débarrasse des trois pull-overs ajoutés depuis leur arrivée.
- On pourra continuer à jouer si on est toute nue, demande-t-elle ?
- Pourquoi pas ?
- On ne s'arrête que lorsque tout le monde est à poil ?
Michel fait le tour des autres partenaires, pas d'objection.
- C'est ça, on s'arrête quand tout le monde est à poil. Vous êtes prêtes ? C'est parti !
Isabelle gagne la première donne que perd Françoise. Sous les sourires intéressés de l'assistance, elle dépiaute son amie de son pull-over. Elle va ôter le tee-shirt mais Françoise l'arrête.
- Je n'ai rien dessous. N'est-ce pas que j'ai le droit de le garder, quémande-t-elle auprès de Michel ?
- Tout à fait !
Au bout de deux heures les pertes sont équilibrées. Seule Annie conserve son soutien-gorge, les autres joueurs sont en slip et petite culotte. La tension monte. Il y a de grandes chances pour que la prochaine donne soit fatale à l'un ou l'une d'entre eux.
Annie abat sa dernière carte.
- J'ai encore gagné !
Les autres comptent leurs points.
- Zut ! C'est moi qui perds, se lamente Sylviane.
- Lève-toi !
Annie se précipite et arrache presque la culotte de sa sœur. Celle-ci honteuse d'être le point de mire s'assied, les genoux serrés. Michel par discrétion s'efforce de ne pas la regarder. Cela ne le brime pas, il se console avec les poitrines de Françoise et Isabelle.
N'ayant plus rien à perdre, Sylviane, au lieu de s'efforcer de gagner cherche à défavoriser sa sœur.
- Ma chère Annie, d'accord tu m'as fait perdre, mais tu ne l'emporteras pas en paradis ! décide-t-elle.
Elle réussit à lui faire ôter le soutien-gorge au grand plaisir de Michel qui peut enfin admirer à loisir la poitrine juvénile.
Successivement, Françoise puis Isabelle rejoignent Sylviane dans le camp des perdants. Les jeunes femmes sont fatiguées. Le jeu ne les amuse plus. Isabelle propose que la dernière donne oppose seuls Michel à Annie.
- Ainsi il y aura un gagnant et un perdant, sinon on n'en finira pas !
Les deux autres approuvent. Le match final est acharné. Isabelle encourage Michel, tandis que Sylviane et Françoise soutiennent Annie. Michel dépose sa carte gagnante avec une intense jubilation, il va finir de dévêtir l'adolescente ! Celle-ci est déçue, presque au bord des larmes. Elle aurait tant aimé déshabiller le jeune homme, ôter le slip et contempler de près et peut-être toucher le sexe mâle. Elle soupire, ce ne sera pas pour cette fois. Michel s'agenouille. Avec précautions il retire presque sans toucher la peau le dernier rempart de la vertu de la jeune fille. Il ose à peine regarder le triangle de poils qui voilent l'intimité de l'adolescente.

L'excitation du jeu retombe. Ils sont tous intimidés, ne sachant que faire pour conclure. Françoise rompt le silence qui devient gênant.
- Félicitations, Michel, tu as gagné, tu es le plus fort. Maintenant je te prierai d'ôter ce slip ridicule.
- Oui, c'est ça ! Il est indécent que tu ne sois pas encore à poil ! renchérit Sylviane.
Personne ne songe à se rhabiller ! Michel se lève.
- N'ayant pas perdu, je revendique le droit de me déshabiller moi-même !
Il ôte le slip et se rassoit. Nu entre toutes ces femmes nues, il ne contrôle pas la poussée de désir qui monte dans son ventre. Sa verge qui se redresse devient le point de mire des regards, en particulier ceux d'Annie. Sans avoir à craindre des reproches, elle détaille cette partie de l'anatomie masculine qui l'avait tellement impressionnée la veille. Instinctivement, elle avance la main. Isabelle surprend son geste.
- Tu veux toucher ? Je te permets.
- Mais... s'insurge Sylviane.
- Laisse-la faire, on surveille. Viens t'asseoir là.
Elle cède sa place à coté de Michel à l'adolescente. Elle lui prend la main et la pose sur la tige vivante. Annie referme les doigts. C'est doux, ferme et doux à la fois. Michel frémit.
- Toi, je t'interdis de bouger, tu entends ? Ne fais pas un mouvement ! intime Isabelle.
Il obéit. Que faire de ses mains ? Il agrippe la chaise. Tous ont les yeux fixés sur les doigts qui enserrent le sexe.
- Tire la peau vers le bas.
Annie descend le poignet. Un peu de chair violacée pointe sous le prépuce.
- N'aies pas peur... encore.
Annie insiste et décalotte le gland.
- Oui... monte maintenant... oui... descend... comme ça... monte... C'est bien !
La jeune fille suit les instructions. Elle amplifie le mouvement. Chaque fois que son poignet bute sur la base du sexe dans les poils, le petit méat au sommet bâille. Annie est fascinée. Michel se mord les lèvres. Il s'interdit de gémir, de manifester une émotion de peur d'effaroucher l'adolescente. Ce serait la fin du doux supplice. Ses phalanges blanchissent à force de serrer l'assise du siège. Des légers tressaillements de la hampe de chair, alertent Isabelle. Michel va jouir. Elle hésite, puis décide qu'Annie est assez grande pour supporter la vue d'une éjaculation.
- Attention !
La jeune fille arrête le mouvement. Michel soupire.
- Non, n'arrête pas ! commande Isabelle.
Annie reprend la masturbation.
- Reste de coté, continue à monter et descendre... Oui... plus lentement... Regarde bien !
Annie obéit à Isabelle. Elle se déplace légèrement et fixe le gland qui apparaît et disparaît entre ses doigts. Françoise et Sylviane comprennent. Sans le vouloir, elles se penchent pour ne rien perdre du spectacle. Tout à coup, la jeune fille sent la tige gonfler, sauter toute seule dans sa main. En même temps des filets blanchâtres jaillissent et maculent la table.
- Oh !
- Continue ! Continue, n'arrête pas !
Michel se plie en deux sous les spasmes de jouissance qui le transpercent. Les dernières gouttes perlent et coulent sur les doigts. La verge s'amollit, rétrécit.
- Ça suffit, tu peux le lâcher, c'est fini !
Annie abandonne le sexe. Il retombe flasque sur les poils. Le contraste entre la vigueur qu'elle tenait il y a un instant et ce bout de chair mou abasourdit l'adolescente. La brusque révélation du fonctionnement du sexe masculin l'anesthésie. Elle reste immobile sur sa chaise.
Sylviane lui essuie la main. Elle regrette ce qui s'est passé. Elle n'aurait pas du permettre que sa petite sœur s'approche ainsi de l'engin mâle. Elle a peur que la gamine soit traumatisée par la découverte de ce que peut être un acte sexuel. Elle embrasse Annie.
- Excuse-moi ma chérie, je n'aurais pas du t'imposer ce spectacle qui t'a fait peur.
- Mais non je n'ai pas eu peur, non je t'assure, ce... c'était...
Elle se tait, incapable de traduire en parole la diversité des sentiments qui l'agitent. Non, elle ne regrette pas ce qu'elle a fait, toucher, manipuler un sexe d'homme. C'était à la fois impressionnant et attendrissant. Oui, attendrissant cette peau fine qui glisse sous les doigts et cette pointe violacée fendue à son extrémité. Elle a prit plaisir à tenir ce symbole de la puissance masculine, d'en user à sa guise, de le dominer. Elle se sent plus forte. Elle a aussi aimé l'étrange langueur qui l'a saisie pendant qu'elle manipulait l'engin. Elle avait l'impression que sa main s'agitait mécaniquement, qu'elle ne lui appartenait plus. Elle se rappelle avec émotion le frisson qui l'a secouée en voyant le sperme jaillir. La seule chose qui lui fasse peur c'est de penser qu'un jour une grosse tige vivante comme celle de Michel dont sa main fait à peine le tour, entrera dans son ventre. Comment imaginer cette énormité pénétrer dans l'orifice où son doigt, si petit, ne peut se glisser ? Elle, qui rêvait d'étreintes passionnées avec des amants infatigables, n'est plus si pressée de tenter l'expérience !

Sylviane conduit l'adolescente à son lit avec l'aide d'Isabelle et de Françoise. Elles l'étendent et la cajolent. Les mains se font tendres. La jeune fille est couverte de baisers. Elle retrouve les sensations découvertes dans la salle de bain quand Isabelle l'enduisait de mousse sur tout le corps. Michel s'approche. Isabelle fronce les sourcils, il implore du regard. Elle capitule.
- Au-dessus de la ceinture alors.
Il bat des paupières en signe d'assentiment. Sa bouche caresse le front d'Annie et les yeux. Sa main dispute un sein à Françoise. Il tremble quand sa paume effleure le globe tendre dont le bouton rose pointe au-dessus de la rondeur.
Annie ne sait où elle en est, perdue au milieu de cette profusion de caresses. Une main s'introduit, indiscrète, entre les jambes. Elle se crispe. Jamais, même à Isabelle sous la douche et dans le lit, elle avait autorisé ce geste. La main insiste, écarte la cuisse. Elle voudrait résister, se débattre mais ne peut. L'étrange langueur semblable à celle éprouvée tout à l'heure quand elle tenait le sexe de Michel l'envahit. Un doigt appuie sur le petit bouton du clitoris. Non ! Pas là ! Non... Si ! Que c'est bon ! Tellement meilleur que lorsqu'elle s'applique cette caresse. Elle gémit. Une bouche tète le téton du sein. Que c'est bon ! Elle touche des cheveux courts. Michel ! Non, pas lui, pas un homme ! Son désir est plus fort que sa volonté, elle bombe la poitrine à la rencontre des lèvres. Une langue fouille sa bouche, qu'elle est douce ! L'adolescente est environnée de baisers, de mains cajoleuses. Il y en a partout ! Elle gémit, se tord entre ses gentils tortionnaires. Jamais elle n'avait ressenti un tel plaisir. Ses caresses solitaires nocturnes n'ont rien à voir avec le déferlement de plaisir qui la submerge. Elle se raidit, se cambre et retombe sur la couche épuisée par sa première jouissance de femme.
Ses amis s'écartent après l'avoir tendrement bordée. Annie apaisée respire régulièrement. Sylviane la recouvre et donne un dernier baiser. Les paroles sont inutiles, chacun reste silencieux revivant en pensée les derniers événements. Personne ne songe à se vêtir.

Michel referme la cloison mobile et tout naturellement, Isabelle le rejoint. Le jeune homme est perplexe. Il en veut à la jeune femme de l'avoir entraîné au-delà des limites fixées. Annie est si jeune ! Il a honte du plaisir extraordinaire éprouvé lorsque l'adolescente a refermé la main sur sa queue, honte de s'être livré à des attouchements sur son corps sans défense. Il évite la jeune femme qui quémande une caresse et se couche. Elle comprend qu'il soit perturbé par les événements. Elle se place dans son dos et pianote doucement sur le torse.
- Tu m'en veux ?
- Un peu. Tu n'aurais pas du permettre à Annie de me toucher.
- C'est vrai je me suis laissée entraîner par l'atmosphère. Sur le coup cela me semblait une conclusion logique.
- Tu n'as pas mesuré les conséquences que cela peut avoir sur elle.
- Là je pense que tu fais erreur. Si j'en crois ma propre expérience, ce devrait être plutôt bénéfique.
- Bénéfique ? Pour qui ? Pas pour Annie.
- Si, pour Annie !
- Ne cherches-tu pas des excuses ?
- Nullement. Tu sais, la première fois qu'un homme m'a pénétrée, je n'avais qu'une vague idée du sexe masculin, simplement par des gravures ou des visions volées dans les vestiaires de la piscine. Je ne me l'imaginais pas si volumineux. Je ne l'ai découvert que trop tard et, étant mal préparée, cela m'a fait horriblement mal. Je suis sûre que si j'avais eu conscience de la taille de votre sexe à vous les hommes, j'aurai attendu avant de sauter le pas.
- Attendu quoi ?
- D'être plus amoureuse. Car j'en suis sûre, maintenant il faudra de l'amour pour qu'Annie accepte de coucher avec un garçon. Tu vois que c'est une bonne chose.
- Pures spéculations de ta part.
- Mon vieux, tu n'y connais rien en psychologie des adolescentes. Je suis mieux placée que toi. Tu pourras interroger Annie demain, tu verras ce qu'elle en dit.
- Tu n'y penses pas ! Moi lui demander si elle a encore envie de se faire dépuceler ?
- Ne sois pas grossier !
- Je ne suis pas grossier, c'est bien de cela qu'il s'agit !
Michel ne sait plus que penser. Les arguments d'Isabelle sont pertinents. Sont-ils justes ? Ce qui est bon pour l'une est-il applicable à l'autre ? Il préfère s'en convaincre. Il se laisse bercer par la jeune femme avant que sa rêverie ne l'entraîne dans le sommeil.

Françoise développe un raisonnement semblable pour consoler Sylviane qui se fait des reproches. Sa douce, sa tendre sœur confrontée si jeune à la brutalité masculine !
- N'exagère pas quand même ! Michel ne l'a pas dépucelé que je sache ! Elle est intacte ta petite sœur chérie, et le restera encore un bout de temps, maintenant qu'elle sait à quoi ressemble le loup !
- Tu crois ?
- J'en suis sûre.
Sylviane se laisse convaincre. Les baisers de Françoise n'y sont pas étrangers. Les deux femmes se saoulent de caresses. La jouissance qui les enveloppe leur semble une conclusion normale à cette soirée particulière.

Michel se réveille en pleine nuit. Isabelle a oublié de lui demander de fermer les rideaux, tant mieux ! La lune éclaire la montagne. Son reflet baigne la chambre d'une douce lueur. Dans leur sommeil, la jeune femme et lui se sont retournés. Il est plaqué contre son dos. Il lui semble qu'il rêvait d'elle. Sa verge durcie en garde le souvenir. Quoiqu'il ait pu dire hier soir, il est heureux de sentir ce corps si désirable contre lui. Une bouffée de désir l'envahit. Dort-elle ? Il chatouille les fesses de son engin. Isabelle remue. Michel enfonce la verge entre les cuisses. Elle frotte sur les lèvres du sexe. Il s'amuse à mimer la possession. La jeune femme grogne, cela le fait sourire. Tout à coup, une main empoigne la queue, promène le gland et l'enfonce à la bonne place. Michel continue le mouvement et pénètre dans un réceptacle doux et humide. Il pose les doigts sur un sein et en agace le bout. Isabelle ôte la main et la transporte sur son sexe. Il comprend. Il fouille entre les poils pour découvrir le clitoris qu'il excite d'un mouvement tournant.
Ils font l'amour lentement, sans hâte, attentifs à l'éclosion du plaisir, son développement dans tout le corps. Michel glisse le bras sous le torse d'Isabelle pour, de sa main en coupole, entourer un sein. Elle tente de caresser la fesse et le haut de la cuisse du jeune homme. Son bras est trop court pour atteindre la raie fessière. Elle le regrette, voulant ajouter ses câlineries au plaisir de son amant. Sa jouissance est calme, douce, bienfaisante et se poursuit au-delà de l'éjaculation lorsqu'elle sent la verge se rétracter. Ils ne se séparent pas, le sommeil les surprend soudés l'un à l'autre.