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Proposée le 31/03/2007 par Crabou
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Après cette journée bien remplie, nous rentrons à l'hôtel prendre une douche et nous changer en vue d'une petite sortie en boîte. En entrant dans la chambre, Cathy voit la cravache délicatement posée sur le lit refait. Elle se demande ce qu'à penser la femme de chambre en découvrant sa robe déchirée et cette cravache.
Jean se prépare en premier. Cathy sort à son tour de la salle de bain, nue :
comment dois-je m'habiller pour sortir ?
Jean l'attire à lui et prend ce qui ressemble à un tube de rouge à lèvre mais incolore. Il passe le « rouge à lèvre » sur les lèvres de sa femme puis il lui enduit le bout des seins et dessine un V sur le pubis rasé de Cathy avant de passer copieusement le tube sur les lèvres de son sexe. Ensuite, il l'a fait pivoter et fait un trait dans la raie des fesses puis un petit dessin sur chaque fesse.
Cathy intriguée se regarde et ne voit nulle trace sur son corps ni ne ressent le moindre effet. Elle allait demander des explications à Jean mais celui-ci met un doigt sur sa bouche pour lui intimer le silence.
Il lui tend son rosebud et un tube de lubrifiant. Cathy se tourne dos à son mari, s'agenouille, pose ses coudes parterre, exhibant ses fesses grandes ouvertes et lentement fait pénétrer ce bijou dans son anus. Quand Cathy est à nouveau debout, Jean s'agenouille à son tour et lui fixe deux anneaux avec des brillants aux lèvres du sexe.
Enfin, Jean prend dans la valise une courte robe blanche translucide.
La boîte de nuit dans laquelle ils entrent est assez chique. Un peu partout, de la lumière noire donne une ambiance particulière. Il y a déjà du monde tant au rez-de-chaussée qu'à l'étage et Cathy remarque que les regards convergent sur elle à son passage. A priori pas uniquement pour sa beauté car les jolies filles ne manquent pas ce soir et en passant devant un miroir elle comprend la situation: le "rouge à lèvre" incolore que Jean lui a appliqué un peu partout se révèle fluorescent quand il est éclairé par de la lumière noire et sa robe devient complètement transparente. Ses lèvres ainsi que ses seins, son sexe et ses fesses sont donc mis bien en évidence. Cathy sent aussitôt un début d'excitation monter en elle. Elle est plus nue, plus mise en évidence que si elle avait enlevé tous ses vêtements.
Arrivés dans un petit coin salon, ils découvrent qu'il y a des dalles de verre dans le plafond qui laissent clairement voir les gens qui se trouvent au premier étage, en donnant particulièrement une vue imprenable sous les jupes des filles qui stationnent sur ces dalles. Ils remarquent alors que Cathy n'est pas la seule à avoir "oublier" de mettre une petite culotte. Cathy entraîne alors Jean au premier étage avec la furieuse envie de "tester" ces fameuses dalles de verre. Pour ce faire, ils empruntent un escalier en colimaçon entièrement vitré sous lequel quelques clients s'agglutinent.
Ils s'accoudent au bar et commandent une boisson. Tout en sirotant leur verre, ils observent les gens présents. Dans un fauteuil, deux filles sont en train de s'embrasser langoureusement. Elles sont toutes les deux habillées d'une très courte jupe et d'un top couvrant juste la poitrine. La main d'une d'entre elles caressant les fesses de sa compagne en relevant sa jupe, Cathy constate qu'elle n'est guère plus vêtu qu'elle.
Les filles se lèvent pour danser sur les dalles de verre pas loin de Cathy et commencent à lui sourire.
Cathy sirote son verre en les admirant. Au fil du temps, leur danse se fait de plus en plus langoureuse.
Les premières notes d'un slow particulièrement sensuel retentissent. Christelle et Lysa s'approchent de Cathy et l'entraîne sur la piste. Cathy ne se fait pas prier, trop heureuse de s'exhiber à son tour aux regards des gens du rez-de-chaussée.
Elles se font caressantes et à la fin de la danse, elles l'embrassent goulûment à tour de rôle.
Echauffées toutes les trois par ce slow, elles s'éloignent un peu de la piste de danse pour se réfugier dans un coin un peu plus à l'écart largement baigné de lumière noire. Voulant profiter mieux du corps de Cathy et de son maquillage particulier, Christelle lui enlève sa robe. Entièrement nue, Cathy passe des bras de Christelle à ceux de Lysa jusqu'à ce qu'elles lui proposent de finir la nuit chez elles. Cathy accepte.
Cathy toujours nue, ramasse sa robe et rejoint Jean au bar.
Tiens, je pense que je n'en aurais plus besoin ce soir. Christelle et Lysa me proposent de finir la nuit chez elles. Tu es d'accord ?
Jean acquiesce avec un sourire
A demain matin
Et Cathy sort sous les regards admiratifs des gens présents dan la boîte de nuit.
Elles s'installent dans la voiture de Christelle, Cathy assise à l'avant, toujours nue. Après avoir traversée une partie de la ville, elles arrivent chez Christelle et Lysa. Elles ne prennent pas l'ascenseur mais montent par les escaliers jusqu'au 3° étage au risque de rencontrer un voisin. Christelle ouvre la porte et elles vont directement dans la chambre.
Lysa pousse Cathy sur le lit et commence à se déshabiller sensuellement pendant que Christelle allume une série de bougies.
Une fois nue, Lysa roule un patin d'enfer à Cathy puis ses lèvres descendant doucement, s'arrêtant d'abord sur les seins de Cathy pour arriver ensuite sur son sexe. En prenant tout son temps, elle passe sa langue sur le clitoris de Cathy, mordille les lèvres de son sexe, prend en bouche les anneaux qui ornent son sexe et tire pour l'ouvrir encore plus, titille le rosebud dans son anus....
Excitée par la scène, Christelle s'empare d'une bougie et vient à son tour se coucher sur le lit, bien en vue de Cathy. Sa main s'incline et la cire commence à couler sur son corps.
Cathy, au bord de la jouissance:
Moi aussi j'en veux
Lysa arrête ses caresses et prends une grosse bougie dans chaque main. Alternativement, elle fait tomber une longue coulée de cire chaude sur son corps et sur celui de Cathy. Christelle se mêle aussi au jeu.
La cire tombe sur le téton du sein gauche de Cathy. Elle est aussitôt recouverte par une autre coulée qui coule le long de son sein. A son tour, Lysa verse de la cire sur le sexe de Cathy, d'abord d'assez haut puis descend de plus en plus la bougie. La cire s'écoule alors abondamment dans les vallées de part et d'autre de son sexe. Tout en gémissant, Cathy écarte plus largement les cuisses pour s'exposer plus encore.
Elle se retourne et sa langue plonge dans le sexe de Christelle à nouveau allongée sur le lit. Dans le mouvement, Cathy lève bien haut sa croupe et écarte bien les fesses. Lysa profite de l'occasion et incline une grosse bougie au raz des fesses de Cathy. La cire couvre d'abord ses fesses de multiples tâches puis Lysa déplace un peu la bougie et la cire s'engouffre dans la raie des fesses, contourne le rosebud et termine sa course à l'entrée de son sexe. Plus la cire coule et plus les caresses prodiguées à Christelle par Cathy se font insistantes et profondes.
Bientôt, plus aucune partie des trois corps n'est épargnée par la cire.
Elles éteignent alors les bougies et reprennent leurs caresses. Bien vite, il n'est plus possible de savoir à qui appartiennent les doigts et les langues qui pénètrent les sexes et les fesses, ni de qui proviennent les cris de plaisir qui emplissent la pièce.
Le lendemain matin, elles partagent la salle de bain, se lavant mutuellement, déclenchant à nouveau quelques plaisirs.
Nous allons te ramener à ton mari.
Cathy:
Je ne peux sortir nue en pleine journée. Il faudrait que vous me prêtiez quelque chose à me mettre.
OK, attends
Lysa revient dans la chambre en portant quelques vêtements.
Je vais t'aider à t'habiller
Elle tend à Cathy une courte jupe en cuir noir puis prend un étrange collier lui aussi en cuir noir avec deux anneaux métalliques. Elle passe les anneaux autour des seins de Cathy et attache le collier à son cou. Elle y fixe une laisse métallique. Une paire de bas vient compléter le tout.
Lysa et Christelle s'habillent à leur tour de façon aussi assez légère, leurs seins à peine voilés par un chemisier transparent.
Décrochant un long manteau qui pend dans le hall d'entrée, Christelle dit:
Nous allons prendre un taxi, cela évitera les problèmes de parking
Cathy ferme le manteau avec la ceinture et elles sortent toutes les trois. Un taxi les attend devant la porte. Lysa s'installe devant, Christelle et Cathy à l'arrière.
Christelle dit à Cathy:
Détache la ceinture de ton manteau, tu seras plus à l'aise.
Cathy s'exécute et le chauffeur découvre alors dans son rétroviseur les seins de Cathy et sa tenue originale. Elles traversent à nouveau la ville, des passants profitant parfois du spectacle lorsque la voiture ralentit.
Arrivées à une rue de l'hôtel de Cathy, Lysa demande au chauffeur de taxi:
Déposez nous ici. Madame a envie de marcher un peu.
En sortant du taxi, Cathy veut refermer le manteau.
Lysa en s'emparant de la laisse:
Non, laisse le ouvert, tu es trop belle dans cette tenue.
En marchant lentement, elles parcourent la distance qui les sépare de l'hôtel sous les regards intrigués ou subjugués des passants croisés.
Pour entrer dans l'hôtel, Cathy peut à nouveau fermé son manteau mais par contre, une fois dans l'ascenseur, elle doit carrément l'enlever et le donner à Christelle.
C'est dans cette tenue que son mari la découvre lorsqu'il ouvre la porte de leur chambre sur laquelle elle vient de frapper discrètement.
Les trois femmes entrent dans la chambre et font oublier à Jean sa nuit passée seul.
Cet après-midi, le soleil brille à nouveau et Jean propose à Cathy
Que dirais-tu de faire une promenade en vélo ? J'ai repéré un lac dans les environs qui me semble sympathique et propice à une découverte intéressante !
Une découverte intéressante ? Pourquoi pas mais as-tu prévu une tenue adaptée pour moi ?
Oui, ne t'inquiète pas.
Ils passent à la réception de l'hôtel louer deux VTT et remontent dans leur chambre pour se changer en vue de la ballade.
Cathy ôte sa robe et se retrouve donc nue en attendant que Jean lui donne de quoi s'équiper pour faire du vélo. Il ouvre la valise de Cathy et en sort une paire de boule de geisha et une combinaison-short très fine en lycra brillant.
Cathy se couche sur le lit jambes écartées, Jean lèche consciencieusement les boules puis les introduit dans le vagin de sa femme. Celle-ci enfile alors la combinaison mais avec beaucoup de difficulté car elle est extrêmement collante. Lorsque Cathy se regarde enfin dans la glace, elle constate que la combinaison est à ce point fine et moulante que les moindres détails de son corps sont visibles très clairement.
Après seulement quelques centaines de mètres, Cathy se rend compte que le vélo sur les chemins de campagne va lui procurer beaucoup de sensations car les boules de geisha vibrent à chaque cahot. Ses tétons fièrement dressés tendent le fin tissu de sa tenue
Le passage d'une jolie fille vêtue de façon aussi sexy et dont l'excitation est clairement perceptible à un il un peu attentif ne laisse pas grand monde indifférent. Ce sont parfois des regards intrigués mais plus souvent des regards envieux. De temps à autre, Jean et Cathy croisent d'autres cyclistes. Certains font parfois demi tour pour les accompagner un petit bout de chemin pour se rincer l'il puis reprennent leur route.
Après une heure de vélo, ils arrivent en vue du lac dont avait parlé Jean.
Le niveau d'eau étant plus bas que d'ordinaire, une zone dégagée s'étend entre l'eau et la limite du bois. Jean et Cathy entreprennent de faire le tour du lac en longeant l'eau. Arrivés dans une zone isolée, ils décident de faire une halte. Ils se couchent à même le sol et profitent de la vue et du soleil.
Un bruit dans les fourrés tout proches les fait se retourner. Cathy distingue quatre silhouettes cachées. Cathy:
Il y a des gens qui nous observent.
Si ça peut leur faire plaisir....
Sur ces paroles, Jean se met à embrasser sa femme et à la caresser par-dessus ses vêtements. Petit à petit les caresses se font plus précises et les bisous plus sensuels. Le sexe de Jean est fièrement dressé maintenant et Cathy le dénude en partie.
Cathy jette un coup d'il pour voir si les voyeurs sont toujours là. C'est le cas.
Cathy dit alors à Jean:
Attends, on va s'amuser!
Elle se lève et ôte sa tenue de cyclisme. A quelques mètres d'eux se trouve une grande étendue boueuse. Cathy regarde en direction des voyeurs, leur adresse un sourire, pose un baiser sur les lèvres de son mari, passe doucement sa main sur son sexe en érection puis d'un pas sensuel va jusqu'au bord de la flaque de boue. Sa croupe, sur laquelle les marques de cravache sont toujours bien présentes, se balance de façon chaloupée à chaque pas.
Ses pieds s'enfoncent alors dans la terre gorgée d'eau. Sous le plaisir de sentir la boue s'infiltrer entre ses orteils, Cathy pendant un moment ressort et réenfonce ses pieds dans la boue. Ensuite elle se tourne vers Jean et se laisse tomber à genoux, les fesses posées sur les talons et donc baignant elles aussi dans cette matière tiède et visqueuse. Elle ondule de la croupe pour mieux la couvrir de boue puis elle y plonge ses mains à leur tour. Elle les ressort presque aussi tôt pour les appliquer sur sa poitrine.
Devant ce spectacle, Jean a pris son sexe à pleine main et se caresse doucement.
De plus en plus excitée et les voyeurs se faisant de moins en moins discrets, Cathy se couche toute entière dans la boue et s'y roule, poussant en avant son bassin pour que son sexe soit bien couvert de terre. Elle se met alors à carrément faire l'amour avec la boue, tantôt se cambrant pour y plonger son sexe, tantôt poussant ses fesses en arrière en les ouvrant bien pour offrir son anus au contact avec celle-ci. Ou encore, en s'allongeant et en faisant glisser ses seins sur la surface de la flaque.
Elle se relève et vient se recoucher à côté de Jean dont le sexe s'est dressé à la vue de ce spectacle. Elle le prend en bouche et le suce jusqu'à ce qu'il déverse son sperme qu'elle avale goulûment.
Elle se relève, fait face à ses voyeurs clairement visibles maintenant.
Ne restez pas là, venez profiter de mon corps. Vous pouvez me toucher et me prendre par où vous voulez !
Ils hésitent un instant, étonnés par cette proposition puis ne résistant pas à leur envie, trois garçons et une fille viennent rejoindre le couple. La fille la première s'enhardit et pose une main sur le sein gauche de Cathy puis l'embrasse.
Cathy s'adressant à son mari:
Déshabille la sinon elle va salir ses vêtements.
La fille ne se fait pas prier et tout en la caressant, Jean la dénude rapidement. Cathy ne peut attendre plus longtemps en contemplant son bel abricot lisse. Elle y plonge aussitôt la langue, maculant au passage ses cuisses de boue. Elle sent bientôt une main qui lui pelote les fesses et qui descend vers son sexe. Elle tourne la tête et voit un des garçons qui lui écarte maintenant les grandes lèvres collées par la boue.
Attends, mon sexe est rempli par des boules de geisha. Trouve la ficelle et enlève les moi lentement une à une si tu veux pouvoir me pénétrer.
Cathy reprend son cunnilingus mais en feulant chaque fois qu'une boule sort de son sexe. Elles sont maintenant remplacées par une sexe bien tendu qui entame un lent mouvement de va et vient. En même temps, un doigt puis deux entrent dans son cul. Un orgasme ravage Cathy qui crie son plaisir.
A tour de rôle ou à plusieurs à la fois, les quatre jeunes, Jean et Cathy se mélangent jusqu'à ce que chacun soit rassasié et.....couvert de boue.
Après un petit moment de repos, ils courent jusqu'au lac pour se laver de la boue. Ils se font sécher au soleil puis se rhabillent et se quittent.
Cathy et Jean sur le chemin du retour passent devant un petit bois. Jean semble avoir le regard attiré par quelque chose. Il propose à Cathy d'y faire une petite halte. Ils s'engagent donc dans le bois et aboutissent dans une clairière.
Jean:
J'ai envie que jusqu'à l'hôtel tu aies l'impression de ne plus être qu'un sexe et deux seins. Déshabille toi!
Cathy exécute l'ordre de Jean sans trop bien comprendre ce qu'il a en tête.
Jean:
Mets toi debout, jambes écartées et mains croisées derrière la tête.
Cathy prend la position demandée et Jean s'éloigne quelques instants.
Lorsqu'il revient, Cathy écarquille les yeux et se courbe légèrement en avant sous la crainte de souffrir, son regard fixé sur le gros bouquet d'orties que tient son mari. Celui-ci pose son bouquet parterre et ôte ses gants. Il passe une main sur les seins de sa femme puis descend jusqu'à son sexe. Il lui donne un court baiser et, après avoir remis ses gants, il ramasse la moitié des orties.
L'excitation et l'envie de sentir les orties "mordre" son corps remplacent maintenant la crainte. Cathy passe la langue sur ses lèvres et se cambre pour offrir fièrement ses seins, les yeux pétillants montrant ainsi à son mari qu'elle est prête. Jean abat à de nombreuses reprises son bouquet urticant sur les seins de sa femme. Il s'arrête, se recule un peu et attend quelques instants. Il voit à l'expression du visage de sa femme, mélange de plaisir et de souffrance, et aux cloches qui apparaissent sur ses seins que les orties font leur effet. Cathy ferme les yeux pour mieux se concentrer sur les sensations qui l'envahissent et humidifie son sexe.
Jean s'empare du reste des orties et j'approche de sa femme. D'une main ferme, il plaque les orties sur le sexe de Cathy qu'aucune toison ne protège et commence à les frotter, remontant loin dans le sillon des fesses aussi. Cathy ne peut retenir un gémissement bientôt étouffé par le baiser que lui donne Jean. Loin de chercher à se dégager, elle pousse au contraire son bassin en avant pour se augmenter la pression des orties sur son sexe et son cul tout en pliant un peu les jambes pour s'ouvrir plus encore.
Quand ils reprennent leur vélo, Cathy n'est plus qu'un sexe et des seins en feu comme le souhaitait son mari.
Arrivée à l'hôtel, Cathy fonce à la salle de bain pour prendre une douche pour se rafraîchir. Au fil du temps, l'effet des orties a quelque peu diminué mais l'eau a tôt fait de raviver le souvenir de la "caresse" des orties.
Cathy, surexcitée, ne peut plus attendre. Elle sort de la salle de bain sans même prendre la peine de s'essuyer et elle se rue sur Jean dont la virilité est vite dressée par quelques coups de langue. Cathy s'empale sur le sexe de son mari et après une série de va-et-vient, elle se relève pour cette fois enfoncer l'objet de sa convoitise dans le conduit caché entre ses fesses. Bientôt Jean jouit en jets puissants dans le cul de sa femme.