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Proposée le 9/11/2009 par MeliMelo
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Le jour filtrait à travers les persiennes, l'heure devait déjà être avancée, les lueurs blanches de ce mois de janvier indiquant que la matinée avait déjà pris le pas sur le petit jour. J'ouvris les yeux : le soleil dessinait des volutes sur les draps soyeux, et la douce chaleur des braises qui rougeoyaient dans la cheminée de la chambre apportaient à la pièce une douce intimité. Des foulards sur les lampes, des bougies consumées, des sous-vêtements qui jalonnaient notre retour de la nuit, et mes draps chiffonnés : un rêve ? Mais quel beau rêve... érotique, chaud, puissant, bouillonnant ... je m'étirais, telle une chatte langoureuse, et me retournais. Un corps avait marqué sa place dans le lit, la place était encore chaude, une montre en or sur la table de chevet, des emballages de préservatifs ... je sursautais. Ce n'était donc pas un rêve ?!?
Je souris ... Puis une légère bouffée de honte m'assaillit alors que je repensais a cette nuit .... Nos corps mêlés dans la voiture, la vitesse (pourvu qu'il n'y ait pas eu de radar !), l'adrénaline, l'excitation montante, ses doigts, ses mains, ses lèvres sur mon corps. Je frissonnais, puis me tortillais un peu à la sensation d'excitation qui revenait. J'entendais l'eau couler dans la douche, il se débarrassait des miasmes de son long voyage et cette nuit de folie.
Ses mains ... longues, larges, puissantes ... il m'avait serré contre son corps, sans hésiter, sur de lui, sur de nous, sur de nos sensations. Il m'avait caressée, avec assurance, avec douceur, avec force ; il m'avait embrassée, léchée, excitée de sa langue, j'avais vibré, tremblé, crié. Il m'avait prise, plusieurs fois .... Je rouvris mes yeux que j'avais fermés a ces souvenirs et fixais la table de nuit : je comptais quatre emballages, sans compter celui qui gisait dans la voiture. Waouh ! L'ensemble de la nuit était une nébuleuse de sensations, je ne me rappelais plus rien de précis en dehors de l'incroyable plaisir que j'avais pris et des orgasmes multiples que nous avions eu ensemble. Je me souvenais que nous étions arrivés vers 3h du matin chez moi, nous étions entrés sans allumer la lumière, avions traversé les pièces à la lumière fantomatique, pour échouer dans ma chambre dont j'avais préparé l'ambiance, espérant que les événements prendraient exactement cette tournure. Une lampe diffusait une lumière rougeâtre, tamisée, et les braises de la cheminée luisaient encore. D'un coup d'il, il apprécia l'ambiance : draps soyeux rouges et gris, multiples oreillers, couette moelleuse, bougies rouges, le feu, les foulards rouges posés sur les lampes. Se redressant, et dans un clin d'il, il me prit dans ses bras et me posa délicatement sur le lit, posant ses lèvres dans mon cou par la même occasion. Il alluma les bougies, attisa le feu ; éteignit la lampe d'ambiance. Remarquant la grosse chaine stéréo allumée, il me regarda d'un air interrogateur. Je luis souris mon assentiment et il appuya sur le bouton de lecture. Aussitôt, la voix d'une chanteuse d'opéra emplit la pièce : Carmina Burana retentit avec force, nous aimions tout deux l'opéra. Il sourit à son tour, baissa le son de quelques crans puis revint vers moi ....
Il ôta son tee-shirt, défit la ceinture de son jean, enleva chaussures et chaussettes. Je l'admirais, son corps musclé me ravissait, et la bosse revenue de son caleçon me troublait prodigieusement. Il portait ses plaques autour du cou, et un tatouage ornait son dos : un dragon multicolore partait de sa hanche pour remonter enrouler sa queue autour de son biceps. Quel travail et quelles heures de douleur cela avait du être, mais le résultat lui allait a merveille, rendant encore plus viril ce corps déjà affolant. En caleçon, il s'approcha. Je fermais les yeux, gémis lorsqu'il me toucha, me tendis quand il remonta sur ma cuisse ... il m'ôta mes bottes, fit glisser mes bas, puis mon string, m'enleva ma jupe, dégrafa chemisier et soutien gorge .... Mes seins pointèrent, il les pris dans ses mains, chaudes, puis ses lèvres a nouveau sur l'intérieur de mes cuisse, effleurèrent mon clitoris découvert, le pubis imberbe, puis sa langue sur mes tétons, son sexe durci qui se calait entre mes jambes, bougeant doucement, échauffant les chairs, détrempant de mon humidité son caleçon .... Je perdis pied, criais mon plaisir. La suite est une nébuleuse.
Tout en repensant à ces événements, j'avais fait glisser ma main entre mes cuisses, et commencer à me caresser. Ma poitrine s'était à nouveau tendue, je gémissais doucement. Je n'avais pas entendu l'eau s'arrêter, pas plus que la porte s'ouvrir doucement. C'est son odeur que je perçu en premier : gel douche - le mien - shampoing, mousse à raser, parfum. Ces senteurs mêlées m'enivrèrent. J'ouvris les yeux. Il était là, assis sur le lit, tel un adonis de mythologie, souriant de toutes ses dents - blanches et brillantes. Sa peau brillait dans les rayons tamisés du soleil.
Toute l'ivresse de la nuit me revint, et la soif que j'avais de lui. Je continuais à me caresser, plus fort, excitant mes chairs déjà détrempées et sensibles, le regardant droit dans les yeux. Il s'approcha doucement, puis m'enfourcha, tête-bêche : je pris son sexe tendu dans ma bouche, tendis qu'il prenait entre ses lèvres mon clitoris, le mordillant. Des deux mains, j'ouvris mes lèvres, lui donnant un meilleur accès. Il passa ses doigts sur mon pubis, les fit glisser dans ma raie, descendit plus bas, effleura la corolle de mon anus. A nouveau un déluge de sensations m'envahit, et je le suçais plus ardemment, sentant son membre grossir entre mes lèvres. Il abandonna ses caresses, gémit, il bougeait au même rythme que mes lèvres. Soudain il se retira, mes lèvres luisaient de son jus, il avait retenu son éjaculation, mais un peu de sperme s'était écoulé malgré tout. Il m'observa me lécher les lèvres, puis, le regard brulant, fondis sur moi, m'embrassa, m'écarta les cuisses, fit peser son poids sur moi. Se redressant, il saisit un nouveau préservatif ... je lui pris des mains, l'ouvris de mes dents, et dans une sensuelle caresse, les yeux dans les yeux, je le fis glisser sur son membre durci. C'est à cet instant que je pris conscience de la taille de son vit : long, large, le gland légèrement plus gros, épais et rond, droit comme un I, il était sacrement bien membré .... Je sentis une coulée de cyprine le long de ma raie : observer son sexe à quelques centimètres de mon nez me faisait un effet terrible .... Le préservatif mit, je reculais, puis me retournais pour me mettre a genoux ; puis je reculais vers son membre, qu'il branlait doucement : je vins me mettre en butée dessus, il poussa et me pénétra, poussant son avantage. Il saisit mes cheveux détachés, puis pilonna, y mettant toute la force de nos désirs réunit. La pièce s'emplit lentement de la chaleur que nous dégagions, de nos râles et de nos cris, de nos demandes susurrées ....
- prend-moi ....
- Vas-y, plus fort ...
- Fais-moi jouir ...
- Encore ....
- Oui, encooooore !!!!
Soudain, il se retira, puis fit glisser son gland vers le haut ... comprenant ce qu'il voulait, je tendis mon corps vers lui, écartant les fesses pour qu'il puisse entrer par la petite porte. Il pesa doucement d'abord, sollicitant la permission avec douceur. Ma corolle s'ouvrit obligeamment, et son gland s'engouffra dans mon cul. Il poussa encore, et bientôt, je sentis qu'il me remplissait toute entière. Il passa une main entre mes cuisses, effleura mon clitoris gorgé de sang, puis de son autre main, en équilibre précaire, il saisit mon téton érigé. Je ne pus retenir un cri, pas plus que l'orgasme violent qui me fit trembler de tout mon corps. Dans le même temps, il commença à bouger, d'abord lentement, puis plus vite, nous gémissions, je sentais sa jouissance proche ... elle arriva, en longue vagues, il cria a son tour, puis trembla. Nous nous effondrâmes l'un sur l'autre, déjà épuisés. Puis il se retira, ôta le préservatif .... Et j'eu l'envie incontrôlable de le sucer encore : me retournant, je pris son sexe encore gonflé dans ma bouche, et le suça jusqu'à ce qu'il soit entièrement débarrassé de sa semence.
Aux anges, nous nous pelotonnâmes dans les bras l'un de l'autre, la journée et les suivantes promettaient ....