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Proposée le 8/11/2009 par anais66
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Assise devant la salle de briefing,je discute avec une amie,qui elle part sur un autre vol que le mien. Nous parlons de tout et de rien. Bien qu'attentive à notre conversation,je remarque un steward assis pas très loin de nous se retourner plusieurs fois pour croiser mon regard. Ses grands yeux bleus ne me déplaisent pas et sans y prêter plus d'attention,je continue à bavarder avec ma collègue.
_"Bon vol à toi ma belle,on s'appelle quand tu rentres?"
_"Oui,amuse toi bien à Tokyo,ce sera certainement plus sympa que mon 24 heures au Caméroun!"
J'adore l'Afrique mais seulement une nuit et une journée sur place ne me réjouissent pas beaucoup. Pendant le briefing,j'ai choisis de travailler à l'arrière et suis un peu déçue de constater que Pierre sera à l'avant en business (Cette réunion de l'équipage avant le départ nous permet aussi de nous présenter). Une fois les formalités sécurités et commerciales passées en revue par nos chefs de cabine, nous partons pour notre avion.
Mon poste en classe économique m'oblige cependant à faire l'embarquement à l'avant de l'appareil;tant mieux,j'aurai l'occasion de faire plus ample connaissance avec mon beau collègue. Je trouve aussi le temps moins long,lorsque directement en porte,j'accueille les passagers et vérifie leur carte d'accès à bord.
_"Tu es contente de partir?"Me dit il.
_"Heu,ouais,sans plus,il le faut bien. Pourquoi,tu es fan de cette escale toi?"
_"Moi je pense que la destination importe peu quand on est bien accompagné..."
Son regard enjoué et son sourire espiègle annoncent le début du jeu de séduction auquel nous allons nous livrer pendant ces rapides 24 heures.
Durant le vol,il me pose toutes sortes de questions,tu es mariée? Tu as des enfants? Et ton couple,ça va? Oui je suis mariée,un enfant et très heureuse avec mon époux. J'apprends que lui non plus n'est pas célibataire,alors pourquoi faut il que nous persévérions dans cette lancée,dans ces instants délicieux ou chacun cherche à plaire à l'autre? Peut être simplement pour le plaisir de jouer,de se sentir désiré,aujourd'hui encore,je ne me l'explique pas vraiment. Sans réelles raisons professionnelles,il vient de plus en plus souvent dans ma zone de travail et de mon côté,j'avoue que je suis aussi volontaire pour quoi que ce soit,tant qu'il s'agit de remonter la cabine pour le voir. Nous ne nous disons rien de particulier mais notre regard en dit long et pour le moment,la présence de l'autre suffit à chacun. Une partie de l'équipage va maintenant se reposer,l'autre est de garde. Avant de partir se coucher,il vient doucement chuchoter près de mon oreille:
"Je voudrai que ce soit toi qui vienne me réveiller,avec des caresses et quelques baisers,veux tu?"
Je réponds un peu génée par cette requête soudaine et osée que je viendrai,pour le reste il verra bien. Le jeu prend une allure différente et bien que cette proposition soit alléchante,je suis encore incertaine de vouloir aller jusqu'à la fin de la partie. Une heure après,je me dirige vers le poste repos sans trop savoir que faire. Je réveille doucement mes collègues endormis,leur propose un verre d'eau et arrive jusqu'à la couchette de Pierre. Je caresse son épaule tendrement quand il tente de m'attirer vers lui pour m'embrasser. D'instinct,je fais un mouvement de recul,je veux savourer encore ces moments d'attente ou la pression monte lentement mais avec une puissance inouie. Pour ne pas le décourager,je frôle son visage d'un geste coquin et sors du poste sans le quitter des yeux.
Le vol touche à sa fin et l'atterrissage est tout proche,je suis seule dans l'office et m'assure que tout le matériel est sécurisé avant que notre avion touche le sol. Soudain,je sens ses mains enserrer ma taille,une vague de chaleur intense gagne mon corps surpris. Nous ne nous parlons pas,je me laisse faire maladroite et apprécie ce nouveau contact sans bouger. Je voudrai que cet instant perdure mais un de nos collègues surgit dans le galley;Pierre s'éloigne alors un petit sourire au coin des lèvres.
Dans la navette qui nous conduit à l'hôtel,je viens m'assoir près de lui et lui confie inquiète que je ne suis pas sure de vouloir aller jusqu'au bout. Il ne parait absolument pas déçu et me répond que mon indécision le stimule bien plus que si je m'offrai sans un peu de difficultés. Pierre m'attire énormément,je garde à l'esprit ce qu'un enlacement furtif a suscité en moi,cependant,nous ne nous connaissons que depuis quelques heures et je ne suis sure de rien.
Arrivée à l'hôtel,je récupère la clef de ma chambre. Je discute ensuite avec une dame venue nous proposer des fruits et légumes à des prix défiant toutes concurrences. De temps en temps,je le cherche du regard puis prétexte un grand intérêt pour les produits présentés. Je refuse de prendre la moindre initiative et attends impatiente qu'il se décide à me proposer une sortie,ou un verre au bord de la piscine. Nos collègues remontent peu à peu regagner leur chambre et Pierre sirote un jus de fruits à quelques mètres. Finalement,je commande un ananas et quelques papayes. Du coin de l'oeil, je le vois s'approcher avec nonchalence.
"Tu accepterais une boisson au bar de l'hôtel,Anais?"
_"Avec plaisir,Pierre."
Je pense qu'il a attendu que nous soyons seuls pour s'assurer que ce verre se prendra en tête à tête. En récupérant l'enveloppe dans laquelle se trouve ma clef,je l'ai posée à côté de moi le temps de mes achats,j'y vois son nom et son numéro de chambre inscrits. Je ne me suis rendue compte de rien et suis amusée par son comportement pour le moins culotté. Nous montons maintenant nous doucher et nous changer dans nos chambres respectives,j'irai le chercher quand je serai prète.
Dans ma salle de bain,bien qu'excitée comme une adolescente avant son premier rendez vous,je me demande encore comment va se dérouler cette soirée. Et si l'on a rien à se dire? Et si nous allons plus loin,est ce que nos corps se comprendront?
Faute de dessous chics et assortis,je choisis un string noir classique. J'enfile un pantalon en lin blanc et un petit débardeur que je mets sans soutien gorge. Je n'ai pas beaucoup de poitrine,c'est pourquoi je ne juge pas ma tenue indécente. Je m'arrète frapper à sa porte le coeur battant et m'efforce de paraitre détendue. Il porte un jean et un tee-shirt anodin qui pourtant,laisse deviner un torse large et viril,une poitrine rassurante contre laquelle on a immédiatement envie de se blottir. Nous nous installons sur de grands sièges en osier près de la piscine. Mes craintes se dissipent rapidement car nous parlons sans cesse,je suis à l'aise avec lui. Il me raconte ce qu'il a fait avant d'entrer dans la compagnie mais je ne l'écoute qu'à moitié. Mon regard s'attarde sur sa bouche,généreuse et charnue,sur son cou que je brule d'envie d'embrasser,sur ses mains que je veux baladeuses. La soirée a continué comme ça,c'est à dire de façon un peu ennuyeuse,une bonne paire d'heures.
Puis il s'interrompt,approche lentement son visage du mien,glisse sa main dans mes cheveux et dépose un baiser timide dans mon cou. Je pense avoir mouillé ma culotte dès cet instant,une douleur exquise a brutalement surgi entre mes cuisses.
"Tu sais ça fait un long moment que je me retiens."
Sans lui répondre que moi aussi,je caresse sa nuque en me levant et me dirige vers la piscine. Le bar de l'hôtel n'allait bientôt plus être approprié à notre façon d'agir. Pierre me suit sans me questionner,nous sommes maintenant presque seuls dans l'obscurité. De l'autre côté du jardin se tient un gardien à moitié endormi. Pierre prends alors ma taille, me plaque contre lui et lèche mon cou tendu. Cette première rencontre avec sa langue me fait l'effet d'une décharge électrique. Je sens son érection appuyer contre mon bassin,ses mains presser mes fesses contre lui. Je l'embrasse à mon tour,mes lèvres humides titillent son oreille,mes mains se concentrent sur son dos musclé. Notre excitation n'a cessé de croitre et je ne me pose plus la moindre question,j'ai follement envie de le sentir en moi,là,maintenant. Malheureusement,le lieu dans lequel nous nous trouvons ne nous permet pas de nous laisser aller à un tel libertinage. Aussi nous quittons l'endroit sans tarder. Dans l'ascenseur,ses doigts pétrissent mes seins durcis tandis que j'apprécie la bosse sous son jean. En arrivant dans sa chambre,il met son ordinateur en route et choisit rapidement une playlist qui va coller au mieux à cette ambiance brûlante. Lenny kravitz nous accompagne et inonde la pièce d'une sensualité troublante.
Bien que nos gestes et nos caresses soient très suggestifs,nous ne nous sommes pas encore embrassés sur la bouche. Je m'amuse encore à lui dire "hé je n'ai pas dit oui!","je pourrais partir sur le champs,là,comme ça!" Il me répond qu'il sait bien que rien n'est gagné. Je pense malgré tout qu'il est très optimiste à ce moment là. Il est au dessus de moi et à notre façon de bouger,on pourrait facilement croire que nous faisons déjà l'amour. Son pénis se frotte de plus belle contre moi et mon désir de le sentir vraiment m'obsède. J'ôte son tee-shirt et touche enfin sa peau,j'admire ses pectoraux et savoure pleinement cet état d'excitation extrème avant la pénétration. Il masse mes seins plus fort aussi j'en profite pour balancer mon débardeur,obstacle à ses caresses,par dessus le lit. Nos peaux collées l'une à l'autre semblent se reconnaitre et s'aimer. Nous nous regardons un instant dans les yeux,je devine qu'il veut maintenant m'embrasser,une émotion nouvelle me submerge et un frisson parcourt brusquement le long de mon dos. Ce baiser accepté effacera tous les freins que je tente de laisser paraitre. Il en est que plus intense et torride;nos langues s'emmêlent passionnément,curieuses,affamées,surexcitées. Puis Pierre se recule,fait glisser mon pantalon le long de mes jambes et baisse délicatement mon string. Il me regarde avec tendresse et gravité.
Sa langue chaude et douce effleure mes lèvres,ses doigts agiles s'introduisent en moi et enflamment mon vagin trempé. Sa langue brillante danse sur mon clitoris en transe,je maintiens sa nuque tout contre moi,le souffle coupé,obsédée par la jouissance à venir,mon corps se raidit alors dans un gémissement de délivrance et un orgasme insolent irradie tout mon être. Je suffoque cherchant avidement de l'air, plusieurs minutes me sont nécessaires avant de retrouver une respiration presque régulière.
Je finis de le déshabiller et admire sa belle queue,large,longue et massive;allongé sur le dos,il se redresse un peu et prend le coussin que je lui tends. J'ai envie qu'il me regarde pendant que je lècherai et sucerai sa verge offerte à ma bouche gourmande. Mes doigts entourent son pénis,font plusieurs lents va-et-vient avant que ma langue viennent jouer sur son bout. Pierre est obsédé par le spectacle,je ne le quitte plus des yeux. Goulûment,j'aspire chacune de ses bourses et lorsque pour la première fois,j'entreprends d'enfoncer sa bite jusqu'au fond de ma gorge,il émet un long râle de satisfaction. Le regard de Pierre s'est embrumé,j'augmente progressivement la vitesse et la pression de mes lèvres sur sa queue tandis que sa respiration s'accorde à la cadence. Il pousse alors un long soupir et se détourne.
Il va enfin me prendre! Nous roulons sur le lit déchainés quand il serre mes poignées au dessus de ma tête et me pénètre avec force. Ses coups puissants et virils me rendent folle,j'adore qu'il me maitrise et contrôle nos ébats. Docile,je me délecte de cette emprise bestiale. Il me retourne et s'engouffre plus loin et plus fort encore tout en s'agrippant à mes hanches. Ses couilles claquent contre mes fesses offertes et soumises, je perds alors toute pudeur et tout contrôle.
"Ho comme je te sens Pierre, comme je l'aime ta bite!"
Je crois un instant qu'une autre femme a prononcé ces mots,à l'évidence,c'est bien moi...
Un second orgasme inonde ma chatte dévastée,Pierre serre mes fesses et se cambre avant que son liquide chaud éclabousse mes reins cambrés.