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Proposée le 6/11/2009 par jean
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Est il quelque chose de plus excitant, pour un homme, qu'un femme qui se masturbe ?
Mais revenons au début...
En ce début septembre, un matin ou il faisait encore beau et ou je ne devais pas travailler de la journée, je m'étais levé tard, et, après un petit jogging, j'avais décidé de faire un tour en ville, juste pour le plaisir de flâner, un vague projet de restaurant en célibataire en tète.
Un jeans, un T-shirt, un blouson de cuir léger et une paire de lunettes de soleil, et me voilà partis.
Vers les 11 heures, je passais devant la terrasse d'un grand hôtel .L'envie me pris d'y boire un café, tout en lisant mon journal, et, pourquoi le cacher, de regarder passer les filles, le regard à l'abri des mes « Ray-Ban ».
« Excusez-moi, vous attendez quelqu'un ? »
Cette question me fut posée par une dame ayant depuis peu passé la cinquantaine, vêtue avec élégance, aux bijoux peu nombreux mais de prix, blonde avec l'une ou l'autre mèche grise.
On sentait l'argent, depuis suffisamment longtemps pour qu'il ne fut plus ostentatoire, et les bénéfices d'une éducation classique.
Un coup d'il sur les tables alentour, toutes occupées !
« Pas précisément...Vous, peut être »répondis-je dans un sourire.
Quelques instants plus tard, nous devisions de tout et de rien : j'appris donc que la dame, prénommée Marlène, était mariée depuis longtemps, que son maris ne la touchais plus, qu'elle avait tenté de prendre un amant mais qu'elle avait rompus, ne supportant pas la goujaterie de celui-ci qui la rendais responsable de ses pannes d'érection !Afin de rester dans le ton, j'avouais moi-même avoir déjà été victime d'une telle panne(qui ne l'as pas été ?), mais qu'une dame n'en était en rien responsable, seulement le stress, la fatigue, peu importe, on peut bien faire jouir sa partenaire sans pénétration, non ?
Marlène sortis son paquet de cigarette et je lui offris du feu à l'aide de mon fidèle Zippo. Elle me prit la main innocemment à cette occasion, indice s'il en est que quelque chose est possible.
Me levant pour me rendre aux toilettes, j'eu la surprise de voir à mon retour que Marlène avait déplacé son siège pour s'asseoir à mes cotés, siège qu'elle approcha encore un peu une fois que je fus assis. Décidément, elle avait l'air de vouloir être directe !
Mais la conversation, pour intime et personnelle qu'elle eu été un moment plus tôt, s'était enlisée, et il y eu un blanc ; que je mis à profit pour allumer une cigarette.
« J'ai envie de vous » me dit-elle brusquement.
Je fus un peu surpris d'une telle franchise, ce qui put passer pour de l'hésitation, voir de l'incrédulité.
Elle saisit donc ma mains droite et, à l'abris tans de la table que de la jupe de son tailleur gris, la plaças directement en haut de ses cuisses : »Voyez « dit elle !
En effet, un simple mouvement mis mes doigts en contact avec sa culotte, laquelle était bel et bien trempée !
Un petit sourire, »attend moi là »dit-elle dans un souffle, passant au tutoiement ; Elle se lève et se dirige vers l'intérieur de l'hôtel.
Elle revient rapidement : »laisse passer un quart d'heure et rejoint moi chambre 234 », et elle s'en va....
Je fume encore une cigarette, vide mon café et paie l'addition, puis me dirige vers les ascenseurs .La porte de la chambre n'est pas fermée à clef, je me dispense donc de frapper.
En pénétrant dans la chambre, je remarque seulement sa paire de chaussure au sol, trois préservatifs sur la table de nuit et la veste de tailleurs sur le dossier d'une chaise. La chambre parait vide. Regardant mieux, je vois un string en satin blanc sur la chaise, que me réserve donc la dame ?
Soudain, de la porte entrebâillée de la salle de bain, jaillis un long gémissement rauque. J'ôte ma veste et mes chaussures et ouvre la porte de la salle de bain pour apercevoir un spectacle particulièrement excitant : Marlène, le chemisier déboutonné jusqu'a la taille, un sein lourd s'échappant d'un soutien-gorge assortis au string qui se trouve dans la chambre. Elle est assise sur le rebord de la baignoire, la jupe troussée en boudin sur les hanches se masturbe frénétiquement. Elle me regarde, souris et porte son regard sur son bas-ventre, l'air crispé, concentrée sur son plaisir. En la regardant, je me déshabille, ne perdant pas une miette du spectacle qui m'est offert. Sa main gauche tire sur la peau un peu blette de son ventre, sa main droite tourne rapidement sur son clitoris, puis, elle s'introduit le médius dans la chatte et commence à haleter. Au moment où je m'approche, elle pousse une série de cris et lâche de longs jets sur le carrelage, dans un bruit mouillé, ses doigts tournant rapidement en elle.
Je suis maintenant tout près d'elle et elle saisit mon membre en bouche, pour le sucer langoureusement tout en continuant à se caresser doucement au rythme de ses coups de langue.
Ne désirant pas jouir tout de suite, je la prends par les coudes, la met debout et la dirige vers le lit, sur lequel je l'allonge sur le dos. J'écarte ses jambes et me couche sur le ventre entre ses cuisses. Son clitoris doit être hyper-sensible, vus la proximité de son précédent orgasme, aussi je commence par lécher doucement ses grandes lèvres, poussant très légèrement ma langue entre elles. Je lève les yeux, la peau de sa gorge et de son visage est devenue rouge. Je la pénètre d'un doigt et elle hurle, lâchant encore trois jets puissants sur mon visage.
Elle roule sur elle-même et se positionne en levrette, les mains posée sur l'arrière de ses cuisses, comprenant l'invite (qui ne comprendrait ?), je pose mon gland sur l'entrée de cette grotte moite et le frotte un moment sur son clitoris afin de me lubrifier, puis la prend d'une seule et longue poussé, au comble de l'excitation , elle gémis et répand un jet de son fluide : je sent comme un jet frais sur mes couilles. Les mains agrippées sur ses hanches, n'en pouvant plus, je commence un rapide vas et vient, ne tenant plus le rythme lent que je m'étais imposé au début mais, bien au contraire, la prenant puissamment, déclenchant encore de nombreux jet de mouille qui trempent mon ventre, mes cuisses et même mes genoux ! Elle hurle au moment ou j'introduis mon pouce dans son anus et j'explose à longs jets, puis je roule à coté d'elle, tentant de reprendre ma respiration, et elle a le bon gout de ne rien faire un moment.
Enfin, elle se positionne à coté de moi, prend ma queue en bouche tout en se caressant la chatte lentement, m'offrant sa façon de faire en spectacle. Je ne rebande pas encore complètement que j'y vais d'une giclée, qu'elle avale avec gourmandise, ce qui a l'air de lui plaire tans que d'autre jets de son jus clair jaillissent encore de sa chatte.
Enfin comblée (heureusement, je n'ai pas des réserves inépuisable), elle me dit dans un sourire : »30 ans de mariage, et mon mari ne sait pas que je suis une fontaine.....je suis vierge de l'anus, tu voudrais m'apprendre, un jour prochain ? »