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Proposée le 4/11/2009 par Talis Cat
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Récit hard et cru
Emmanuelle. C'était une camarade de collège. Pas vraiment belle, plutôt rondouillarde. Mais je crois qu'elle avait un faible pour moi. Un jour que nous rentrions ensemble, elle m'avait amené devant chez elle, pour me montrer sa maison. Ses parents n'étaient pas là. J'ai toujours fantasmé sur ce qu'aurait pu être la suite... Voici l'histoire.
Elle m'amène devant chez elle et me dit :
"- Mes parents ne sont pas là aujourd'hui."
Je réfléchis quelques instants et dis :
"- Tu m'invites ?"
"- Si tu veux..."
Je la suis à l'intérieur. Nous enlevons nos manteaux et je la regarde. Je bande. J'ai envie de la niquer. J'hésite. Elle se dirige vers le salon. je l'interpelle alors :
"- Emmanuelle ?"
"- Oui ?"
"- Je te veux."
"- Hein ?"
"- Tu m'as très bien compris. J'ai envie de toi."
Elle reste figée. Mais elle ne recule pas quand je me dirige vers elle, ne baisse pas les yeux quand nos regards se croisent. Je la vois se lécher les lèvres, sans même y penser. Je suis tout près d'elle. Je prend son visage dans mes mains et dépose mes lèvres sur les siennes. Elle se laisse faire. Puis elle baisse les yeux en rougissant. Je sors mon sexe déjà bien dur et dis :
"- Regarde comme je te désire... Ca ne te donne pas envie ?"
Elle caresse doucement ma verge, maladroitement, je sens son hésitation. Elle murmure :
"- Tu m'aimes ?"
"- Non. Mais je désire te faire mienne. Te donner du plaisir... Et en prendre."
Elle a un sourire triste. Je lui redresse doucement la tête. Je sens dans son regard qu'elle est déçue. Je l'embrasse à nouveau et lui murmure :
"- Je suis désolé. Mais je préfère être honnête... Et puis, ça ne m'empêchera pas de de te faire beaucoup de bien, tu verras..."
Je la sens hésitante alors que je l'embrasse à nouveau. Mais les caresses de sa main se font plus fermes, plus décidées. Je tente alors de forcer l'entrée de sa bouche avec ma langue. Elle a un mouvement de recul, surprise. Je la regarde, amusé :
"- Tu n'aimes pas ?"
Elle balbutie :
"- Euh... Je ne sais pas... Si, probablement..."
"- Il suffit d'essayer pour savoir..."
Je me penche à nouveau vers elle et elle se laisse faire. Notre baiser se fait fougueux. Elle me passe la main derrière la nuque, serre mon visage contre le sien. Elle me demande d'un ton mal assuré :
"- Tu veux que... Que je te suce ?"
Elle a des bonnes idées... Je souris :
"- Si tu veux..."
Elle s'agenouille face à moi. Elle reste un moment à regarder ma verge. Puis elle se décide, commence à me lécher timidement, et enfin m'avale. Je soupire :
"- Oh, Emmanuelle... C'est bon..."
Je caresse sa chevelure, donne quelques coups de rein. Elle a l'air d'apprécier mon enthousiasme et me suce plus vigoureusement. Je savoure sa prestation avant de lui dire :
"- Si on allait dans un endroit plus confortable ? Au salon par exemple..."
Elle me suce encore un peu, elle y prend goût apparemment... Puis elle me répond en me masturbant et m'adressant un regard plein de promesse :
"- Oui, tu as raison, on sera mieux. Et puis j'ai envie de plus..."
Je souris et pense : 'Ne t'inquiètes pas, ma salope, tu auras bien plus que tu ne désires...'
Je la suis en matant son cul. Qu'est-ce que j'aimerais l'enculer ! Mais elle risque de ne pas vouloir... Je suis sûr qu'elle est vierge et la douleur de la pénétration va probablement la rendre trop tendue pour une sodomie. Comment faire ? Une fois au salon elle tire les rideaux. Je n'y avais même pas pensé... Mais c'est vrai qu'elle sera plus à l'aise à l'abri des regard. Et moi aussi. Je m'approche d'elle, l'embrasse. Elle caresse de nouveau ma queue et je pose mes mains sur ses fesses, vagabondent sur ses cuisse et fini sur son entrejambe. Elle trésaille. Je lui souris. Puis je me recule, me déshabille et m'assoie sur le divan. Elle me regarde. Je lui dis alors :
"- A ton tour. Montres-moi ton corps..."
Son striptease n'est pas vraiment érotique mais il a le mérite de rapidement dévoiler ses formes. Elle est déjà en sous-vêtements quand je commence à me masturber. Elle s'arrête un instant et me regarde. Je lui souris à nouveau et elle commence à décrocher son soutien gorge. Ses seins sont encore petits mais leurs tétons durcis me donnent très envie... Elle s'apprête à enlever sa culotte quand je lui dis :
"- Attends !"
Elle s'arrête se redresse. Je reste un moment à la regarder en me masturbant lentement. Elle est très gênée, détourne les yeux en rougissant. Enfin je demande :
"- Tu t'es déjà caressée ?"
Elle bafouille en rougissant de plus bel :
"- Non ! Quelle idée !"
Je ris :
"- Ca n'a rien de sale ! Moi je le fais très régulièrement... Parfois même en pensant à toi."
Je vois que cette dernière phrase la gêne encore plus : ca m'excite !
"- Tu peux me l'avouer. Ce sera notre secret."
Elle murmure :
"- Non... Je ne me suis jamais caressée."
Je suis étonné. C'est vrai que les filles le font peut-être moins souvent que les garçons... Bien, la suite n'en sera que plus savoureuse !
"- Et bien il est temps d'essayer ! Ce sera ta première fois là encore. Tu es vierge n'est-ce pas ?"
Elle hoche la tête sans oser me regarder. Je vais avoir du mal à me retenir...
"- Allez, caresses-toi, glisses ta main dans ta culotte."
Elle obéit. Je devine ses doigts posés sur son intimité à travers l'étoffe... Je la regarde et ajoute :
"- Bouges-tes doigts, voilà, lentement... Essaies de trouver les endroits qui te donnent le plus de plaisir..."
Elle s'active. Se yeux se ferment, ses jambes s'écartent légèrement, son autre main vient se se poser sur son sein, en triturer le mamelon dressé... Elle jette sa tête en arrière en poussant un râle. J'ai vraiment très envie d'elle maintenant... Je m'approche, lui suce le téton. Elle ouvre à nouveau les yeux et me sourit. Nous échangeons un baiser fougueux alors que ma main caresse sa petite poitrine. Puis je m'agenouille face à elle et commence à descendre sa culotte. Elle fait mine d'arrêter de se caresser mais je lui murmure :
"- Continues... Tu m'excites à te caresser comme ça."
Elle m'adresse un sourire. Elle est fière d'être l'objet de mon désir, je le sens bien. Je m'applique alors à lui caresser les cuisses, les fesses. Mes lèvres se posent sur son pubis, ma langue tourne autour du centre de son plaisir qu'elle stimule avec toujours plus d'entrain. J'écarte légèrement ses fesses, frôle sa rondelle du doigt. Elle n'a pas l'air de s'en offusquer... Un bon point pour la suite. Enfin j'écarte sa main et dépose un baiser sur sa fleur. Elle gémit. Je la regarde alors. Elle me sourit, m'adresse un regard plein de désir. Elle suce son doigt couverte de mouille. Puis elle se masse la poitrine. Je commence alors à la lécher délicatement. Je glisse un doigt, puis deux. Mais pas trop profondément, je ne voudrais pas la dépuceler ainsi... Puis, sans en avoir l'air, j'insère mon majeur dans son anus. Elle sursaute. Avant qu'elle n'ai pu réagir je me suis relevé et je l'embrasse. Puis je vais m'asseoir sur le divan et dis :
"- Je veux sentir à nouveau ta bouche..."
Elle reste hésitante. Un instant j'ai peur d'avoir été trop loin. Mais elle s'accroupit, écarte les cuisses, puis sa chatte en se caressant la poitrine. Et elle vient ensuite jusqu'à moi, à quatre patte. Elle caresse mon sexe, m'adresse un regard coquin puis me suce. Je la laisse faire en fermant les yeux. Enfin je murmure :
"- Tu en as envie, n'est-ce pas ?"
"- Oui..."
Une idée me traverse alors l'esprit... Oui, je vais pouvoir l'enculer comme ça... Et puis la prochaine fois qu'on baisera, je la dépucèlerai Et vue qu'elle aura déjà goûté à la sodomie, elle n'y verra plus d'objection... Quel manipulateur je fais ! Je souris et lui demande :
"- Ca ne te gênes pas de donner ton pucelage à quelqu'un qui ne t'aimes pas ?"
Elle ne dit rien mais arrête de me caresser. J'ajoute :
"- Si tu veux, je connais un moyen pour que tu restes vierge pour lui..."
Elle me demande, intriguée :
"- Comment ? J'ai envie de te sentir en moi..."
"- Il suffit que je te sodomise."
"- Quoi ? Mais ca va me faire mal !"
Un bon point elle ne voit que la douleur comme objection... Je savais que c'était une chienne. Je répond :
"- Te dépuceler aussi te fera mal tu sais. Et puis je serais doux. Tu penses que je suis trop violent ?"
Elle rougit :
"- Non, bien sûr... Tu es très doux."
Je pense : 'C'est parce que tu ne m'as pas encore vu quand je me laisse aller...' Mais je dis :
"- Et bien essayons ! Si ça te fait trop mal j'arrêterai."
Elle baisse les yeux puis murmure :
"- D'accord..."
Puis elle me regarde et ajoute :
"- Mais ce n'est pas si important que ça le pucelage pour un mec, non ? Surtout s'il m'aime..."
Je répond du tac au tac avec un aplomb qui m'étonne moi-même :
"- Je t'assure que c'est très important ! C'est une preuve d'amour de ta part de lui offrir ça."
Mais quel pipeau ! En plus je compte bien la déflorer plus tard... Bah, si ça peut me permettre de l'enculer... Je la vois pensive, agenouillée entre mes cuisses. Je saisis sa main, en embrasse la paume. Elle me regarde, je pose sa main sur mon sexe. Elle me sourit et me masturbe un peu avant de recommencer à me sucer. Je la laisse faire quelques instants puis je la relève et lui dis :
"- Mets-toi sur le divan, dos à moi. Voilà, cambre tes fesses..."
Elle hésite un peu mais finit par obtempérer. Je me place derrière elle et lui lèche le fion en lui caressant la chatte. Elle pousse un petit cri de plaisir. J'enfonce alors mon pouce dans son cul. Mes autres doigts fouillent son vagin, caressent son clitoris. Sa respiration se fait haletante. Je pose alors mon gland sur sa rondelle alors que je lui écarte les fesses. Elle regarde mon sexe avec appréhension et dit d'une voix faible :
"- Vas-y doucement, d'accord ?"
J'ai vraiment envie de lui défoncer son cul mais si je fais ça je ne pourrais pas la baiser à nouveau... Alors je me retiens et lui souris en disant :
"- Bien sûr. Je ne veux que ton plaisir..."
Elle sourit faiblement. J'enfonce ma verge en elle. Elle pousse un autre cri, de douleur cette fois-ci. Elle est très serrée, tendue... Je me penche sur elle, lui caresse les seins et lui souffle à l'oreille :
"- Détends-toi... Si tu penses que cela fera mal, alors ce sera le cas. Mais si tu ne penses qu'à ton plaisir..."
Mon doigt stimule son clitoris pour donner plus de poids à mes mots. Je le sens se laisser aller peu à peu. Mon sexe rentre de plus en plus profondément. Je fais de léger va et viens pour dilaté un peu plus son cul. Elle pousse de nouveaux cris de douleur. Mais sa respiration hachée, la moiteur de son intimité, la raideur de ses tétons, tout laisse deviner qu'elle commence à aimer... Je sens alors que je ne pourrai pas aller plus loin. Je la saisis par les hanches et commence à la pilonner. Puis je l'attrape parles épaules en forçant de plus bel. Elle s'époumone. Je souris et lui dis :
"- Tu aimes ça, ma cochonne, hein ?"
"- Umm... Oui... Encules-moi fort..."
Elle ne s'est même pas offusquée que je la traite de cochonne... Elle est maintenant perdue dans son désir. Je la tiens. Je savais que ça marcherait. Je lui ramone le cul, me démène en elle comme un beau diable. Elle me réclame toujours plus loin, plus fort. Je lui obéit avec plaisir. Enfin je jouit en elle dans un râle. Elle se cambre pour m'accueillir aussi profond qu'elle peut. Ma semence coule en elle. Je sens sa déception lorsque je m'extrait d'elle. Elle est tremblante, proche de l'extase...
Je commence alors à la lécher, la retourne sur le dos pour l'observer. Elle se caresse les seins en me regardant avec des yeux mis clos. Je me penche sur elle pour l'embrasser alors que mes doigts jouent avec les pétales de sa fleur. Je lui doigte le vagin, l'anus. Elle crie son plaisir. Puis elle atteint l'orgasme dans une série de spasmes. Je force alors l'entrée de sa chatte avec ma main. Elle est tellement excitée qu'elle crie de nouveau son excitation en tentant de m'aider à la pénétrer ainsi plus loin, malgré le tremblement de ses hanches. Je sens une résistance, je pousse. Elle hurle de douleur. Puis je bouge mes doigts en elle, fait tourner ma main et son cri se transforme en gémissement de plaisir. Je ressors ma main ensanglantée et dis d'un ton faussement contrit :
"- Je crois que je t'ai dépucelée malgré tout... Excuses-moi, je ne pensais pas que ca pouvait arriver ainsi..."
Quel menteur... Elle répond dans un soupir :
"- Je m'en fiche... De toute façon c'est l'homme que j'aime qui m'a déflorée, c'est le plus important pour moi..."
Je me relève, commence à me rhabiller. Elle me regarde, s'assoit. Elle est encore étourdie de plaisir, sa voix est pâteuse :
"- Christophe ?"
"- Oui ?"
"- Tu me baiseras à nouveau ?"
J'imagine qu'elle espère que je tombe amoureux d'elle de cette façon... Ou alors elle a juste compris qu'elle aimait le sexe. je réponds nonchalamment :
"- Si tu veux."
Elle dit alors :
"- Maintenant que ca n'a plus d'importance j'ai très envie de sentir autre chose que tes doigts entre mes cuisses..."
Qu'est-ce qu'elle m'excite ! Heureusement que j'ai déjà remis mon slip, je commence à bander de nouveau... Elle ajoute :
"- Et puis je serai plus détendue, tu pourras m'enculer plus fort."
Ca y est je bande comme un taureau. Elle remarque la bosse que forme mon sexe. Elle sourit et demande :
"- Tu veux rester un peu ?"
Oh oui... J'ai très envie de la défoncer, là, tout de suite. Mais je n'ai pas le temps, il se fait tard...
"- Désolé, mes parents vont s'inquiéter."
J'ajoute en lui adressant un regard plein de désir :
"- On prévoira ça l'avance la prochaine fois... Comme ça on aura tout le temps qu'on veut pour faire ce qu'on veut..."
Elle sourit à nouveau :
"- Oui... Je suis sûre que tu as plein d'idées merveilleuses !"
Bien sûr, ma salope... Je vais faire de toi un objet sexuel multi-usage... Je la vois s'étirer sur le divan, s'allonger. Je ne peux me retenir de dire :
"- Si tu as des copines intéressées..."
Je m'attendais à ce qu'elle pense à une blague. Mais elle dit juste :
"- Umm... Faut voir... Cécile, peut-être..."
Je reste figé quelques instants. Oh bordel, j'ai vraiment envie de baiser là... Au Diable les parents ! Je la regarde et dis :
"- Je crois que je vais rester un peu finalement..."
Elle sourit, s'assoit, écarte les cuisses et dit simplement :
"- Viens, mon bel amant..."
Jolie phrase... Mais je me contente d'enlever mon slip, mon sexe se dresse. Je la regarde se toucher. Puis je lui saute littéralement dessus, la pénètre violemment. Elle pousse un cri de surprise et de douleur mêlées. Mais elle se remet bien vite, m'attrape par le cou et m'embrasse fougueusement en passant ses jambes autour de ma taille. Je la ramone puis attrape ses jambes et les rabats contre mon torse, entre nous deux. Elle se serre contre moi, sa tête sur mon épaule. Je l'entends crier, de douleur, de plaisir, de désir... Elle m'encourage me réclame toujours plus d'ardeur. Je la prend avec l'énergie du désespoir. Enfin je reprend un peu mes esprits et mes assauts se font plus doux. Elle soupire. De soulagement ? De dépit ? Je ne sais... Mais elle n'a pas l'air de m'en vouloir pour mon comportement sauvage, bien au contraire... Quand je m'extrais d'elle, elle vient immédiatement s'agenouiller face à moi pour me sucer. Je la force à m'avaler profondément. Elle s'y applique avec délectation. Enfin je la laisse reprendre sa respiration et elle me dit :
"- Encules-moi."
Je suis surpris parla spontanéité de sa demande. Excité aussi. Je la vois se mettre en levrette sur le divan. Poser son torse sur celui-ci en utilisant ses mains pour écarter ses fesses, se doigter le fion. Il ne m'en faut pas plus. J'entre à nouveau en elle, sans plus de ménagement que précédemment. Ses quelques cris de douleurs sont vite suivis de hurlement de jouissance. Elle se masturbe, se masse les seins. Mes mains sont posées sur ses hanches alors que je la défonce. Elle hurle :
"- Oh, Christophe, Christophe, prends-moi ! Fais-moi tienne ! Explores-moi de fond en comble !"
Je la pénètre aussi fort que possible. Je vais jouir à nouveau je le sens. Je me penche sur elle et lui susurre en la caressant :
"- Tu veux goûter mon sperme ?"
Elle se contente de hocher la tête, incapable de parler. Je sors alors de son anus. Elle se place face à moi, les mains en coupe sous son menton pour ne rien perdre de mon jus. Je me masturbe en la regardant. Et je jutes sur son visage. Les premiers jets lui arrivent dans les yeux et elle réprime un mouvement de recul puis ferme les yeux. Elle ouvre grand la bouche, tire la langue, s'approche de mon gland pour que les jets suivants atterrissent au fond de sa gorge. Elle avale ensuite avec délectation et me suçote le gland, recueillant quelques gouttes supplémentaires qu'elle savoure en me regardant. Je saisis sa nuque et lui fais avaler mon sexe. Je le laisse se ramollir dans sa bouche, alors qu'elle me lèche avec ferveur. Je murmure :
"- Je vais devoir rentrer maintenant... Il se fait vraiment tard."
Elle ne peut pas répondre bien sûr. Mais l'accentuation de sa succion veut bien dire qu'elle n'en a pas plus envie que moi... Elle veut me sentir à nouveau dur pour elle, en elle. Mais je ne peux rester. Elle me regarde me rhabiller avec un air de chien battu. Ou de chienne plutôt... J'ai envie d'elle... Terriblement envie d'elle. Je la regarde une dernière fois avant de partir. Nous ne disons pas au revoir, aucun de nous deux n'en a envie. Elle me sourit et se caresse en écartant les jambes pour moi. Je lui retourne son sourire et dis :
"- Tu as un cul du tonnerre. Et tu baises comme une vraie pute."
Puis je me dirige vers la porte. En partant je l'entend gémir mon nom en se donnant du plaisir...