Du virtuel au réel Part II

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Proposée le 3/11/2009 par markisue

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Pour elle :

Je t'ai rapprochée de moi. Je t'ai embrassée, doucement passionnément. Je t'ai sourie. Je t'ai tendue une coupe de champagne, et nous avons trinqué. J'ai alors saisi mon verre, pris une gorgée, et j'ai embrassé tes seins, le champagne encore dans ma bouche, j'ai commencé à sucer tes tétons, déjà durs. La chaleur de l'alcool t'a fait gémir. Ma langue s'est enroulée autour de tes pointes, je t'ai embrassée à nouveau, nos langues mêlées, puis je suis revenu à tes seins, après avoir pris une nouvelle gorgée de champagne.


Tu as commencé à gémir, assise sur le lit, en tailleur. Tu me regardais faire, avec un petit sourire. Tu te penchais en arrière, pour me donner tes seins. Et je passais de l'un à l'autre, les suçant, les embrassant, laissant le champagne couler sur tes pointes, que je léchais ensuite. L'alcool coulait sur ta poitrine, sur ton ventre, je t'ai allongée doucement, en te roulant une pelle tendre et lubrique, nos langues se sont enroulées l'une autour de l'autre, je continuais à durcir, encore. J'ai suivi le petit filet de champagne qui coulait sur toi, l'ai léché, pour arriver à ton sexe, que tu as ouvert, offerte, devant moi, me découvrant ton clitoris, dur, lui aussi, le massant de ton index, m'invitant à le sucer, à le lécher, totalement impudique, tu as ouvert tes cuisses, et tu as commencé à te caresser, me suppliant de venir, avec ma bouche.

Mais je t'ai regardée faire. Je voulais prendre mon temps. J'ai pris la bouteille de champagne, et pendant que tu te branlais, je l'ai fait couler doucement sur ta chatte. Les bulles et l'alcool t'ont fait crier, de plaisir et de surprise. Tes doigts sont allés plus vite sur ton bouton, tu as ouvert tes jambes, encore. Je me suis penché et j'ai bu ton jus, mêlé au champagne. Un goût si doux, si exquis dans ma bouche, que je me suis déchainé sur ta chatte, je t'ai léchée plus vite, ma langue t'a pénétrée, j'ai encore fait couler de l'alcool sur toi, et l'ai léché sur ton clitoris, que tu caressais quand ma langue l'abandonnait pour s'enfoncer en toi.

Je suis remonté vers tes seins, tu continuais à te caresser, je t'ai offert la bouteille, tu as pris une gorgée, toi aussi, et je t'ai demandé de garder le champagne dans ta bouche. Puis je t'ai tendu ma queue. Que tu as commencé à sucer, en sentant à ton tour dans ta bouche le goût de l'alcool et du plaisir, le champagne, mêlé à ton odeur sur mon sexe, sur mon gland. Mes doigts se sont enfoncés en toi, un, puis deux, puis trois, qui allaient et venaient, tu les prenais pour les faire entrer en toi, à ton rythme, sans cesser de me sucer. J'ai saisi tes seins, les ai pétris, caressés, mes doigts roulant sur tes pointes, les pinçant, ce qui te faisait gémir un peu plus encore. Je les ai rapprochés de ta bouche, et tu as abandonné ma queue un instant, pour te lécher les tétons, faire glisser ta langue sur tes pointes tendues, avant de me sucer à nouveau, le gout du sexe et du champagne toujours autour de nous.

J'ai encore fait couler du champagne sur ta chatte, que je branlais méthodiquement, ton jus mêlé à l'alcool me faisait bander terriblement, tu me regardais dans les yeux et tu sentais mon envie, de te prendre dans l'instant, alors tu t'es ouverte un peu plus, tu as lâché mon sexe, et tu t'es caressée devant moi, encore, tes doigts en toi, mes doigts mêlés aux tiens, je me suis rapproché, me suis caressé, et tu as poussé un petit cri en sentant à nouveau le vibro sur ton bouton, tu as ouvert tes cuisses, je les ai relevées, tes jambes sur mes épaules, et je me suis enfoncé en toi, d'un coup, tu as crié, tu voulais jouir, mes doigts ont caressé ton bouton, l'ont frotté avec envie, avec ardeur, il durcissait encore, et mes va et viens se sont fait plus rapides, plus profonds, plus violents, au fond de ta chatte, j'avais tellement envie de toi, je t'ai baisée longuement, tu mouillais, inondais les draps, ma queue, mon bas-ventre, tes doigts, je n'en pouvais plus, il m'en fallait encore plus, alors je t'ai demandé de t'agenouiller, je t'ai léchée, le sexe, le cul, le clito, tu t'es branlée devant moi, puis à nouveau, je me suis enfoncé en toi, en te prenant par les hanches, allant et venant, fort, au fond de toi, pinçant tes seins, sentant tes doigts sur la base de ma queue, sur mes couilles, mes doigts partout sur toi, j'en ai enfoncé un entre tes fesses, tu t'es cambrée un peu plus, tu as ouvert ton cul, j'ai frotté ton clito pour te mener au bord de l'orgasme, puis j'ai sorti ma queue de ta chatte, et l'ai enfoncée, tout doucement, très lentement, dans ton cul, sans cesser de caresser ton bouton... Tu as crié, de surprise, puis très vite de plaisir, un plaisir que tu découvrais, que tu voulais entier, total, tes doigts dans ton sexe allaient et venaient, et mon sexe être tes fesses, tu coulais, encore et encore, et encore, et un orgasme terrifiant, presque douloureux, t'a finalement délivrée, tandis que je jouissais en toi, à longues saccades, submergé par le plaisir....

je t'ai serrée dans mes bras, et nous avons pris une douche douce et câline, avant de sombrer dans le sommeil...


Elle :

J'émerge doucement du sommeil, je n'ai aucune idée de l'heure qu'il est ni de combien de temps j'ai pu dormir. Je me sens courbaturée mais merveilleusement bien... Il dort près de moi et son souffle est tranquille. J'ai envie de le réveiller... le réveiller en le prenant dans ma bouche, lentement... Mais il me semble plus sage de le laisser se reposer encore, prendre des forces.

Je me lève sans bruit et enfile un peignoir. Je vais à la fenêtre, respirer l'air plein d'embrun et écoute le va et viens incessant de l'océan qui vient lécher la plage.
Je ne l'ai pas entendu arriver derrière moi mais tout à coup, je sens son souffle dans mon cou et ses lèvres sur ma peau. Il emplit ses mains de mes seins, fait rouler leur pointes entre ses doigts et écarte largement les pans du peignoir. Je le sens durcir de nouveau contre mes fesses tandis que ses mains me caressent sur tout le corps.

Je veux le toucher, le caresser, le coller à moi mais il dirige mes bras vers le rebord de la fenêtre. Il glisse une main entre mes fesses, l'autre caresse mon ventre avant de descendre vers mon clitoris, ses deux mains me fouillent si précisément, si savamment que je comprends vite qu'il ne me prépare pas seulement à me prendre mais qu'il veut me faire jouir, seule, sur ses doigts. Je m'appuie au chambranle de la fenêtre et me concentre sur ses doigts qui vont et viennent, s'insinuent, effleurent avant de s'enfoncer lentement en moi. Je sens son regard sur moi, je sais qu'il scrute chacun de mes traits déformés dans le plaisir et m'offrir à lui ainsi m'excite encore plus. Il me fait me sentir belle, désirable, bandante...

Bientôt mon sexe si bien entrepris recommence à couler sur ses doigts, il étale mon plaisir sur ma chatte et remonte haut entre mes fesses. J'ai terriblement envie de lui, ses doigts m'affolent et je me tends vers lui pour qu'il les enfonce plus profondément encore. Son pouce remonte et s'insinue entre mes fesses, lentement, délicatement, mon corps est pris d'assaut, je me sens comblée, il accélère le mouvement de ses doigts, partout en moi jusqu'à me faire jouir d'un orgasme dévastateur qui me fait tomber à genoux. Il m'accompagne au sol et se glisse sous mon bassin, ne me laisse pas de répit et colle ses lèvres sur ma chatte ruisselante.
Sa langue a remplacé ses doigts sur mon clitoris, il me lèche avec gourmandise tandis que ses mains écartent mes fesses, facilitant le passage de ses doigts en moi.
Une immense vague de plaisir me saisit à nouveau, m'électrise de tout mon corps, je ne sais plus si c'est le même orgasme qui continue encore mais je m'affaisse à côté de lui, incapable de tenir ne serait que sur mes genoux.

Il me prends doucement dans ses bras, mais ne me laisse pas reprendre mon souffle... il me dépose sur le lit, remonte mes jambes sur ses épaules et s'enfonce d'un long coup de rein. Mon sexe est si ruisselant qu'il me pénètre avec une facilité déconcertante, je me sens chaude, douce, accueillante et j'ai envie de ce qu'il me donne : il me baise passionnément, chacun de ses coups de reins m'arrache un cri... il glisse ses mains sous mes fesses me pénètre encore de ses doigts et je ne retiens plus mes mains : je caresse frénétiquement mon clitoris, jusqu'à jaillir de nouveau en une explosion des sens.

Mon sexe semble être une fontaine intarissable sur sa queue et il ne peut plus résister : je le sens gicler au fond de mon ventre, il jouit longuement en moi, s'abat sur moi et me serre dans ses bras, à me couper le souffle... Nous nous rendormons doucement, au bord du lit, un parfum de sexe dans la chambre... nous reprenons des forces...