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Proposée le 2/11/2009 par Talis Cat
ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE
Histoire de chantage, récit non consensuel
Les jours suivants se passent dans le calme. Je me fais studieux en cours. Elle a remit ses anciens vêtements mais je note malgré tout qu'elle se fait plus coquette. C'est très discret, du maquillage, des pantalons plus moulant... Mais tout ceci l'a épanouie, je parie même que ca se passe beaucoup mieux avec son mari au lit. Elle a l'air heureuse. Je me sens presque coupable de briser son joli rêve de vie tranquille. Mais j'ai envie de la sauter. De sentir ma verge en elle, de l'entendre jouir. Ce sera aujourd'hui, son cours est le dernier de la journée. A la fin du cours je me lève et viens vers elle. Elle me sourit. Pauvre petite chose... Je lui rend son sourire et lui demande :
"- J'aimerai bien que vous me raccompagniez, ca vous gênerait ?"
Elle ne cache pas sa surprise :
"- C'est que... Ca pourrait faire jaser..."
"- Bah, on sera discret... Et puis on est intime, non ?"
Je m'attendais à une réprimande mais elle se contente de rougir et de baisser les yeux. Enfin elle répond :
"- Bon, si vous voulez..."
Nous attendons que la plupart des élèves soit partis. Elle me dit alors :
"- Bon, je vais à ma voiture, rejoignez moi dans dix minutes."
"- Ok. Je vous fais confiance !"
Dix minutes plus tard je suis sur le parking. Elle est déjà dans sa voiture et me fais un petit signe. Je m'approche, elle m'ouvre la portière du côté passager mais je lui dis :
"- Vous me laisseriez conduire ? J'ai pas souvent l'occasion de conduire..."
"- Euh... Si tu veux."
Elle sort de la voiture et nous échangeons nos places. J'admire sa poitrine alors qu'elle boucle sa ceinture. Elle a mis un joli décolleté aujourd'hui... A croire qu'elle savait ce qui l'attend ! Je démarre.
Nous roulons en silence. Puis elle s'agite, elle voit que je me diriges en dehors des quartiers résidentiels. Elle demande :
"- Où allons-nous ? Vous habitez si loin ?"
Je répond nonchalamment :
"- Non. Je veux juste vous montrer un coin sympa d'abord."
Elle fronce les sourcils :
"- Ce n'est pas une entourloupe, j'espère..."
Je me contente de répondre :
"- Sortez le dossier bleu de mon sac."
Elle obéit :
"- Ouvrez-le."
Elle blêmit : c'est les photos que j'ai prise quand elle me suçait. Elle regarde frénétiquement les clichés. Puis elle se prend la tête dans les mains et gémit :
"- Ca ne va donc jamais s'arrêter ?"
Je lui caresse doucement les cheveux, la nuque et lui dis doucement :
"- Juste un dernier effort. Après je vous laisse, c'est promis."
Elle renifle, je vois que ses yeux sont humides :
"- Et pourquoi je vous croirai cette fois-ci ?"
Je ne répond pas. Puis je lui dis :
"- Bon écoutez, essayez de prendre ça bien. faites comme si j'étais votre amant, ça sera mieux. Pour nous deux."
Elle hoche la tête. J'ajoute :
"- Bien. Bon je pense que vous devriez commencer par me soulager je me sens à l'étroit..."
Elle soupire. Puis elle me caresse l'entrejambe. Elle sort ensuite mon sexe et commence à le caresser doucement. Je soupire d'aise :
"- Vous êtes très douée... Mais il v falloir plus, je le crains..."
Nouveau soupir. Elle se penche, hésite un peu, puis avale mon sexe. Je pose ma main sur sa tête pour la forcer à m'avaler toujours plus profond. Elle se laisse faire sans vraiment réagir. Sa langue caresse vaguement ma hampe. Ma main caresse sa poitrine à chaque fois que je change de vitesse. Mais elle ne réagit toujours pas. J'ai du mal à être excité. Mais elle finit malgré tout par me faire éjaculer, avalant mon sperme. Je suis frustré : quand je pense qu'elle arrive à ça sans y mettre du sien... Quel pied je prendrai si elle était excitée ! Je la laisse se relever et nous poursuivons notre trajet sans mot dire. Elle regarde par la vitre d'un air absent...
Nous arrivons enfin à un petit parking en forêt. Je gare la voiture et lui dis :
"- On y est."
"- Ici ?"
"- Oui."
"- Mais... Si d'autres personnes arrivent ?"
"- Ca fait partie du jeu. Mais j'ai choisi un coin tranquille, voyez, je suis sympa !"
Elle se contente de soupirer. Puis elle demande :
"- Et maintenant ?"
Son manque d'enthousiasme m'énerve. Ca me couperait l'envie de la baiser... Bon on va remédier à ça...
"- Vous allez me faire un bon striptease là dehors. Puis vous passerez à l'arrière de la voiture..."
Elle me regarde avec un air méprisant. Elle murmure :
"- Vous êtes odieux..."
Je n'ai pas le temps de répondre, elle sort de la voiture et commence à se déshabiller. Je tape sur le volant de frustration. Puis j'ouvre la porte pour assister au spectacle. Elle y met du sien. On dirait qu'elle a décidé de m'humilier en me montrant que c'est d'elle dont j'ai besoin et pas l'inverse. Ca ne se déroule pas comme prévu... Vraiment pas. Mais je ne peux m'empêcher de bander en voyant ses formes qui se dévoilent. Au moins, elle sera mienne, j'aurai atteint mon objectif. J'ai un arrière goût amer dans la bouche en pensant à ça. Mais j'oublie bien vite tout ça en la regardant se trémousser. Je sors mon sexe et me masturbe. Enfin, elle est nue et elle va s'asseoir sur le siège arrière. Je la rejoins et commence à la caresser. Elle me suce sans que je lui demande. Mais toujours sans conviction. C'est bon malgré tout. Enfin je n'y tiens plus et je luis dis :
"- Allonges-toi..."
Elle obéit. Je caresse sa chatte. Elle est sèche. Je devrais m'en foutre mais cela m'ennuie. Je voulais l'entendre jouir... Je commence alors à la pilonner rageusement. Elle serre les dents pour ne pas crier. Je la défonce de plus bel...
Ma jouissance ne vient pas. J'ai du mal à être excité vu son manque de réaction... Ne se rend-t'elle pas compte qu'elle fait durer son calvaire en agissant ainsi ? Ou alors elle s'en fiche. C'est vexant pour moi. J'y vais encore plus fort. Une voiture arrive alors. Je la vois paniquer, se plaquer contre la banquette pour ne pas être vue. Enfin une réaction... Je prend alors un malin plaisir à la saisir parles cheveux et à la forcer à se redresser. Je la pilonne toujours plus en la serrant contre moi, en malaxant ses seins. Deux jeunes hommes descendent de l'autre voiture. Ils nous remarquent et s'arrêtent, nous fixant du regard. Elle gémit :
"- S'il vous plait..."
Je glisse mon doigt sur son clitoris, relève ses cheveux et lui souffle dans le cou. Puis je lui dis :
"- N'ai pas honte, tu es très belle... Montre leur combien tu aimes te faire prendre..."
"- Non, non, arrêtez !"
Je suis enfin excité au plus haut point. Les deux hommes ont sortis leur sexe et se masturbent. J'éjacule, ma semence envahit son intimité. Je lui encore quelques violents coups de rein puis je la laisse retomber sur la banquette.
Je reprend mon souffle. Enfin, j'ai eu ma victoire. Mais je veux l'humilier un peu plus, lui faire payer son indifférence. J'ouvre alors la porte et dis :
"- Vas les satisfaire. Ce serait incorrect de les laisser comme ça..."
Elle me regarde :
"- Non... Par pitié..."
Je crie :
"- VAS !"
Elle se lève alors, sort de la voiture. Je vois les regards plein de désirs des deux hommes. Elle s'arrête. Je la sens tremblante, hésitante. Avant que je n'ai pu la réprimander je la vois prendre une grande inspiration et se diriger d'un pas décidé vers les jeunes gens. Il semblerait qu'elle ait décidé que, quitte à être forcée à les baiser, elle allait leur donner du plaisir... Et peut-être même en prendre. Je boue intérieurement : elle a encore trouvé le moyen de me voler ma victoire ! Elle est maintenant entre eux. Ils la caressent. Elle embrasse l'un d'eux en caressant leur verge. Puis elle se dirige vers le capot de leur voiture en leur tenant la main. Elle se penche sur ce dernier et le premier homme se place derrière elle et commence à la lécher, la doigter. Je l'entend gémir. L'homme dit d'un ton enjoué :
"- Qu'est-ce qu'elle est humide ! Et puis sa mouille a bon goût..."
Je me force à regarder sans bouger. C'est moi qui ai voulu ça après tout... Il se relève et commence à la prendre. Elle se penche plus en avant, ses seins sont comprimés sur la tôle. Elle bombe son cul pour mieux accueillir son amant. Elle pousse des râles de plaisir, l'encourage dans ses assauts. Je le vois qui lui caresse le clitoris, lui claque les fesses, lui met des doigts dans l'anus. Le deuxième homme s'avance alors. Je le vois lui lécher la raie. Puis il se relève. Je murmure :
"- Non... Quand-même pas..."
Et si. Il s'enfonce doucement dans son cul. Elle gémit de plaisir. Il commence à la limer lentement. Il la redresse, l'embrasse, lui caresse la poitrine. Puis il la laisse se pencher pour sucer son autre partenaire. Il la sodomise de plus en plus plus fort mais jamais elle ne crie. Ou alors de plaisir... Enfin il la redresse à nouveau et je vois l'autre homme la saisir par les cuisses avant de la pénétrer. J'hallucine... Quelle salope ! Pourquoi elle n'a pas pris son pied avec moi ? Enfin elle se retrouve agenouillée entre eux et les suce tour à tour avant de recevoir leur jus sur son visage, sa poitrine. Elle les suce encore un peu puis se relève et se dirige vers moi. L'un des hommes lui donne une petite claque sur les fesses en rigolant...
Elle s'assied à mes côtés. Je sens sa main sur ma verge. Puis elle s'agenouille et commence à me sucer. Je ne suis pas d'humeur mais elle s'y prend si bien que je ne tarde pas à être bien dur. Elle se relève alors et m'embrasse. Elle murmure en me caressant le torse :
"- Prends-moi."
Je me lève et elle s'appuie sur le siège, cambrait son cul vers moi. Je l'encule violemment. Elle serre les dents mais crie plusieurs fois. J'arrête mes mouvements et lui demande :
"- Pourquoi tu ne prends pas de plaisir avec moi ? C'est juste parce que je t'ai fait chanter ? Oublies ça. Moi j'ai juste fait ça parce que je désirais ton corps..."
Elle se retourne vers moi et me sourie en me caressant le visage. Puis elle dit :
"- C'est juste que tu t'y prend mal. La sodomie n'est pas une vengeance. C'est juste une autre manière de s'aimer..."
Je sors de son anus, m'assoies, pensif. Elle s'assoit à mes côtés et dit en me caressant :
"- Tu veux que je t'apprenne ?"
Je souris tristement :
"- Tu es prof jusqu'au bout des ongles, toi..."
Elle m'embrasse et murmure :
"- Prends ça comme un cours particulier, très particulier..."
Elle saisit ma main et en embrasse la paume. Puis elle la pose sur son sein :
"- Tu sens mon cur palpiter ?"
Je hoche la tête :
"- Et mon téton, tu le sens entre tes doigts ?"
Je rougis. Elle sourit et me souffle à l'oreille :
"- Caresses-le, pinces-le, suces-le... Guettes mes réactions, cherches ce qui me faire le plus réagir, ce qui me rend folle..."
Nous échangeons un regard plein de désir. Je l'embrasse doucement et commence à appliquer sa leçon. Je ne tarde pas à remarquer que ma langue sur l'aréole de son sein lui fait un effet tout particulier... Elle murmure :
"- C'est bien... Maintenant explore le reste de mon corps..."
Je pose ma main sur sa fleur. Elle rit alors doucement et me dit :
"- Tu sais il n'y a pas que le sexe et les seins chez une femme..."
Je la regarde et répond, goguenard :
"- Non, il y a son cul aussi..."
Mais j'ai bien compris ce qu'elle voulait dire et elle se laisse aller sur la banquette alors que j'explore ses formes, cherchant ses zones érogènes. J'ai envie d'elle. La parcourir ainsi des mains, des lèvres m'excite encore plus. Et entendre ses soupirs de plaisirs me donne envie de la prendre, là, tout de suite. Mais je me retiens. Quand je pose enfin mes doigts sur son intimité elle est très humide. Je souris et dépose un délicat baiser avant de la lécher doucement. Elle se malaxe la poitrine en criant son désir. Mes doigts glissent sur sa raie, dans son anus. Elle dit alors tout bas :
"- Vas-y. Je suis prête. Montres-moi que tu n'es pas pas qu'un petit garçon frustré..."
Je souris à l'allusion à mon comportement puéril. Je la place sur le ventre et commence à la pénétrer doucement. Je m'arrête dés que je sens une résistance, fais quelques va et viens et ressors pour mieux replonger. Elle ferme les yeux et sourit. Mais je n'arrive plus à avancer. je ne sais plus que faire... Elle murmure alors :
"- Parfois il faut forcer aussi. Mais juste un peu. C'est dans le dosage de cette force que réside la difficulté... Ne t'inquiètes pas c'est normal de ne pas réussir quelque chose de parfait les premières fois..."
J'essaie alors de faire de mon mieux. Elle pousse quelques cris de douleur mais elle a l'air d'aimer malgré tout. Je caresse sa poitrine, sa chatte. Elle m'encourage de la voix. Enfin Je suis au fond d'elle. Je commence à la prendre. Mais j'y vais trop fort, je la sens se rétracter. je ressors un peu, recommence mes efforts, parviens à nouveau au fond de son être. Puis je la ramone à nouveau doucement. J'accélère lentement. Mais j'éjacule avant d'avoir pu atteindre mon rythme de croisière. Elle pousse une soupir de dépit en sentant ma semence couler en elle...
Nous restons assis côte à côte un bon moment, nus. Enfin elle me dit :
"- Tu sais, j'avais rompu avec mon amant quand tu nous as pris en photo."
"- Je sais."
"- Ah oui, c'est vrai, tu nous as entendu. Je pensais qu'il valait mieux reprendre ma vie. Et puis ça allait mieux avec mon mari."
"- Ah."
"- Mais je crois que je me trompais. J'ai besoin d'être désirée..."
"- Tu vas retourner avec lui ?"
"- Non. C'est de l'histoire ancienne pour moi. Et puis on tombait dans la routine."
"- Et tu comptes faire quoi ?"
Elle me regarde avec un sourire mutin :
"- Eduquer un jeune homme maladroit..."
Je rougis :
"- Même après ce que je t'ai fait ?"
Elle sourit :
"- Tu l'as dit toi-même : c'était juste un moyen de m'avoir pour toi. C'était maladroit, mais ça ne veux pas dire que tu me voulais du mal..."
Je baisse les yeux :
"- Je suis vraiment désolé..."
Elle me caresse la queue, m'embrasse :
"- Ne le sois pas, mon bel amant, nous ne serions pas ici sans ton audace..."
Je souris puis la serre contre moi en l'embrassant avec passion. Nous tombons sur la banquette en nous enlaçant... Je sens que je vais adorer ses cours particuliers...