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Proposée le 31/10/2009 par batman69
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J'ai rencontré Alex l'an dernier. Une de mes amies avait organisé une petite soirée et avait invité beaucoup de monde. Elle m'avait convaincu d'y aller en me parlant du beau Alex, un ami de son copain qui était célibataire et absolument craquant ! J'étais moi-même célibataire depuis peu et je n'aime pas être seule, alors je suis allée à la soirée et j'ai finalement fait sa connaissance. On a terminé la soirée dans son lit pour une mémorable partie de jambes en l'air.
Aujourd'hui, on est toujours ensemble et notre relation est à peu de choses près parfaite. Pour ma part, c'est notre vie sexuelle qui me dérange un peu. On baise encore souvent, même plusieurs fois par semaine, là n'est pas le problème. Le problème, c'est que je ne suis jamais complètement satisfaite par nos relations. C'est bon, Alex est un amant très attentionné qui a plus à cur mon plaisir que le sien. Il adore les préliminaires et j'adore sa langue sur ma chatte, alors je ne m'en plains pas. Il a aussi une queue sublime que j'ai beaucoup de plaisir a satisfaire et j'en profite souvent. Il connaît bien mes zones sensibles et parvient toujours à me mener à l'orgasme et je jouis facilement avec lui. Une vie sexuelle en apparences parfaite quoi ! Mais pourtant, il y a toujours ce sentiment de "manque" en moi après nos baises et je n'arrive pas à mettre le doigt sur ce qui cloche.
J'en parlais justement un soir avec une copine, devant un verre, attablées au bar in du coin. J'aimais ces soirées avec Marie-Pier parce qu'elle était d'une très bonne écoute et qu'elle était rigolote. Elle avait toujours le mot pour me faire rire et surtout, elle avait la capacité de dédramatiser les choses. Étant lesbienne, elle avait un regard très différent du mien sur la vie de couple et les relations sexuelles et elle arrivait à me faire voir les choses sous d'autres angles. Bref, c'était ma meilleure amie et on se connaissait depuis près de 10 ans.
Ce soir là, elle riait de moi. Elle se moquait de mon incapacité a être seule. En fait, je devais avouer que depuis que je la connaissais, j'avais rarement été célibataire. Un homme suivait l'autre. J'aimais aimer et être aimée alors quoi de plus normal ? Et comme j'aimais beaucoup le sexe, avoir un homme dans sa vie s'avérait assez utile non ? Mais elle avait raison sur un point : je n'avais jamais pris assez de temps seule pour réfléchir à mes besoins et à ce que je voulais vraiment. Peut-être était-ce là tout le problème.
On a pris plus de verres que d'habitude et plutôt ivres, on riait comme des folles. L'ambiance dans la place était chaude et festive et on se laissait contaminer. Les "cul-sec" se succédaient, le taux d'alcool dans notre sang augmentait, les fous rires se multipliaient. Bref, une soirée qui me faisait du bien. Mais il se faisait tard et il commençait à y avoir beaucoup de monde alors on a décidé de partir. C'était évident que nos voitures resteraient dans le stationnement, donc on a décidé de partager un taxi. C'est donc en riant qu'on en a arrêté un et qu'on lui a donné l'adresse de Marie-Pier qui habitait le plus près.
Après quelques minutes de route, on est arrivé chez ma copine. Il était à peine dépassé minuit alors elle m'a suggéré de prendre un dernier verre chez elle avant de rentrer chez moi retrouver mon Alex pour peut-être une autre baise, qui sait ? Je me sentais terriblement horny. C'est donc en titubant qu'on a monté l'escalier menant chez elle. On s'est débarrassé de nos souliers et on s'est installé dans son confortable fauteuil de cuir avec en main une nouvelle coupe de vin. Face à face, nos pieds se mêlaient et on parlait de tout et de rien et Marie-Pier est revenue sur notre discussion du début de la soirée. Elle me disait que si quelque chose semblait manquer à ma vie sexuelle, je devais faire en sorte de trouver ce que c'était sinon ma relation se terminerait comme celle de tous les couples qui sont insatisfaits sexuellement : elle prendrait carrément fin ! Elle faisait le tour avec moi de ce que j'aimais de mon copain et des choses qui me déplaisaient un peu plus pour m'aider à établir la liste potentielle des raisons de mon fameux "manque". Étant une femme qui en caresse régulièrement une autre, elle savait de quoi je parlais. Je lui décrivais comment Alex caressait mes seins par exemple, et elle le faisait sur moi pour s'assurer qu'elle comprenait bien ce que je voulais dire. Oui elle me touchait, mais tout ça n'avait jamais posé problème entre nous. Elle savait pertinemment que j'étais hétérosexuelle et n'avait jamais rien fait qui puisse briser notre amitié. Mais ce soir là, je ne sais pas si c'est l'alcool, mais ses mains sur mes seins m'ont totalement allumée!
J'ai fait comme si de rien n'était au début, mais bien vite je n'ai pu en supporter plus, j'étais totalement excitée! J'ai déposé mon verre sur la table basse et j'ai pris le sien de mes mains pour faire la même chose. Elle me regardait sans comprendre, et c'est à ce moment que je l'ai embrassé ! J'ai emprisonné ses lèvres sous les miennes et j'ai glissé ma langue dans sa bouche qui avait le goût délicieux et fruité du vin. Elle a hésité quelques instants, mais je crois qu'elle a finalement craqué elle aussi. Elle a posé ses mains sur mes cuisses et tout en m'embrassant d'une façon incroyablement sensuelle, elle les laissait remonter. Notre baiser était divin ! Ses lèvres étaient douces et pulpeuses, sa langue semblait savoir exactement où aller. Elle léchait mes lèvres, emprisonnait l'une d'elles dans les siennes, replongeait sa langue dans ma bouche, la laissant s'entortiller autour de la mienne. C'était le baiser le plus doux mais aussi le plus sexuel que l'on m'avait jamais donné. Une de ses mains est allée se poser sur ma joue, rapprochant doucement mon visage du sien. Je sentais son parfum féminin et si aphrodisiaque ! Je ne voulais jamais que ce baiser s'arrête ! On manquait de souffle, mais on ne pouvait s'arrêter de découvrir la bouche de l'autre. C'était notre premier baiser et c'était absolument délicieux ! La pointe de sa langue traçait le contour de ma bouche avant d'y replonger. Elle mordillait mes lèvres, puis les embrassait de nouveau.
Mes mains agrippant désormais ses épaules ont descendu et je les ai posé doucement sur ses seins menus. Oh mon Dieu!! Je caressais une femme! Je me suis mise à les pétrir, toute allumée d'en sentir la pointe durcie sous mes doigts. C'était tellement excitant! Elle a carrément glissé ses mains sous mon chandail et ne portant pas de soutien-gorge, elle a trouvé directement mes mamelons fièrement dressés sous le tissu et en a agacé les pointes, les a pincées. Nos bouches se sont séparées le temps qu'on retire l'une et l'autre notre chandail. Moi exposant une poitrine nue et elle cachant la sienne sous une fine lingerie de soie noire. Si féminin et si adorable! Jamais une femme n'avait eu cet effet sur moi. Ce devait être l'alcool !!
J'ai dégrafé son soutien-gorge et j'ai finalement pu admirer ses beaux seins d'un blanc laiteux et dont les mamelons roses appelaient ma bouche. Après un dernier baiser, un dernier coup de langue, j'ai penché la tête pour prendre un de ces merveilleux seins en bouche. La sensation de la pointe dure et frémissante sur ma langue m'a instantanément fait mouiller ma petite culotte. J'étais plus excitée que jamais. J'ai longuement léché et sucé les seins de Marie-Pier. Elle les tenait dans ses mains comme une offrande pour moi. Je ne pouvais y résister. Mais j'avais tellement envie de subir le même traitement! J'ai relevé la tête et j'ai pris la sienne dans mes mains pour l'attirer contre ma poitrine. Experte en le domaine me semblait-il, peut-être du fait de son homosexualité, elle a immédiatement su comment me faire frémir. Sa langue tournait langoureusement autour de la pointe de mon sein. Elle enserrait l'autre dans sa main et continuait de mordre doucement le second. Elle me léchait par petits coups, puis me suçait longuement, comme aspirant mon mamelon au fond de sa bouche, m'allumant au plus haut point. Je gémissais doucement en serrant sa chevelure dans ma main. Ainsi, je l'obligeais à continuer et c'était tellement bon!
Ensuite, on s'est toutes deux relevées. Tout en s'embrassant de nouveau, elle a glissé les mains derrière moi pour détacher l'agrafe de ma jupe qu'elle a laissé tomber à mes pieds, dévoilant une minuscule petite culotte de dentelle blanche et totalement inondée du jus de ma chatte follement excitée. Elle a gémi en découvrant tout ça. J'ai ensuite détaché sa ceinture, puis la fermeture éclair de son jean pour l'expédier à mon tour sur le tapis. Elle portait un string de soie noire assorti et je n'avais jamais imaginé que ma copine puisse avoir un corps aussi exceptionnel, à tomber par terre ! Je n'avais qu'une envie : le découvrir en totalité !
Elle a laissé ses mains glisser le long de mon corps, de mes hanches, puis elle a attrapé mes fesses de ses mains. J'ai gémi encore une fois. J'ai caressé ses seins encore un peu avant de laisser mes mains frôler son ventre, puis je les ai ensuite posé sur ses cuisses. J'étais gênée de toucher sa féminité. Je ne savais pas encore ce que je devais faire. Elle m'a facilité la tâche en prenant une de mes mains et en la posant elle-même sur sa chatte, par-dessus son string. Je sentais la chaleur qui émanait en dessous du tissu. Hmmmmmmm
J'ai décidé de lui retirer le vêtement et elle m'a laissé faire. En m'accroupissant devant elle pour qu'elle puisse lever les pieds afin que je lui retire complètement le vêtement, je me suis retrouvée le visage face à sa belle chatte. Elle était complètement rasée et semblait si douce ! J'ai posé la bouche dessus et je lui ai arraché un cri de surprise. J'ai voulu me relever, mais elle a poussé ma tête de façon a enfouir mon visage entre ses jambes. L'odeur musqué du sexe m'étourdissait et m'excitait. J'étais presque affolée d'avoir autant envie de laisser ma langue s'immiscer en elle. Je me suis relevée et c'est ensuite elle qui m'a aidé à retirer ma petite culotte. Elle a laissé un doigt glisser le long de la très fine bande de poils au-dessus de mon pubis, puis l'a carrément laissé glisser entre mes lèvres moites de désir. Elle les a frotté ainsi quelques secondes puis a enfoui son doigt en moi. Oh!!! La surprise a vite fait place à aux gémissements de plaisir. Je laissais mes hanches bouger alors que son doigt allait et venait en moi, m'approchant d'elle au point que nos corps se fondent pratiquement l'un dans l'autre et que son doigt s'insère encore plus profondément dans ma chatte.
Elle s'est ensuite agenouillée devant moi et m'a fait écarter les jambes. Puis elle a posé sa langue sur mon clitoris. Mon cur s'est mis a battre à une vitesse dangereuse. Sa langue me découvrait, sa bouche me dévorait, elle enfonçait de nouveau un doigt en moi et me faisait gémir comme jamais en m'offrant le plus incroyable, le plus sensuel et le meilleur cunnilingus de ma vie! J'ai connu ce soir là un orgasme puissant ! Elle s'est relevée et m'a embrassé de nouveau. Je me goûtais dans sa bouche, je suçais ses lèvres pour récolter ma propre sève. C'était absolument délicieux !
Elle s'est ensuite laissé tomber sur le fauteuil et a approché ses fesses du bord, écartant les cuisses et offrant son mon de Vénus à mon regard. Je me suis accroupie devant elle et pour la première fois de mon existence, j'ai léché la chatte d'une femme ! J'ai posé la langue sur son clitoris, petit bouton durci par le plaisir et ô combien merveilleux. De mes pouces, j'écartais les lèvres pour permettre à ma langue de se faufiler entre elles et de découvrir toute la splendeur de sa féminité ! C'était comme de me découvrir moi-même ! Ma langue allait et venait sur sa chatte, chaude et douce. Je suçais le liquide, suçait le clitoris, me délectait de ses cris et de ses gémissements. Incroyable ! Je mangeais une chatte, qui plus est celle de ma meilleure amie, et j'adorais ça ! Ma langue a continué son petit jeu longuement. Je m'abreuvais d'elle. Puis finalement, l'orgasme s'est emparé de Marie-Pier et elle a joui de longues secondes, son corps secoué de spasmes alors que ma bouche n'arrêtait pas sa caresse. Le liquide coulait sur ma langue, pure délice. Puis de ses mains elle m'a repoussé et m'a embrassé à son tour, désireuse de partager elle aussi son propre goût avec moi.
Nos mains ont de façon tout à fait naturelle recommencé à se caresser mutuellement. C'était sensuel et très doux. Nos langues se sont mêlées de nouveau, encore que je me demandais si elles avaient jamais cessé de le faire, et notre baiser a duré longtemps, nos jambes s'entremêlant lascivement sur le tapis sur lequel on s'était laissé tomber ensemble. J'ai compris à ce moment ce qui manquait à ma vie sexuelle avec Alex et qu'il ne pourrait malheureusement jamais me donner.
On est restées ainsi collées l'une sur l'autre une éternité, puis elle m'a fait me relever. Plongeant son regard invitant dans le mien, elle m'a attiré vers sa chambre et m'a doucement aidé à m'étendre sur le lit. Elle a alors fouillé dans un tiroir et en a ressorti un joli objet de plaisir sexuel et m'a demandé si j'avais envie de poursuivre le jeu. Ce à quoi j'ai bien entendu répondu par l'affirmative. J'en avais même follement envie !
On s'est payé une belle nuit de plaisir. Parfois sa langue s'insérait en moi, parfois un doigt, mais aussi souvent le joujou sexuel qui vibrait jusqu'au fond de moi. Entre mes cuisses écartées, entre mes fesses soumises, toujours avec beaucoup de douceur et de plaisir. On le léchait ensemble, le mouillait de salive, avant de choisir laquelle de nous deux aurait le plaisir de le sentir plonger dans l'un ou l'autre de ses orifices. J'ai léché ma copine souvent moi aussi, j'ai mordillé ses seins longuement, j'ai découvert chaque parcelle de son corps, de sa peau incroyablement douce à la chaleur de sa chatte. Je l'ai fait crier de plaisir, gémir de contentement et souvent aussi c'était elle qui me découvrait et me faisait jouir. J'ai enfoncé le joujou dans sa chatte, pour le ressortir et le lécher à mon tour. On l'a même partagé, rapprochant nos chattes l'une de l'autre et insérant chacune une extrémité en nous. On a joui ensemble. On s'est beaucoup embrassé, on s'est beaucoup caressé, et on s'est découvertes de toutes les façons possibles. Je n'ai jamais connu de meilleure baise. On a terminé tout ça sous les bulles d'un bain chaud et moussant, se chatouillant, riant, s'excitant comme deux adolescentes qui viennent de découvrir les plaisirs de la chair pour la première fois.
Je ne suis pas lesbienne, mais je recommencerai sans hésitation. Surtout avec Marie-Pier...