Des vacances mouvementées (Partie 7)

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Proposée le 28/10/2009 par Talis Cat

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Sexe non consensuel

Je vois Jeanne à mes genoux. J'ai un pincement au cœur, mais c'est tout. Je réponds machinalement :
"- Tout ? Vraiment ?"
Ta voix est brisée :
"- Oui, tout..."
"- Tu te laisseras enculer jusqu'au bout, comme une chienne."
Mes mots sont volontairement crus. Je veux que tu te révoltes. Que tu t'aperçoives de ce que tu es en train de devenir : une esclave. Mais tu réponds simplement :
"- Oui. Je serais soumise à tes désirs."
"- Prouves-le."
Ta voix est rempli d'espoir :
"- Comment ?"
La rue est déserte. Je sors mon sexe. Ma voix se fait glaciale :
"- Suces-moi. Maintenant."
Tu hésites mais prends rapidement ma verge en bouche. Je suis paralysé. Je n'aurais jamais cru que tu le ferais. Mais tu t'actives comme une morte de faim, tu fais ton possible pour me plaire. La situation me parait tellement absurde que je n'arrive même pas à bander. Je range ma queue. Tu te jettes sur mon pantalon, essaies de l'ouvrir en me suppliant :
"- Donnes-moi une autre chance, je te sucerai mieux ! Je te ferais bander, juter en moi !"
Je te gifle alors et hurle :
"- Réveilles-toi, Jeanne, regardes ce que tu es devenue !"
Tu te contentes de sangloter, effondrée sur le sol. Je dis alors :
"- Reprends-toi. Reprends ta vie."
Puis je m'en vais te laissant gisante au milieu de la rue.

Revenu au camp, je m'approche des filles, mate la blondasse qui se fait caresser. Cindy aussi est provocante. Mais personne n'ose la toucher. Ils savent que je suis le seul à pouvoir le faire. Je l'embrasse et lui dit :
"- Viens, j'ai envie de toi."
"- Tu as encore croisé, Jeanne, n'est-ce pas ?"
Je baisse les yeux sans répondre. Elle serre ma tête contre sa poitrine :
"- Viens, Chris, je vais te la faire oublier."
Je la laisse me trainer dans notre tente...

Tu es revenu effondrée chez toi. Ton mari t'as questionné. Il t'a demandé ce qui t'arrivais. Il t'a aussi dit que quelqu'un du village avait vu le petit con te maltraiter. Tu as alors hurlé :
"- Ce n'est pas un petit con ! Il s'appelle Chris ! Il me fait du bien, il sait me donner du plaisir ! J'ai envie de lui appartenir, d'être sienne ! Je..."
Ta voix se brise :
"- Je l'aime..."
Puis tu hurles à nouveau :
"- Et à cause de toi il ne veut plus de moi !"
Ton mari est resté figé en entendant ça. Avant qu'il n'ait pu reprendre ses esprits tu as fuit. Loin de lui, de ta vie, de tes chaines. Tu te crois libre, enfin. Mais ce n'est qu'un leurre. Tu le sais mais ne veux pas le voir...

Tu arrives à ma tente. Tu entres et me surprends dans les bras de Cindy. Tu t'en fiches. Tu me dis juste :
"- Chris, laisse moi t'offrir mon corps. J'ai tout dit à mon mari, je suis partie. Je suis à toi."
Je te regarde sans vraiment comprendre. Ou plutôt sans vraiment y croire. Tu prends alors mon sexe en main, commence à te déshabiller :
"- Regardes, Chris, je vais te sucer, comme tu me l'as demandé."
Tu commences à avaler ma verge goulument. Entre deux incursions au fond de ta gorge tu me lèches et dis :
"- J'accepterai de te partager avec d'autres femmes si tu veux, je pourrais même satisfaire tes amis si tu en as envie. Je me vendrai pour toi. Mais ne me quittes pas."
Je ne sais que dire. J'ai mal pour toi. Mes sentiments à ton égard reviennent à la vue de ton désespoir. Cindy éclate d'un rire méchant :
"- Et bien, je ne sais pas ce que tu lui as fait mais tu es un vrai bourreau des cœurs."
Je réponds d'un ton sec :
"- Tais-toi, Cindy. Ca ne te ressemble pas d'être aussi mesquine..."
Elle est blessée. Elle dit alors :
"- Tu vas voir..."
Elle se met à me sucer elle aussi. Elles se battent pour ma queue. Le spectacle de ces deux femmes offertes à mes désirs me dégoute, me fascine, me révulse, m'excite. Je ne sais plus quoi penser. Je me contente de juter sur leurs visages dans un râle.

----- Partie écrite par ma correspondante -----

Je suis au milieu d'une bande de jeunes gens sur le terrain de camping de mon village. Je suis à genoux devant toi Chris, j'ai ton sexe dans la bouche. Ou du moins, j'essaye de l'avoir car nous sommes deux à tes genoux à vouloir te sucer. Tu restes debout stoïque comme si tu ne parvenais à trouver ta favorite. Et moi, Jeanne, l'épicière du village, je m'offre en spectacle. Je me bats avec une jeunette pour dévorer ton sexe. On se pousse de l'épaule et les rires fusent tout autour de nous. Soudain, la jeune blonde qui était avec Cindy me prend l'épaule et me relève brusquement « Bon ça suffit la vieille truie ! Tu vas laisser Cindy tranquille maintenant ! Tu approches encore une fois Cris et je te fais ta fête, compris Vielle salope ? »

Elle me secouait. Elle m'a entraînée un peu à l'écart du terrain de camping. J'étais toute agitée et elle m'a giflé pour me calmer : « Tu poses ton cul là et tu ne bouges plus ! ». Je me suis retrouvée assise par terre à pleurer, j'avais enfoui mon visage dans mes mains. Je prenais conscience que j'avais été ridicule. Il y a à peine une heure, je me promenais avec mon mari et que j'ai tout brisé. J'ai foutu ma vie de famille en l'air pour rien. Je ne pouvais de toute évidence revenir chez moi comme si de rien était. Quant à revenir vous voir, la blonde m'avait fait peur. Je ne savais plus. Une main s'est posée sur mon épaule. J'ai levé la tête, c'était Thomas. Il tenait un pack de canettes de bière et une bouteille de whisky. Il a ouvert une canette de bière et me l'a donné. Au milieu des sanglots, j'ai dit « merci ». J'ai bu la canette d'un trait. Il s'est installé à côté de moi. Il m'a tendu la bouteille de whisky et j'ai bu à même le goulot. Ça me brûlait et ça me faisait du bien. Il m'a entouré les épaules avec son bras. Je me suis blottie contre lui. Il m'a serré contre son torse. J'ai entamé la deuxième canette de bière.

Sa main était entre mes cuisses et la mienne caressait son torse. Il a baissé son pantalon et son slip. Son sexe était plus petit que le votre mais ses yeux étaient d'une beauté ravageuse. J'avais encore la force de comparer mais tout tournait autour de moi. J'ai bu encore une rasade de whisky avant que Thomas ne me couche sur l'herbe, déboutonne le haut de ma robe, dégage mes seins, enlève ma culotte et me baise.

J'ai fermé les yeux. J'étais ivre et votre copain me faisait jouir. Je ne cherchais plus à comprendre quoi que ce soit. Je me concentrais sur mon plaisir et Thomas m'en donnait. Quand il a fini, j'ai ouvert les yeux et j'ai vu deux sexes qui pendaient au-dessus de ma tête. C'était vos deux autres copains. J'ai voulu me relever mais, l'un d'eux s'est agenouillé et a pris mes mains et les a ramené au-dessus de ma tête. Il a posé ses genoux dessus pour m'immobiliser. J'ai essayé de donner des coups de pieds. Thomas a bloqué mes jambes. Le troisième posa le goulot de la bouteille de whisky contre ma bouche. Il a pincé mon nez. Si je voulais respirer je devais boire !

J'ai bu, j'ai bu, j'ai bu. J'en renversais sur ma robe, partout. J'étais totalement ivre, incapable de réagir. Les trois garçons m'ont prise et j'ai dû les sucer. J'étais nue, allongée sur le dos, les cuisses ouvertes et ce fut quelqu'un que je ne connaissais pas qui me pénétrait à son tour avec son sexe. J'étais dans un autre monde. Un monde, où dès que l'un finissait de jouir en moi, un autre venait. Je fermais les yeux, incapable d'aucune autre défense.

Ce fut une vision d'horreur quand j'ai ouvert les yeux. C'était Sylvain qui était sur moi. Sylvain, le fils du pharmacien. Sylvain, le copain de mon fils Loïc. Il avait le même âge et ils étaient en classe ensemble. Quelle déchéance ! Je ne sais s'il me reconnu car il faisait nuit. Il ne traîna pas longtemps dans mon corps. J'ai essayé de me relever mais une paire d claques me cloua au sol. J'ai dû encore supporter les assauts de deux hommes.

Le calme était revenu. Il faisait noir. J'étais incapable de bouger. Je n'arrivais même pas à récupérer ma robe qui était à quelques mètres de moi. J'avais froid...