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Proposée le 27/10/2009 par Talis Cat
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Encore raté. C'était bien parti pourtant. Mais dés que je suis entré en elle, elle s'est contractée. Ca me perturbe. Pourquoi s'est-elle laissée faire ? Elle n'a donc pas encore compris que je ne pouvais prendre de plaisir sans elle ? J'ai même forcé, quel con. Au final j'ai éjaculé mais sans réelle jouissance, un pur réflexe physiologique. Heureusement le reste de la nuit a été délicieux. Je vais laisser tomber l'idée de la prendre de cette manière. Dommage, j'aurais bien voulu lui faire découvrir de nouveaux plaisirs...
Thomas me tire de ma rêverie :
"- Ca te dirais qu'on s'installe près du village de Jeanne ?"
Je suis pris de cours :
"- Hein, euh, ouais mais pourquoi ?"
Il me chuchote :
"- Officiellement pour changer d'air et nous faciliter les trajets... Officieusement..."
Je rougit. Il ajoute :
"- Par contre il faudra composer avec une invitée surprise, il risque d'y avoir du sport, tombeur !"
Je fronce le sourcils. Une invitée surprise ? Qu'est-ce que c'est que cette histoire ? Il ne me laisse pas le temps de lui poser la question et s'en va en sifflotant, tout fier du tour qu'il vient de me jouer.
Nous déménageons plus tard dans la journée. Alors que nous installons la tente je pense à peine à Jeanne. Je reste perplexe quand à l'identité de l'invitée surprise. Peut-être qu'il n'y en a pas, que Thomas m'a juste dit ça pour me distraire de Jeanne. C'est réussi.
Plus tard dans l'après midi, alors que nous discutons tranquillement, une voix s'élève :
"- Salut, Chris ! Ca va ?"
Je me retourne : Cindy. Je suis heureux de la voir mais j'ai un pincement au cur en pensant à sa vaine quête. Je lui souris malgré tout :
"- C'est sympa de venir nous voir ! Mais fallait pas te déranger, on se serait revu de toute façon."
"- Mais je ne viens pas juste vous voir. Je m'installe."
"- Hein ? Mais... Et ta tente ?"
"- Thomas m'a dit que tu m'accepterais sous la tienne."
Je reste sans voix. Elle fronce les sourcils :
"- Un problème, Chris ? Tu étais bien d'accord, non ?"
Je souris intérieurement. Sacré Thomas...
"- Oui, oui, bien-sur, pas de problème. Mais tu n'as pas peur de moi ?"
Elle éclate de rire :
"- J'ai pris des cours d'auto-défense !"
Puis elle s'approche de moi et me vole un baiser :
"- Tu devrais en prendre aussi, tu te fais trop facilement surprendre."
Elle se serre contre moi. Je murmure :
"- Cindy, sois raisonnable..."
"- Laisses-moi encore juste quelques instants, s'il te plait..."
Je lui dois bien ça. Enfin elle s'éloigne de moi, me vole un autre baiser. Elle chuchote :
"- Oui, vraiment sans défense..."
Elle a un sourire un peu triste et soupire. Puis elle redevient joviale :
"- Allez, amusons-nous !"
Je la suis mais je sais qu'elle souffre, ça me fait de la peine.
Mon téléphone sonne. Un SMS. Je le lis. Jeanne m'invite. Une immense joie m'envahit. Je pourrais me faire excuser de ma rudesse de la nuit dernière. Je vais lui faire l'amour comme jamais. Je serais au service de ses désirs.
J'attends impatiemment, faisant les cent pas, regardant l'heure qui tourne si lentement. Cindy m'observe du coin de l'il, elle se doute de quelque chose. A un moment elle disparait. Quand elle revient elle porte un assortiment de fleur sauvage. Elle me le tend. Je lui demande, intriguée :
"- C'est pour moi ?"
"- Mais non, imbécile, pour Jeanne. C'est pas grand chose mais ça lui fera plaisir, les femmes aiment les petites attentions."
"- Mais comment tu sais..."
"- Tu tournes en rond depuis deux heures... On dirait un lion en cage."
Je rougit. Elle ajoute :
"- Ne lui dit pas que c'est mon idée, elle les jetterait."
"- Je... Bien..."
Enfin 18h30. Je me hâte. J'arrive à l'épicerie, la porte n'est pas verrouillée, j'entre. Tout est éteint. Je pense à appeler Jeanne mais je me retiens, il ne faut pas ameuter le quartier...
Enfin elle apparait dans l'entrebâillement de l'arrière-boutique. Je devine ses formes. Elle est nue ? Non, en sous-vêtements... Mais ça à l'air sexy... Elle me chuchote d'une voix qui m'envoie une décharge dans tout le corps :
"- Viens, Chris, allons au salon."
J'obéis. Mes yeux fixent ses fesses qui se trémoussent lentement. Le salon est éclairé avec des bougies. Il y a un bon repas sur la table, avec un joli bougeoir au milieu. Vieux et usé mais très glamour ... Je vois surtout le corps de Jeanne. Et sa superbe lingerie. Rouge bordée de dentelle noir. Un corset pigeonnant, un string échancré, des porte-jarretelles et bas.
"- Tu es délicieuse, Jeanne, je ne suis pas sur de pouvoir attendre la fin du repas ..."
"- Ne dis pas de bêtise... En plus je parie que tu n'as rien mangé en attendant notre rendez-vous..."
Je rougit :
"- Euh, c'est vrai..."
"- C'est pour moi ce joli bouquet ?"
"- Hein ? Euh oui... C'est Cindy qui l'a préparé, je suis pas doué pour ça."
Elle hausse un sourcil :
"- Cindy ?"
Elle prend le bouquet, le jette à la poubelle.
"- Qui est cette Cindy, je la connais ?"
Elle est pas jalouse quand même ?
"- Ben la petite rousse qui était avec moi sur la plage..."
"- Et elle baise bien ?"
"- Hein ? Euh, j'en sais rien..."
"- Tu ne l'as jamais prise ?"
"- Non. Enfin si mais..."
"- Ce n'est pas grave, Chris. C'est de ton âge. Je vais te la faire oublier cette petite pute..."
Je ne peux m'empêcher de dire :
"- Tu sais tu te trompes sur elle, elle n'est pas comme les autres allumeuses..."
"- Ah ? Ben va la rejoindre alors, ciao."
Je me jette à ses pieds sans même réfléchir :
"- Non, attends, elle n'est rien pour moi !"
Elle ne dit rien. Avant que j'ai compris ce qui se passait je suis en train d'écarter sa culotte et de caresser délicatement son intimité. Elle gémit, presse ma tête contre sa chatte :
"- Oh oui, vas-y. Je te pardonnerai tout, Chris, mais n'arrête pas."
Nous nous retrouvons allongés sur le dos et je détache ses jarretelles. Puis j'ôte sa culotte et me glisse en elle. Elle me serre contre sa poitrine. J'extrais un sein pour le sucer. Elle ne tarde pas à jouir, moi non plus.
Nous restons ainsi allongés. Puis enfin elle dit :
"- Si nous allions manger, ça va refroidir..."
Nous éclatons alors de rire et je l'aide à se relever. Elle veut remettre en place son bustier mais je sors son autre sein et dit :
"- C'est très bien ainsi... Pas besoin de string non plus... Mais il est très joli, je le garde."
Le string humide de son excitation disparait dans ma poche après que je l'ai longuement humé.
Elle rougit de honte mais cela l'excite...
Puis nous nous mettons à table et commençons à manger sans nous quitter des yeux.
----- Partie écrite par ma correspondante -----
Je suis heureuse. Je suis en train dîner face à vous. Vous mangez à peine, vous me regardez sans cesse. Je suis heureuse. Mes seins débordent de mon bustier. Je n'ai plus de slip, il est posé près de votre assiette. J'ai encore mes bas et le porte jarretelles. Quand vous êtes arrivé, je n'avais même pas eu le temps de mettre une robe. Vous m'avez surprise en sous-vêtements. Vous devez me croire encore plus audacieuse que je ne le suis. Et pourtant, je suis là avec vous dans ma salle à manger, presque nue. Mon mari est à quelques centaines de mètre d'ici. Je suis folle. Vous m'avez fait l'amour et ce n'est pas fini...
Nous ne finissons pas le plat. Vous me prenez par la main et me faites assoir sur le bord de la table. Vous écartez mes genoux, vous vous baissez et votre langue lèche mon sexe. Il ne m'en faut pas plus pour gémir de plaisir. Je me penche en arrière et me maintiens avec mes bras en arrière. Vous me demandez si j'aime et je dis que oui, je crie que oui, je hurle que oui. Vous me caressez l'intérieur des cuisses, vous embrassez mes orteils et le bout de mes seins. Vous continuez jusqu'à ce qu vous sentiez que j'ai totalement perdue toute retenue. Je suis sur le dos. Vous tirez mes hanches jusqu'au bord de la table. Vous vous placez entre mes cuisses et vous me pénétrez me faisant jouir très rapidement comme je n'avais jamais joui avant.
La descente fut lente. J'étais sur la table et je reprenais mes esprits petit à petit. Vous vous étiez assis et avait entamé la crème au chocolat que j'avais préparé. Vous vous êtes levé et vous avez pris un peu de crème sur les doits et en avez étalé sur mes seins. Vous vous êtes mis à les lécher. Mes tétons sont devenus très durs. C'était très agréable. Je vous caressais les cheveux puis je vous ai repoussé et je me suis relevée d'un bond. Je vous ai poussé sur le canapé et j'ai insisté jusqu'à ce que vous vous retrouviez sur le dos. J'ai pris à mon tour de la crème au chocolat et j'en mis sur le bout de votre sexe. Je me suis mise à côté de vous et j'ai léché toute la crème en m'appliquant et en poussant des gémissements de gourmandise. Je remis de la crème plusieurs fois et la lécher à chaque fois. Votre sexe était encore plus grand que d'habitude.
Il y avait encore de la crème sur votre sexe quand vous m'avez attiré vers vous. Vous avez pris mes seins entre vos mains, vos avez placé votre sexe entre mes seins et vous les avez serré. Vous vous frottiez entre mes seins. Vous m'avez ensuite fait mettre sur vous, à califourchon. Vous m'avez soulevé le bassin et laissé retomber sur votre sexe. Je me suis laissée empaler avec délice. Vous me faisiez faire des petits sauts sur vous et je gémissais encore comme une gourmande. Et ça a continuait. Vous m'avez demandé de me caresser et je l'ai fait. Vous m'avez dit de jouer avec mon clitoris et je l'ai fait. Le plaisir que je ressentais était extrême. Vous m'avez alors retourné sur le dos et prise ainsi me faisant crier tout ce qui vous passait par la tête. Au dernier moment, vous vous êtes retirés et vous êtes venus sur mon visage et vous avez éjaculé sur moi. J'avais plein de sperme sur mon visage. J'ai ouvert la bouche et je vous ai léché. Mes bras étaient prisonniers sous votre corps. Je vous ai léché avec la langue. J'ai recueilli les derniers jets de sperme. Je goûtais à votre sperme pour la première fois. Encore un plaisir nouveau que je découvrais.
Ensuite, ce fut moins drôle. L'heure du retour de mon mari approchait. Vous avez dû vous rhabiller sans même vous laver, je ne voulais pas, trop peureuse que mon mari ne vous découvre. « Lundi je pourrais me libérer toute la journée sans problème. On passera la journée ensemble, hein ? Dis moi, Chris que c'est oui ! On se promènera comme des amoureux et puis je prendrai une chambre d'hôtel, ce sera mieux. Ici c'est chez moi, je ne suis pas très à l'aise, tu comprends ? A lundi alors ?
- Oui pourquoi pas...
- On prendra le bus de 9 heures, ça te va ?
- Pourquoi pas, prends-le et on verra bien. »
Vous étiez parti. J'ai rangé la salle à manger et la cuisine à toute vitesse. J'ai rangé mes sous vêtements tachés de crème au chocolat pour les laver plus tard. J'ai pris une douche en faisant attention de bien nettoyer mon corps. J'ai mis ma chemise de nuit et je me suis mise au lit. J'ai alors entendu mon mari rentrer. J'ai fais semblant de dormir.
Samedi matin, deux jours à attendre. J'essaie d'oublier en me donnant à fond dans le travail. De la journée je ne vous ai pas vu. C'est Thomas, Cindy et un autre de vos copains qui sont venus faire les courses. Cindy, en cachette de mon mari, a été très garce me faisant des allusions et des menaces, me laissant des défis. Thomas, lui, m'a ouvertement dragué.
Dimanche. Allais-je vous voir ? Seriez vous là lundi ?