Des vacances mouvementées (Partie 3)

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Proposée le 24/10/2009 par Talis Cat

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Je n'ai plus le goût à rien... Je pensais l'oublier après l'avoir prise mais c'est encore pire. J'ai envie d'elle, c'est maladif. Je passe mon temps à me masturber en regardant les photos d'elle sur mon appareil numérique. Elle est belle. Comment ai-je pu, comment peuvent-ils, la trouver banale ? Je veux sentir sa bouche sur ma verge, entrer en elle... Et ce cul, cette innocence... J'ai envie d'arriver à l'amener à accepter mon sexe jusque dans cet orifice interdit. Je veux que ce soit elle qui me le demande, je ne veux pas la forcer...

Mes potes m'ont parlé de leur soirée avec l'autre bombe sexuelle. Leurs exploits m'ont paru fades par rapport à ce que j'avais vécu. De la simple baise sans... Sans quoi ? Sentiment ? Désir ? Je ne me comprends plus moi même... Des sentiments ? Pour une épicière de province que je connais à peine ? Du désir ? Alors que je suis entouré de minettes chaudes comme la braise ? Qu'est-ce qui ne va pas avec moi ? Faut que je baise, ouais, c'est ça, quand j'aurai goûter à une de ces salopes j'oublierai Jeanne. J'oublierai ses petites fesses, son sourire coquin, sa naïveté, sa douceur... Et merde, je bande... Bon ben je vais devoir retourner aux chiottes... Où est mon appareil... Ah non, je ne le prends pas ! Sinon je ne l'oublierai jamais... Tiens où est mon porte-feuille ? Je l'ai perdu ? C'est pas possible, je suis maudit... Bon il y a plus urgent, mon sexe me fait mal...

Elle a passé une matinée comme les autres. Mais elle est heureuse, elle chantonne. Son mari lui lance :
"- Et bien, Jeanne, je te trouve bien guillerette aujourd'hui ! Que t'arrives-t'il donc ? Déjà la dernière fois tu as mis tes habits provocants pendant la journée... Tu me caches quelque chose ?"
"- Non, non. Je suis juste de bonne humeur, j'ai le droit, non ?"
"- Oui, bien-sur. Excuses-moi..."
Il la prend par la taille :
"- Tu es très belle, tu sais ?"
Elle l'embrasse sans conviction et se dégage de son étreinte :
"- Pas maintenant, je ne suis pas d'humeur."
Il fait la moue :
"- Ah bon, je croyais..."
Pourquoi suis-je si distante avec lui, pense t-elle. Je l'aime, non ? Elle se dirige vers l'arrière-boutique, pensive. Elle ne peut s'empêcher de se remémorer ce qui c'est passé. Une douche chaleur envahit son bas-ventre. Pas d'humeur ? Cela dépend avec qui... Elle remarque alors un objet au sol. Un porte-feuille ? Elle se baisse et l'ouvre. Son cœur fait un bond, c'est celui de Chris ! Elle est toute heureuse d'avoir un objet de lui, elle le caresse tendrement. Une voix s'élève derrière elle :
"- Qu'est-ce que tu tiens là, Jeanne ? Tu t'es achetée une nouvelle babiole sans me le dire ? Tu sais bien que notre budget est limité."
Elle sursaute, panique. Elle ne peut pas lui dire qu'elle a trouvé ce porte-feuille ici ! Elle bafouille :
"- C'est juste le porte-feuille d'un client. J'avais oublié de te dire que Chr... Qu'il l'avait oublié sur le comptoir."
"- Ah ? C'est bizarre que je ne l'ai pas remarqué. Il faudra le rendre, c'est quelqu'un du village ?"
"- Euh, non, probablement un touriste."
"- Ah, on le donnera à la gendarmerie alors."
"- Oui... D'ailleurs j'avais oublié de te dire que je devais accompagner une amie cet après-midi. Elle veut faire des courses en ville. J'en profiterais pour déposer le porte-feuille !"
Il est fâché :
"- Tu aurais pu me prévenir ! Et puis elle ne peut pas y aller seul ?"
"- Elle veut mon avis sur des vêtements qu'elle va acheter. Allez, s'il te plait..."
Il grommelle :
"- Bon, bon d'accord."
Jeanne se précipite vers la porte.
"- Tu y vas comme ça ?"
Elle rougit. Pourvu qu'il en se doute de rien ...
"- Euh, non tu as raison, je vais mettre des habits un peu plus adaptés, et prendre mon sac !"
Elle se dépêche de se changer, hésite à remettre son bel habit de soirée mais abandonne l'idée : il ne faut pas éveiller les soupçons de son mari. Enfin elle redescend :
"- Excuses-moi, Marc, j'aurais du te prévenir..."
Il lui sourit gentiment. Dire qu'elle s'apprête à rejoindre un inconnu, et probablement le tromper à nouveau... Elle a honte d'elle, mais son envie est trop forte :
"- Ce n'est pas grave Jeanne, c'est vrai que je suis trop dur avec toi, tu as besoin de respirer. Je te donne la permission de t'acheter un petit quelque chose si tu en as envie, après tout l'argent est fait pour être dépensé !"
Comme elle à honte. Elle sent les larmes lui monter aux yeux. Il lui caresse le visage. Il est si doux, pourquoi ne ressent-elle plus cette flamme ? Celle que ce jeune homme à ravivé ? Une larme coule sur sa joue :
"- Merci, Marc, tu es si gentil..."
"- Tu pleures ? Ca ne va pas ?"
Elle s'essuie la joue. Le désir monte en elle. Comme elle voudrait que ce fut pour cet homme, son mari... Mais elle ne pense qu'à ce jeune homme... Qui n'est pourtant rien pour elle...
"- Non, non, une poussière dans l'œil. Bon allez je file."
Elle lui sourit et l'embrasse tendrement. Voilà tout ce qu'il reste de son amour. De la tendresse. Elle se sent nostalgique. Elle regarde le magasin avant de partir, comme si elle n'allait jamais y revenir... Quelle étrange sensation... Enfin elle s'en va.

Arrivée en ville, elle s'arrête devant un magasin. Un joli deux pièces attire son regard. Il est très échancré et le haut ne couvre pas grand chose. Mais cela plairait à Chris, elle en est sûre. Et puis il est fixé par des nœuds... Pratique, pense t-elle, rougissante. Elle l'essaie. Elle a peine à reconnaitre la femme dans le miroir. Mais elle se sent désirable et cela lui plait. Elle l'achète et demande à la vendeuse de lui laisser utiliser à nouveau la cabine d'essayage. Elle enfile alors le maillot et garde le minimum de vêtements par dessus. Elle n'en aura pas besoin de toutes façons, elle n'a pas envie d'en avoir besoin... Enfin elle se dirige vers le camping ou elle sait qu'il est installé. Elle trouve sa tente. Personne ? Elle est déçue, se sent bête. Elle appelle malgré tout en s'approchant de la tente :
"- Chris, tu es là ?"
La tente n'est pas fermée... Elle ouvre cette dernière et se penche à l'intérieur en répétant son appel...

Je reviens des toilettes, frustré. J'espérais ne pas penser à elle sans l'appareil photo mais c'était encore pire... J'imaginais des poses réellement cochonnes... Je m'approche de la tente, perdu dans mes pensées. J'aperçois alors une femme à l'entrée de notre tente. Je soupire :
"- Encore une de ces grognasses... Elles commencent à m'énerver."
Mais les courbes ne sont pas celles des jeunes filles qui viennent d'habitude... Et puis ces habits... Je trésaille : Jeanne, c'est elle ! Elle est venue me hanter... Je n'échapperai jamais à ses griffes... Je n'en ai pas envie de toutes manières. Je scrute ses fesses, remarque qu'elle n'a pas de bas... et apparemment une culotte très échancrée... Un maillot ? Elle s'apprête à ressortir. Je saisis ses hanches et l'entraine à l'intérieur. Elle résiste, surprise, mais se laisse faire quand elle voit qu'il s'agit de moi. Nous nous enlaçons, nous embrassons fiévreusement. Je la pelote doucement. Elle s'offre à mes caresses sans retenue. Enfin je veux la déshabiller. Elle se dégage alors de mon étreinte et me dit :
"- Pas ici, on pourrait nous voir... Viens je vais te montrer un endroit sympa."
Je la détaille du regard. Puis nos yeux se croisent, nous restons ainsi un long moment. Enfin je brise le silence :
"- D'accord, mais j'espère que ce n'est pas trop loin, je ne pourrais pas tenir sinon..."
Je l'embrasse. Elle me sourit :
"- Coquin..."
Je la suis alors et elle m'emmène vers le bord de mer.

Une dizaine de minutes plus tard, nous arrivons à une petite crique isolée. Un petit bout de plage loin des regards...
"- Quand j'étais plus jeune j'y allai parfois avec mon mari."
"- Ah."
Je ne peux retenir une pointe de jalousie dans ma voix. Cela l'amuse. Elle caresse mon visage, m'embrasse :
"- Maintenant c'est notre petit coin à nous... Viens, je vais te montrer quelque chose qui devrait te plaire..."
Je me laisse entraîner par le bras. Elle me dit alors :
"- Tournes-toi !"
Je m'exécute. J'entends des froissements de vêtements : elle se déshabille. Cela m'excite. Je me retiens avec peine. Enfin elle me dit :
"- Voilà, tu peux regarder !"
Je me retourne et mon souffle est coupé. Ce maillot... Et dire qu'elle s'habille si sagement d'habitude...
"- Je l'ai acheté pour toi, il te plait ?"
Je déglutit difficilement, retenant mes pulsions bestiales :
"- Oui, beaucoup..."
Pour moi, elle l'a acheté pour moi... J'ai très envie d'elle. Elle fronce les sourcils et dit d'un ton contrit :
"- J'ai complètement oublié de te dire de prendre ton maillot..."
"- Pas besoin j'aurais été à l'étroit de toute façon..."
Je me déshabille. Elle fixe ma verge dressée et murmure, rougissante :
"- En effet..."
Elle s'agenouille et me branle délicatement. Sa langue lèche ma hampe. Puis elle me titille le gland, le suçote. Elle me demande :
"- Tu préfères peut-être la position de la dernière fois ?"
"- Non c'est très bien comme ça aussi, tout ce que tu fais est très bien..."
Elle rougit. J'ajoute d'un ton coquin :
"- Et puis il faut varier les plaisirs !"
Elle bombe son cul en avalant ma queue. As t-elle saisit l'allusion ou le fait-elle inconsciemment ? Ce côté naïf m'excite d'autant plus. Sa poitrine tape sur mes cuisses alors qu'elle s'active à satisfaire ma queue. Elle la sort de sa bouche, la lèche puis la prend dans ses doigts délicats. Je pousse un râle de plaisir. Elle se relève en caressant ma verge :
"- Allons nous baigner, veux-tu ?"
Je ne réponds pas mais la suis dans l'eau. Son déhanché est follement érotique. Le fait-elle à dessein ? On ne sait jamais avec elle... cette candeur est attirante... L'eau est un peu fraiche mais cela ne refroidit pas mes ardeurs. Nous nous enlaçons. Je sors un de ses seins de son maillot, lui suce délicatement le téton. Mes doigts se glissent dans sa culotte et entrent en elle. Elle pousse une petit gémissement :
"- Tu as envie, Jeanne ?"
Sa respiration est haletante, elle hoche la tête en fermant les yeux. J'ôte alors les nœuds de sa culotte et la jette sur la plage. Puis je me glisse en elle. Elle crie sa jouissance, ses bras autour de mon cou. Je commence alors à la prendre lentement puis de plus en plus vite. Sa respiration se fait laborieuse. Elle murmure :
"- Oh oui, Chris, c'est bon... Continue."
Je sens que je vais éjaculer... J'arrête alors mes mouvements et dit :
"- Allons sur la plage, on sera mieux."
Elle a l'air déçue mais accepte malgré tout. Je sors d'elle et elle pousse un soupir. Je me retiens de replonger dans ses cuisses. Nous sortons alors de l'eau. Je l'observe, l'embrasse en lui pétrissant le sein :
"- Pas besoin de ça !"
Je détache son soutien-gorge. Elle fait mine d'être gênée, de cacher ses seins :
"- Voyons, Chris !"
Mais je sens l'envie dans ses yeux. Je m'approche à nouveau et elle découvre ses seins pour m'attraper par le cou et m'embrasser fougueusement. Nos langues s'emmêlent dans un tourbillon de désir. Mes mains se posent sur ses fesses. Puis l'une d'elle passe dans la raie de son fessier, caressant son anus, et mes doigts finissent dans la moiteur de son intimité :
"- Chris, j'ai envie de toi..."
Je l'allonge alors sur le dos et commence à descendre le long de son corps. Je m'attarde longuement sur sa poitrine. Sur son nombril aussi. Et j'embrasse enfin sa fleur. Je la sens frémissante :
"- Chris, c'est bon, oh oui, vas-y..."
Je continue un moment puis me lève et me dirige vers mes vêtements, je fouille une de mes poches. Elle ne dit rien, elle tente de reprendre ses esprits. Je la vois se caresser... Je regarde alors la bague que j'ai acheté sur un coup de tête, quand je suis revenu de notre dernier tête à tête. Peut-être n'était-ce pas un hasard, après tout. Je la regarde. Elle est perdue dans son désir... A-t'elle réellement besoin de moi ? Je l'entends alors dire :
"- Chris, reviens, j'ai besoin de tes doigts, de tes lèvres... De ton sexe. Je le veux en moi."
Je souris. Elle a besoin de moi. Et moi, j'ai besoin d'elle... Je m'approche et lui prends doucement la main. Je glisse la bague à son doigt :
"- C'est un cadeau, un souvenir de moi... De nos étreintes..."
Elle me regarde tendrement. Je caresse sa chatte, risque un pouce dans son anus. Elle trésaille mais ne dit rien, ne se tend pas. Je l'embrasse. Puis elle me dit :
"- Moi aussi j'ai un cadeau, lèves-toi ..."
J'obéis. Elle se met alors à quatre pattes. Elle suce ses doigts puis les enfonce dans son cul. Un, puis deux. Elle fait quelques va et viens et écarte ensuite ses fesses :
"- Viens, Chris. J'ai envie que tu sois le premier à m'explorer entièrement. Et je sais que tu le veux aussi..."

----- Partie écrite par ma correspondante -----

Je me suis laissée tomber sur le ventre contre le sable. Je suis allongée, ma main est posée devant mon visage et à moitié enfouie dans le sable. Je regarde la bague que vous m'avez offerte. Je suis aux anges. Avec vous, je ferais tout. Je me laisserais prendre comme il veut, son plaisir décuplera le mien. Vous jouez avec mes fesses. Ça m'excite à un point intolérable. Vous glissez votre doigt sur ma raie. Je ramasse une poignée de sable et la presse dans ma main. Vous avez défait les nœuds de mon maillot de bain. Mes fesses sont libres. Je vous sens venir sur moi.

« Oui Chris, prend moi maintenant, prends moi comme tu veux, je suis toute à toi, à toi, à toi !!! » Je ne sais pas si j'ai dit ces mots pour moi seule ou à haute voix. Mais j'ai tout de suite après poussé un cri. Vous aviez beau écarté mes fesses, humidifié mon anus et votre gland, vous ne parveniez à me pénétrer. Vous me faisiez mal. J'étais tendue. Vous avez fini par frotter votre sexe contre ma raie et je vous ai senti éjaculer. Le sperme coulait entre mes fesses. Nous sommes restés un moment comme ça puis on a entendu du bruit. Des gens ne s'installaient pas loin de nous.

Vous avez attaché les nœuds de mon maillot de bain. Je me suis retournée et assise, j'ai remis mon soutien gorge. Vous vous êtes contenté de poser votre chemise sur votre sexe. Je regardais l'horizon.

« Je suis désolée Chris...
- ce n'est pas grave...
- je t'assure que j'en avais beaucoup envie aussi...
- mais puisque je te dis que ce n'est pas grave ! »

Vous avez posé votre bras sur mon épaule, vous m'avez entraînée vers vous. Vous m'avez embrassé sur la bouche et j'ai tout de suite eu des picotements sur tout le corps. Nous sommes restés un bon moment sur la plage. Nous n'étions pas seuls mais nous ne nous occupions pas des autres. On passait notre temps à nous embrasser et à nous caresser. Vous auriez bien été plus loin mais je ne voulais pas. Je ne voulais pas faire l'amour devant d'autres gens. Vous sembliez quelque peu contrarié.

Il était temps que je rentre. Nous sommes repartis vers le terrain de camping.

« Chris, tu veux que je te fasse une petite gâterie ? On va là bas, derrière le bosquet...
- bof...
- j'ai très envie de sentir ton sexe dans ma bouche...
- allez, on rentre ! »

Au terrain de camping, vos amis étaient là. J'eus droit à des « Bonjour Jeanne », plein de sous-entendus. La blonde n'était pas là mais il y avait deux autres filles du même genre : une autre blonde et une rousse. Elles semblaient avoir de gros seins et des t-shirts bien moulants. La blonde me dit : « C'est toi qui baise avec Chris ?
- non, pas du tout...
- arrête de te foutre de notre gueule, regarde ce qu'il a sur son portable ! »

Elle m'a tendu votre portable et je me suis vue dessus, les photos d'hier. Mon sang s'est figé. J'ai couru vers vous pendant qu'elle me lançait : « T'as un beau cul quand même ! Hé Jeanne, dis nous, il baise bien Chris ? »

J'étais arrivée à vous : « Chris, Chris, c'est affreux, les deux filles là, elles ont ton téléphone...
- et alors ?
- mais les photos !
- et alors ?
- les photos de moi, celles d'hier !
- mais t‘en fais pas, elle ne diront rien...
- tes copains aussi les ont vus ?
- j'en sais rien, ce n'est pas l'heure de ton car ?
- on se revoit quand ?
- tu me passes un coup de fil quand ton mari t'accordera une permission ! »

J'ai repris le car, j'étais contrariée. Je suis rentrée chez moi. Mon mari rangeait les dernières caisses avant de fermer le magasin. Je ne l'ai pas aidé. Je me suis précipitée dans la salle de bain pour prendre une douche. J'ai caché mon maillot de bain et la bague au fond d'un tiroir. J'ai remis mes sous-vêtements et une autre robe légère. J'ai préparé le dîner. Nous avons dîné. J'ai raconté un tas de mensonges sur mon après-midi. Nous avons fait un tour dans le village. J'étais songeuse. Mon mari m'a pris la main. Je pensais à vous.

Au lit, avant de nous endormir nous avons fait l'amour. Mon mari a été entreprenant. J'en avais envie aussi. J'avais besoin de faire l'amour. Dès que nous avions fini et que mon mari s'endormait, je repensais à nouveau à vous. J'y ai pensé toute la nuit. Je me disais que tout cela n'était pas raisonnable. J'étais une femme mariée, j'étais la maman de trois enfants. Je ne pouvais pas, je ne devais pas.

J'ai pensé à vous toute la matinée, je ne vous ai pas appelé. Mais le midi, alors que mon mari faisait la sieste, je vous ai discrètement appelé. Je suis tombé sur votre répondeur : "Bonjour Chris, j'avais très envie de te parler. Nous ne pourrons pas nous voir aujourd'hui, ni demain, peut être lundi, j'espère que tu as envie de me voir parce que moi j'en très envie ! Tu peux me laisser un message sur mon portable, je le laisserai éteint et j'écouterai ce soir. Je t'embrasse."